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SSII

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(01/04/2008 14:25:24)
IBM privé de contrats publics aux USA
La justice américaine interdit provisoirement à IBM de nouer tout nouveau contrat avec le gouvernement et les administrations des Etats-Unis, suite à une enquête réalisée par l'EPA (Agence de protection de l'environnement). Les projets en cours ne sont pas gelés en revanche. L'enquête de l'EPA portait sur une éventuelle affaire de corruption entre les salariés des deux sociétés, lors d'un appel d'offres datant de mars 2006. La suspension prononcée par le juge de l'Etat de Virginie s'applique à toutes les agences fédérales, et concerne l'ensemble des activités de Big Blue. Le juge a par ailleurs convoqué certains salariés d'IBM afin d'éclaircir cette affaire. IBM, qui affirme ne pas avoir été au courant de cette enquête, a indiqué qu'il prendrait « toutes les mesures nécessaires pour contester cette suspension, et en limiter la portée ». Dans le pire des cas, cette interdiction peut se prolonger un an. IBM a déclaré qu'il comptait coopérer à l'enquête judiciaire. (...)
(01/04/2008 12:07:21)Arès vend ses progiciels Arcole pour 6 millions d'euros
Comme il en avait l'intention, Arès a officiellement cédé sa suite de progiciels Arcole (paie, RH) à l'éditeur De Gamma, pour un montant de 6 millions d'euros. Cette activité (qui compte 100 collaborateurs) a permis à Arès d'engranger 4 M€ l'an dernier. Arès souhaite se concentrer sur ses activités de services et d'intégration des systèmes d'information. Cette annonce laisse toutefois collaborateurs et syndicats perplexes quant à la stratégie adoptée ces derniers mois par le groupe. Arès, connu essentiellement par les entreprises comme étant un revendeur en gros de matériel informatique, était en effet parvenu à se tailler une réputation de véritable SSII, grâce aux prestations à forte valeur ajoutée qui s'articulent autour d'Arcole. En novembre dernier, la société avait même publié des résultats semestriels plutôt décevants, tout en précisant que ses activités services et progiciels lui permettraient de redresser la barre. (...)
(31/03/2008 18:00:22)Le Munci va créer un syndicat professionnel
Le Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens (Munci) essaime sur le terrain syndical. L'association d'informaticiens a en effet entériné samedi, lors de son assemblée générale, la décision de créer un syndicat de branche en marge du Munci. Objectif de cette nouvelle structure, dont le nom n'a pas été dévoilé : la défense des intérêts collectifs chez les prestataires de services informatiques. « Concrètement, nous souhaitons fédérer les salariés et les indépendants des sociétés de prestations intellectuelles (conseil, ingénierie, informatique...) relevant de la branche Syntec », explique Régis Granarolo, président du Munci. Aujourd'hui, un nouveau club professionnel se créé chaque mois en France et en Europe, et de plus en plus de salariés souhaitent s'investir dans les élections des IRP (institutions représentatives du personnelles : délégués syndicaux, délégués du personnel, comités d'entreprise) de leurs sociétés. » Une nouvelle répartition des tâches devrait donc rapidement voir le jour entre le Munci et ce nouveau syndicat, dont les statuts sont en cours de d'analyse. En l'occurrence, un certain nombre de missions - notamment d'assistance juridique et de lobbying - lui seront dévolues. « Notre syndicat fonctionnera sur le même principe de démocratie participative que l'association, précise Régis Granarolo. Nous nous sommes par ailleurs rapprochés de l'Unsa (Union nationale des syndicats autonomes), et nous réfléchissons d'ores et déjà à l'opportunité de fusionner à terme avec un autre syndicat professionnel ». De son côté, le Munci entend renforcer son rôle d'information et de conseil auprès de ses adhérents. En particulier, le premier exemplaire d'une lettre de veille professionnelle, destinée à paraître à échéance trimestrielle, leur sera envoyée d'ici quelques semaines. De la même manière, un programme d'ateliers et de conférences thématiques est en cours de finalisation. L'association entend, en outre, renforcer son partenariat avec les éditeurs, pour permettre à ses membres d'accéder à des formations à moindre coût. Enfin, l'une de ses priorités sera cette année la création d'une cellule Emploi, assurant un suivi des offres et des recruteurs (lutte contre la discrimination à l'embauche, sociétés à conseiller ou au contraire à éviter...). (...)
