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(03/03/2005 18:55:38)
Résultats Bouygues 2004 : la branche télécoms, première contributrice aux bénéfices
Les résultats 2004 présentés par Bouygues font état d'un chiffre d'affaires en progression de 7 % à 23 402 M¤, et d'un résultat net en hausse de 49 % à 670 M¤. Ce chiffre n'inclut pas la plus-value réalisée sur la cession de la Saur.
Si la branche télécoms reste dominée par SFR et Orange, elle n'en est pas moins la première contributrice aux bénéfices du groupe Bouygues. Le chiffre d'affaires de l'activité télécommunications s'élève à 3 674 M¤ (+ 12 %), pour un résultat d'exploitation de 549 M¤ (+20%). Le bénéfice net fait un bond de 120 % par rapport à 2003 et atteint 266 M¤.
Le groupe Bouygues est revenu, au cours de la présentation de ses résultats, sur la panne du 17 novembre dernier, qui avait paralysé les abonnés. L'impact de ce dysfonctionnement sur l'excédent brut d'exploitation a ainsi été chiffré à 20 M¤.
L'entreprise de Martin Bouygues a également donné quelques nouvelles précisions sur Edge, sa technologie de transition des communications mobiles, sorte de "3G maison". Celle-ci devrait sortir au mois de mai pour les entreprises et au quatrième trimestre pour les particuliers. L'investissement consenti pour son lancement atteint 230 M¤, dont plus du tiers a déjà été affecté en 2004.
Les estimations pour 2005 tablent sur une progression du chiffre d'affaires d'environ 25 %. Bouygues Télécom devrait en effet profiter de la mise en place de la facturation entre opérateurs mobiles. Le groupe, dans sa globalité, mise sur un CA 2005 de 22,7 Md¤, soit une croissance de 7 %. (...)
IDF : Intel détaille ses plans pour la mobilité
A peine un mois après la présentation de Sonoma, la seconde version de sa plate-forme mobile Centrino, Intel a profité de son forum développeurs qui se tient cette semaine à San Francisco pour lever le voile sur les innovations qu'il entend introduire dans les portables en début d'année prochaine.
Selon Intel, la priorité est désormais à l'amélioration des performances des portables, notamment leurs performances multimédias, et à la simplification de leur administration. Pour cela le fondeur travaille sur une nouvelle déclinaison de sa plate-forme mobile Centrino, connue sous le nom de code Napa. Les composants principaux de cette nouvelle plate-forme sont le futur processeur mobile bicoeur, Yonah, le jeu de composants Callistoga et la puce Wi-Fi multimode Golan.
Selon Intel, Yonah devrait considérablement doper les performances des portables du fait de l'utilisation de deux coeurs mais aussi du support des technologies multimédias les plus récentes du fondeur dont le jeu d'instructions multimédias SSE 3. Schmuel Eden, le vice-président en charge des plates-formes mobiles d'Intel, assure que ces gains de performances se feront à consommation similaire. C'est à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle. Après avoir durant des années privilégié la performance à l'autonomie, Intel avait promis avec Centrino de recentrer ses efforts sur l'autonomie et d'améliorer progressivement la durée de fonctionnement des portables sur batterie.
Il est à noter que la plate-forme Napa apportera aux mobiles le support des technologies de virtualisation matérielles d'Intel (VT) ainsi que le support d'Active Management Technology (AMT).
Intel poursuit son chemin de croix dans les téléphones mobiles
Inel a aussi fait mention de ses efforts continus sur le marché des puces pour téléphones mobiles, un marché où ses deux précédentes générations de puces ont connu des échecs retentissants. Ainsi Manitoba, l'actuel processeur pour téléphones d'Intel n'a été sélectionné par aucun fabricant majeur du marché. Intel a toutefois décidé une nouvelle fois de tenter sa chance sur ce marché, dominé par Texas Instruments, avec Hermon, une puce "tout en un" combinant un processeur applicatif Xscale, un baseband 3G et de la mémoire flash. Hermon sera utilisé par le constructeur taïwanais Asustek dans un futur portable destiné au marché OEM. Reste à savoir s'il y aura un miracle Hermon pour Intel (le Mont Hermon est l'endroit où Jésus est supposé avoir révélé à ses disciples sa vocation de construire une église et d'aller à Jerusalem pour y mourir et être ressuscité, preuve au moins qu'Intel ne manque pas d'humour dans ses noms de code, NDLA) (...)
