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(04/04/2006 16:58:57)

Gestion de carrières: l'adaptation des compétences est insuffisante en SSII

Il faut être vigilant concernant les promesses de formation des SSII. Leurs efforts dans ce domaine semblent en décalage avec leurs effets d'annonces. C'est ce que révèle l'Etude du cabinet Alpha, menées sur les problématiques métiers dans les SSII (*). En 2003 et 2004, les SSII étudiées ont consacré 3,2% de leur masse salariale à des formations, ce qui est supérieur au minimum légal, mais bien inférieur aux chiffres communiqués par le Syntec (la fédération patronale du secteur). Plus ennuyeux, les temps de formation moyens pratiqués sont respectivement de 34 et 36 heures pour les employés et les IC (ingénieurs cadres), ce qui est loin de suffire pour des formations qualifiantes qui nécessitent au moins trois semaines, souligne le groupe Alpha. Ce constat pose notamment la question du lien entre formation et employabilité. Les SSII ne semblent pas avoir intégré concrètement l'adaptation des compétences comme une donnée clé de leur développement et de celui des collaborateurs. Le peu d'outils concrets destinés à la gestion des compétences recensés par Alpha lors de son étude le confirme. L'enjeu est pourtant critique, puisque les métiers évoluent et que le modèle dans lequel se situent les SSII a changé. "Les clients veulent des gens formés et n'assurent plus l'apprentissage des informaticiens, comme c'était le cas auparavant dans le cadre notamment des prestations en régie", explique Philippe Lecigne, consultant pour le groupe Alpha." Par ailleurs, les SSII ne sont plus seulement un lieu de passage pour les informaticiens en attendant d'aller chez les utilisateurs. Les gens restent davantage qu'auparavant et peuvent y faire carrières, ce qui pose la question de la valorisation de leurs compétences dans le temps". Il y a donc des changements à intégrer dans les SSII en matière de gestion des compétences, que ce soit vis-à-vis des populations jeunes ou des plus expérimentées. L'étude d'Alpha montre notamment que la moyenne d'âge dans les SSII est de 38 ans -contre 34 ans selon Syntec-, ce qui implique une problématique de gestion des "seniors" à prendre en compte, dans un secteur ou ce statut canonique est presque atteint à 35 ans. La reprise devrait y contribuer. "Les discours sont là, les choses se mettent en place" confirme Philippe Lesigne, même si les sociétés manquent encore d'outils". La réforme de la formation professionnelle devrait aussi y participer. Le Dif (droit individuel à la formation) étend la formation à tous les salariés et les périodes de professionnalisation favorise les formations longues et qualifiantes à moindres coûts. (*) Alpha a mené cette enquête au travers des indicateurs présents dans les bilans sociaux de 24 SSII représentatives du secteur. (...)

(04/04/2006 16:58:47)

Technologies: les métiers de l'intégration de système revigorés et industrialisés

Suite à son étude menée fin 2005 sur les problématiques métiers des SSII (*), le cabinet Alpha confirme la pression qui se dessine aujourd'hui sur des métiers critiques. Cette tendance se manifeste dans les domaines des nouvelles technologies, java, .net et dans le logiciel libre, par l'effet d'entraînement du secteur public et du positionnement des plus grands acteurs de l'industrie dans ce domaine. Cette tendance est posistive pour les SSII puisqu'elle est synonyme d'un développement de la maintenance, un domaine qui souffre. Elle devrait aussi contribuer à recréer un appel d'air pour les métiers de l'intégration de systèmes, ce qui là aussi est nécessaire. Ce domaine a été frappé de plein fouet par la crise avec l'arrêt des investissements informatiques des sociétés et la tendance à l'intégrer comme un volet des contrats d'infogérance. Il devrait être de nouveau dopé, hors infogérance, par la reprise des projets de déploiements de PGI, le développement des applications métier, ainsi que les travaux liés au SOA (Services oriented architectures) et à l'urbanisation des systèmes d'information. "Un énorme besoin se dessine notamment dans le secteur bancaire à ce niveau", souligne Philippe Lesigne, consultant pour le groupe Alpha "avec l'automatisation croissante de leurs back-office". Ces tendances technologiques devraient se traduire par une industrialisation croissante de l'intégration de systèmes dans des contextes où seront couplés des applications de front-office déployées près du client et des outils de back-office déportés en near shore ( en France ou en Espagne par exemple) ou en off-shore. Ces évolutions ont un impact direct sur les compétences puisqu'il faudra accompagner ce passage d'une logique artisanale à une logique plus industrielle. Le développement de l'off-shore qui devrait continuer à s'accentuer (x 3 d'ici 2009) en aura également. Les chefs de projets évoluant dans ce contexte devront faire preuve d'une rigueur accrue pour gérer plusieurs équipes de cultures différentes sur des sites distants. Les métiers du développement et de la maintenance (conception technique, tests de mise à niveau, de performance, etc) devront eux progresser vers des prestations de plus en plus sophistiquées et personnalisées puisqu'ils sont parmi les métiers les plus transférables dans des centres à l'étranger. Reste à espérer que les efforts de formations suivront pour accompagner ces évolutions dans les SSII. L'étude Alpha montre qu'elles conservent une marge de progression dans ce domaine. (*) Alpha a mené cette enquête au travers des indicateurs présents dans les bilans sociaux de 24 SSII représentatives du secteur. (...)

