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SSII
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(27/01/2006 00:00:00)
Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience
C'est dans une ambiance plutôt calme et bon enfant que les jeunes diplômés, arborant l'inévitable costume cravate et munis d'une pile de CV, ont rencontré les recruteurs sur le salon Jeudis.com. Quelques files d'attente se détachaient ça et là devant les stands des exposants, mais sans que cela ne soit systématique. Certains ont décroché des entretiens, comme Sylvain, un diplômé de l'Esigelec. Ce dernier souhaitait travailler dans le domaine du développement java et .net. Il a fait valoir le stage de six mois qu'il a effectué sur un projet de développement logiciel pour Pocket PC avec le très prisé langage de environnement .NET, C# et a obtenu trois rendez-vous dans des SSII. D'autres, toutefois ont eu moins de chances, tel ce jeune ingénieur en temps réel et informatique embarqué de 23 ans, sorti de l'INSIA. Il a rencontré une dizaine de sociétés auxquelles il a laissé son CV, mais dressait un bilan mitigé de ses brèves rencontres. "Ils cherchent des gens qui savent tout faire et qui ont déjà de l'expérience", concluait-il à la fin de la matinée. Globalement, les exposants interrogés dans les allées du salon confirment effectivement leur intérêt prioritaire pour les profils ayant au minimum un an d'expérience, même si ils souhaitaient également rencontrer des jeunes diplômés. Valtech, la société de conseil en management et technologies, expliquait par exemple qu'il propose entre 5 à 13 postes qui peuvent être pourvus par des jeunes diplômés sur 40 à 60 embauches prévues cette année. Chez Microsoft, la proportion est comparable. L'éditeur cherche 20% de Jeunes Diplômés pour sa division "Services" cette année, contre 40% de personnes ayant de 2 à 5 ans d'expérience et 40% de plus expérimentés. Les chiffres des offres d'emploi publiées sur les jeudi.com confirment par ailleurs cette tendance. « 17 % des offres publiées en 2006 sur notre site web s'adressent à des ingénieurs ayant moins de deux ans d'expérience, 64% à des candidats de 2 à 5 ans d'expérience », expliquait Cédric Barbier, directeur associé des Jeudis.com. En attendant de profiter davantage de la reprise du marché (LIEN vers article suivant), les candidats ont toutefois saisi des conseils pour leur recherche d'emploi. Sylvain s'est félicité d'avoir progressé sur la connaissance du fonctionnement interne des SSII. "J'ai appris qu'un ingénieur débutant pouvait se positionner sur les projets menés en interne, dans les centre de services des SSII, plutôt que sur les missions menées chez les clients où ils ont une obligation de moyens". D'autres ont admis que les entretiens, si brefs qu'ils aient été parfois, leur ont permis de tester leur profil et l'exposé de leur projet, ce qui n'est parfois pas du luxe. Plusieurs recruteurs regrettent en effet le fait que certains jeunes ne sachent pas mettre an avant leurs points forts et expliquer ce qu'ils cherchent. Frédéric Queva, responsable RH pour la division Services De Microsoft, insiste sur ce point. « Nos managers ont reçu quelques candidats qui ont tendu leur CV sans dire ce qui les intéressaient chez Microsoft. Ce manque de précision peut les desservir». Et de poursuivre. « Aujourd'hui, nous avons pu mettre en évidence avec l'un des candidats, ayant fait un stage dans la grande distribution, qu'il exerçait des fonctions de conseil interne et qu'il pouvait être intéressé par un travail de consulting, alors qu'il n'en avait pas conscience au début. Mais nous n'avons pas toujours le temps d'approfondir le dialogue". Tous les articles à propos du salon : Recrutement : Une embellie confirmée et modérée sur le salon Les Jeudis Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience Recrutement : Une tendance au jeunisme ? positive mais inquiétante (...)