EMC ajoute un moteur de recherche à ses Centera
EMC vient d'enrichir les fonctions de recherche de ses baies de stockage CAS (Content Adressable Storage) Centera en lançant deux nouveaux produits, Centera Seek et Centera Chargeback Reporter. Centera Seek est en fait une appliance combinant un serveur Dell et le moteur de recherche Instream de Fast. Sa mission est d'indexer et de rechercher dans les archives stockées à l'intérieur d'un ou plusieurs systèmes Centera (une installation Centera peut accueillir jusqu'à 32 baies CAS). Dans la pratique, l'appliance Centera Seek est censée permettre aux utilisateurs finals d'accéder simplement et efficacement aux données stockées sur un Centera.
Centera Seek peut aussi être utilisé par des développeurs tiers pour développer des applications tirant parti de son moteur de recherche intégré. C'est exactement ce qu'a fait EMC avec Centera Chargeback Reporter un outil qui permet d'obtenir un reporting détaillé et multicritère sur l'utilisation des Centera afin de facturer les utilisateurs.
Centera Seek est vendu à partir de 4 000 $ et ChargeBack Reporter à partir de 1 000 $. (...)
MandrakeSoft renforce son implantation dans l'Enseignement et la Recherche
MandrakeSoft vient de recevoir un énième coup de pouce gouvernemental. Le distributeur Linux a en effet signé un protocole d'accord avec le ministère de l'Education nationale, de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, qui va permettre à l'ensemble de ses produits et services d'être recommandés et diffusés aux établissements d'enseignement supérieur et de recherche, à travers la France.
L'accord prévoit en outre que les étudiants et personnels des établissements pourront utiliser les logiciels pour leur usage personnel, ce qui ne change rien par rapport à la situation actuelle, les distributions Linux de MandrakeSoft étant en téléchargement libre et gratuit sur Internet...
Selon un représentant du Groupe Logiciel Universités-Recherche l'accord est générateur d'économies financières. Il vise aussi à "favoriser le recours à des solutions informatiques qui privilégient les standards ouverts et sont rapidement intégrables dans une infrastructure aux normes publiques"..
Mandrake n'en n'est pas à son premier accord avec l'administration publique et avec le secteur de la recherche. En 2002, l'éditeur avait emporté un appel d'offres de l'Ugap pour fournir des distributions Linux à l'Administration et aux établissements publics. En juillet 2004, l'éditeur a aussi remporté le marché des serveurs du ministère de l'Equipement et plus récemment, il a pris la tête du consortium Edos pour un projet de recherche (subventionné par l'Union européenne à hauteur de 2,2 M¤) impliquant notamment l'Inria, Nuxeo, Nexedi et l'Université Paris VII). (...)
Sun lance une solution RFID pour les industriels
Sun Microsystems, vient d'annoncer une déclinaison de sa solution RFID pour les industriels de la fabrication. Baptisée "RFID ISA for Manufacturing", la solution a pour but de simplifier le déploiement des technologies RFID dans un environnement de production. La solution combine le middleware RFID Java de Sun, Sun Java System RFID Software, l'outil de gestion d'entrepôt ViaWare Warehouse Management System de Provia, une imprimante Printronix RFID, lecteur RFID et des outils d'intégration. (...)
(03/03/2005 18:42:55)Eolas se ramasse à l'appel
Microsoft peut souffler. La cour d'appel fédérale de Washington a en effet cassé le jugement du tribunal de Chicago, qui condamnait l'éditeur de Windows à verser 520 M$ pour la violation d'un brevet déposé par la société Eolas.