(31/03/2008 13:41:11)400 grévistes chez Capgemini
La question des salaires a entraîné une forte mobilisation des salariés de Capgemini à l'échelle nationale. Ils étaient 400, selon la CFDT, soit 22% des effectifs de la SSII française, à manifester vendredi dernier sur sept sites de France : c'est à Grenoble que la participation a été la plus soutenue (300 grévistes, selon la CFDT), suivie par Lyon, Nancy, Strasbourg ,Sophia-Antipolis, Paris et Montpellier. Un chiffre également relevé par la direction, qui fait état d'une participation de 226 grévistes sur le site de Grenoble et d'une centaine d'autres, répartis sur plusieurs sites de l'Est et du Sud de la France. Ce mouvement fait suite à l'appel de l'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CGT, FO, CFTC) à participer, depuis le 5 mars dernier, aux assemblées générales à Lyon, Caen, Grenoble, Clermont, Rennes, Brest, Saint-Denis, Vernon, Toulouse, Bordeaux, Saint-Cloud, Montpellier et Aix, Nantes, Pau, Toulouse, Marseille, et Carry-le-Rouet. La dernière assemblée générale, qui avait eu lieu le 21 mars, devant l'immeuble Coeur Défense entre 13 heures et 14 heures, avait réuni plus d'une centaine de salariés. Les syndicats ne comptent pas en rester là, en appelant à une seconde manifestation, demain, mardi 1er avril, qui rassemblera les salariés des autres sites de Capgemini. « Le niveau de la mobilisation de vendredi était remarquable, et confirme l'ampleur de la grogne constatée lors des assemblées générales du mois de mars, souligne Yvan Béraud, secrétaire national du syndicat F3C CFDT. Il était aussi élevé qu'en 2005, date de la dernière grande mobilisation des salariés de Capgemini sur les salaires » Le syndicaliste prévoit pour demain, une mobilisation « un peu plus modérée, à l'exception de certains sites de province, comme la Bretagne et Midi-Pyrénées, où les salaires de certains techniciens ne dépassent pas les 2 000 € mensuels. » Les salariés réclament le retour des augmentations générales, supprimées depuis une vingtaine d'années chez Capgemini, pour rattraper le pouvoir d'achat, une augmentation immédiate des bas salaires, une revalorisation des frais professionnels, une refonte du système d'évaluation, et un accord salarial pérenne. » Ces questions seront abordées cet après-midi , à l'occasion d'une première négociation fixée entre les syndicats et la direction Celle-ci ayant déjà fait valoir que les minima salariaux pratiqués chez Capgemini étaient supérieurs à ceux pratiqués par la branche et que les enveloppes d'augmentations individuelles, qui ont profité à 80% des collaborateurs, étaient au moins égales à celles accordées par l'ensemble de la profession. (...)