(27/02/2006 12:27:21)Le Syntec minimise les risques de l'Offshore pour la France
Selon Syntec Informatique, le syndicat patronal des SSII françaises, les risques que fait peser l'Offshore sur l'emploi du secteur en France sont faibles. Pour Jean-François Rambicur, le Président de la commission Économie et Marchés de la chambre professionnelle des SSII, l'Offshore a représenté moins de 2% du chiffre d'affaires des SSII en 2005 (NDLR : hors centres d'appels et BPO, deux des secteurs très concernés par l'Offshore). A ce jour moins de 5000 informaticiens étrangers travailleraient offshore pour des clients français, principalement dans des pays européens proches. Leur nombre devrait toutefois progresser dans les années à venir selon Syntec, qui estime que 4 à 6 % du marché sera réalisé avec l'Offshore d'ici 2009. Dans la pratique, cela veut tout de même dire que l'Offshore progressera 7 à 8 fois plus vites que le marché français des services informatiques au cours des 4 prochaines années. La chambre syndicale cite notamment trois grands facteurs à ce développement : l'accroissement de la concurrence des acteurs internationaux, notamment indiens, la recherche de réduction de coûts des grands comptes et la démographie, en particulier le Papy-boom. Cette croissance galopante ne semble pourtant pas inquiéter Syntec qui évalue à 15 % du marché la "limite théorique" de l'Offshore. Certaines tâches seraient en effet difficilement réalisables à distance, notamment pendant les phases de conception et d'analyse mais aussi pendant les phases de déploiement. Prudent le syndicat estime qu'il ne faut ni sous-estimer l'importance du phénomène Offshore ni le surévaluer. Dans la pratique, le développement de l'Offshore devrait avoir un impact sur l'emploi en France. Selon le Syntec, il n'y aura pas de réduction du nombre d'emplois dans le secteur (sans préciser si l'on se base sur l'emploi 2005 ou s'un l'emploi 2001) mais l'offshore pèsera sur la création d'emploi nouveau. une façon pudique de dire que le potentiel de création d'emploi des SSII en France devrait sérieusement être impacté par l'Offshore. Les métiers devraient aussi évoluer avec une plus forte concentration sur la valeur ajoutée et sur les activités d'études, de conception, d'architecture, de pilotage de projets. L'analyse du marché de l'offshore est aussi l'occasion pour Syntec de ressortir des tiroirs ses marottes habituelles, à savoir, par exemple, la demande d'une baisse des charges, l'accroissement de la Flexibilité des conditions d'emploi, la demande d'un plus grand soutien à la recherche et à l'innovation et l'adaptation de l'enseignement supérieur au besoins de l'industrie... tout un programme (...)
(26/01/2006 10:44:49)Témoignage : Districhrono externalise la gestion de son informatique
Maintenir son parc de machines, mettre à jour un logiciel, sauvegarder des données... Depuis un an, Districhrono n'a plus à se préoccuper de toutes ces questions. En effet, cette entreprise travaillant dans le secteur du transport a choisi en 2004 d'externaliser la gestion de son système d'information : serveurs, postes de travail, applications, sauvegardes et sécurité ont été confiés à Global SP, prestataire spécialisé dans les services d'infogérance. Auparavant, le bon fonctionnement de l'informatique reposait sur un seul collaborateur, chargé de l'ensemble des tâches d'administration et de maintenance. Conscient du rôle stratégique de l'informatique pour la société, le directeur général, Richard Rivaud, a souhaité « trouver une solution plus pérenne. » Après avoir étudié les offres d'externalisation, l'entreprise retient la solution de Global SP. En quelques semaines, applications et serveurs sont transférés chez le prestataire pour être hébergés dans son centre de données. Des technologies de client léger reposant sur Microsoft TSE et Metaframe de Citrix permettent aux utilisateurs d'accéder aux applications distantes depuis un terminal sans disque dur, connecté à un réseau. Les salariés de Districhrono utilisent des terminaux Wyse, les commerciaux travaillant également avec des équipements nomades. Une trentaine de postes de travail ont ainsi été remplacés. En dehors de ces terminaux, seules quelques imprimantes subsistent dans les locaux de l'entreprise, ainsi qu'un routeur pour gérer les connexions entre Districhrono et le site du prestataire. La PME a profité de cette externalisation pour se doter d'un accès à Internet et d'une messagerie externe sous Microsoft Exchange : auparavant, ces options étaient évitées à cause des nombreux paramètres de sécurité à prendre en compte. Avec des outils de travail accessibles à distance, les collaborateurs ont pu introduire plus de souplesse dans la gestion de leur emploi du temps, certains d'entre eux optant même pour le télétravail. La directrice administrative et financière a gagné ainsi près de trois heures de transport par jour. Grâce à une formation financée par l'entreprise, l'ancien responsable de l'informatique s'est reconverti, devenant contrôleur de gestion de Districhrono. Enfin, l'entreprise bénéficie désormais de services informatiques équivalents à ceux fournis par une équipe de quinze personnes, pour un coût proche du salaire d'un informaticien à temps plein. L'entreprise en bref Activité : transport de marchandises par route et par rail. Effectif : 60 salariés. Chiffre d'affaires : 18 millions d'euros. (...)
