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(15/07/2010 16:14:33)

Le conseil d'OpenSolaris envoie un ultimatum à Oracle

Selon les minutes de la réunion, qui s'est tenue lundi dernier, le conseil exécutif devrait avoir « le pouvoir de parler de l'avenir d'OpenSolaris et de son interaction avec la communauté OpenSolaris. Sinon, l'OGB prendra des mesures lors de la réunion du 23 août et déclenchera une des clauses de la charte de l'OGB qui suspendra le contrôle d'Oracle sur la communauté. » 

OpenSolaris est une distribution Open Source du système d'exploitation Solaris sur base Unix acquis pas Oracle lors du rachat de Sun Microsystems. Depuis les membres de la communauté ont poursuivi leur travail sur le code d'OpenSolaris, mais Oracle conserve le contrôle sur ce qui est finalement intégré à la distribution officielle. Entre autres questions, les membres de ce conseil ont été contrariés par l'absence de communication d'Oracle sur le calendrier des futures versions de l'OS.

Certains utilisateurs ont même suggéré qu'il pourrait être judicieux de créer une scission du code source pour poursuivre l'aventure sans Oracle (voir par exemple distribution Belenix ou Nexenta ). Mais d'autres défenseurs d'OpenSolaris estiment que le démantèlement du conseil d'administration reste la meilleure solution. «Franchement, à mon humble avis, l'OGB brasse de l'air », écrit Ben Rockwood dans un blog. « Le corps est froid depuis longtemps, mais seulement parce qu'il a choisi de l'être. ... Il n'a jamais décidé de quoi que ce soit, et ce n'est pas maintenant qu'il va commencer. Mais le fait qu'il s'agit d'un chiffon humide ne veut pas dire que nous devrions tout simplement jeter l'éponge », a-t-il ajouté. « Un siège inconfortable est toujours mieux qu'aucune place à table. »

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(15/07/2010 15:20:12)

Oracle publie 59 correctifs de sécurité, dont trois critiques

Sur les 59 patchs annoncés dans le cadre de la campagne trimestrielle Critical Patch Updates d'Oracle, 13 concernent des problèmes de sécurité fragilisant la suite de base de données maison et 28 pour des vulnérabilités exploitables à distance et considérées d'une importance capitale par l'éditeur. : elles permettent en effet de prendre le contrôle des systèmes sans avoir besoin de s'identifier par un nom d'utilisateur ou un mot de passe. « Trois de ces patchs sont essentiels car ils portent sur des défauts particulièrement dangereux dans toutes les versions database server d'Oracle, » a déclaré Josh Shaul, directeur de la gestion produits chez Application Security, un spécialiste en solutions de sécurité basé à New York. L'une des failles, qui porte le numéro CVE-2010-0902, permet à tout utilisateur authentifié au sein d'une base de données Oracle de disposer d'un accès administrateur total. «Ils peuvent consulter la base de données, la modifier ou arrêter le serveur de base de données. En un mot, ils disposent de toutes les autorisations administrateur de la base de données, » a expliqué Josh Shaul.

Des failles critiques pour les entreprises

Les deux autres failles critiques affectant la base de données pourrait être exploitées sans que l'utilisateur ait même besoin d'être connecté à la celle-ci. Elles permettraient notamment à un attaquant de déclencher un déni de service (DoS) contre la base pour la rendre inaccessible aux utilisateurs légitimes. «Ce sont trois vulnérabilités très dangereuses pouvant mettre à néant la base de données, » a encore déclaré le responsable d'Application Security. « L'indice établi par Oracle pour classer les failles par niveau de gravité ne reflète pas la véritable nature de la menace, » a t-il commenté.


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La suite de produits Solaris acquise par Oracle avec le rachat de Sun Microsystems est concernée par 21 correctifs dans le total de ceux qui ont été livrés, dont 7 sont exploitables à distance. Dix-sept des correctifs réparent des failles dans E-Business Suite et Supply Chain Management (SCM), dans la suite JD Edwards de PeopleSoft. Une autre série corrige 7 failles dans les produits Fusion Middleware d'Oracle, tandis que l'un des correctifs colmate un trou dans Enterprise Manager Grid Control.

