Flux RSS

SSII

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1477 documents trouvés, affichage des résultats 951 à 960.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(03/06/2008 11:19:24)

Sogeti a fait réfléchir 4 200 ingénieurs en ligne

4 200 des 18 000 collaborateurs de Sogeti (filiale de Capgemini) ont participé au premier brainstorming virtuel lancé par la SSII pour inciter ses équipes à dialoguer sur ses projets d'avenir. Au final, l'initiative s'est soldée par 2 000 idées postées, 3 475 commentaires émis, 12 045 notations effectuées, le tout donnant lieu à quelque 70 000 consultations. Le Comité exécutif du groupe va maintenant sélectionner les idées les plus valorisantes pour le groupe, ses collaborateurs et ses clients. Des idées seront ensuite à nouveau débattues par les collaborateurs à travers des blogs et des wikis. Cette vaste consultation s'intègre dans le cadre du programme i-cubed de transformation du groupe Capgemini. (...)

(02/06/2008 11:01:56)

Logica expose l'intérêt d'une collaboration avec l'Inde

L'essor des services externalisés vers l'Inde conduit Logica à former spécifiquement ses équipes. En 2008, 550 collaborateurs de Logica France (sur 9 000 salariés) seront ainsi sensibilisés aux problématiques interculturelles. La SSII souhaite les voir aborder de la façon la plus appropriée, et donc la plus efficace, la collaboration avec des équipes indiennes. Mais Logica entend aussi convaincre ses clients des atouts d'une telle association. Elle a monté avec Akteos des sessions spécifiques sur les métiers de l'informatique en Inde et sur les meilleures pratiques pour travailler ensemble. A l'occasion d'un séminaire qui s'est tenu jeudi 29 mai dans ses locaux parisiens, la SSII a présenté à ses clients le témoignage de collaborateurs et partenaires engagés depuis plusieurs années sur des projets offshore avec l'Inde. 120 000 nouveaux diplômés en IT tous les ans Certains clients, tentés par l'expérience, hésitent en invoquant les difficultés rencontrées par d'autres entreprises dans leur quête indienne. « Oui, c'est difficile, mais cela marche, affirme Jean-Louis Simoneau, président d'Omega Hightech, spécialiste de l'outsourcing en Inde. Il cite le cas de grandes entreprises françaises qui « signent, persistent et réussissent » là-bas, car elles prennent en compte les facteurs-clés de succès. Il y a sur place « le plus grand réservoir de talents au monde dans les technologies de l'informatique », rappelle le consultant en pointant les 120 000 nouveaux diplômés formés tous les ans par le pays dans ces disciplines (qui s'ajoutent aux « 3 millions de diplômés dans d'autres secteurs que la IT »). « Des sociétés comme IBM ou Oracle y ont déjà quelque 40 000 ou 50 000 collaborateurs, souligne-t-il. Des savoir-faire exceptionnels s'y sont développés, dans le test, la validation des prototypes, le design des architectures, le développement et la maintenance des produits et applications ». La rétention des personnes : un problème majeur Sur les rémunérations pratiquées, beaucoup d'idées reçues circulent. Néanmoins, Jean-Louis Simoneau admet que le salaire brut reste faible. Sur une échelle où les Etats-Unis représentent l'index 100, la France est à 85, le Japon à 141, l'Allemagne à 89, la République Tchèque à 37 et l'Inde à 16, énumère-t-il. [[page]] Pour autant, le montant du salaire ne sera pas divisé par six car « il y a des coûts induits ». En outre, « les cadres supérieurs sont très bien payés, à un tarif comparable à la France, et il y a une surenchère ». Le consultant reconnaît aussi qu'en Inde, dans le secteur de la IT, les augmentations de salaires avoisinent les 15% par an et le turnover plus de 25%. « Les process de rétention des personnes sont majeurs : attention de ne pas vous retrouver au bout de six mois avec seulement trois personnes qui connaissent votre projet ! » Pour travailler avec des équipes indiennes, il est nécessaire de mettre en place des gouvernances particulières de projets, conclut-il. L'organisation est la clé du succès, il faut que les responsabilités soient clairement établies et écrites. Une organisation rigoureuse s'impose Jean-Marie Barret, directeur de mission outsourcing chez Logica, est responsable d'un projet de maintenance en offshore. Son expérience de l'Inde a démarré il y a deux ans. « Nous sommes immédiatement confrontés aux procédures », témoigne-t-il. Les sociétés travaillent avec une certification CMM (Capability maturity model) de niveau 5 [CMM, aujourd'hui intégrée dans la méthodologie CMMI, a été conçue pour améliorer les processus des sociétés de services]. Les procédures ne manquent pas, tant pour organiser les visites en France que pour établir les « Request for resources ». « Il faut remplir de nombreux formulaires spécifiques », ce qui se justifie, explique le responsable de projet de Logica, si l'on considère que l'on s'adresse à des centres de services qui comptent des milliers de personnes (« jusqu'à 70 000 dans certains centres »). « Ce sont des usines dotées d'outils standards avec lesquelles on ne peut pas travailler dans l'urgence comme nous avons pris l'habitude de le faire en France, poursuit Jean-Marie Barret. Il faut parler 'process' avec ces équipes et avancer pas à pas. On doit apprendre leur vocabulaire et leurs métriques, et aligner l'ensemble des intervenants sur ces indicateurs. » Impliquer les responsables indiens dans le pilotage des projets Quand 7 000 km de distance séparent les collaborateurs, une fluidité s'impose dans la communication. « Il faut mettre en place les bons outils au bon niveau : 'chats', 'workspaces', intranets, outils de virtual working, etc. nous permettent d'aller plus vite », confie le directeur de mission qui constate beaucoup d'allers/retours entre équipes indiennes et françaises, même si les spécifications ont été très détaillées. Le respect du 'process' et un travail à distance efficace constituent les deux piliers pour mettre en place un modèle industriel avec l'Inde, conclut Jean-Marie Barret en insistant sur un point essentiel : « Impliquer les responsables indiens dans le pilotage demeure une clé de succès ». (...)

