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SSII
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(18/08/2006 14:28:04)
Sogeti rachète FuE pour croître en Allemagne et se rapprocher d'Airbus
Sogeti (filiale historique de Capgemini) est décidé de pousser plus avnat sur le marché allemand en procédant au rachat de Future Engineering (FuE), société de services et de conseils particulièrement présente sur le marché de l'aérospatial. Comptant Airbus parmi ses clients FuE possède, outre ses activités allemandes, un bureau sur Toulouse, capitale européenne de l'aéronautique où est notamment assemblé l'A380, dernier né des Airbus. Selon Luc-François Salvador, DG de Sogeti, la filiale Sogeti High Tech Consulting (165M€ de CA annuel et 2 300 collaborateurs) est déjà "très active dans les domaines de l'ingénierie, de l'informatique technique, de l'électronique dans les grands projets de R&D industrielle". La transaction devra attendre l'approbation du Bureau Allemand Fédéral du Cartel avant d'être effective. FuE compte 250 salarié pour un CA 2005 s'élevant à 19,3 M€. (...)
(10/08/2006 15:25:36)Résultats : Steria confirme la bonne santé du secteur des SSII
Dans la foulée de Sopra et GFI, Steria a annoncé de bons résultats pour son premier semestre 2006. la SSII a publié un chiffre d'affaires de 607,2 M€ pour les six premiers mois de l'année, un chiffre en progression de 4% par rapport à la même période en 2005. Steria a notamment profité de la progression de 8,9% de ses ventes en France et de son dynamisme au Royaume-Uni (+5,7%) ses ventes ont toutefois été stable sen Allemagne (+0,6%) et ont reculé dans les autres pays européens. Côté résultat, la SSII a confirmé son objectif d'une marge opérationnelle supérieure à 7% , une information qui a fait s'envoler le titre en bourse, il est vrai après une dégringolade de près de 12 % depuis le début de la semaine. Selon Steria, la plupart des compteurs sont au vert avec notamment une progression de 21% des commandes au cours des six premiers mois de l'année. La SSII prévoit aussi "une accélération sensible de la croissance de son chiffre d'affaires sur le second semestre 2006". (...)
(10/08/2006 11:39:13)CSC supprime 1 800 postes en Amérique et prévoit des délocalisations
CSC prévoit de supprimer quelque 1 800 postes en Amérique du Nord si l'on en croit le rapport de compte remis à la commission américaine de surveillance des marché boursiers (SEC, Securities and Exchange Commission). La majorité (plus de 70%) de ces postes seront supprimés courant 2007, le solde en 2008. Dans le même temps, la SSII prévoit de délocaliser quelque 2 000 emplois "dans certaines régions du monde aux coûts de main d'oeuvre moins élevés" (sic). En avril, CSC annonçait déjà un plan de 5 000 suppressions de postes, la majorité basé en Europe. Des centres pourraient également être fermés. La semaine dernière, la 5ème SSII du monde - que des rumeurs indiquent régulièrement être à vendre - annoncées une perte de 55 M$ pour son 1er trimestre fiscal, sur un CA de 3,56 Md$. (...)
(08/08/2006 19:46:23)GFI et Sopra affichent leur bonne santé
GFI Informatique a enregistré une progression de 17,4 % de chiffre d'affaires au premier semestre - à 319,8 M€ -, dont 6,8 % de croissance organique. Pour la même période, Sopra Group a réalisé un chiffre d'affaires de 443 M€, en progression de 22,9 % dont 7,6 % de croissance organique. En France, le chiffre d'affaires de GFI Informatique a progressé de 24,5 % au premier semestre, pour atteindre 216,9 M€. L'activité Intégration de Systèmes et Solutions de Sopra, dans l'hexagone, a également connu une période favorable avec un chiffre d'affaires de 266,9 M€, soit 4,5 % de mieux qu'au premier semestre 2005. GFI Informatique souligne en particulier que son activité, en France, a été soutenue « dans les secteurs Télécommunications, Banque-Assurance et secteur public. GFI Informatique continue à enregistrer des signatures d'affaires importantes avec, entre autres, France Télécom, le PMU, la Mondiale, Airbus, le Conseil Général des Hauts de Seine. » Confiantes, les deux SSII s'estiment bien placées pour atteindre leurs objectifs annuels. (...)