(31/03/2008 13:18:02)Annuels SQLI : un chiffre d'affaires porté par les projets SAP
SQLI a publié un chiffre d'affaires annuel de 115,4 M€, en hausse de 27% par rapport à 2006. Le résultat opérationnel courant s'établit à 8,328 M€ (+47%), et représente 7,2% du chiffre d'affaires total (contre 6,2% un an plus tôt). La croissance organique passe de 12 à 16%. La SSII a multiplié les rachats cette année (Alcyonix , Urbanys, Amphaz et Iconeweb). Le rachat du Québécois Alcyonix, lui a permis de structurer ses méthodes CMMI (Capability maturity model integration), qui visent à améliorer les processus des sociétés de services en termes de délais, de gestion des projets, de gouvernance... SQLI affirme que les 2/3 de son chiffre d'affaires sont réalisés avec des niveaux de haute maturité CMMI 4 et CMMI 5. Elle a également créé un pôle d'expertise de haut niveau autour de l'environnement SAP, grâce au rachat du cabinet EoZen en décembre dernier. Ce pôle regroupe 350 consultants spécialisés. Pour 2008, SQLI confirme ses objectifs, et vise les 150 M€ de chiffre d'affaires, dont 20% à l'international. La société est déjà présente au Benelux, en Espagne, en Suisse, au Maroc et au Canada. Elle compte 1700 collaborateurs. La société envisage également de procéder à d'autres acquisitions, même de petite taille, mais à compétences très pointues. (...)
(28/03/2008 16:53:58)Syntec présente sa nouvelle politique emploi, sociale et formation
Syntec Informatique a dévoilé aujourd'hui les principales orientations de sa politique sociale, d'emploi et de formation pour l'année 2008. L'occasion pour Alain Donzeaud, vice-président de Syntec Informatique et président de la Commission des affaires sociales et de la formation, de présenter une série d'actions qui s'articulent autour de trois grands axes : la sensibilisation des entreprises du secteur à la mise en place d'une politique RH performante, l'adaptation des dispositifs légaux aux spécificités des entreprises de la branche, et la contribution de Syntec Informatique à chasser de nouveaux talents. Pour aider les acteurs des logiciels et services à développer une gestion efficace de leurs ressources humaines, le syndicat professionnel a choisi d'instaurer des échanges de bonnes pratiques. « Chaque mois, des matinées sociales réunissant une centaine d'entreprises adhérentes abordent des problématiques liées à a la formation continue, au DIF, ou à la discrimination », a exposé Alain Donzeaud lors d'une conférence de presse. Second volet de la politique d'orientation sociale initiée par la chambre professionnelle : l'harmonisation des dispositifs légaux aux spécificités des entreprises de la branche. « Deux négociations sont actuellement en cours, a ajouté le porte-parole de Syntec Informatique. L'une, sur la parité, l'autre sur la GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences). Nous réfléchissons parallèlement à la mise en application des lois dites TEPA sur le pouvoir d'achat dans les entreprises de la branche. » Considérant que l'une des modalités de cette loi - qui porte notamment sur le rachat des RTT et des jours de repos - empêche sa mise en application dans la profession, Syntec a pris les devants en alertant les pouvoirs publics sur le sujet. [[page]] La fédération syndicale compte également régler le problème de la comptabilisation des effectifs des sociétés prestataires dans les effectifs des entreprises clientes, une question qualifiée « d'importante bataille juridique », par le vice-président de Syntec Informatique. Le porte-parole a conclu en passant en revue les différents dispositifs permettant d'aider les entreprises à trouver de nouveaux collaborateurs. « Le site Changeursdemonde.com, lancé en mars 2007 pour sensibiliser les jeunes aux métiers de l'informatique, vient d'entrer dans sa deuxième phase, avec un nouveau blog et un jeu de simulation plus rapide, a expliqué Alain Donzeaud. Nous agissons aussi sur les sources d'approvisionnement des talents en collaborant avec les grandes écoles d'ingénieurs, et avec des organismes comme l'ANPE ou le Garp. » Syntec Informatique étudie également l'analyse des besoins en compétences et de leurs évolutions en conduisant des études métiers, et agit sur la formation dans la branche en collaboration avec le Fafiec, pour définir des priorités. (...)