Mise en oeuvre prudente

Comparativement aux livraisons précédentes, le nombre de correctifs appliqués cette fois-ci est globalement assez faible. En Janvier 2006 par exemple, Oracle avait publié 82 correctifs après une mise à jour effectuée en octobre qui réparait déjà 101 bugs. Dans le passé, les administrateurs d'Oracle ont été notoirement lents à déployer des correctifs de sécurité, en particulier dans les environnements de base de données. Des enquêtes ont montré que les environnements sous Oracle attendent souvent plusieurs mois avant de disposer de correctifs de sécurité, même dans les cas où les failles peuvent représenter un danger manifeste. Cet immobilisme découle en grande partie de la préoccupation concernant la mise en oeuvre de ces correctifs, le délai nécessaire pour tester et déployer ces patchs entrainant une perturbation redoutée de la production. « Depuis peu les entreprises savent de mieux en mieux réagir pour effectuer le déploiement des correctifs dans les base de données Oracle, aidées notamment par des outils qui facilitent la gestion de l'application des patchs, » a déclaré Josh Shaul.

Crédit photo : D.R.

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(15/07/2010 15:06:23)

NTT veut acquérir Dimension Data

On savait que les opérateurs de télécommunications considéraient l'Afrique comme terrain de jeu, avec plusieurs acquisitions récentes. Les acteurs japonais et le premier d'entre eux étaient plutôt absents de cette partie. Et pourtant, NTT vient de déposer une offre publique d'achat sur Dimension Data, intégrateur spécialisé dans l'infrastructure et les services IT. Le montant proposé par l'opérateur nippon est de 2,5 milliards d'euros.

Le groupe sud-africain, fondé en 1983, comprend 11 500 employés dans le monde et près de 6 000 clients. L'intérêt de NTT dans cette opération est double. En premier lieu, Satoshi Miura, PDG de l'opérateur explique que « cette opération doit aboutir à la création de services dédiés au cloud computing autour des services managés, des datacenters, etc ». Autre enjeu du rachat, l'expansion territoriale avec une entrée sur le continent africain et le Moyen Orient où NTT était peu ou pas présent. L'opérateur japonais était surtout actif en Asie, Europe et Etats-Unis.

L'acquisition devrait être effective au mois d'octobre 2010.

 

 

Crédit Photo: DR

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(15/07/2010 15:02:54)

Pour accompagner son déménagement, HP France passe au télétravail

La filiale française de HP a signé cette semaine un accord avec les différentes organisations syndicales représentées dans l'entreprise (CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT et FO) en vue de la mise en place des conditions du télétravail dans l'entreprise. Cet accord est effectif dès le mois de juillet et devrait concerner, selon la société, près de 5000 salariés.
Il précise donc le cadre et les conditions du télétravail chez HP, et ce, sous ses différentes formes. Qu'il s'agisse de la conséquence d'un projet de transformation de l'entreprise, comme son déménagement imminent d'Issy-les-Moulineaux vers les Ulis, ou bien d'une demande express de la part des employés. Tout cela en accord avec les directives de l'Accord National Interprofessionnel (ANI), afin de s'assurer qu'aucun abus ne sera commis, et que le télétravail se basera de manière effective sur le volontariat, et sera réversible sur demande.

Apaiser la grogne au préalable

Avec cet accord, HP amortit en partie la grogne des salariés de retour aux Ulis, alors que certains resteront à Issy, comme la division Software et Service par exemple. Pour autant, il est reconnu que le télétravail peut mener à une souffrance identitaire due à l'absence de lien social professionnel. L'entreprise prévoit donc de mettre à disposition ses outils techniques pour pallier à ce manque et ne pas subir le contrecoup du télétravail à la fois sur sa productivité et sur son image dans le monde du travail. Les vidéoconférences formeront donc, d'après un communiqué de la firme, le coeur de ces mesures palliatives, combinées à un programme d'accompagnement et de formation à ce mode d'organisation.