(30/06/2006 17:35:20)Recrutement : Sopra vise une croissance de 10% de ses effectifs
La SSII Sopra (9500 collaborateurs dont 6700 en France) a pour ambition de recruter 1400 ingénieurs informaticiens et consultants cette année en France. A ce jour, elle a atteint la moitié de ses objectifs et poursuit sa campagne. Elle entend embaucher 60% de jeunes diplômés et 40% de profils expérimentés. « Nous avons une politique de recrutement qui ciblent les jeunes diplômés pour les faire évoluer », explique Muriel Ducros Abisur, responsable du recrutement pour Sopra Group. « Ils démarrent à des fonctions d'ingénieurs développement puis intègrent selon leurs aspirations et leurs compétences différentes filières, la conduite de projet, le consulting, le domaine des PGI, l'expertise technique, etc ». Parmi ces jeunes, Sopra cherche en particulier à attirer les titulaires de diplôme de niveau Bac +4 et Bac + 5 issus des écoles d'ingénieurs, des cursus universitaires informatiques et scientifiques (DESS et Miage). Elle recrute aussi des profils métier (par exemple des jeunes formés à la logistique) et des diplômés de niveau Bac +2, avec expérience. Dans la population des profils expérimentés, la SSII cherche des consultants fonctionnels PGI, des chefs de projet, des concepteurs experts, des architectes et des commerciaux ayant au minimum 2 ans d'expérience. Elle dit ne pas se focaliser sur la recherche d'un type de compétences technologiques en particulier, vue l'étendue de son parc de clients, de la diversité des outils qu'ils utilisent et de leurs besoins. Elle privilégie par ailleurs dans ses recrutements le potentiel d'évolution et la capacité des personnes à faire de la gestion de projet. Malgré cette politique, Sopra confirmer toutefois, comme nombre de ses consoeurs SSII, que les consultants fonctionnels qualifiés sur les PGI de Sap et d'Oracle/Peoplesoft font partie des profils les plus difficiles à trouver aujourd'hui. Elle assure par ailleurs que la demande de compétences sur mainframe ne fléchit pas, alors que les profils qualifiés sur les grands systèmes se raréfient. une soirée Sap le 6 juillet La campagne de recrutement de Sopra répond à un objectif de croissance d'environ 10% de ses effectifs. La SSII doit aussi faire face à la progression de son turn over (taux non communiqué) avec la reprise du marché. Elle confirme que ce dernier est tendu et que les recruteurs doivent déployer davantage d'efforts que les années précédentes pour attirer et séduire des candidats. Chez Sopra, cet effort se traduit par un déploiement simultané de nombreux moyens pour toucher les candidats, tous étant, selon elle, complémentaires. Elle organise par exemple des manifestations de recrutement ciblées, telles des soirées SAP (22 juin dernier et 6 juillet), pour présenter aux candidats les métiers autour du PGI. Elle s'appuie sur les services en ligne et « off line »de spécialistes du recrutement informatique comme Lesjeudis.com (achat de bases de CV, de petites annonces et participation aux salons). Elle a aussi doublé et renforcé ses partenariats avec les écoles (80 écoles partenaires sont revendiquées) et mobilise toute l'entreprise à la problématique des recrutements. Les managers des unités opérationnelles sont sensibilisés afin d'informer leurs équipes et de favoriser la cooptation. La SSII se dote enfin de nouveaux arguments pour attirer les jeunes, comme un dispositif d'écoute et de suivi renforcé sur dix-huit mois pour les nouveaux arrivants, qui vise une intégration réussie. (...)
(19/07/2006 17:14:48)Les spécialistes indiens de l'offshore ont le vent en poupe
Résultats premier trimestre Wipro Chiffre d'affaires : 677 M$ (+37%) Bénéfice : 132,8 M$ (+44%) Résultats premier trimestre Tata Consultancy Services Chiffre d'affaires : 900 M$ (+42%) Bénéfice : 187 M$ (+33%) Les spécialistes indiens de l'externalisation affichent une exubérante santé, au moment où les acteurs IT occidentaux connaissent une période délicate, à l'image de BO, Yahoo ou AMD qui ont publié ou annoncé des performances inférieures aux estimations. Tata Consultancy Services, le spécialiste numéro un de l'externalisation dans le Sous-continent, réalise clôt ainsi son premier trimestre sur un chiffre d'affaires en hausse de 42 %, à 900 M$.Il profite de la demande mondiale galopante pour les services offshore - les exportations indiennes de logiciels et services sont attendus en hausse de 27% à 30% en 2006 - et de la dépréciation de la roupie indienne. Son bénéfice s'élève à 187 M$, et croît de 33 % par rapport à la même période de l'année précédente. Plus de la moitié des revenus du groupe (53%) proviennent des exportations à destination de l'Amérique du Nord, contre 27% pour l'Europe. Tata a recruté 4 698 nouveaux salariés au cours du trimestre, portant son total à 71 190 au 30 juin. Même niveau de performances pour Wipro, le troisième principal acteur de l'industrie offshore indienne. Son chiffre d'affaires s'élève à 677 M$, en hausse de 37%, et son bénéfice bondit de 44% pour atteindre 132,8 M$. Si Wipro s'adresse à la fois au marché domestique indien et aux entreprises IT à travers la planète, c'est auprès de ces dernières qu'il réalise la très grande majorité de ses revenus. Sa division Global IT Services & Products - axée sur l'offshore - réalise ainsi un CA de 530 M$ et progresse de 42 % sur un an. Le groupe a embauché 2 693 salariés supplémentaire au cours de la période considérée et compte désormais 56 435 employés. Il y a quelques jours, Infosys - le numéro deux indiens de l'externalisation - avait publié des résultats en ligne avec ceux de Tata et Wipro. (...)