L'affaire avait débuté en 1999, quand Eolas avait engagé des poursuites à l'encontre de Microsoft, en reprochant à ce dernier d'avoir abusivement utilisé dans son navigateur Web des technologies brevetées. Rejoint dans son action par l'Université de Columbia, Michael Doyle, le dépositaire du brevet et fondateur d'Eolas, avait obtenu gain de cause en première instance.
Microsoft avait alors interjeté appel de cette décision qui le condamnait à payer une indemnité record de 520 M$. Une condamnation qui suscitait les plus vives récriminations d'un groupe constitué de pontes et autres experts du Web, dont le fondateur du WWW, Tim Berners-Lee. Soutenu par ce collège émérite, Microsoft prétendait démontrer en appel l'invalidité du brevet prétendument violé. En effet, selon le géant de Redmond, la technologie dont Michael Doyle réclame la paternité n'a pas été mise au point par ce dernier, mais par Perry Pei-yuan Wei et ses collaborateurs de O'Reilly and Associates. Ces derniers ont en effet développé le tout premier navigateur Web, Viola, lequel intégrait la technologie revendiquée par Eolas et était antérieur au dépôt du brevet. Par conséquent, selon les arguments de la défense, le copyright que Microsoft n'a pas respecté n'avait aucune valeur.
La décision rendue par la cour d'appel prend en partie en considération ce dernier point. La cour estime ainsi que Microsoft a bel et bien violé un brevet, et doit par conséquent payer des indemnités. Mais elle précise par ailleurs que la validité de ce brevet doit être juridiquement validée. Elle renvoie donc l'affaire vers un tribunal de première instance.
Fait rare après une décision de justice, les deux parties se déclarent satisfaites du résultat. Microsoft, parce qu'il n'a pas à débourser la somme faramineuse réclamée en première instance. Eolas, car la violation de « son » brevet a été officiellement reconnue.
Reste maintenant à attendre le prochain épisode de ce palpitant feuilleton. La question cruciale ne porte plus sur la violation du brevet. Celle-ci est avérée. L'ultime volet de la saga s'apparentera plutôt à un test de paternité. Si Doyle est le géniteur juridiquement reconnu de la technologie revendiquée, Microsoft devra payer. Dans le cas contraire, Bill Gates pourra respirer : il aura violé un brevet réputé n'avoir jamais existé. (...)
Open Source : OpenOffice.org 2.0 disponible en version bêta
OpenOffice.org vient de livrer une version bêta (estampillée OpenOffice.org 2.0 Snapshots Builds) de sa suite bureautique Open Source OpenOffice 2.0. Côté roadmap, l'éditeur indique qu'une version release candidate devrait aboutir rapidement (au rythme de mise à jour toutes les deux semaines), jusqu'à une version définitive, prévue fin mai.
Côté nouveautés attendues dans la version finale, notons une interface utilisateur refondue, ainsi que l'amélioration de la compatibilité avec les fichiers de Microsoft Office. Les principales modifications interviendront au niveau du module « Writer » de l'application, le traitement de texte.
La version 2.0 d'OpenOffice, considérée comme une mise à jour majeure par la communauté, devrait se positionner en une sérieuse alternative à la suite Office de Microsoft.
La bêta 2.0 est disponible en téléchargement depuis le site de l'éditeur. Ce dernier indique par ailleurs que cette mouture n'est valable que pour tests, et n'offre aucune garantie. (...)
Inmarsat prépare le lancement de ses satellites de nouvelle génération
Inmarsat s'apprête à mettre en orbite une nouvelle génération de satellites qui vont lui permettre d'offrir des services avancés de communication voix et données à ses utilisateurs. Le premier des satellites Inmarsat I-4 sera lancé depuis Cap Canaveral, jeudi et deviendra le plus gros satellite commercial en orbite. I-4 est la 4e génération de satellites Inmarsat. Elle va permettre de décupler les capacités de communications de l'opérateur satellite. Dans la pratique les deux premiers satellites I-4 vont permettre à Inmarsat d'offrir dans le courant du premier semestre des services de données à des débits pouvant atteindre 432 Kbit/s. Ces deux appareils couvriront 90 % de la surface du globe (à l'exclusion des pôles) et seront à terme épaulés par un troisième satellite qui servira de secours en cas d'incident.