(28/03/2008 09:18:44)Le Syntec juge les entreprises françaises pas assez dépensières
« Après une croissance de 6,5% en 2007, l'activité du secteur des TIC devrait croître de 5 à 7% en 2008, même si la croissance générale du PIB français restait inférieure à 2% », s'est réjoui Jean Mounet, président du Syntec Informatique, lors de la présentation hier du rapport « Bilan 2007 et perspectives 2008 du marché des logiciels et services » de ce syndicat patronal. Le secteur des logiciels et services représentait en 2007 un montant cumulé de chiffres d'affaires de plus de 40 milliards d'euros (58% pour les SSII, 28% pour les éditeurs de logiciels, et 14% pour le conseil en technologies) pour plus de 350 000 collaborateurs. La tendance de ce marché, comparable à l'industrie pharmaceutique par sa valeur et 10% au dessus du BTP, est l'accroissement de la part récurrente dans les revenus (maintenance, loyer d'infogérance...). 35% des grands comptes accros à l'off-shore Toujours optimiste, le Syntec voir plusieurs moteurs de la croissance : innovation par les produits, rationalisation des organisations et des SI, adaptation des SI suite aux concentrations d'entreprises, tendance forte à l'externalisation (notamment via l'infogérance)... Le secteur public est particulièrement porteur pour les entreprises membres du Syntec. Comme l'a mentionné Jean Mounet, « l'investissement dans les TIC est une solution aux déficits publics ». Plusieurs tendances attendues ont été confirmées par le Syntec. Ainsi, l'off-shore continue sa percée dans les grands comptes : 35% s'y adonnent sans retenue, 25% de manière encore expérimentale et 40% restent rétifs. [[page]] De la même façon, la progicialisation, une manière d'externaliser son informatique comme une autre (en l'occurrence au niveau des développements) est aujourd'hui naturelle et continue sa progression. Le marché de l'édition devrait progresser de plus de 7% en 2008, avec une pointe sectorielle sur le créneau émergeant de l'embarqué de 12%. Cependant, la tendance est à une baisse des licences au profit de la maintenance. La différence de prix catalogue entre les deux rives de l'Atlantique - certains éditeurs ayant tendance à oublier que le dollar vaut un peu moins que l'euro lorsqu'ils traduisent leurs tarifs - profite aux grandes mutlinationales qui vont négocier leurs licences au niveau mondial directement aux Etats-Unis. « Les prix catalogue ne doivent pas être confondus avec le prix réel » a cependant tempéré Jean Mounet. Le Syntec inquiet du faible prix d'une journée d'ingénieur Sur ce tableau décrit comme idyllique, il y a malgré tout une ombre : les prix. Jean Mounet s'est ainsi plaint que le prix de vente d'une journée d'ingénieur soit, à Paris, deux fois plus faible qu'à Londres alors que le différentiel de salaire n'est pas de cet ordre. Il y a cependant une tendance à une légère remontée des tarifs. Les entreprises utilisatrices françaises semblent donc plus performantes en matière de négociation des achats informatiques que leurs homologues européennes, à moins que, comme l'indique Jean Mounet, il y ait chez nous « un problème de la reconnaissance de la valeur ajoutée par les SI ». L'une des nouveautés de cette année est que le Syntec s'est en effet mis à l'heure européenne, et plus exactement au diapason de l'année franco-allemande des TIC débutée par l'inauguration du Cebit par Nicolas Sarkozy. Le marché allemand est le premier européen en terme de TIC et le deuxième (derrière le Royaume-Uni) pour les logiciels et services. Les PME françaises moins dépensières en logiciels que leurs homologues allemandes Pour appuyer son propos équilibrant l'optimisme de la croissance et le dépit sur les tarifs toujours trop bas, Jean Mounet a cité l'exemple des dépenses en logiciels applicatifs dans les PME. En France, la moyenne est de 4200 euros par entreprise contre 7300 en Allemagne. Interrogé à ce sujet par la rédaction de CIO, Jean Mounet a estimé que le rapport restait le même si l'on tenait compte des effets de taille des sociétés, malgré d'une part des différences sensibles à ce sujet entre la France et l'Allemagne, d'autre part le fait que les licences soient généralement comptées par utilisateur. La différence de comportement des PME françaises et allemandes se retrouvent sur les achats en ligne B2B : 40% d'adeptes en France contre 62% outre-Rhin. (...)
