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(31/10/2008 16:18:23)

Vers un coup de froid sur les embauches en SSII

La crise économique risque-t-elle d'avoir des conséquences sur l'emploi dans les SSII et chez les éditeurs de logiciels ? C'est en tout cas ce qu'a avancé Syntec Informatique, la semaine dernière, à l'occasion de la présentation d'e-competences framework, premier référentiel européen des métiers informatiques. « Le contexte économique actuel va inciter les entreprises du secteur à ralentir le rythme de leurs embauches, estime Alain Donzeaud, président de la commission sociale et formation du syndicat professionnel Syntec Informatique. Certaines d'entre elles ont déjà réagi en décidant de stopper leurs recrutements. » Ainsi, il y a quelques semaines, l'éditeur SAP annonçait un gel de ses embauches et de ses investissements, en raison d'une chute soudaine de son activité. Effet moutonnier et baisse des tarifs de prestations Pour le représentant du syndicat des SSII et des éditeurs de logiciels, un effet « moutonnier » joue déjà sur le comportement des entreprises, un peu comme dans la fable du trappeur et de l'indien qui s'influencent mutuellement sur la rigueur de l'hiver qui arrive. « Ce dicton repose sur des croyances simples que chacun prête aux autres et que tous finissent par appliquer. Comme dans la fable, le pessimisme est contagieux et joue un rôle non négligeable dans l'attitude de certaines entreprises. » L'autre effet pouvant jouer dans la balance concerne la renégociation des tarifs des prestations. « On s'achemine vers une pression sur les tarifs des fournisseurs qui doivent répondre à la demande de clients qui pour certains ne seront pas au mieux de leur forme, prévient Alain Donzeaud. Partant du principe que l'offshore constitue une porte de sortie permettant de pallier cette situation, cela contribuera au ralentissement du rythme des recrutements. » (...)

(30/10/2008 16:41:40)

Open Wide recherche une vingtaine d'ingénieurs Open Source

Pour accompagner les entreprises dans la mise en oeuvre de solutions en environnements libres, la SSLL Open Wide envisage de recruter une vingtaine de spécialistes du monde Open Source. Les postes à pourvoir sont basés dans les agences lyonnaise et parisienne du groupe et répondront aux besoins des trois entités du groupe. Pour le pôle systèmes d'information de la SSLL, des chefs de projet Java/ J2EE, des ingénieurs expérimentés en développement Java J2EE, des ingénieurs Java junior et des spécialistes du développement sont recherchés. La division OS4I d'Openwide (produits et services destinés aux industriels) recrute des ingénieurs Linux bas niveau, développement Kernel temps réel et Linux embarqué. Enfin Accelance, l'activité infogérance de la SSLL, sera renforcée par des ingénieurs systèmes et réseaux spécialistes des environnements Linux et Open Source. Des postes sont également ouverts aux stagiaires. Rappelons qu'actuellement, il est difficile de recruter dans l'univers très spécifique de l'Open Source. Dans un dossier sur l'emploi dans les logiciels libres, le site Lemondeinformatique.fr pointait les tensions actuelles du marché de l'emploi dans l'Open Source, en particulier sur les technologies PHP et les compétences multiples. (...)

(30/10/2008 08:53:38)