(04/04/2006 12:42:45)

EDS rachète une SSII indienne spécialisée dans le BPO

EDS vient de proposer environ 380 M$ pour acquérir Mphasis, une SSII indienne spécialisée dans le BPO. Cet achat permettrait à EDS de consolider sa position en Inde. Mphasis emploie 12 000 personnes, dont 11 000 en Inde. Son portefeuille client est très diversifié : finance, transports, technologies ou santé. Cette acquisition s'effectuerait par un achat massif d'actions. Le prix proposé par EDS est de 4,58 $ par action, soit 30% de plus que le prix courant sur une moyenne de 26 semaines, mais inférieur au cours actuel de l'action. EDS espère reccueillir un minimum de 52% des titres de la SSII indienne, soit environ 83 millions d'actions. L'offre étant ouverte, certains analystes estiment qu' EDS risque d'avoir un peu de mal à conclure l'affaire à ce prix et qu'il devra relever son offre. La période de vente des actions s'étend du 22 mai au 12 juin 2006. L'américain reste confiant et estime que la conclusion de la transaction aura lieu au début du troisième trimestre. (...)

(31/03/2006 12:24:49)

Groupe Open clôt 2005 sur des revenus en hausse de 43 %

Groupe Open, sous les feux de la rampe ces dernières semaines pour le différend l'ayant opposé aux fondateurs de sa filiale Teamlog, vient de boucler son exercice 2005 sur des revenus et une rentabilité opérationnelle en hausse. Le chiffre d'affaires s'aligne ainsi à 461 ME et gagné 43 % par rapport à 2004. A périmètre constant, la croissance est de 8 %. L'activité consacrée aux services génère 119 ME, soit 31 % du CA total, bien davantage que les 29 ME de 2004. Le secteur de la distribution à valeur ajoutée enregistre une croissance de 16 %, à 342 ME. Groupe Open a présenté un résultat opérationnel courant de 10,5 ME, soit 16 % de plus que les 9,1 % de l'année précédente. Au cours du second semestre la rentabilité opérationnelle a nettement accéléré : alors qu'elle plafonnait à 1,3 Me sur les six premiers mois de l'année, elle a atteint 9,2 ME sur la deuxième moitié, progressant ainsi de 56 % par rapport au S2 2004. Pour l'exercice 2006, le groupe table sur une croissance organique supérieure à 7 % et un résultat opérationnel courant dépassant 16 ME. A moyen terme, il entend dépasser le cap du milliard d'euros de chiffre d'affaires. (...)

(30/03/2006 12:26:00)

GFI revient dans le vert en 2005

GFI signe son retour aux bénéfices à l'occasion de la publication de ses résultats 2005. Le chiffre d'affaires s'élève à 543,8 ME, en croissance de 5,8 % sur l'année. Le résultat opérationnel courant fait un large bond en progressant de 31 % par rapport à 2004, à 29,7 ME. Enfin, parmi les principaux indicateurs, le résultat net se redresse : alors qu'il affichait une perte de 16,5 ME l'an passé, il s'aligne désormais à 11,2 ME. Ces résultats sont le résultat des "restructurations et des investissements menés ces dernières années", explique Jacques Tordjman, le PDG du groupe. GFI a su également profiter d'un marché des services informatiques en forte croissance et propice aux investissements. LA SSII a réalisé 63 % de ses revenus en France, où l'activité a progressé organiquement de 5,8 % en 2005. Pour son exercice 2006, GFI Informatique prévoit une croissance organique de son chiffre d'affaires d'au moins 6 % et une rentabilité en progression. Après avoir mis la main, en décembre 2005, sur Adelior et Actif, Jacques Tordjman indique qu'il souhaite poursuivre sa stratégie d'acquisitions et renforcer la présence de son groupe au Canada, au Maroc ou au Portugal. (...)

