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(14/02/2006 00:00:00)

Premier emploi : Proservia propose des jeunes diplômés sur-mesure à ses clients

Les entreprises se montrent frileuses vis à vis des informaticiens débutants alors qu'elles se plaignent de ne pas trouver de compétences ? Attachée à la recherche du mouton à cinq pattes, elles ne font pas assez confiance à la personnalité et la motivation d'un jeune? La SSII nantaise Proservia met en place une prestation destinée à déjouer cette tendance en adaptant gratuitement le profil des jeunes diplômés aux besoins de ses clients. Cette offre est baptisée « contrat première chance ». Elle est mise en oeuvre dans le cadre de prestations de services proposées en assistance technique, pour des jeunes à la recherche d'une première expérience professionnelle. Concrètement, lorsqu'une entreprise fait appel à Proservia pour un besoin de compétences, la SSII lui demande de participer à la sélection du candidat. A l'issue de cette démarche, le candidat -embauché en CDI par Proservia- est formé par la SSII selon un cursus (d'une quinzaine de jours en moyenne) défini avec le client en fonction de ses besoins. Cette formation est gratuite pour le client. Elle est suivie d'une période de formation pratique au sein de son équipe, qui lui est également non facturée. Elle fait office de période d'essai pour le jeune technicien. A l'issue de cette phase d'intégration, le client bénéficie d'un tarif préférentiel, pendant les trois premiers mois de la prestation, l'informaticien continuant à se former. Le coût de la prestation évolue ensuite en fonction du niveau d'expertise et de responsabilités que prend le collaborateur chez le client. . L'informaticien touche de son côté un salaire inférieur aux 1400 à 1500 euros brut que Proservia propose aux débutants de niveau bac + 2, pendant trois mois. Il retrouve ensuite un salaire plus élevé et voit sa rémunération évoluer en fonction de sa mission et du plan de progression défini avec la SSII, dans le cadre d'un PCP (plan de carrière prédéfini, il s'agit d'un cursus de formations réparties sur trois ans, NDLR). Cette initiative permet à Proservia de se différencier de ses concurrents. Certains peuvent y voir une embauche au rabais, mais cette situation est temporaire. Elle offre de plus une position stable aux informaticiens concernés et incite enfin les sociétés à s'ouvrir à des profils jeunes et moins normés. Vingt-cinq informaticiens de niveau bac + 2 ou sortis d'une formation professionnelle de type Afpa en ont pour l'heure profité. Proservia a placé dix-huit personnes à la Macif de cette façon. Ce client avait notamment besoin de compétences sur Mainframe, qu'il avait du mal à trouver. La SSII lui a proposé des jeunes informaticiens qu'ils ont recruté ensemble et qu'elle a formé au mainframe. Forte de cette expérience, elle s'apprête maintenant à lancer cette offre, d'abord mise en ?uvre dans la région Ouest auprès de ses clients parisiens. (...)

(13/02/2006 00:00:00)

Recrutement : SII organise douze rencontres Apec au mois de mars

Du 6 au 17 mars prochain, la SSII SII invitent les ingénieurs à rencontrer ses équipes de recrutement dans douze agences Apec en France. Ils vont être contactés par un courrier qui leur exposera le principe de la rencontre et leur proposera de s'inscrire via un numéro vert. Ils seront alors en contact avec un interlocuteur Apec qui leur fixera un rendez-vous à l'issue d'une série de questions de présélection. Les candidats seront reçus pendant une sessions d'environ deux heures au cours desquelles ils auront une présentation de la société puis un entretien individuel avec l'un des membres de Sii. Cette rencontre sera assez rapide, puisque la SSII attend environ 15 à 20 personnes par session. Elle permettra toutefois d'avoir d'un contact humain avec cet employeur potentiel. . Cette initiative s'inscrit pour SII dans une vaste campagne de recrutement dont l'objectif est d'embaucher 700 personnes en 2006, essentiellement des ingénieurs de niveau Bac+5. (...)

(13/02/2006 00:00:00)

Recrutement : 20 postes à Orléans chez Steria

Le groupe Steria (CA :1,1 milliard d'euros, 9000 collaborateurs) ouvre une agence dans la région Centre, qui sera basée à Orléans. Elle prévoit de recruter une vingtaine d'informaticiens de Bac+2 à Bac+5 en CDI d'ici à la fin 2006 pour soutenir son développement et aurait déjà noué des contacts avec l'école Polytechnique de l'Université d'Orléans, dans cette optique. Cette agence, dirigée par Sébastien Benoit-Latour, constitue la quatorzième implantation française de Steria. Au début de l'année, la SSII a ouvert une antenne à Grenoble. Elle a aussi monté un grand centre de Tierce Maintenance Applicative (TMA) à Nantes au mois de septembre dernier. (...)