Markess : 47% des entreprises ont dématérialisé leurs factures en 2008

En 2008, 47% des entreprises privées et des administrations ont opté pour la dématérialisation de leurs factures, selon une étude réalisée par Markess International. Elles numérisent tout ou une partie de leurs factures entrantes ou sortantes. Pour les autres, 25% envisagent le même type de démarche d'ici à 2010, 21% n'ont rien prévu mais s'y intéressent et 7% n'y prêtent aucune attention. Le secteur privé est légèrement en avance sur le public, 52% des 200 entreprises interrogées avaient déjà sauté le pas en 2008 (contre 45% un an plus tôt). Le marché est essentiellement porté par la distribution et certaines industries (automobile, agro-alimentaire), mais la dématérialisation gagne de plus en plus de terrain dans des secteurs où les volumes de factures manipulées sont importants : les télécommunications, les services d'utilité publique (eau, gaz, électricité...), le transport et la logistique. La banque et l'assurance commencent à rattraper leur retard. Toutes les tailles d'organisations sont concernées. Les grandes (plus de 2000 salariés) sont les plus matures puisque 75% ont choisi de dématérialiser leurs factures. Mais 38% des PME se sont aussi laissées tenter, mais à un rythme moins soutenu que ce que le cabinet prévoyait il y a deux ans. Un meilleur suivi des factures et de séduisantes perspectives d'économies L'automatisation des processus comptables et financiers est la première raison qui motive les organisations dans cette voie de la dématérialisation (89%). Elle leur permet de suivre tout le cycle de vie de la facture et de vérifier si les processus de fabrication et de validation sont respectés. La perspective de réaliser des économies vient en deuxième position (76% des organisations interrogées). La dématérialisation réduit les coûts liés aux frais administratifs et aux ressources humaines ainsi qu'à l'archivage physique. Enfin, 53% soulignent enfin une accélération des processus de facturation. [[page]] Pour les factures sortantes, la liste des motivations est légèrement différente : 74% des organisations évoquent d'abord la réduction des coûts (traitement, production, relance pour le règlement, gestion des litiges, archivage...), 58% le besoin exprimé par leurs clients et 49% un service à forte valeur ajoutée à destination de la clientèle (outils de reporting, suivi et historique des factures, accès à des informations détaillées et personnalisées...). Dans les deux cas (factures entrantes/sortantes), le coût reste un motif incontournable, d'autant que grâce à la dématérialisation des factures les organisations peuvent rentabiliser des investissements logiciels déjà consentis pour d'autres projets, comme les transactions EDI (échange de données informatisées). Contrairement à d'autres projets informatiques, le retour sur investissements est relativement rapide. Pour 75% des organisations interrogées il n'excède pas les 12 mois. Des projets le plus souvent accompagnés par les éditeurs et les intégrateurs Pour les sociétés encore réfractaires à l'idée de la dématérialisation des factures, Markess International a relevé trois freins principaux: un volume de données à traiter insuffisant pour justifier un tel investissement, un cadre légal et réglementaire trop complexe et contraignant ou la résistance au changement des salariés. D'autant, dans ce dernier cas, que dématérialisation avec automatisation... et donc avec une diminution de la main d'oeuvre. Enfin, selon le cabinet, la plupart des projets sont accompagnés par deux prestataires, un éditeur mais aussi un intégrateur comme Accenture, Capgemini, Euriware, Ineum ou encore Logica. (...)

(29/10/2008 09:52:03)

Toujours peu de seniors chez les informaticiens

Dans l'informatique, le taux d'activité des seniors est toujours beaucoup moins élevé que dans d'autres secteurs. C'est ce que montre encore une fois la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares, Ministère du Travail) dans une note d'octobre 2008 sur l'emploi et le chômage des 50-64 ans en 2007, intitulée « Premières informations, premières synthèses ». D'après ce document, les métiers de l'informatique - techniciens et ingénieurs en SSII et dans les entreprises clientes - font partie de ceux qui comptent le moins de seniors. Ainsi, en 2006-2007, sur une population de 314 000 ingénieurs informatique, 13% étaient des seniors (dont 11,8% de femmes). Chez les techniciens de l'informatique, la part des 50 ans et plus était légèrement plus élevée, avec 14,7% de seniors (hommes et femmes) sur 143 000. Plus étonnant, dans le classement établi par la Dares, l'informatique côtoie de familles professionnelles qui sont très éloignées du secteur : en effet, sont également cités les ouvriers de gros oeuvre et du bâtiment, l'armée, la police, les pompiers, les caissiers et employés de libre service. Peu de seniors dans une industrie IT de 40 ans d'âge [[page]] Si ces chiffres paraissent élevés, ils restent à relativiser selon le Syntec Informatique . Pour le syndicat des SSII et des éditeurs de logiciels, le secteur IT ne ferait pas partie des plus discriminants : « Dans nos métiers, les plus de 50 ans sont plutôt fortement représentés en tant que chefs de projets très expérimentés ,d'architectes ou de consultants de très haut niveau, estime Alain Donzeaud, président de la commission affaires sociales et formation de Syntec. Par ailleurs, cette industrie ayant 40 ans d'âge, il est naturel que les plus de 50 ans soient moins présents, suite à un effet de rotation naturel. En outre, l'informatique a longtemps été considérée comme une industrie de passage, où peu de personnes décident de vieillir, à l'inverse de secteurs comme la banque ou l'administration.» Reste que dans le secteur des services informatiques la moyenne d'âge reste très jeune et s'élève à 34 ans environ. Pour réajuster la balance, le gouvernement a prévu des mesures pour inciter les entreprises à conserver ou à embaucher leurs salariés seniors. Les entreprises et les branches qui n'auront pas conclu d'accords sur la gestion des âges et l'emploi des seniors d'ici au 31 décembre 2009 pourraient bien verser une pénalité de 1% de leur masse salariale. (...)