(18/07/2006 12:56:37)Atos, à la peine au Royaume-Uni, n'atteindra pas ses objectifs 2006
Résultats Atos Origin premier semestre Chiffre d'affaires : 2,696 Md€ Variation : -1,1 % Après un timide premier trimestre, Atos Origin rejoint, avec la publication des résultats de son premier semestre, la cohorte des entreprises contraintes d'abaisser leurs prévisions. Le groupe de conseil informatique a réalisé un chiffre d'affaires de 2,696 Md€ au premier semestre. Si ce revenu représente une croissance organique de 2,9% par rapport au CA publié à la même époque de l'année précédente, il correspond également à une baisse de 1,1% à taux et périmètres courants. En cause : les piètres performances réalisées au Royaume-Uni où "le chiffre d'affaires organique a reculé de 5%, ce qui, malgré une amélioration par rapport au premier trimestre -11%), reste toujours inférieur au budget", explique ainsi le groupe. L'Outre-Manche, qui représente environ 20 % du CA d'Atos Origin, a été le théâtre de la signature tardive de contrats. Cela devrait engendrer une marge opérationnelle de 5 %, soit un point de moins que l'objectif du groupe. Surtout, Atos annonce que la croissance organique pour 2006 ne sera que de 3 %, alors qu'il prévoyait jusqu'alors une progression de 5 %. En 2007, le groupe prévoit un rebond de l'activité au Royaume-Uni, conséquence d'un plan d'actions mis en place pour redresser la barre. En dépit de cette conclusion se voulant rassurante, le cours de l'action s'est effondré. Il perdait ainsi près de 20% dans les heures qui ont suivi l'annonce. (...)
(13/07/2006 17:11:54)PGI : la SAP Academy démarre à l'ESCEM
Face à la pénurie de consultants métier SAP que constatent les intégrateurs sur le marché, l'éditeur monte la « SAP Academy » pour former de nouveaux virtuoses du PGI. Il estime qu'il manquerait environ 1000 consultants (sur un total de 8000 emplois générés dans l'écosystème SAP, selon l'éditeur) pour répondre aux besoins. La première promotion sera accueillie par le département de formation continue de l'ESCEM (Ecole supérieure de commerce et de management Tours-Poitiers) qui travaille avec SAP à l'élaboration d'un cursus pilote, qui doit démarrer au mois d'octobre prochain, si tout va bien. "Les délais sont très serrés et nous allons devoir plancher rapidement sur les contenus et les modalités de la formation", soulignent de concert les acteurs concernés. L'enseignement sera en tout cas centré sur la gestion financière et déroulé sur trois mois (60 heures). Une trentaine d'heures de cours seront assurés par l'ESCEM sur les concepts et les techniques de gestion. L'autre moitié du cursus sera dispensée par des formateurs SAP et consacrée à se former sur le PGI. Ses premiers bénéficiaires (un groupe de 15 à 20 personnes) seront des collaborateurs de SSII partenaires de l'éditeur. Bénéficier des aides au financement de la formation continue Parallèlement à cette première opération, SAP prospecte d'autres écoles pour développer des cursus de même type. Il est en discussion avec l'EPSI (Ecole privée des sciences informatiques) et l'UTC (Université de technologie de Compiègne) dans cette optique. L'objectif est de former plusieurs centaines de consultants le plus rapidement possible pour assurer le déploiement de ses solutions. Il suit les traces de son concurrent Oracle qui a lancé une opération aux objectifs similaires cet hiver, mariant le recrutement et une formation de consultants métiers sur ses applications de gestion intégrées. L'Américain a pris comme option de dispenser cette formation en interne avec quatre partenaires SSII. SAP a de son côté choisi de s'adosser aux écoles afin de s'appuyer sur leur image et d'intégrer le système de la formation professionnelle continue. Cela permet aux sociétés qui souhaitent envoyer des collaborateurs en formation de bénéficier des aides au financement qui sont prévues dans ce cadre. Les dispenser dans des établissements d'enseignement supérieur reconnus est aussi la condition pour pouvoir prétendre, à terme, à ce que les cursus montés deviennent diplômants, ce qui est l'autre ambition de l'éditeur. Pour les écoles concernées, l'intérêt est clair. Il y a le projet pédagogique et l'enjeu économique." A un moment où les compétences SAP sont très demandées, cette collaboration constitue une opportunité de développer les départements de formation continue qui contribuent au financement des cursus d'enseignement initial", explique Fatima Megdoud, professeur de systèmes d'information, responsable du département management, systèmes et stratégies de l'ESCEM. (...)