(26/01/2006 10:42:37)Enquête BNP Paribas Lease Goup : Les PME ont investi en 2005 et utilisent de plus en plus Internet
En 2005, les PME et les PMI françaises ont continué à investir dans les technologies de l'information, en particulier pour moderniser leur parcs d'ordinateurs. Tel est l'un des principaux enseignements de l'enquête de conjoncture annuelle « Technologies de l'information et de la communication 2005-2006 » réalisée par BNP Paribas Lease Group (*). L'année dernière, l'investissement global a été dynamique, et l'informatique en a profité, puisque sa part est resté stable (28%). Deux PME sur trois ont acheté des ordinateurs en 2005, avec une moyenne de 3,6 machines contre 2,2 seulement en 2004. Plus du tiers du parc a ainsi été renouvelé, avec une prime aux micro-ordinateurs portables, qui représentent un peu plus d'un achat sur deux. Dans le domaine de la téléphonie, les PME ont fait jouer la concurrence entre les opérateurs (60% des PME de plus de 20 salariés) pour faire baisser leur facture. Prochaine étape, l'adoption de la voix sur IP : 19% des PME comptent renouveler cette année leur matériel téléphonique, et presque un tiers de ces dernières envisagent une solution de voix sur IP. Les PME sont désormais presque toutes connectées à Internet (93%), et très majoritairement avec une liaison à haut débit. Et elles y prennent goût, puisque 44% de leurs dirigeants déclarent avoir l'intention de faire évoluer leur connexion pour bénéficier d'un plus haut débit. Cette volonté est la marque d'un usage de plus en plus étendu de l'Internet. Le courrier électronique est passé dans les moeurs de toutes les PME ou presque (97%, contre 84% l'an dernier), tout comme la consultation et les opérations bancaires (86%, contre 72% l'an dernier). Plus remarquable, 92% des PME utilisent Internet pour réaliser des échanges avec leurs clients et leurs fournisseurs, dont 57% quotidiennement. En 2004, elles n'étaient que 67%. On soulignera enfin que 44% des PME travaillent en équipe sur Internet. Un chiffre non négligeable pour une pratique qui exige une évolution technologique mais également dans la façon de travailler. En revanche, la proportion de PME disposant d'un site Web stagne à 52%. Dernier point, les problèmes informatiques : ils sont mieux résolus en interne. En cas de panne, 46% des PME font appel à un collaborateur compétent dans l'entreprise, 44% à un prestataire de service et 38% au fournisseur du matériel ou du logiciel (plusieurs réponses étaient possible). Quant aux centres d'assistance téléphonique, ils sont boudés, puisque 12% seulement des PME y ont recours. (*) Enquête réalisée auprès de 97 000 PME-PMI européennes de 6 à 200 salariés. Les résultats présentés sont obtenus à partir des 5 000 premières réponses. (...)
(23/01/2006 00:00:00)Alliances autour de chaires de management... d'avant-garde
HEC et Atos Origin inaugurent une chaire "Stratégies de croissance et management de l'intégration", tandis que Syntec Conseil en Management (1250 entreprises) s'associe au groupe ESC Toulouse pour lancer, courant 2006, un nouveau Master en management (MBA) mettant l'accent sur le développement de l'activité de conseil dans une dimension internationale. Avec la nouvelle chaire, dirigée par Bernard Garette, l'alliance HEC-Atos Origin se propose de couvrir des travaux de recherche, un programme d'enseignement spécialisé et des occasions d'échanges et de réflexion entre entreprises et avec le milieu académique (ouverts au débat public) sur les problèmes spécifiques aux stratégies de croissance. Le programme du nouveau MBA en préparation à l'ESC Toulouse, avec Syntec Management, est proposé aux jeunes et confirmés avec une dimension internationale. Il vise à développer chez ses participants des attitudes et comportements adaptés aux spécificités de la relation conseil-client et à la conduite d'une mission de conseil, à construire un savoir-faire opérationnel en cette matière, méthodes et outils à l'appui, jusqu'à éventuellement les préparer à la création d'un cabinet de conseil ou au lancement d'activités nouvelles dans des cabinets existants. Deux sessions de présentation de ce cursus sont organisées à Paris (le 3 février) et à Toulouse (le 15 février), avec, notamment une table-ronde sur le thème -pertinent!- de "la gestion des ressources humaines dans le secteur du conseil". A quand un MBA alternatif? "Bientôt", selon Novethic.fr, et précisément à HEC. Le projet d'une majeure "Management Alter" proposée aux étudiants en quatrième année en orientation finale est porté par un groupe d'enseignants-chercheurs autour de Eve Chiapello. Et ce, en réponse à une attente, face aux défis sociaux, environnements et éthiques, implicite ou clairement manifestée par des "esprits critiques et avant-gardistes". Au menu, une transformation des pratiques managériales, passant par des pratiques pédagogiques revisitant le rapport entre étudiants et avec les enseignants et intervenants, un travail sur des scenarii de prospective à dix ou vingt ans, un travail sur le savoir-être, une expertise qui "pourrait irriguer d'autres enseignements de HEC", explique Eve Chiapello, citée par Sylvie Touboul sur Novethic.fr. (...)