(29/05/2008 16:14:51)

Atos, Centaurus et Pardus s'entendent sur neuf noms avant l'AG

Sept jours après son assemblée générale ajournée, la SSII française Atos Origin a finalement trouvé un accord et publié un communiqué commun, hier, avec les fonds d'investissement Centaurus Capital et Pardus Capital Management, ses deux principaux actionnaires. D'une même voix, tous regrettent l'incident qui a conduit à ajourner l'AG et entendent désormais oeuvrer au développement à long terme d'Atos. Les deux fonds, notamment, se veulent rassurants : ils réaffirment qu'ils n'ont pas l'intention de démanteler la SSII et disent avoir confiance dans les compétences professionnelles du directoire d'Atos Origin et des équipes. Une entente s'est opérée sur la composition du conseil de surveillance, sur laquelle s'était focalisée une partie des tensions ces dernières semaines (les fonds majoritaires demandaient notamment le remplacement du président). Une liste de neuf membres a été constituée ; elle doit encore être approuvée par l'Assemblée générale des actionnaires qui a été reportée au 12 juin prochain. Jean-Philippe Thierry à la présidence du conseil de surveillance Parmi les neuf noms retenus figurent sept membres indépendants (dont Colette Neuville, présidente de l'Adam, association des actionnaires minoritaires) et deux représentants des fonds Centaurus et Pardus (Benoît d'Angelin et Behdad Alizadeh). A la tête du conseil, c'est Jean-Philippe Thierry, président des AGF, qui est proposé au poste de président, en remplacement de Didier Cherpitel. Jean-Philippe Thierry est déjà président du conseil de surveillance d'Euler-Hermes et du groupe Mondial Assistance et siège également comme administrateur (sans droit de vote) aux conseils de PPR et d'Eurazeo. Pour calmer les esprits, les fonds Centaurus et Pardus (respectivement présidés par Karim Samii et Bernard Oppetit) se sont engagés à voter en faveur de toute les résolutions qui seront proposées par le directoire, présidé par Philippe Germond, lors de la prochaine AG. Quant à Benoît d'Angelin et Behdad Alizadeh, représentants des fonds, ils se sont engagés à démissionner du conseil de surveillance sous dix jours si les parts détenues par Centaurus et Pardus au capital d'Atos descendaient au-dessous de 5%. (...)

(28/05/2008 17:23:33)

Computacenter renouvelle ses recrutements

200 recrutements en 2007, 300 en 2008. Comme une bonne partie de la profession, Computacenter met les bouchées doubles en matière de recrutement. La société compte en France 1 100 salariés. En deux ans, elle aura augmenté ses effectifs de 50%. Du coup, elle aussi doit utiliser différents canaux pour réaliser ses embauches: mardi prochain 3 juin, elle participe au « salon européen de l'ingénieur » organisé par l'Apec. Le principe est de prendre des rendez-vous à l'avance sur des listes de candidats fournies par l'Apec, chaque entretien devant durer une demi-heure, pas plus. Spécialisée en distribution, intégration et infogérance, Computacenter recherche les profils suivants : 30 chefs de projet, 10 archivistes, 10 services manager, 10 service delivery, 10 ingénieurs systèmes, 20 ingénieurs d'affaires, 20 responsables de comptes. (...)