(13/07/2006 12:38:33)Infosys démarre fort son exercice 2007
Résultats premier trimestre 2007 Chiffre d'affaires : 660 M$ (+39 %) Bénéfice net : 174 M$ (+43 %) Infosys, le numéro deux indien de l'externalisation derrière Tata Consultancy Services, a bouclé son premier trimestre fiscal sur la même tendance barométrique qu'au cours des périodes précédentes : le temps est au beau fixe. Le chiffre d'affaires atteint ainsi 660 M$, selon les normes Gaap, et progresse de 39% sur un an. "Au cours du trimestre, la croissance de notre activité en Europe est restée forte. La progression du chiffre d'affaires provient essentiellement des secteurs télécoms, financiers et industriels", a expliqué le responsable des ventes mondiales, SD Shibulal. Le bénéfice net bondit de 43%, à 174 M$. Il profite de la dépréciation de la roupie par rapport aux principales monnaies étrangères. Une dépréciation qui a permis au groupe de conserver un niveau de marge intact, en dépit d'une augmentation des charges salariales et de visa. Au cours de la période, le spécialiste de l'externalisation a recruté 5 694 salariés, portant son effectif total à 58 409. Il prévoit d'en embaucher 25 000 autres d'ici à la fin de l'exercice en cours. Fort de ces bons résultats, et de l'excellente santé du secteur de l'outsourcing en Inde - les exportations de logiciels et services devraient croître de 27 à 30% cette année et générer des revenus compris entre 29 et 31 Md$ selon l'India's National Association of Software and Service Companies - Infosys table sur un chiffre d'affaires en hausse de 36% pour l'exercice fiscal en cours, à 2,91 Md$. (...)
(13/07/2006 12:40:05)Recrutement : CBL titille le consultant SAP
« Si vous pensez que pour réussir il faut être une langue de p..., si vous pensez que pour réussir, il faut bouffer les autres, évitez de nous contacter ». Choquante, iconoclaste, habile? La campagne de communication menée par la société de conseil CBL consulting (4,3 millions de chiffre d'affaires, une petite cinquantaine de personnes) pour recruter des consultants SAP (une vingtaine), ne laisse en tout cas pas de marbre. Elle marque les esprits avec des visuels provocateurs - un homme avec une langue de reptile et une jeune femme au regard glacé - et des slogans chocs. Elle atteint ainsi l'un de ses objectifs, permettre à ce spécialiste du déploiement du progiciel SAP HR (ressources humaines) de se faire remarquer sur un marché de l'emploi saturé d'annonces clones qui apportent peu de candidatures qualifiées. « Le marché de l'emploi SAP est un marché de réseau. Les consultants n'ont pas besoin de regarder les annonces pour trouver des opportunités. Nous avons donc pensé qu'une campagne institutionnelle permettrait de nous manifester davantage qu'une annonce de recrutement », explique Brigitte Burette, DRH de CBL consulting. Lancée au début du mois de juillet, cette campagne a occupé les pages de supports peu habituels pour une SSII, le quotidien gratuit Métro et le magazine Challenge. Ce choix était aussi une façon pour CBL de marquer sa différence parmi les intégrateurs SAP et de toucher un public plus large, hors des viviers habituels comme des professionnels des RH. L'opération comportait quelques risques, notamment celui de déplaire, mais Brigitte Burette en tire des retombées positives. "Nous avons eu beaucoup de remarques de consultants et de clients sur cette campagne, avec environ 70% de retours favorables. Notre volonté d'être différenciant correspond aussi à ce que nous sommes et à ce que nous proposons à nos collaborateurs, en terme d'autonomie, de possibilité de s'exprimer, de passage d'un module à l'autre au fil des projets ». En ce qui concerne les candidatures, Brigitte Burette estime, pour avoir interrogé les consultants qu'elle rencontre, que la campagne a permis d'accélérer les mouvements au sein de son réseau et l'arrivée de CV. Elle ne se prononce pas sur des données quantitatives. Au vue du coût d'une « chasse » par un cabinet de recrutement, elle affirme que le retour sur investissement de l'opération (qui a coûté 35 k€) est atteint. La réflexion est lancée pour la reconduire à la rentrée. (...)
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