Crédit photo : HP France, Issy les Moulineaux
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(15/07/2010 14:54:46)

L'Energy Efficient Ethernet passe en phase de test

« Les procédures de pré-tests permettront aux fournisseurs de proposer leurs solutions dans un délai rapide » souligne Jeff Lapak, ingénieur en chef au sein du laboratoire universitaire.

L'Energy Effecient Ethernet ou 802.3az dans la terminologie de l'IEEE est un standard qui a été désigné pour réduire la consommation énergétique sur les réseaux Ethernet. Cette norme devra être supportée par différents équipements, comme les commutateurs et les cartes pour serveurs. Concrètement, elle baisse la consommation électrique quand les transmissions de données sont faibles.

Sanjay Kasturau, CTO de Teranetics et responsable de la rédaction du standard 802.3az a récemment indiqué que « l'utilisation des liens LAN n'étaient en moyenne que de 10% et dans les pics d'activité ce taux n'atteint pas les 100% ». Des études montrent par ailleurs que la consommation électrique des différents switchs des équipementiers peut varier considérablement.

Une gamme d'équipements prêtée pour tests

Ce standard, complémentaire à d'autres normes d'efficacité énergétique plus récentes à destination des équipements pour datacenters, devrait être finalisé d'ici l'année prochaine. Les travaux sur EEE a commencé en 2006, lors d'un travail exploratoire. Aux Etats-Unis, l'agence de protection de l'environnement, le ministère de l'Énergie et le laboratoire national  Lawrence Berkeley ont été parmi les premiers partisans de cette technologie.

A l'origine, le laboratoire universitaire devait tester les produits compatibles Fast Ethernet et Gigabit Ethernet. Ces tests devaient être étendus à d'autres évolutions d'Ethernet l'année prochaine. Plus tôt cette année, le centre de recherche avait reçu plusieurs produits pré-standardisé 802.3az par l'Alliance Ethernet. A la fin 2009, Broadcom a proposé des puces intégrant EEE en version projet.

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(15/07/2010 14:49:23)

Trimestriels Intel : Un bénéfice encourageant pour toute l'industrie

Le fondeur de Santa Clara a annoncé cette semaine un très solide bénéfice pour le deuxième trimestre de son exercice 2010 (2,9 milliards de dollars), stimulé par les fortes ventes de processeurs dans le segment des serveurs. L'année dernière à la même époque, la firme avait enregistré une perte de 398 millions de dollars suite des charges exceptionnelles (1,45 milliard de dollars) qui correspondait à l'amende imposée par la Commission européenne. Le bénéfice par action atteint aujourd'hui 0,51 $ par action, alors que les analystes s'attendaient à un maximum de 0,43 $ par titre. Le fondeur a déclaré des revenus trimestriels de 10,8 milliards de dollars, en hausse de 34% par rapport au trimestre de l'exercice précédent. Les analystes estimaient ces recettes autour de 10,3 milliards de dollars.

Demande en forte hausse sur les serveurs

« La forte demande des entreprises pour les derniers processeurs Intel nous a permis de réaliser le meilleur trimestre de l'entreprise depuis 42 ans [la firme a été fondée en 1968 NDLR]», a déclaré Paul Otellini, Président et CEO d'Intel, dans un communiqué. Le chiffre d'affaires de la division Data Center, qui propose des produits pour les serveurs, les baies de stockage et les stations de travail, a été de 2,1 milliards de dollars, en hausse de 1,48 milliard a indiqué la société par rapport à l'exercice précédent. La division microprocesseur a quant à elle réalisé un chiffre d'affaires de 1,8 milliard de dollars tandis que les revenus pour l'activité PC Client ont été de 7,84 milliards de dollars contre 6 au cours du trimestre de l'exercice précédent.

Au cours de ce dernier trimestre, Intel a introduit plusieurs puces pour serveurs et PC portables, et en mai dernier le fondeur a marqué les esprits avec un processeur connu sous le nom de code Knights Ferry et composé de 36 coeurs pour un traitement plus rapide et en parallèle des applications commerciales et scientifiques. La société a également effectué son retour sur le marché des smartphones avec ses puces Moorestown, basées sur le noyau Atom.