(18/01/2006 17:51:13)Modeste progression du chiffre d'affaires de LogicaCMG
LogicaCMG vient d'indiquer que son chiffre d'affaires a enregistré une progression organique de 5 % sur l'année calendaire 2005, par rapport à l'année précédente. Sans fournir de chiffres détaillés, qu'elle réserve pour l'annonce de ses résultats préliminaires le 1er mars prochain, la SSII fait état de confortables liquidités au second semestre. Dans le domaine des services, LogicaCMG souligne ses bonnes performances au Royaume-Uni et aux Pays-Bas, mais aussi en France. Dans l'hexagone, la SSII semble particulièrement satisfaite de son rapprochement avec Unilog et de ses premières retombées. LogicaCMG reconnaît néanmoins des difficultés sur le marché allemand, tout en précisant que son chiffre d'affaires local est resté stable au second semestre par rapport au premier. LogicaCMG a fait l'acquisition de 32,3 % d'Unilog fin octobre dernier. Le rachat s'est achevé le 13 janvier. LogicaCMG détient désormais 96,6 % du capital d'Unilog. (...)
(18/01/2006 18:06:33)Les outils numériques s'exposent au salon des entrepreneurs
Du 1er au 3 février 2006, le salon des entrepreneurs accueille petites et moyennes entreprises au Palais des Congrès, porte Maillot à Paris. Comme l'année précédente, un espace entier, l'Econumérique Expo, est consacré aux technologies de l'information. Près d'une trentaine de conférences et d'ateliers techniques sont proposés aux visiteurs. Parmi les thèmes abordés, le commerce en ligne, la mobilité ou encore les téléservices administratifs proposés aux entreprises. L'exposition accueille par ailleurs 35 exposants, éditeurs, sociétés de services ou fournisseurs de matériel informatique. (...)
(17/01/2006 17:52:38)Annulation d'un contrat de 500 M£ pour Fujitsu Services en GB
Après un an de pourparlers sur un projet informatique communal, Fujitsu Services vient d'être remercié par les autorités locales. En décembre 2004, la ville de Walsall s'est lancée dans un projet informatique de grande envergure afin d'offrir aux habitants divers services - bibliothèque, informations et nouvelles infrastructures technologiques. Le contrat portait sur un montant proche des 500 M£. Afin de mieux gérer les divers travaux, une co-entreprise avait été décidée. Tout à coup, la ville fait marche arrière et annonce à Fujitsu Services qu'elle se passera de la SSII. Les raisons de ce soudain revirement restent floues. Selon Fujitsu, la ville n'aurait pas obtenu les crédits qu'elle attendait. Après cette expérience l'entreprise avoue que travailler avec l'administration locale britannique relève du parcours du combattant car la bureaucratie pèse de tout son poids. Selon ses dires, il serait bien plus simple de traiter avec le privé ! (...)
(27/02/2006 12:31:26)La SSII indienne Satyam Computer Services dément avoir été approchée par IBM
La SSII indienne Satyam Computer Service affirme haut et clair qu'il n'est pas question d'un accord avec le géant américain IBM. Satyam répond ainsi à un article paru dans le Financial Times qui faisait état un rachat possible. Satyam est la quatrième plus grosse entreprise indienne. Présente dans 53 pays, elle emploie plus de 22 000 personnes. L'article mis en cause annonçait qu'IBM aurait approché le fondateur et principal actionnaire, Ramalinga Raju en vu d'un rachat. La SSII « dénie avec véhémence » ces propos en expliquant que cela ne serait vraiment pas dans l'intérêt des actionnaires. Cette rumeur est intervenue quelques jours avant la présentation du bilan du quatrième trimestre. Ce dernier présenté en détail le 20 janvier devrait être largement positif. L'entreprise indienne est d'ailleurs en pleine expansion et a racheté dernièrement deux entreprises : Citisoft, une entreprise de consultation dans la gestion d'investissement et Knowledge Dynamics, une entreprise basée à Singapour et spécialisée dans le décisionnel. (...)
(27/02/2006 17:32:50)Sword Group signe un excellent exercice 2005
La SSII Sword Group a bouclé son exercice 2005 sur un chiffre d'affaires en forte progression. Le groupe affiche ainsi une croissance de 29 %, à 101,5 ME. Un résultat en ligne avec les prévisions annoncées au début de l'année. Pour le seul quatrième trimestre, l'éditeur a réalisé un CA de 29,2 ME, soit 37,5 % de plus qu'à la même période de l'année précédente. La croissance organique a progressé tout au long de l'année : 11% au premier trimestre, 14,2 % au T2, 15 % au T3 et finalement 16 % au quatrième trimestre. Signe d'une société en bonne santé, le résultat opérationnel a bondi de 16 % sur l'année. Pour l'exercice 2006 et hors acquisitions, Sword Group table sur un chiffre d'affaires de 140,8 ME, ce qui représenterait une croissance annuelle de 38,7 %. (...)
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