(29/03/2006 17:59:51)

Apple perd son CTO Avie Tevanian

Avadis ("Avie") Tevanian, le Chief Software Technology Officer d'Apple va quitter la firme après près de 10 ans à la tête de ses activités logicielles. Tevanian est l'un des pères du micro-noyau Mach, dont il a été l'un des principaux designers et ingénieur au sein de l'Université Carnegie Mellon. En 1988 il a rejoint NeXT pour participer au développement de NextStep et il a très rapidement pris du galon pour prendre en charge le développement de l'OS mais aussi le portage de son framework objet sur les systèmes d'exploitation d'HP (HP-UX), de Sun (Solaris) et de Microsoft (Windows NT). En charge de l'ingénierie chez NeXT, Tevanian a pris la tête du développement logiciel d'Apple en 1997, lorsque la firme à la pomme a absorbé NeXT pour développer ce qui allait devenir Mac OS X. Tevanian avait déjà pris du recul il y a deux ans en laissant son poste d'ingénieur en chef de Mac OS X à un français Bertrand Serlet, aujourd'hui en charge de l'ingénierie logicielle de la firme à la pomme. Serlet a participé à l'intégralité de l'aventure Mac OS X depuis la première mouture expérimentale de Rhapsody. Ce fidèle de Steve Jobs est également un ancien de Next, qu'il a rejoint en 1989. Il pourrait prendre la place de Tevanian après son départ, le 31 mars prochain. (...)

(24/03/2006 17:44:07)

Les dépenses IT attendues en hausse de 6,3 % dans le monde cette année

Conduites par les achats de logiciels, les dépenses IT mondiales devraient augmenter de 6,3 % en 2006 selon IDC. Une croissance qui devrait se révéler inférieure à celle constatée en 2005. Les dépenses IT en 2005 ont atteint 1000 Md$ dans le monde et devraient augmenter d'environ 100 Md$ cette année, explique le cabinet de conseil. La progression de 9 % des achats de matériel a grandement contribué à la croissance des dépenses en 2005, un phénomène qui ne devrait pas se reproduire cette année. Cependant, les dépenses en logiciels sont attendues en hausse de 7%, le matériel et les services progressant pour leur part de 6 %. Dans l'ensemble, "c'est un peu mieux que pour les autres secteur industriels", indique Stephen Minton, vice-président d'IDC. Aux Etats-Unis, la croissance devrait atteindre 5,8 %, soit légèrement moins que les 6,4 % de 2005. Elle sera conduite par les équipements réseau, les services externalisés et les infrastructures logicielles. Elle atteindra 6 % en Europe de l'Ouest et 9 % dans la zone Asie-Pacifique grâce aux 14 % de progression censés profiter à la Chine et aux 21 % devant être observés en Inde. (...)

(23/03/2006 18:20:25)

Osiatis : retour aux bénéfices en 2005

Un peu plus d'un an après sa fusion avec Groupe Focal, la SSII Osiatis publie des résultats 2005 supérieurs aux prévisions et qui illustrent son regain de forme. Le chiffre d'affaires pro format atteint 200,2 ME et progresse de 3 %. Le résultat opérationnel pro format supporte une charge de 3,3 ME liée au rapprochement avec Groupe Focal et s'aligne à 3,9 ME, soit une augmentation spectaculaire de 223 %. A la faveur d'un taux d'activité en hausse et d'une rationalisation des coûts de structure, le résultat opérationnel courant dépasse les prévisions données plut tôt dans l'année et s'élève à 7,5 ME, progressant ainsi de 41 %. Enfin, le résultat net pro format - 2,2 ME - redevient positif après la perte de 1,5 ME enregistrée en 2004. Le groupe se félicite d'avoir pu, grâce à sa nouvelle dimension, accroître "son référencement auprès des grands comptes et sa capacité à être sélectionné sur des projets d'envergure". Pour 2006, il mise sur l'amélioration de son résultat et n'exclut pas des opérations de croissance externe ciblées. (...)