(28/10/2008 17:51:33)

La croissance des dépenses IT sera amputée de moitié en 2009, selon PAC

Le cabinet PAC mesure régulièrement la dépense informatique en France, dans les entreprises privées comme dans le secteur public. Une dépense aussi bien interne (personnel et coûts informatiques) qu'externe (achats de matériels, logiciels et services). Cette dépense se montait globalement à 77,8 Md€ en 2007, elle progressait alors de 3,1% par rapport à l'année précédente. Elle va augmenter de 3% en 2008, pour atteindre 81,1 Md€, mais seulement de 1,3% en 2009. L'année 2008 restera donc dans la lignée de 2007, l'affaiblissement de la dépense se manifestant seulement en 2009. L'effet de la crise économique mondiale est visible dans ces premiers chiffres qui montrent une baisse de la dépense mais décalée sur l'année à venir. Deuxième effet, à l'intérieur de cette dépense totale, la partie logiciels et services augmentera de 5,9% en 2008, prévoit PAC, contre 6,2% en 2007. « La dynamique est sensiblement la même que pour 2007, nous explique Frédéric Giron directeur au cabinet PAC, mais nous avons intégré un essoufflement de la demande au dernier trimestre 2008. Cette érosion explique la différence entre les deux années. Certains éditeurs par exemple réalisant 40% de leur chiffre d'affaires sur ce dernier trimestre ». Ce deuxième effet montre une bonne résistance de la demande en logiciels et services et donc des SSII et des éditeurs sur les neuf premiers mois de l'année 2008. Troisième effet, pour 2009 cette fois, où PAC anticipe une croissance de 3 à 3,5% du marché des logiciels et services. C'est donc la moitié de la progression prévue en 2008 (6%). Toutefois, « tous les segments des logiciels et services ne ralentissent pas de la même manière», note Frédéric Giron. L'externalisation restera florissante [[page]] A l'intérieur du secteur des logiciels et services une activité devrait rester florissante, celle de l'externalisation. Elle sera entre 7 et 8% de croissance en 2009. Sa bonne tenue rejaillit sur l'ensemble du secteur logiciels et services puisque l'externalisation représente 25% de ce secteur. Elle peut même bénéficier d'un nouvel environnement où les entreprises chercheront davantage à optimiser leurs dépenses qu'à les supprimer. Dans le même ordre d'idées, les contrats au forfait resteront en bonne santé en 2009. Autre conséquence forte, l'industrialisation des services, manifeste depuis plusieurs mois, va s'amplifier. « Intrinsèquement liée à la démarche en offshore, l' industrialisation consiste pour les SSII à créer des centres de services, à adopter des méthodes comme CMMI et à mettre en place des outils collaboratifs ». Cette industrialisation permet d'augmenter la productivité et de réduire les coûts des fournisseurs comme savent l'imposer les grands comptes. A l'inverse, à l'intérieur du secteur des logiciels et services, d'autres activités vont s'affaiblir. « Les logiciels sont les premiers à pâtir d'une réduction des dépenses ou d'un affaiblissement économique » remarque Frédéric Giron. Les services et la régie devraient être affectés ainsi que l'ensemble des prestations intellectuelles : conseil et intégration de systèmes. Le secteur bancaire ne pénalise pas les SSII Autre point fort de l'étude, la bonne tenue de la demande dans le secteur bancaire. Si la finance de marché va couper dans ses dépenses, la banque plus traditionnelle ne devrait pas suivre le même chemin. Contrairement aux Etats-Unis, la France n'enregistre pas de disparition de banques, donc de leurs budgets informatiques. Au contraire, selon Frédéric Giron, les banques ont appris ces dernières années à faire de l'informatique un outil stratégique. Elles vont opérer une forte pression sur les prix mais ne devraient pas couper brutalement dans leurs dépenses. D'autres secteurs investiront fortement, essentiellement le secteur public et les « utilities »(*). A l'évidence, l'étude de PAC n'est pas totalement pessimiste. Elle montre que la réduction des investissements informatiques des entreprises est réelle mais plus difficile à engager que par le passé. Certaines activités (externalisation, industrialisation ) et certains secteurs (banque, secteur public, « utilities* ») s'en sortent même très bien. Les entreprises maîtrisent beaucoup mieux leurs dépenses informatiques devenues vraiment un élément de compétitivité. (*) Par « utilities » on entend des activités anciennement dans le secteur public et gérées par des entreprises privées comme l'eau ou le gaz et l'électricité. (...)