(28/05/2008 10:13:58)

Même Capgemini doit réinventer ses méthodes de recrutement

Capgemini Ouest, filiale grand-ouest du groupe Capgemini a recruté 450 personnes en 2007 et s'apprête à un minimum de 350 recrutements sur l'année en cours. Cette filiale a la hauteur de la taille du groupe avec 150 millions d'euros de chiffre d'affaires et 1 450 collaborateurs. Elle est active sur le conseil en management des systèmes d'information et les prestations informatiques. Un domaine large, qui nécessite le recours de trois profils principaux : des architectes, des directeurs de projets, des consultants fonctionnels Capgemini Ouest utilise plusieurs modes de recrutement. La cooptation par exemple, avec parrainage par les collaborateurs de membres de leurs familles ou de leurs « réseaux ». Des soirées de cooptation sont organisées par la SSII en juin à Nantes, Rennes et Bordeaux. Plus classiquement, le système des stages de jeunes futurs diplômés fournit 20% des recrutements avec 60 à 80 stagiaires par an. L'essentiel, 80% des recrutements vient d'annonces passées sur les sites du groupe ou chez des spécialistes du recrutement en ligne. [[page]] La multiplication des initiatives s'explique. « La tension est quasi permanente sur le marché de l'emploi », analyse Patrick Bemmert, directeur exécutif de la SSII, « car les jeunes qui sortent des grandes écoles ont le choix ». Comme ses consoeurs et bien qu'un des leaders de ce marché, le groupe est confronté à la concurrence pour ne pas dire à la surenchère, en particulier de la part du secteur financier. D'autres interlocuteurs évoquent une concurrence sur les recrutements non seulement entre SSII mais entre elles et leurs clients. Tout le secteur est perturbé et cherche des solutions. La profession doit également raisonner sur le long terme pour garder ses talents. « Nous devons procéder à une refonte de la cartographie de nos compétences en permanence » relève Patrick Bemmert «et tenir une réflexion à long terme sur l'évolution de nos métiers et leur attractivité ». Lundi dernier, pour parvenir à ces 350 recrutements, la filiale grand ouset a utilisé un procédé original : distribuer des cartes postales dans le TGV. Des cartes comportent une liste de postes à pourvoir et un numéro de téléphone permettant d'appeler Cap et de recevoir en retour une proposition de contact par SMS. Des cartes dont le format permet de les glisser dans un portefeuille ou dans une mallette pour se rappeler ensuite les coordonnées et le n° de téléphone mentionné. L'objectif est double, recruter évidemment mais aussi donner une image innovante de Capgemini. La SSII compte toucher les candidats potentiels aussi bien que ses clients ou futurs clients. Au passage, la société va diminuer ses coûts de recrutement. L'opération se déroule sur une semaine et sur sept lignes de TGV desservant le grand ouest au départ de Paris. (...)

(27/05/2008 18:41:19)

Atos Origin aurait composé avec Pardus et Centaurus

Selon notre confrère Les Echos, moins d'une semaine après l'ajournement houleux de l'assemblée générale d'Atos Origin par son président Philippe Germond, la direction de la SSII semble avoir composé avec les fonds d'investissement Pardus et Centaurus auxquels elle s'opposait. Ces derniers semblent notamment avoir obtenu le départ de Didier Cherpitel, le président du conseil de surveillance contre le maintien de trois membres du directoire. Rappelons qu'une nouvelle assemblée générale a été prévue pour le 12 juin prochain. (...)

(26/05/2008 16:54:55)