(27/03/2008 14:47:19)Annuels Aubay : chiffre d'affaires en hausse, mais moins bon que prévu
Aubay, société de services, de conseil et d'intégration, a publié un chiffre d'affaires de 165,6 M€ (+43%), légèrement en deçà de ses prévisions. La SSII tablait en août dernier sur 167 M€. Le bénéfice net grappille 4 points et s'établit à 8,1 M€, et le résultat opérationnel courant gagne 43%, pour atteindre les 15,7 M€ (soit 9,5% du chiffre d'affaires). Ces résultats - dans l'ensemble positifs - sont toutefois moins bons que ceux réalisés au courant du premier semestre de l'année. La SSII avait alors affiché un chiffre d'affaires en hausse de 65,1%. Cette différence est en partie due à la cession des activités de trois filiales d'Aubay (Toulouse, Grenoble et Strasbourg), jugées déficitaires. Aubay a par ailleurs du renoncer à ses projets d'acquisition de petites SSII, comme annoncé en août dernier. La société s'estime toutefois satisfaite de ces résultats, étant donné qu'elle a du faire face à une déconsolidation coûteuse. Rappelons que la SSII toulousaine est également connue pour être l'actionnaire majoritaire d'Octo Technology. Aubay avait toutefois décidé en juillet dernier de se défaire d'une partie de ses actions (15,1%) Octo en les revendant à ses fondateurs. A l'époque, la direction d'Aubay avait expliqué ce choix stratégique par sa volonté de se concentrer sur son activité principale, à savoir l'intégration de solutions complexes (SOA, EAI...) pour une clientèle transversale (banques, assurances, télécoms et énergie). « Octo Technology ne véhicule pas tout à fait la même image que Aubay », avait précisé Philippe Rabasse, directeur général de la société. Pour 2008, le groupe se fixe un objectif de croissance interne de 10 à 12%, et une marge opérationnelle de 10%. La SSII compte 2194 collaborateurs, contre 2016 un an plus tôt, répartis dans six pays (France, Belgique, Luxembourg, Italie, Espagne et Portugal). (...)
(26/03/2008 14:12:22)Steria : nouveau profil, nouveaux profits
La SSII Stéria publie ses résultats audités, ils confirment un chiffre d'affaires de 1416,2 ME en hausse de 12,7% par rapport aux 1250,6 de l'exercice précédente. Derrière les chiffres, Stéria affiche son nouveau profil. Après le rachat de la SSII britannique Xansa plc, à l'automne 2007, Stéria affirme être la 10ème SSII en Europe (selon Gartner et hors SSII captives), la 9ème en Grande-Bretagne et surtout celle qui a la plus grande proportion de ressources en Inde par rapport à son effectif total (justement depuis le rachat de Xansa). Cette acquisition lui permettra également « d'économiser » 23 ME en 2008. Elle lui permet d'avoir des positions significatives sur le marché anglais et de disposer de forces offshore importantes. En termes de profitabilité, Stéria affiche sa cinquième année consécutive de rentabilité opérationnelle : une marge opérationnelle de 15,7% à 103,6 ME, un taux de marge opérationnel de 7,3% (en hausse de 0,2% par rapport à 2006). Ce taux de marge est de 7,2% sur le périmètre historique de la SSII et de 8,3% sur Xansa. En termes géographiques, le taux de marge opérationnel est de 9,7% en France (+0,4), e 9,8 au Royaume-Uni (+0,2), de 8,3 en Allemagne et de 4,3 sur le reste de l'Europe. Les autres résultats indiquent des voyants au vert : résultat net part du groupe en hausse de 0,4, résultat net courant de 7,6%. Steria peut préparer d'autres développements, son cash flow libre d'exploitation se monte à 85,8 ME (contre 33,9) en hausse de 153,1 %. Sa dette financière, fin 2007 s'élevait à 306,9 ME. La SSII affiche également un gearing (ratio de dette financière nette sur capitaux propres) de 43%. (...)
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