(28/10/2008 09:25:03)

L'Egypte, destination idéale pour l'externalisation, selon la NOA

La National outsourcing association (NOA) vient de décerner à l'Egypte le prix de la « destination de l'année en matière d'externalisation », devant les Philippines (lauréat l'an dernier) et la Roumanie. Jeudi dernier, 23 octobre, les membres du jury ont salué « les capacités linguistiques, la jeunesse de la population », ainsi que les « investissements de plus en plus nombreux que le gouvernement égyptien consacre aux activités de sous-traitance IT ». L'Egypte a récemment investi 2 Md$ pour améliorer ses infrastructures de télécommunications et a créé l'Itida (agence pour le développement de l'industrie IT) pour accompagner la croissance de l'outsourcing. Selon le Gartner, le secteur IT égyptien connaît une progression annuelle de l'ordre de 20%. La pénétration d'Internet avoisine les 11% et celle de la mobilité atteint les 38%, toujours selon le Gartner. « Lentement mais sûrement, le pays impose sa marque sur la carte des localisations les plus appréciées des services internationaux », a déclaré Hazem Abdelazim, directeur général de l'Itida. Une main d'oeuvre jeune, multilingue, pas chère, mais des lourdeurs administratives L'Egypte - dont on parle encore peu en matière d'externalisation - dispose de plusieurs atouts (...)[[page]] L'Egypte - dont on parle encore peu en matière d'externalisation - dispose de plusieurs atouts. Le Gartner souligne par exemple que plus de 50% de la population est âgée de moins de 25 ans. 100 000 universitaires sont formés chaque année dans le secteur du BPO et des centres d'appel, et ils sont souvent multilingues. L'anglais est enseigné dès l'âge de neuf ans et une deuxième langue est obligatoire pendant les études supérieures. Les étudiants égyptiens optent en général pour le français ou l'allemand en raison de la réputation touristique de l'Egypte auprès de ces deux pays. Le coût de la main d'oeuvre est également un atout de taille pour l'Egypte - comme dans la plupart des destinations offshore. Alors que les SSII indiennes doivent affronter une hausse générale des salaires, l'Egypte propose des tarifs attrayants pour les sociétés européennes qui souhaitent externaliser une partie de leur système d'information : entre 6 000 et 11 000 $ par an pour un programmeur, 13 000 $ pour un consultant, 20 000 $ pour un chef de projet... On est loin du salaire annuel moyen de 34 000 € affichés en France à l'embauche. Le Gartner note toutefois deux bémols : la corruption est encore importante en Egypte et les démarches administratives sont lourdes. (...)