Parallèlement aux satellites I-4, Inmarsat va commencer la commercialisation de nouveaux terminaux plus compacts et moins coûteux (entre 2 000 et 5 000 $). Les terminaux actuels restent compatibles moyennant une mise à jour logicielle.
Un autre atout important des satellites I-4 sera leur interopérabilité avec les reseaux de téléphonie 3G (via le service Swift Broadband), qui permettra aux compagnies aériennes d'offrir des services en vol de téléphonie et de données à leurs passagers équipés de téléphones mobiles. (...)
L'accord Sun Fujitsu portera ses premiers fruits au deuxième trimestre en Europe
Si Sun a commencé à revendre les serveurs PrimePower de Fujitsu aux Etats-Unis au mois de février, l'accord entre les deux fabricants ne devrait porter ses premiers fruits que dans quelques semaines en Europe. Comme l'explique Dario Wiser, en charge du marketing de l'alliance Sun Fujitsu pour l'Europe, le Vieux Continent a pris un peu de retard sur les Etats-Unis du fait notamment de procédures logistiques différentes (NDLR : En Europe, le principal représentant de Fujitsu est sa coentreprise avec Siemens, Fujitsu Siemens Computer).
D'ici quelques semaines, Sun va donc pouvoir proposer à ses clients les serveurs Sparc PrimePower de Fujitsu tandis que ce dernier pourra inscrire à son catalogue les serveurs de Sun. L'intérêt de la manoeuvre pour les clients ne semble guère évident. Selon Dario Wiser, elle permettra aux clients qui le souhaitent et qui se fournissait jusqu'alors chez les deux constructeurs de ne plus avoir qu'un seul interlocuteur pour tous leurs besoins.
En fait, les premiers mois de mise en place de l'alliance Sun-Fujitsu seront surtout un galop d'essai avant l'introduction en 2006 des serveurs de la gamme APL, codesignés par les deux fabricants. Ces serveurs seront, en haut de gamme, basés sur les puces Sparc 64 VI conçues par Fujitsu (nom de code Olympus). En entrée de gamme et pour les clients faisant usage d'applications massivement multithreadées (serveurs Web, Java...), la gamme APL comportera aussi plusieurs modèles embarquant la puce Niagara, un processeur Sparc à 8 coeurs capable de traiter simultanément 32 threads.
L'accord d'alliance qui lie Sun et Fujitsu, conclu mi-2004, cours jusqu'en 2009, année ou Sun devrait lancer Niagara 2 mais aussi Rock, une puce multicoeur et multithread, plutôt positionnée en successeur du Sparc 64. Il sera alors intéressant de voir si les deux constructeurs renouent leur alliance ou se séparent à nouveau pour reprendre leur liberté. (...)
L'OSC aide les entreprises européennes à s'ouvrir à l'Open Source
L' OSC (Open Source Consortium) débute en Grande-Bretagne un service d'aide pour les entreprises à la recherche d'information sur l'Open Source. L'objectif est de fournir aux sociétés une « première porte d'entrée » au monde du libre. Cela se traduira d'abord par une prise de contact sur le site Internet du consortium, puis via une numéro téléphonique de type help-line (disponible dès la fin mars). Les entreprises pourront récolter ainsi des informations sur la législation (un aubaine en pleine tourmente autour des brevets de logiciels), sur le support technique, ainsi que sur les formations.
Pour Mark Taylor, directeur exécutif de l'OSC, le service devrait intéresser les administrations (généralement très attirées par le modèle Open Source), ainsi que les PME.
Si le projet est un succès, indique-t-il, l'OSC devrait l'étendre sur la France et l'Allemagne. (...)
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