En 2008, Bull recrute plus d'un millier d'informaticiens

Bull a prévu de recruter entre 1 000 et 1 200 personnes sur toute l'année 2008. Il devrait déjà avoir rempli 50% de son objectif à ce jour, puisqu'il avait déjà embauché 500 personnes (dont 270 en France) fin avril. « Ces recrutements ont pour but de gérer notre croissance dans les services, en particulier dans l'intégration de système, explique Patrick Semtob, directeur général de Bull en charge des ressources humaines. Les services ont représenté 38% de notre activité en 2007 et nous visons 50% d'ici un ou deux ans. » Chez Bull, les campagnes de recrutement ont repris l'an dernier après une période de 6 ou 7 années « sans ». Sur le millier de postes proposés, au moins 500 concernent la France. La moitié seront situés en Ile de France et l'autre en province, principalement à Marseille, Bordeaux, Lyon, Grenoble, Montpellier, Nantes, Angers, Strasbourg. Les offres d'emploi pour l'étranger concernent surtout le Brésil, le Maroc, la Pologne, l'Espagne, le Royaume-Uni et l'Allemagne. Le Maroc pour les télécoms et l'e-gouvernement, la Pologne pour les télécoms, mais aussi la Chine pour les systèmes douaniers sont des pays de offshore pour Bull. Des experts pour de grands projets hautement technologiques Les postes à pourvoir concernent des ingénieurs en développement et conception pour le décisionnel, des développeurs J2EE, des consultants ERP sur SAP, Peoplesoft ou HR Access par exemple. « Nous recherchons aussi beaucoup de consultants en télécoms, ajoute Patrick Semtob. Si notre croissance dans les services est de 15%, elle est de 60% dans les télécoms. » Bull recherche également des architectes des nouvelles technologies, des experts en infrastructure, mais aussi des directeurs de projets spécialistes. Il faut dire que ce sont de grands chantiers et d'autres de taille moyenne, tous très sophistiqués, qui conduisent le Français à lancer cette campagne d'embauches. « Depuis l'an dernier, Bull emporte de nouveau beaucoup de grands projets, » explique justement Patrick Semtob, avant d'égrener une série d'exemples. Outre le supercalculateur du CEA et la refonte de l'infrastructure informatique du Ministère des finances, Bull affiche ainsi quelques belles réussites hors de nos frontières. Il a été choisi pour le système décisionnel de l'aide sociale Medicaid en Californie (après avoir gagné 6 autres états américains sur le même sujet), un système de reconnaissance automatique du courrier en Australie, le contrôle d'accès à l'ensemble du système informatique d'une entreprise allemande de 87 000 employés. Deux tiers de débutants et d'informaticiens avec une première expérience [[page]]Les deux tiers des embauches concerneront des débutants ou des informaticiens avec une première expérience. Les plus expérimentés seront appelés sur les postes de management de projet, mais aussi pour le décisionnel, les télécoms et l'expertise en infrastructure. Bull recherche des Bac+5 en informatique, issus aussi bien des universités que des grandes écoles. Plus que le diplôme, ce sont la personnalité du candidat et son potentiel qui importent. « Nous recrutons aussi pour l'avenir, » insiste Patrick Semtob. Les recrutements s'opèrent plutôt par le biais de contacts avec les écoles, et par cooptation. Bull utilise aussi beaucoup les stages et l'apprentissage pour les préembauches. « Nous pensions souffrir sur tous ces recrutements, comme le reste de la profession, note Patrick Semtob, mais finalement, cela a été moins difficile que prévu. Le niveau technologique élevé de Bull et des projets en cours attire visiblement les candidats. Il faut savoir qu'en tant que société de service nous avons un taux très faible de 6% de démissions. En général, pour les recrutements, il nous faut juste repréciser quels sont nos métiers. » L'autre attrait de Bull réside dans son envergure internationale, puisqu'il travaille dans le monde entier. Il gagne d'ailleurs de plus en plus de contrats pour lesquels plusieurs nationalités doivent se côtoyer. (...)

(22/05/2008 17:31:33)

Atos Origin ajourne son assemblée générale

[mise à jour] Le bras de fer qui oppose Atos Origin à ses deux principaux actionnaires, Pardus Capital Management et Centaurus Capital, prend une tournure inattendue. La direction d'Atos a ajourné l'assemblée générale annuelle de ses actionnaires, qui se tenait aujourd'hui, jeudi 22 mai. Cette AG devait prendre en compte les demandes de Pardus et Centaurus (qui ensemble détiennent 23% de la SSII, la Deutsche Bank détenant de son côté 6,26%) sur le remaniement du conseil de surveillance du groupe. Philippe Germond, président du directoire, a ajourné l'AG en invoquant un incident de séance. Gérard Guerguerian, directeur juridique de la SSII et président du conseil de surveillance du fonds commun de placement des employés d'Atos Origin, qui détient 3% du capital, aurait fait savoir qu'il voterait en faveur de certaines propositions des fonds Pardus et Centaurus, dont la révocation du président du conseil de surveillance de la SSII, Didier Cherpitel. L'ajournement de séance a été vivement contesté par Pardus et Centaurus. [mise à jour] La prochaine assemblée générale d'Atos Origin a été fixée au 12 juin 2008. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >