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Technologies 'vertes'
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(18/07/2008 15:26:01)
Reportage vidéo : au coeur de la filière des DEEE
Retrouvez notre reportage vidéo sur la filière DEEE. Depuis 2005, les conditions de collecte et de valorisation des déchets d'équipements électriques et électroniques (DEEE) font l'objet d'une directive européenne. Parmi ces déchets, on trouve entre autres l'informatique (UC, écrans, imprimantes, téléphones, etc.) Transposée en France fin 2006, la directive conduit les entreprises à s'organiser pour que leurs appareils électriques et électroniques hors d'usage soient recyclés ou réhabilités. Le grand public, lui, s'acquitte d'une écotaxe chaque fois qu'il achète un appareil. Celle-ci finance en partie la récolte et l'acheminement des déchets vers le retraitement. Ce sont les producteurs des déchets, rassemblés au sein de quatre éco-organismes en France agréés par l'Etat, qui s'occupent de la filière. C'est avec l'un de ces éco-organismes, Eco-Systèmes, que nous avons pu suivre avec notre caméra les diverses étapes suivies par ces déchets et ce, dans l'agglomération d'Angers. Cette dernière accueille en effet sur son territoire huit déchetteries, une usine de retraitement des DEEE, mais aussi un centre Emmaüs et l'entreprise Envie49 qui récupèrent les appareils pour les trier et les recycler. (...)
(01/07/2008 11:27:19)Greenpeace serre la vis aux industriels high-tech
Le « guide pour une électronique plus verte » de Greenpeace, huitième édition, est paru. Et une fois encore, la plupart des acteurs du marché se retrouvent sous la moyenne (5 sur 10). Seuls Sony Ericsson et Sony se placent tout juste au dessus, avec une note égale à 5,1 pour le premier! Il faut dire que le classement de l'association se fait désormais plus sévère. Greenpeace a renforcé le critère concernant la présence de produits chimiques toxiques et a ajouté des éléments liés à la consommation énergétique globale du processus de production de l'entreprise. En resserrant ses exigences, l'association tient les industriels sous la moyenne et maintient ainsi la pression. Et ce, même si tous - ou presque - font des progrès. «Beaucoup d'industriels ont déjà pris les mesures idoines sur les PVC et les retardateurs de flammes bromés, avoue volontiers Zeina Al Hadjj, responsable de la campagne sur les produits toxiques pour Greenpeace International et en charge du guide. Nous leur demandons maintenant d'établir un vrai programme d'élimination d'autres types de produits toxiques comme le beryllium ou les phtalates. » Ces derniers sont respectivement un élément isolant et des plastifiants du PVC. Du côté de l'énergie, les exigences de Greenpeace sont imposantes. L'association ne contente plus du label Energy Star pour les produits des industriels mais réclame qu'ils communiquent la consommation énergétique de tous leurs processus de production... Pas simple. »Les industriels doivent mesurer la consommation de tous leurs processus de production « Est-ce qu'ils connaissent leur consommation énergétique dans la production ? La réponse est non pour la plupart d'entre eux, confirme Zeina Al Hadjj. Ces chiffres n'existent tout simplement pas. Notre stratégie consiste donc à pousser les industriels à les compiler. C'est la responsabilité des entreprises de commencer à s'engager. C'est une responsabilité légale, mais aussi une démarche essentielle pour leur image ! » La porte-parole de Greenpeace explique que pour une industrie vraiment propre, il faut une approche globale, et non partielle, du cycle de vie des produits : substances chimiques, énergie, responsabilité au niveau des déchets, etc. Coté résultat, Sony emporte donc la palme. Mais il aurait pu faire mieux. Bien que son Vaio ait été élu produit électronique le plus vert par Greenpeace au printemps, Sony est sanctionné car il n'applique pas sa surveillance environnementale à l'ensemble de ses produits. HP, pris la main dans le sac dans un des précédents rapports, avec un retardateur de flamme bromé dans un de ses produits, est remonté dans l'estime de l'association. Quant à Nokia, bien que globalement très bon élève, il a perdu un point à cause de certaines pratiques peu claires de retrait pratiquées en Inde. Le fabricant de la Wii se joue des mises à l'index de Greenpeace [[page]]Mais le bonnet d'âne revient à l'irréductible nippon Nintendo. L'industriel semble rester imperméable aux mises à l'index répétées de Greenpeace. Heureux fournisseur de la Wii et de la DS, il nargue l'association en ne faisant quasiment aucun cas de ses classements calamiteux dans le guide. Le Japonais reste bon dernier en ce mois de juin avec une note minable de 0,8, juste derrière Microsoft évalué à 2,2. Plus de contact en face à face avec Nintendo « Depuis que nous publions notre rapport, Nintendo a tout de même publié quelques messages sur son site dédié à l'environnement », se défend Zeina Al Hadjj. Selon la porte-parole, qui en rit presque, Nintendo estime avoir fait des efforts en recyclant ses propres déchets au sein de son siège social. « C'est un minimum pour une entreprise aujourd'hui ! Mais ce n'est surement pas ce que nous voulons : ils doivent éliminer les déchets chimiques. Ils ont près de la moitié du marché des consoles, ils ont une responsabilité. » Mais avec une telle part de marché et les succès réunis de la DS et de la Wii, Nintendo n'a que peu de raisons purement économiques de rendre ses produits plus verts... « Nintendo est la seule des 18 sociétés que nous étudions avec laquelle nous n'avons plus de contact en face à face, depuis près d'un an, malgré nos messages, nos mails, confirme d'ailleurs Zeina Al Hadjj. » Les engagements ne sont pas des promesses à Greenpeace Pour Nintendo comme pour tous les autres, Greenpeace établit ses rapport trimestriels à partir des informations rendues publiques par les fournisseurs. L'association scrute les documents électroniques à la recherche des engagements vis à vis des émissions de gaz à effets de serre ou des calculs de consommation électrique. « Leurs engagements ne sont pas des promesses faites à Greenpeace, rappelle Zeina Al Hadjj. Il doit s'agir d'informations rendues volontairement publiques. » Quand c'est possible, l'organisation croise certaines de ces données avec des études indépendantes, mais elle réalise aussi des tests. « Nous avons une équipe qui « détruit » toutes ces machines, s'amuse Zeina Al Hadjj. Nous avons démonté un iPhone, un Sony Vaio, une Wii, un Lattitude de Dell, une Xbox de Microsoft, etc. » Greenpeace soupçonne Apple de ne pas avoir « dépollué » son iPhone 3G [[page]]A propos d'iPhone, Greenpeace n'a pas encore démonté le modèle tout récent 3G. « Quand Apple a des informations à communiquer, il le fait. Souvenons-nous du lancement du MacBook Air. Et là, nous n'avons toujours aucune donnée environnementale sur ce produit, s'étonne Zeita Al Hadjj. Nous soupçonnons Apple d'avoir laissé dans ces nouvelles versions les mêmes produits chimiques toxiques que dans son premier modèle. Mais nous attendrons patiemment la fin de l'année pour vérifier. » Et pour cause. Steve Jobs en personne a fait une promesse qui intéresse beaucoup Greenpeace : plus aucun produit de la firme ne devrait contenir de phtalates, ni de retardateurs de flamme bromés ou autre substance dangereuse, d'ici la fin de l'année. Chez Greenpeace, tournevis en mains, les militants piaffent d'impatience en attendant la prochaine Saint-Sylvestre... (...)
(01/07/2008 09:33:36)Les fondeurs et les constructeurs en plein désaccord sur Energy Star
Au moment de rendre sa copie, l'industrie des TIC a réservé une bien mauvaise surprise à l'EPA (Environmental Protection Agency) américaine. Chargée par le Congrès des Etats-Unis de définir de nouvelles normes Energy Star (consommation électrique) pour les serveurs d'entreprise, l'agence avait demandé leur avis aux industriels du secteur pour un premier brouillon de spécifications. Or chacun d'entre eux, fondeurs (Intel ou AMD) comme constructeurs (Dell, HP ou IBM), a sa propre idée des économies d'énergie liées à ses process de fabrication, mais aussi à ses arguments commerciaux. Et leurs corrections diffèrent donc grandement, y compris sur les termes choisis. Ainsi, ils ne s'accordent même pas sur la définition d'un serveur d'entreprise. Faut-il prendre en compte uniquement les machines conçues pour un tel usage (comme les serveurs lames) ou inclure les PC classiques utilisés comme des serveurs dans les petites structures ? Autre point de contentieux : les systèmes multiprocesseurs doivent-ils être considérés séparément ou vaut-il mieux une spécification globale ? Tous s'accordent à dire qu'on ne peut attendre la même consommation d'un serveur mono-processeur et d'un multi-processeurs, mais AMD concentre ses calculs sur le nombre de processeurs alors qu'Intel préfère compter en « sockets ». IBM, quant à lui, choisit de distinguer un serveur mono-socket d'un multi-sockets, sans plus de précision. Enfin, Dell et AMD en rajoutent puisqu'ils ne veulent pas qu'on tienne compte du benchmark SPECPower ssj2008 (qui mesure justement l'efficacité énergétique des puces) tandis qu'Intel veut l'inclure dans les spécifications. Avec autant de points de vue différents, trouver un accord va se révéler plutôt difficile. (...)
(23/06/2008 11:47:01)Greenzer s'auto-baptise portail de l'éco-consommation
Allier shopping et écologie, voici l'ambition de Greenzer. Le site, qui se définit comme « le portail de l'éco-consommation », ressemble à tous les comparateurs de prix sur Internet, répertoriant matériels informatiques, outillage, vêtements, etc. Sa touche personnelle est une note - le Greenzer score - attribuée en fonctions de 4 critères : - la présence d'écolabels ou de certifications, de type Energy Star, NF Environnement, etc. - les « attributs verts » des produits, donc les qualités liées à leur conception ou à leur fonctionnement. Greenzer cite ainsi « énergie solaire, sans substances chimiques, biodégradables, 100% recyclés, coton bio, économies d'énergie »... - l'impact de la consommation du produit sur l'environnement ; les ampoules basse consommation ou les batteries rechargeables seront ainsi mieux notées. - l'attitude éco-responsable des fabricants. Comme tous les critères « verts », certains prêtent évidemment à controverse et d'autres sont obligatoires. C'est ainsi le cas du label Energy Star pour les matériels achetés par des organismes publics en Europe qui est devenu un standard de facto pour toute la bureautique. Les informations seraient automatiquement récupérées chez les fournisseurs Mais le plus étonnant est la façon dont le « greenzer score » est calculé. Les fondateurs du site, Nicolas Ollier et David Nadzela, expliquent qu'il n'y a « aucune intervention humaine quant à la détermination de la note ». A les entendre, les données seraient récupérées automatiquement et fournies à leur algorithme, « avec bien sûr des pondérations selon la valeur du label ». Pour Nicolas Ollier et David Nadzela, « la valeur ajoutée d'une personne se situe plutôt sur la partie éditoriale ». En effet, le site met en avant certains produits, tant sur la première page du site que sur le blog attenant. Là est le biais principal : Greenzer est avant tout un comparateur de prix, qui réalise son chiffre d'affaires en envoyant du trafic qualifié vers les sites marchands. Vraies préoccupations écologiques ou green washing ? Les fondateurs de Greenzer expliquent que, quel que soit le produit mis en avant, il est de toute façon « sélectionné en amont », et répond donc à des impératifs écologiques. « Notre objectif est d'apporter un vrai service plutôt que de répondre à une démarche commerciale. » Dans le cas contraire, il ne s'agirait que de 'green-washing', une couche de peinture verte passée sur un comparateur de prix. Cela se révélera à l'usage, selon les produits sélectionnés. D'ores et déjà, Greenzer revendique 5000 produits dans sa base. Il est vrai qu'en l'absence d'un organisme de notation du développement durable ne se contentant pas seulement des déclarations des fournisseurs, Greenzer offre au moins une alternative éco-citoyenne (...)
(20/06/2008 12:58:25)IBM, Intel et Linux squattent le Top500
Sans surprise, le Roadrunner d'IBM a doublé tous les autres supercalculateurs dans le monde au sein du Top500. Deux fois par an, ce dernier classe les 500 supercalculateurs les plus puissants du monde. Le système pétaflopique installé par IBM à Los Alamos pour le DoE (Department of Energy) s'est installé en haut de l'échelle, loin devant tous les autres. Le numéro 2 ne dépasse pas le score, pourtant déjà très honorable, de 500 Tflops. Les numéros 2 et 3 sont aussi signés IBM avec son architecture BlueGene spécialisée dans le calcul. Le constructeur ne compte pas moins de 210 machines parmi les 500 étudiées alors qu'HP y place 183 de ses systèmes. Tous les autres constructeurs sont loin derrière. Les Etats-Unis accueillent la moitié des systèmes sur leur sol contre seulement 34 pour la France. Mais l'Hexagone s'améliore avec deux calculateurs dans le top 10 : l'Institut du développement et des ressources en informatique scientifique (IDRIS) du CNRS avec un BlueGene d'IBM (9e avec 12 Tflops) et Total avec une machine Altix de SGI (10e avec 106 Tflops). En attendant que la machine offerte par le gouvernement au Cines entre, elle aussi, dans la danse avec ses 147 Tflops. Sun, avec une configuration réunissant 63 000 quadri-coeurs AMD, reprend une bonne place juste derrière les 3 premiers IBM. Ce sont également des puces AMD qui animent le 5e supercalculateur du Top500, un Cray, mis en oeuvre avant que le constructeur ne choisisse de désormais privilégier Intel. Les processeurs du numéro un des fondeurs équipent quant à eux 75% des systèmes contre seulement 11% pour son concurrent, qui se place même derrière les Power d'IBM à 13,6%. Près des quatre cinquièmes de ces monstres de calcul comptent entre 1 000 et 4 000 processeurs. Linux domine lui aussi largement la compétition avec 427 systèmes dans sa besace contre seulement 25 pour Unix et 5 pour Windows. Une consommation moyenne de 1,32 MWatt dans le top 10 Pour la première fois, le Top500 affiche aussi la consommation électrique des systèmes testés (sans leurs environnements de protection électrique ou de refroidissement). Cette consommation est évaluée durant l'exécution du test Linpack, qui sert à jauger la puissance de calcul des machines. Volontairement, c'est bien la consommation électrique et non la performance énergétique des systèmes (rapport entre la consommation électrique et la puissance) qui est exploitée. Cette dernière ne vaut en effet comparaison que si les systèmes sont tous de même taille, ce qui, de fait, n'est pas le cas ici. La consommation moyenne du Top 10 est de 1,32 MWatt, Le prochain Green 500 -équivalent du Top500 qui positionne les systèmes en fonction de leur performance énergétique -, devrait être publié fin juin. Celui de février montrait une domination écrasante d'IBM qui occupait les 26 premières places ! (...)