(10/02/2006 00:00:00)

Gestion de carrières : SQLI rend plus lisible ses processus

La SSII SQLI a déployé en 2005 le système qualité People CMM (niveau 2), qui est le pendant pour la gestion des ressources humaines du modèle de maîtrise des processus de développement, CMM-I, produit par la même société SEI (software engineering institute). Cette initiative vise à se doter d'un cadre pour garantir un suivi rigoureux des hommes et l'homogénéité des processus RH au sein de sa structure décentralisée (Sqli compte dix représentations régionales). Elle donne aussi à ses collaborateurs davantage de leviers pour gérer leur parcours et leurs envies professionnelles. Pour répondre aux exigences de People CMM, la SSII a par exemple mis en place un référentiel de postes pour chacune de ses filières (ingénierie, conseil, studio, commercial, personnel support et encadrement). Cet outil décrit chaque poste avec plusieurs échelons (parfois de 1 à 6) qui correspondent à différents niveaux d'expertise sur la fonction. Il détaille aussi les compétences (pour la branche ingénierie, productivité, qualité, fiabilité, technicité, gestion de projet, relation client, gestion d'équipes, polyvalence) à acquérir pour chaque échelon, en leur associant des métriques destinés à évaluer avec le plus d'objectivité possible le niveau de compétence du collaborateur sur une échelle de 1 à 6. On ne peut pas, par exemple, prétendre à un niveau 6 en gestion de projets si l'on pas réussi des projets d'une certaine taille. La polyvalence se traduit de son côté par une capacité à maîtriser x nombre de technologies. Cet outil donne au collaborateur une vision assez claire des compétences à développer pour progresser au sein d'un même poste ou vers un autre poste. Ses attentes sont par ailleurs débattues lors des entretiens annuels pour lesquels le salarié est tenu de procéder à une autoévaluation. Il doit réfléchir sur la base des objectifs mesurables qui lui ont été fixés antérieurement, mais aussi faire des propositions pour ses futurs objectifs, ce qui l'engage à se pencher sur ses axes de progression. Il partage ensuite cette réflexion avec son manager qui a lui même procédé à l'évaluation du collaborateur. Cet échange est l'occasion de faire le point sur les performances, de clarifier la situation de ce dernier sur son poste (notamment grâce à des outils qui permettent de le visualiser) et de définir un plan de formation individuel pour atteindre les objectifs fixés. Suite à ces procédures, l'avantage du modèle qualité - par ailleurs très structurant- est qu'il doit permettre de s'assurer que les actions prévues sont respectées grâce à des indicateurs de contrôle et de suivi. La SSII s'attache, avec ces outils, à suivre le bon déroulement des entretiens dans chacune de ses agences et l'application du plan de formation. Elle définit aussi des objectifs et des étapes à respecter pour les plans individuels, ainsi que des responsables de suivi et d'évaluation de l'efficacité des cursus pédagogiques. Grâce à ces mesures, l'ensemble de ses collaborateurs devrait gagner en maturité sur la gestion de de carrière. Avec l'autoévaluation, ils devront par exemple avoir une réflexion globale sur leurs parcours et ne plus se limiter à des préoccupations salariales, estime la SSII. De leur côté, les managers sont aussi tenus de s'impliquer davantage dans le suivi de leurs équipes, en tout cas ceux qui ne le faisaient pas assez auparavant. Dans cette optique, ils ont déjà tous eu des objectifs à tenir pour participer au déploiement de People CMM. (...)

(09/02/2006 17:24:14)

Devoteam : les revenus progressent de 32 % en 2005

Devoteam a présenté la première mouture de ses résultats 2005 - non audités. Le groupe a dépassé l'objectif d'une croissance de 20 % du chiffre d'affaires qu'il s'était fixé au début de l'exercice. Sur l'ensemble de l'exercice, le CA s'élève à 199 ME, soit 32 % de plus qu'en 2004. A périmètre constant la croissance reste forte, à 22 %. Le résultat opérationnel bondit encore plus largement : de 7,6 ME l'an passé - soit 5,1 % du CA - il atteint 14 ME en 2005 (7 % du CA) et gagne ainsi 84 %. Le résultat opérationnel a progressé d'un trimestre à l'autre tout au long de l'année notamment grâce au dynamisme des activités aux Pays-Bas et à l'amélioration des marges du pôle Solutions en France. Devoteam a recruté 250 nouveaux salariés en 2005, portant le total de ses effectifs à 2100. Ce chiffre inclut les employés du norvégien daVinci, acquis il y a quelques semaines. Outre daVinci, 2005 aura marqué pour Devoteam la reprise des opérations de croissance externe, plus particulièrement à l'étranger. On pense ainsi au hollandais TopFicie ou aux filiales créées en Arabie Saoudite et en République Tchèque. Les comptes audités seront publiés le 14 mars 2005. (...)

(24/02/2006 16:43:23)

Unisys reprend la maintenance matérielle de Capgemini

Capgemini et Unisys annoncent, dans un communiqué cosigné, la reprise par le second de l'activité française de maintenance matérielle du premier. Dans ce cadre, 143 salariés de Capgemini rejoindront les équipes d'Unisys, portant ainsi le total des effectifs de la branche maintenance matérielle à 450. En parallèle à cette reprise, les deux groupes ont signé un partenariat dans le domaine de la maintenance des infrastructures informatiques. Concrètement, Unisys fournira des services de support et de maintenance pour les clients de son partenaire mais aussi dans le cadre des contrats d'externalisation et d'intégration de systèmes de Capgemini. (...)

(03/02/2006 00:00:00)

Relations SSII / Ecoles : Atos Origin crée une chaire d'enseignement à l'école HEC

Atos Origin crée une chaire d'enseignement à l'école HEC. Le président de la SSII, Bernard Bourigeaud, fait le point sur cette initiative. Elle va permettre d'enseigner l'art de réussir une opération de fusion et accroître la visibilité des métier du service informatique. Lemondeinformatique.fr : Quel est le projet pédagogique de la Chaire créé avec HEC ? Bernard Bourigeaud : Le nom de la chaire, "Stratégies de croissance et management de l'intégration", résume ce projet. Il reflète l'histoire d'Atos Origin. Lorsque j'ai pris les rênes de la société en 1991, celle-ci réalisait 300 millions de chiffre d'affaires et avait une capitalisation boursière de 70 M€. Aujourd'hui, cette dernière atteint 4 Md€, notre chiffre d'affaires 5 Md€, et notre effectif, 46 000 personnes. Cette progression est essentiellement le fruit d'opérations de croissance externe réussies, parmi lesquelles on peut citer entre autres, celles effectuées avec Sema Group (2003), KPMG aux Pays-bas et au Royaume-Uni (2002) ou Origin (2000), etc. Nous avons une grande expérience dans le management et la création de valeur autour des opérations de fusions et souhaitons la transmettre à travers cette chaire d'enseignement. Cette dernière est placée sous la responsabilité de Bernard Garette, professeur associé à HEC au département Stratégie et Politique d'entreprise. Son équipe va établir un programme de recherche et d'enseignement, en collaboration avec Atos Origin, sur la base d'études de cas, avec un sous-thème sur "les joint-venture et les stratégies d'alliance". Dans le déroulement du programme, les professionnels d'Atos Origin interviendront en particulier au moment de la résolution des cas. Ces travaux donneront sans doute lieu à des publications. Combien vous coûte cette initiative ? Pourquoi avoir choisi HEC, plutôt qu'une école d'ingénieur ou le financement d'un programme de recherche public ? B.B.: Ce programme, qui se déroule sur 5 ans, nous coûte quelques centaines de milliers d'euros. Nous n'excluons pas d'en mener de similaires avec des écoles d'ingénieurs dans l'avenir. Mais nous avons déjà des partenariats de même nature avec ce type d'établissement au Royaume-Uni et aux Pays-Bas. Nous avons donc trouvé opportun d'en nouer un avec une école d'affaires en complément. Un établissement tel qu'HEC nous offre par ailleurs un cadre international qui correspond bien à l'envergure d'AtosOrigin, qui réalise 75% de son développement en dehors de France. Ce partenariat accroît notre visibilité et peut favoriser la venue chez nous d'étudiants et de recrues de différentes nationalités. Cet engagement nous permet par ailleurs de rester proches des préoccupations des jeunes, - la classe d'âge des étudiants étant de 18 à 35 ans environ - qui sont très présents chez Atos. La moyenne d'âge de nos collaborateurs est en effet de 34 ans. Le fait d'avoir l'opportunité d'enseigner pour des managers est enfin, à mon sens, très enrichissant. Quel est l'impact de cette initiative pour le développement des compétences futures pour Atos Origin et plus généralement pour votre branche professionnelle ? B.B. : Il est d'abord constructif d'apporter aux étudiants un éclairage pratique et l'expérience de professionnels, en complément de l'enseignement théorique. Par ailleurs, cette initiative marque notre souhait de nous doter de compétences en "management des affaires". Nos sociétés sont en effet bien davantage que des structures centrées sur la fourniture de technologie et ont besoin de profils en conséquence. Au sein d'Atos Origin, par exemple, les postes de responsables des grands comptes internationaux exigent des compétences de direction générale. Plus globalement, ce type d'initiative contribue à accroître la visibilité de nos métiers du service informatique, ce qui est nécessaire. Ce dernier est en effet est assez mal connu en France alors qu'il constitue un environnement dynamique et de grande qualité avec 80% de personnes ayant un niveau d'éducation élevé (Bac +5), une population présentant des bonnes capacités en langues étrangères et des profils assez jeunes et ouverts aux changements. Nous menons d'ailleurs un gros travail avec la fédération Syntec pour faire connaître les carrières dans notre secteur. (...)