(22/03/2006 12:41:57)

Teamlog retrouve la voie des bénéfices en 2005

Teamlog illustre le regain de forme affiché par la majorité des acteurs français du secteur IT en renouant avec les bénéfices en 2005. Le chiffre d'affaires atteint 112,5 M€ et progresse de 4,8 % sur l'année. A périmètre comparable, l'activité s'élève croît de 7,9 % par rapport aux 107,3 M€ de revenus réalisés en 2004. Une activité qui se porte mieux à la fois en France, le premier marché du groupe, et à l'étranger, où sont réalisés 11 % des revenus. Un tiers du chiffre d'affaires est réalisé dans les secteurs de l'industrie et de l'énergie, 19 % dans la finance, 18 % dans les télécoms, 18 % dans les services et les transports et 18 % dans les services publics. Vincent Tempelaere, directeur financier du groupe, souligne la progression de quatre points de la part des revenus liés aux télécoms. Il insiste également sur "la croissance substantielle des effectifs, qui ont augmenté de plus de 10 %". Plus globalement, il met en avant le fait que les résultats 2005 "sont nettement meilleurs que ce à quoi s'attendait le marché". Teamlog, dans un communiqué, met en avant les fruits des "efforts de rationalisation des structures du groupe et de redynamisation commerciale" constitués d'une augmentation de capital, d'émission d'obligations et d'injonction de liquidités. Des efforts qui permettent à la SSII d'afficher un résultat opérationnel courant positif de 5,4 M€ pour l'exercice 2005, contre une perte de 11,4 M€ l'année précédente. Au final, le résultat net réalise un retournement spectaculaire passant d'une perte de 20,9 M€ à un solde positif de 18,6 M€. Pour Vincent Tempelaere "la situation est totalement assainie ; notre nouveau modèle économique et la stabilisation des prix de ventes nous ont permis de retrouver une croissance organique soutenue. Nous n'avons, en outre, plus de dette bancaire et retrouvons un excellent niveau de fonds propres". Forte de ces signes de redressement et du bon niveau d'activité observé sur les deux premiers mois de 2006 - il progresse de 2,6 points, à 90 % - la SSII prévoit une poursuite de la croissance de ses revenus ainsi qu'une progression de son niveau de rentabilité. L'objectif étant d'atteindre un résultat opérationnel courant de 8 % en 2007. Si la croissance est un impératif, elle ne passera pas par des acquisitions. Du moins pas en 2006 : "ce n'est pas à l'ordre du jour pour cette année, explique Vincent Tempelaere, l'accent sera plutôt placé sur la consolidation des résultats. A moyen terme cependant, nous ambitionnons de devenir la cinquième SSII française. Cela passera par des opérations de croissance externe. En attendant, nous continuerons de consolider nos bases". Enfin, le différend ayant opposé Robert Morin le fondateur de Teamlog, et les dirigeants de Groupe Open semble appartenir définitivement au passé. Après avoir frôlé la révocation de ses fonctions de président du directoire, Robert Morin a finalement trouvé un accord avec Groupe Open. Ce 20 mars, le conseil de surveillance a nommé son remplaçant : c'est désormais Frédéric Sebag, également président de Groupe Open, qui présidera le directoire. (...)

(20/03/2006 18:02:46)

Deltek acquiert Welcom

Deltek, entreprise américaine spécialisée dans l'offre logicielle pour entreprises, annonce l'acquisition de son compatriote Welcom. Cette SSII est connue pour son offre EVM (Earned Value Management) et PPM (Project Portfolio Management). Welcom compte à son actif 3000 clients dont plus de 250 entreprises parmi les Fortune 1000. Ce portefeuille viendra s'ajouter aux 11 000 clients de Deltek. Ce dernier voit également dans cette acquisition un renforcement de sa présence en Europe, en Asie et en Australie. Les produits phare de Welcom, à savoir Cobra et Open Plan continueront à être distribués via Deltek. Les termes financiers de l'accord n'ont pas été divulgués. (...)

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