(27/10/2008 17:11:58)

Alter Way se dote d'un portail pour le consulting

Constitué de plusieurs sociétés spécialistes du service dans le monde Open Source, le groupe Alter Way a décidé d'offrir un visage unique à ses interlocuteurs, en lançant Alter Way Consulting. Il s'agit, explique la cofondatrice et coprésidente Véronique Torner, « d'un portail pour l'expertise du groupe ». Désireux de démarcher des grands comptes afin de remporter des marchés conséquents - tel que celui signé fin septembre de 7 M€ sur 3 ans -, tout en gardant une structure par entités (Solinux, Nexen, Anaska...), Alter Way a trouvé cette solution d'une branche consulting. Animé par Damien Séguy (qui animait les communautés PHP et MySQL chez Nexen Services), Alter Way Consulting permet de rediriger les prospects vers les experts techniques de telle ou telle entité les plus aptes à répondre à leur problématique. (...)

(27/10/2008 15:49:00)

François Enaud prend temporairement les rênes de Steria France

François Mazon quitte officiellement le poste de directeur général France, Asie et Maroc de Steria. Il est temporairement remplacé par François Enaud, PDG et gérant de la SSII depuis 1998. François Enaud cumulera les fonctions de DG et de PDG pour une durée « indéterminée pour le moment » selon Steria, qui recherche activement un autre DG pour sa maison-mère française (6000 salariés sur 19 000 dans 16 pays). Pour la deuxième fois, Steria revoit par ailleurs son objectif de marge opérationnelle à la baisse pour l'exercice fiscal 2008. Elle passe de 7,8% à 7,5%, alors qu'il y a quelques mois, la société espérait franchir le cap des 8%. Les résultats mitigés de la SSII sont affectés par les mauvaises performances observées en France, où la société réalise 28% de son chiffre d'affaires. Le titre Steria a perdu près de 15% en bourse Dans l'Hexagone en 2007, Steria s'est orientée vers un modèle de production plus industriel, ce qui lui porte préjudice. Le chiffre d'affaires a perdu 2,2 points au premier semestre 2008, alors que la Grande-Bretagne (où Steria a racheté le spécialiste du BPO Xansa pour 700 M€ en juillet 2007) et l'Allemagne affichent des marges confortables (respectivement 9,7% et 8,5%). En confiant temporairement les rênes de la France à François Enaud, la SSII espère « accélérer les bénéfices issus du programme de transformation initié en 2007 et améliorer les synergies internationales ». Suite à ce deuxième avertissement sur résultat, la sanction de la bourse ne s'est pas faite attendre, le titre de Steria a perdu près de 15% ce matin. (...)

(24/10/2008 15:24:15)

Trimestriels Tata Consultancy Services: le bénéfice net n'augmente que de 3,4%

Tata Consultancy Services n'échappe pas à la morosité qui règne actuellement dans les SSII indiennes. Après Infosys et Wipro, c'est au tour de TCS d'annoncer des résultats engourdis par la crise économique. Le chiffre d'affaires est certes toujours en croissance, à 1,57 Md$ (+14,74%), mais cette progression est loin d'être aussi impressionnante que celle affichée au deuxième trimestre de l'année dernière (+45,2%). Le bénéfice net stagne quasiment, avec 287 M$ engrangés (+3,4%). Tata précise que la société a perdu beaucoup d'argent en couverture du risque de change liée aux fluctuations du dollar. Malgré la crise, la société a indiqué qu'elle travaillait actuellement sur une vingtaine de gros chantiers, y compris dans le secteur de la banque et de la finance. « Notre chiffre d'affaires sur ce secteur a continué à augmenter au cours du trimestre mais de façon moindre par rapport à notre taux de croissance global », explique Natarajan Chandrasekaran, DG de TCS. TCS s'apprête à absorber l'activité de BPO de Citigroup Tata Consultancy Services a annoncé au début du mois qu'il était parvenu à un accord pour acquérir l'activité de BPO (Business process outsourcing) de Citigroup (un établissement bancaire américain), pour un montant de 505 M$. Dans le cadre de cet accord, TCS fournira, pendant neuf ans et demi, des services à Citigroup et ses filiales, pour la somme de 2,5 Md$. TCS emploie 121 610 personnes dans le monde, soit 5 328 de plus que l'an dernier. La société affirme avoir gagné 51 nouveaux clients au cours du trimestre. (...)

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