(01/02/2006 17:05:39)

Atos Origin en ligne avec ses prévisions en 2005

Atos Origin vient de présenter ses pré-résultats pour son exercice 2005. On peut déjà dégager une tendance pour l'année écoulée : les revenus respectent les prévisions du groupe et dépassent légèrement celles des analystes. Avec un chiffre d'affaires de 5,46 MdE, Atos Origin réalise une croissance organique de 8 %, "soit légèrement mieux" que ses dernières estimations. Ce résultat font même légèrement mieux que les prévisions des analystes qui tablaient sur un CA de 5,44 MdE. Principale contributrice à ces revenus, la division Infogérance réalise à elle seule 2,76 MdE sur l'année, et progresse organiquement de 6,8 %. Atos Origin déplore une baisse de la croissance de cette activité après le premier trimestre, en raison notamment de l'arrêt d'un contrat annuel non renouvelable portant sur un centre d'appel au Royaume-Uni. La division Intégration de systèmes s'est montrée particulièrement en forme en 2005, affichant une croissance de 8,7 % pour un CA de 2,25 MdE. Atos se réjouit que cette progression est surtout portée par une augmentation des volumes et pas des prix. Enfin, l'activité Conseil bondit de 12,8 %, à 449 ME. Une performance montrant "que le groupe retire pleinement avantage de l'acquisition de KPMG Consulting. L'augmentation de la demande sur le segment du Conseil est un réel indicateur de la reprise du marché", précise Atos Origin. Par ailleurs, le groupe précise qu'il a atteint son objectif d'endettement net à 200 ME. Les résultats définitifs seront publiés le 8 mars. (...)

(01/02/2006 17:04:43)

Ministère de l'économie: contrat record dans les logiciels libres

Le ministère de l'économie et des finances, qui avait lancé un appel d'offre portant sur un projet d'industrialisation de logiciels libres, vient de signer un contrat avec un groupement rassemblant Capgemini, Linagora et Bull. Il s'agit du plus important contrat dans le domaine de l'open source signé en 2005 dans le monde. D'une durée de trois ans, sa valeur sera comprise dans une fourchette de 15 à 40 ME. Deux tranches composent ce contrat : la première, ferme, porte sur la maintenance et la veille technologique et s'articule autour de l'offre TM2L (tierce maintenance appliquée aux logiciels libres) de Linagora ; l'autre tranche, à bons de commande, concerne l'expertise et les prestations de migration, de monitorat et de maintenance évolutive. Chacun des trois groupes apportera ses compétences propres : Capgemini s'appuiera sur son expérience de pilotage de grands programmes et s'occupera de l'implémentation et de l'intégration des logiciels libres ; Linagora contribuera au projet via sa méthodologie TML2 garantissant la correction des éventuelles anomalies et l'évolution de la solution ; Bull créera des composants open source sur ses plates-formes matérielles, proposera une offre de services de développement, de qualification et de support de piles logicielles et développera les composants existants. (...)

(30/01/2006 00:00:00)

Recrutement : Softeam attire les candidats dans ses locaux

La SSII Softeam ouvre ses portes à des recrues potentielles, le 1er février de 16h à 21 heures, dans les locaux de son siège social parisien (information en ligne). Elle leur promet des conférences, des démonstrations, des échanges avec ses équipes... et un jeu pour gagner des places pour des événements sportifs. Cet événement s'inscrit dans une campagne de recrutement qui vise à pourvoir 80 postes, avec des ingénieurs débutants et expérimentés qui évoluent dans des domaines techniques et métier, dans l'assistance à maîtrise d'ouvrage, le conseil, la conception et les études. Sont par exemple ouverts, des postes d'architecte J2EE, d'ingénieur concepteur J2EE, d'ingénieur concepteurs salle de marché et de consultant Senior en finance. (...)

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