(17/06/2008 16:51:38)Intel crée SpectraWatt, une société spécialisée dans l'énergie solaire
Intel vient de créer SpectraWatt, une société de développement des technologies de transformation de l'énergie solaire en électricité, à partir de son activité existante dans le domaine. Cette démarche n'a rien d'une lubie puisque les microprocesseurs et les panneaux solaires photovoltaïques sont fabriqués à partir d'une même matière : le silicium. IBM travaille d'ailleurs lui aussi sur la conception de panneaux. Le fondeur sera épaulé par trois sociétés, Goldman Sachs Group (une des plus grandes banques d'investissement américaines), Solon AG (un fabricant allemand de modules solaires et de systèmes photovoltaïques) et le fond PCG Clean Energy and Technology Fund (CETF). Ensemble, ils devraient injecter 50 M$ dans la nouvelle joint venture. SpectraWatt tentera de réduire le coût de l'énergie solaire SpectraWatt devrait livrer ses premières cellules photovoltaïques aux fabricants de panneaux solaires dès le milieu de l'année prochaine. La société s'emploiera également à diminuer le coût de l'énergie solaire, actuellement le double de celui de l'électricité distribuée au détail. Selon Intel, cette baisse des tarifs devrait encourager les entreprises et les particuliers à opter pour le solaire, et soutenir ce marché avec une croissance de l'ordre de 30 à 40 % par an. Dirigée par Andrew Wilson, ancien directeur général de la division « nouvelles initiatives commerciales » d'Intel, SpectraWatt est situé dans l'Oregon. (...)
(16/06/2008 16:10:49)Green Plug propose un chargeur universel
Un seul et unique chargeur électrique pour le téléphone, le smartphone, le lecteur MP3 et l'ordinateur portable ? A l'heure où changer de mobile, même chez un même fabricant, signifie souvent adopter un nouveau chargeur, cela semble relever du miracle. Westinghouse Digital Electronics, fabricant de téléviseurs LCD, d'écrans d'ordinateurs et de cadres de photo électroniques, a pourtant décidé d'adopter une technologie qui pourrait bien en faire une réalité. C'est la start-up Green Plug qui a trouvé la solution. Chaque périphérique communique tout simplement ses besoins de puissance à un adaptateur « universel ». Celui-ci peut même servir de hub électrique en quelque sorte, accueillant plusieurs appareils. Enfin, il coupera l'alimentation idoine chaque fois qu'un chargement sera terminé. Un firmware pour communiquer le besoin de puissance de l'appareil Un premier bémol : le succès du produit dépend de son adoption par les industriels de l'électronique. Ils devront embarquer le firmware de Green Plug dans leurs périphériques afin que ceux-ci communiquent les informations sur leurs besoins en puissance. Frank Paniagua, PDG de la start-up, dit avoir déjà un fabricant de puces parmi ses contacts, sans vouloir en dévoiler le nom. Et les premiers adaptateurs Green Plug devraient être commercialisés aux Etats-Unis pour environ 100$. [[page]] Westinghouse Digital Electronics a annoncé sa décision lors de la deuxième réunion de l'Alliance for Universal Power Supplies, un groupe de vendeurs d'électronique, de fabricants de chargeurs électriques, de distributeurs d'électricité et d'autres acteurs qui soutiennent le développement de systèmes de chargement électrique standards pour réduire le gâchis électronique et l'inefficacité énergétique. Des représentants de Fujitsu, Motorola, Intel et Broadcom, étaient présents, entre autres. Des revenus non négligeables proviennent des chargeurs Selon un consultant spécialisé en environnement, plus de 3 milliards d'adaptateurs électriques seront vendus cette année contre 2,2 milliards l'an dernier. Et la plupart des chargeurs et adaptateurs des 434 millions d'appareils électroniques « mis en retraite » aux Etats-Unis finiraient dans des décharges. Pourtant, pour Green plug, de nombreux obstacles existent. Ainsi, avec des adaptateurs universels, en cas d'incendie, la législation américaine mettrait en cause aussi bien le fabricant de l'appareil que celui de son adaptateur. Et puis, pour la plupart des fournisseurs, les câbles de connexion et les chargeurs restent une source de revenus non négligeable... (...)
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