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(12/11/2008 12:46:51)

Même la Silicon Valley est affectée par la crise, montre le Mercury News

La crise financière n'épargne pas les acteurs de la Silicon Valley, cette zone de Californie où se concentrent les plus grands noms de la high tech mondiale. Après la vertigineuse perte trimestrielle de 1,67 Md$ annoncée par Sun et la baisse de 10% anticipée par Cisco sur son chiffre d'affaires du prochain trimestre, voilà qu'un analyste de FBR Capital Markets, Craig Berger, vient d'évaluer, il y a quelques jours, qu'Apple (encore auréolé de ses excellents résultats annuels) allait réduire de plus de 40% sa production d'iPhone au quatrième trimestre, par rapport au troisième trimestre 2008. Craig Berger pense que le constructeur californien pourrait opérer une baisse de production du même ordre au premier trimestre 2009. Des révisions relayées par plusieurs publications californiennes, notamment le Mercury News et le Silicon Alley Insider. D'autres licenciements pourraient intervenir Si l'industrie IT n'a pas été aussi touchée que les autres secteurs par la crise financière, il faut se rappeler que, dans la Silicon Valley, elle pèse (selon certaines estimations) quasiment la moitié des revenus professionnels générés. Les remous qui l'atteignent peuvent donc entraîner de sérieuses répercussions sur la région, rappelle le Mercury News. Et le magazine de citer le PDG d'Intel, Paul Otellini, qui jeudi dernier a averti que les Etats-Unis traversaient une récession qui pourrait être la pire de celles qu'il a vécues jusque-là. Pourtant, Intel a réalisé un bon trimestre et le fabricant de processeurs devrait rester en bonne santé jusqu'à la fin de l'année, mais la société n'a pas précisé comment elle envisageait son premier trimestre 2009. Parmi les autres signes de tangage dans la Valley, le Mercury News rappelle que Yahoo a annoncé 1 500 licenciements il y a trois semaines et que Google a discrètement réduit ses contrats de sous-traitance. « Nous pourrions assister à une autre série de licenciements [dans la région], » estime Dean Freeman, analyste du Gartner cité par le magazine californien. Selon lui, personne n'a anticipé la vitesse avec laquelle les consommateurs allaient trancher dans leurs dépenses. Les prévisions optimistes alternent avec les analyses plus réservées En dépit de tout cela, la plupart des observateurs restent confiants sur les capacités de la Silicon Valley à surmonter la récession. Le patron d'Oracle, Larry Ellison, n'a jamais douté, quant à lui, des capacités de sa société à traverser les turbulences économiques, fussent-elles sérieuses. En conclusion, le Mercury News alterne prévisions optimistes et analyses réservées. Il cite Bill Kreher, analyste pour Edward Jones, qui rappelle que les poids lourds de la région, tels que HP, Cisco ou Apple, ont d'énormes réserves de trésorerie qui leur permettent de continuer à investir quand d'autres ont adopté un mode de survie. Alors que pour Stephen Minton, analyste chez IDC, les mauvaises conditions économiques que traverse l'industrie technologique ne se limiteront certainement pas à deux mois. Il entrevoit un marché américain passablement étal sur l'année à venir, voire en recul. (...)

(12/11/2008 12:40:42)

Les SSII indiennes réduisent leurs prévisions de recrutement de 38%

Les SSII indiennes recruteront moins de personnes que prévu. Ganesh Natarajan, président du Nasscom (syndicat indien des entreprises du logiciel et des services informatiques) a déclaré que les SSII et les opérateurs de centres d'appels comptaient embaucher 200 000 personnes d'ici à mars 2009 contre les 276 000 initialement annoncées, soit une baisse de 38%. Cela représente par ailleurs une chute de 20% par rapport à l'exercice précédent (250 000 recrutements). « Ce ralentissement reflète la baisse des prévisions de croissance des grandes SSII indiennes, suite à la crise économique qui sévit aux Etats-Unis », a expliqué Ganesh Natarajan. Ces entreprises sont fortement positionnées sur le marché américain de l'externalisation de processus métier, notamment dans le secteur de la banque et de la finance. Pas étonnant donc qu'elles soient directement touchées par la crise financière. Le Nasscom prévoit un taux de croissance des logiciels et services situé entre 21% et 24% pour les SSII indiennes en 2008, contre les 28% enregistrés il y a un an. Wipro repousse l'ouverture d'un centre de développement logiciel à Atlanta [[page]]Ce tassement des embauches traduit également les craintes des SSII indiennes quant aux déclarations de Barack Obama. Le futur président américain n'a pas caché lors de sa campagne électorale qu'il envisageait de supprimer les allègements fiscaux aux entreprises qui externalisent leurs emplois. Wipro, troisième SSII indienne, a par ailleurs annoncé qu'il allait retarder l'ouverture de son centre de développement logiciel à Atlanta , annoncé en février 2007. Ce centre, qui était censé permettre à la SSII d'asseoir sa présence outre-Atlantique, devait employer 1000 personnes d'ici trois ans (Wipro compte déjà 6000 salariés aux Etats-Unis). « Nous avons besoin de connaissances précises des métiers de nos clients, et nous devons géographiquement nous rapprocher d'eux », déclarait alors la SSII. Frappé par le ralentissement économique (si le CA a progressé de 36% au deuxième trimestre, à 1,38 Md$, le bénéfice ne gagne qu'un petit point) Wipro revoit donc son calendrier. (...)

(10/11/2008 13:17:50)

Poussés par la réglementation, les clients japonais d'Accenture prisent le green IT

Les préoccupations Green IT sont diversement prises en compte selon l'implantation géographique des entreprises. C'est ce que révèle une consultation menée par Accenture auprès de ses filiales australiennes, néerlandaises, espagnoles et japonaises. Andrew Skinner, responsable datacenter pour la filiale britannique de la société de conseil, a interrogé ses collègues sur la montée de l'intérêt pour le Green IT manifesté par leurs clients et sur ce qui leur donne le plus de fil à retordre dans la mise en place de ces programmes. Il a publié quelques éléments de cette enquête informelles sur le blog green IT du cabinet. Si les quatre régions interrogées confirment un intérêt croissant pour le sujet, c'est le Japon qui tient la corde, ses équipes étant sollicitées chaque semaine par les clients pour des présentations, l'organisation de séminaires et l'élaboration de propositions. En Australie, on indique que le Green IT commence à s'infiltrer dans les agendas des DSI. Les entreprises néerlandaises, bien que sensibilisées à la question, n'arrivent toutefois pas à en faire une priorité dans leur agenda IT global où les coûts et les services ont toujours plus de poids. Quant aux entreprises espagnoles, elles ne s'intéressent encore au sujet que par ricochet. Typiquement, le Green IT se traduit pour l'instant en un résultat collatéral de démarches de réduction de coûts ou de projets de virtualisation, explique-t-on sur place. En Espagne, les plans de crise priment sur les programmes Green [[page]]Les défis qui se posent aux filiales dans la mise en place des programmes Green IT diffèrent sensiblement d'une zone géographique à l'autre. En Australie, les clients sont soucieux de montrer aux différentes parties prenantes que l'on peut en obtenir des gains rapidement. Le plus difficile étant de relier le Green IT à d'autres grands programmes pour démontrer qu'il peut soutenir plutôt qu'entraver le changement. Aux Pays-Bas, l'un des problèmes majeurs vient de l'importance prise par l'infogérance. Quelquefois, les clients ont confié la totalité de leur environnement IT à un partenaire externe et les contrats ne prévoient pas toujours de clauses sur les économies d'énergie. Pour l'Espagne, c'est la crise financière qui prime. Les clients se concentrent sur les plans de réduction de coût et l'agenda Green IT s'en trouve repoussé : si la mise au vert de l'informatique conduit à augmenter les coûts, les entreprises sont réticentes à s'y engager. Enfin, au Japon, ce sont les règlementations légales qui sont la motivation principale : celles déjà en place et celles qui s'annoncent. Dans l'archipel, les grandes entreprises doivent communiquer sur leurs émissions de CO2 et leurs prévisions de réduction de celles-ci. C'est cette obligation qui guide l'agenda Green dans les entreprises. L'accent est donc mis sur les activités qui polluent le plus. Mais Accenture Japon remarque néanmoins qu'il est maintenant demandé aux services IT de s'aligner sur ces objectifs. Andrew Skinner s'apprête à poursuivre son tour d'horizon Green IT en étendant son investigation aux pays émergents, en particulier en Asie et Amérique du Sud. (...)

(07/11/2008 15:00:30)

Trimestriels Sopra: Les activités ISS France et Axway tirent la croissance

Sopra Group annonce un chiffre d'affaires consolidé de 258,5 M€ au troisième trimestre 2008, soit une croissance totale de 12,5%, dont 10,7% en organique par rapport à la même période de l'année dernière. Mesurée sur neuf mois, le CA s'élève à 808,1 M€, en hausse de 13,3% dont 11,8% en organique. Ces résultats reflètent les bonnes performances des activités ISS (Intégration de systèmes et solutions) en France ainsi que celles d'Axway, la division spécialisée dans l'intégration et le transfert de données de la SSII. ISS France a réalisé un chiffre d'affaires de 160,5 M€ au cours du troisième trimestre (+16,6%, dont 14,6% en organique). Le chiffre d'affaires d'Axway s'établit quant à lui à 38,5 M€, soit une croissance totale de 21,1%, dont 13,2% en organique. Le rachat de l'éditeur Californien Tumbleweed en juin dernier pour 40 M€ a permis à Axway de renforcer sa présence outre-Atlantique. Axway dispose déjà de bureaux à Phoenix (Arizona) et Atlanta (Géorgie). Tumbleweed apporte également au groupe son expertise en termes de solutions de sécurisation des échanges sur Internet et réseaux privés IP. Les résultats de l'activité conseil (Orga Consultants) de Sopra sont en léger repli sur le troisième trimestre, avec un chiffre d'affaires s'élevant à 9,1 M€ (-1,1%). La croissance organique sur l'ensemble de l'année devrait être de l'ordre de 4% à 5% sur cette activité. Sopra Group publiera l'ensemble de ses résultats annuels le 12 février prochain. (...)

(07/11/2008 12:11:46)

Sogeti inaugure son siège High Tech à Issy-les-Moulineaux

La SSII Sogeti, filiale de Capgemini, a officiellement inauguré hier son nouveau siège « High Tech » dans les locaux d'une ancienne manufacture de tabac (22 000 m2), située à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). 150 experts y travaillent. Dirigé par Dominique Lafond, Sogeti High Tech est l'entité conseil en R&D pour les grands groupes industriels (comme Airbus, Areva, EADS ou encore Renault) de la SSII. Elle génère 17% du chiffre d'affaires de Sogeti (1,4 Md$ en 2007, 58% pour l'activité Application Services et 25% pour Infrastructures Services). Sogeti High Tech compte 30 agences locales dans sept pays (la France, avec cinq agences, l'Allemagne, l'Inde, la Suède, les Etats-Unis, les Pays-Bas et l'Espagne). Sogeti High Tech emploie 3500 collaborateurs et souhaite en recruter 800 de plus dans les mois qui viennent, dont 250 en Ile-de-France. Les ingénieurs de Sogeti High Tech « ont pour vocation de travailler directement chez nos clients et de suivre les projets à la fois en amont et en aval », précise Dominique Lafond : recherche et développement, audit et conseil, conception, tests et simulation, externalisation, assistance technique et formation. La division participe par exemple à la conception d'avions (fuselage et motorisation), de véhicules automobiles, de sous-marins, de trains ou de téléphones mobiles aux côtés de partenaires comme IBM, Microsoft et - plus récemment - Dassault Systèmes. La ville accueille déjà Cisco ou Bouygues, et bientôt Microsoft [[page]] André Santini, maire d'Issy-les-Moulineaux et Secrétaire d'Etat auprès du ministre du Budget chargé de la Fonction publique, s'est félicité de l'arrivée de Sogeti High Tech dans sa ville. Il souhaite faire d'Issy-les-Moulineaux un « nouveau centre névralgique des technologies IT ». La ville accueille déjà des sociétés comme HP, Orange (même si ces deux-là sont sur le départ), Cisco ou encore Bouygues Télécom. Ils seront rejoints en mars 2009 par 1500 salariés de Microsoft, qui a choisi cette ville pour y implanter une partie de sa R&D et son siège social. (...)

(07/11/2008 11:01:32)

Les services informatiques devraient rester porteurs en région en 2009

Selon Pierre Audoin Consultants, le marché des services de sous-traitance informatique(*) en région (hors Île-de-France) devrait générer 5,9 milliards d'euros de chiffre d'affaires en 2008. Le niveau de croissance annuelle atteindra ainsi 7,2%, restant donc à peu près similaire à celui de 2007. La part des revenus générés en régions représentera 26% du marché national à comparer aux 74% de l'IDF. En fonction des régions, la croissance varie de 6 à 9%. Rhône-Alpes, qui capte 29% du marché régional total, a enregistré une croissance de 7,7%. Elle le doit notamment à un énorme contrat de TMA signé avec Schneider Electric qui contribuera à sa croissance pendant plusieurs années. Malgré cet apport, la part globale de la région dans la sous-traitance informatique hors IDF a reculé de 2 points. L'Ouest et le Sud-Ouest occupent la seconde et la troisième place en termes de répartition des revenus en région avec respectivement 21% (+1 point) et 20% (- 3) du marché. Hausse du marché des services applicatifs Globalement, les services applicatifs s'avèrent plus porteurs que ceux liés aux infrastructures. Ainsi, le segment de la TMA a connu en 2008 une croissance de 13% en valeur, toutes régions confondues, contre 9,8% en IDF. Dans ses prévisions pour 2009, PAC fait état d'une croissance de 5,4% pour le marché des services de sous-traitance en régions. Rhône-Alpes est attendue en hausse de 6% tandis que la progression du reste des régions devrait se situer entre 4 et 4,5%. Un ralentissement mesuré qui fait des régions un relais de croissance pour le marché français. Sur le plan national, la progression ne devrait en effet s'établir qu'à 4,3%. Notamment du fait des performances de l'IDF qui sera la zone géographique la plus touchée par la crise. La région capitale fait en partie les frais des difficultés du monde bancaire qui y est largement représenté. (*) Infogérance applicative et d'infrastructures, conseil, Assistance technique (régie), réalisation de systèmes (forfaits)... (...)

(05/11/2008 15:33:21)

Syntec Informatique table sur une croissance de 2% à 4% dans les logiciels et les services au premier semestre 2009

En France, le marché des logiciels et des services informatiques devrait enregistrer une croissance comprise entre 2% et 4% et peser 42 Md€ au cours du premier semestre 2009, contre 6% au quatrième trimestre de cette année. C'est ce qu'a annoncé Syntec Informatique aujourd'hui, à l'occasion de sa conférence semestrielle. Pas question pour autant de comparer ce ralentissement à celui observé en 2001 : « Les circonstances sont très différentes. En 2001, les entreprises sortaient de quatre années fastes, avec une croissance annuelle moyenne de leur budget IT de 18%, portée par de nombreux projets (passage à l'an 2000 et à l'euro, arrivée massive d'Internet dans les sociétés, début de l'avènement de la téléphonie mobile...) », nuance Jean Mounet, président du syndicat professionnel. Le moral des dirigeants reste positif, à 116 selon l'indicateur de confiance du syndicat, mais il est en repli par rapport au mois de février (124). Reste que la crise financière risque d'avoir des conséquences sur la politique de recrutement des SSII et des éditeurs de logiciels, lesquels seront les plus touchés. Plutôt que d'évoquer un gel des embauches, Jean Mounet préfère parler de « stabilisation » et de prudence en raison du manque de visibilité, en rappelant que le secteur informatique reste le plus gros recruteur de cadres (entre 40 000 et 45 0000 recrutements en 2008, dont 15 000 à 20 000 créations de postes) et un taux de chômage faible (1,7%). Le Syntec observe par ailleurs un regain d'intérêt des jeunes ingénieurs pour le secteur IT, surtout chez les stagiaires, alors qu'ils privilégiaient auparavant le secteur de la banque et de la finance. Des évolutions contrastées en fonction des domaines applicatifs Malgré la crise, Syntec Informatique reste optimiste. Le syndicat a identifié quatre moteurs de croissance qui devraient assurer aux SSII une activité « relativement stable ». Il s'agit par exemple de la multiplication des contrats d'infogérance dans les administrations, les PME et les grands comptes, domaine dans lequel la France accuse encore un certain retard. Autre facteur de croissance, la déferlante des nouvelles réglementations (système d'immatriculation des véhicules, dérégulation d'EDF et de gaz de France, mise en place du bonus / malus écologique...), autant de chantiers que les entreprises et les administrations sont obligées de mettre en oeuvre, et ce quel que soit le contexte économique. [[page]] La rationalisation des systèmes d'information dans le cadre de fusions / acquisitions est également un levier de croissance. Enfin après une période d'attentisme et de scepticisme liée à la crise, les entreprises et les administrations devraient relancer des projets métiers. L'Etat est particulièrement actif, avec la dématérialisation des documents, la mise en place de télé-procédures ou encore l'élaboration du dossier médical personnel. « On n'a jamais vu autant d'appels d'offres dans le secteur public qu'en ce début de mois de novembre », note Jean Mounet. A contrario et sans surprise, la banque devrait réduire la cadence de ses dépenses IT pour une période d'un an, peut-être moins estime Syntec Informatique. Au-delà de cette période d'immobilisme, les contraintes réglementaires devraient reprendre le dessus. Dans l'édition, les outils d'analyse et de pilotage de l'information (décisionnel, CRM) restent des segments porteurs alors que le conseil et l'assistance technique commencent à souffrir du report de certains projets. Le système d'information enfin vécu comme un atout productif par les entreprises Toujours selon la fédération professionnelle, le secteur des logiciels et des services informatiques pourra résister à la crise grâce à un changement de mentalité dans les entreprises clientes. Le système informatique n'est plus uniquement perçu comme une source de coûts, mais également comme un « outil majeur de compétitivité, de flexibilité et d'innovation ». Syntec Informatique salue également diverses initiatives du gouvernement qui a enfin pris conscience que « les technologies de l'information sont un élément vital pour le développement de la France ». Il s'agit par exemple de la mission e-Educ confiée à Jean Mounet par Xavier Darcos, ministre de l'Education nationale, en mai dernier, ou encore du plan « France Numérique 2012 » présenté par Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé du Développement de l'économie numérique. A propos de ce plan, Syntec déplore toutefois l'absence d'un projet mentionnant l'équipement logiciel des PME, seul l'aspect matériel y est évoqué. A propos du logiciel, neuf syndicats européens se sont récemment réunis sous la houlette du Syntec afin de plancher sur les moyens de défendre les éditeurs. Le 22 octobre dernier, l'association (dont on ignore encore le nom) a présenté à Viviane Reding, commissaire européenne à la Société de l'information, un rapport en neuf volets. Ce document sera officiellement dévoilé le 13 novembre prochain. (...)

(03/11/2008 13:05:47)

Atos Origin prévoit des cessions d'activités pour générer de la croissance

Atos Origin a publié un chiffre d'affaires de 1,33 Md€, en hausse de 5,3%, au cours de son troisième trimestre, sur un périmètre excluant l'Italie, vendue le 31 janvier 2008, et AEMS Bourse, cédée le 5 août 2008. Sur les neuf premiers mois de son exercice, la SSII rapporte un CA de 4,07 Md€ (+6,3%). Au cours du troisième trimestre, le CA de l'activité infogérance a progressé de 4,7% à 725 M€, représentant 55% du total. Les revenus de la division intégration de systèmes s'établissent de leur côté à 521 M€ (soit 39% du total ),et ceux de l'activité conseil s'élèvent à 84 M€ (soit 6% du total). Le groupe confirme par ailleurs une croissance organique de plus de 5% en 2008, après avoir réalisé +6,3% sur les neuf premiers mois de l'année. Une série d'actions complémentaires autour de la réduction des coûts [[page]] Atos Origin a également annoncé son intention de céder dans les prochains mois des activités représentant entre 250 et 500 millions d'euros de chiffre d'affaires dans le cadre d'un plan de recentrage stratégique. Outre ce plan de recentrage, une série d'actions a été lancée début septembre par Atos dans un objectif de réduction des coûts : génération de trésorerie par l'optimisation des investissements, accélération du recours à l'offshore, réduction des sous-traitants, adaptation de la structure des rémunérations variables au nouvel environnement, gel de tous les recrutements indirects et attention particulière sur le recrutement des effectifs directs, réduction des dépenses (sur les voyages ou les formations), optimisation des ressources de management avec un impact supplémentaire de 30 millions d'euros sur la trésorerie en 2008. Enfin, et compte tenu de la structure de ses activités et du niveau des commandes déjà enregistrées Atos se dit confiant pour générer une croissance organique positive l'an prochain. (...)

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