Intel estime enfin à 11,6 milliards de dollars, avec plus ou moins 400 millions de dollars, ses recettes pour le troisième trimestre

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(15/07/2010 14:08:05)

Les ventes mondiales de PC progressent au second trimestre 2010

Selon le cabinet d'études, les ventes mondiales de PC ont représenté 82,867 millions d'unités au deuxième trimestre, contre 68,631 millions un an plus tôt. Il s'agit de la troisième hausse trimestrielle consécutive, après un début d'année 2009 difficile pour le secteur informatique.

Les analystes notent toutefois un ralentissement de la croissance des ventes des netbooks, ordinateurs portables à bas prix très prisés ces deux dernières années. « Ce ralentissement indique que la croissance des ventes de ce segment de marché est arrivée à maturité », explique Mikako Kitagawa, analyste chez Gartner.

A l'échelle mondiale, c'est toujours Hewlett-Packard qui domine le marché du PC, avec 17,4% de parts au deuxième trimestre (contre 18,8% il y a un an). Mais HP perd une partie de son avance sur la concurrence. Acer, deuxième, a vu ses ventes grimper de 31,6%, pour une part de marché établie à 13% sur la période (contre 12% au 2e trimestre 2009). Dell est troisième (+19%, 12,4% de parts de marché), Lenovo quatrième (+47,2% et 10% de parts), Asus cinquième (+78,5%, 5,2% de parts) et Toshiba sixième (+27,5%, 5,1% de parts).

Acer en tête en Europe


Dans la zone EMEA (Europe, Moyen Orient et Afrique), 24 millions d'ordinateurs se sont vendus au cours du deuxième trimestre, soit une hausse de 21,6% sur un an. Le groupe taïwanais Acer est en tête avec 21,3% de parts de marché et des ventes en hausse de 37,1%. Suivent HP (19,7% de parts), Dell (9,2%), Asus (8,5%) et Toshiba (5,7%).

Pour Gartner, les bonnes ventes de PC du premier semestre s'expliquent par la forte demande du grand public. En revanche, les six derniers mois de l'année dépendront plus du marché professionnel et des entreprises. L'incertitude provient du climat économique qui pourrait ralentir la croissance en fin d'année, voire même en 2011.

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(15/07/2010 12:08:10)

iOS 4.1 bêta 1 : ajouts et déceptions

Les développeurs d'applications pour iPhone peuvent d'ores et déjà mettre la main sur la bêta 1 de la première mise à jour du pourtant récent iOS 4, et sur le SDK 4.1 associé. Ces évolutions concernent les iPhone 4, 3GS, 3G et iPod Touch. Comme à l'accoutumée, les développeurs devront disposer d'un acompte iPhone Developer et d'un Mac Intel disposant de Mac OS X 10.6.4.

Quelques ajouts notables

Au niveau des apports d'iOS 4.1, on peut souligner le retour du Game Center, grand absent lors de la sortie finale de l'OS alors qu'il avait été présenté en même temps en avril, avec cette fois-ci un design complètement remanié. Game Center est un réseau social de jeux, comportant un système de classements, de gestion de contacts et un mode « matchmaking » capable de gérer des parties multijoueurs. Les développeurs ont aussi remarqué le repositionnement des boutons des commandes de l'appareil photo lorsque l'on incline l'iPhone en mode paysage. De même, les numéros favoris peuvent être ajoutés dans les applications Voice et Facetime. 

L'antenne continuera de faire débat

Le point un peu plus polémique concerne les problèmes de réception expérimentés par les utilisateurs du smartphone. Apple avait communiqué sur le sujet, affirmant qu'il s'agissait d'une erreur dans la formule de calcul du niveau de réception, ayant eu pour conséquence un affichage faussé des barres en question. Excuse jugée quelque peu bancale pour les possesseurs d'iPhone 4, qui ont clairement constaté qu'il s'agissait plutôt d'un souci matériel au niveau de l'antenne présentant un interstice en bas à gauche. Le site MacRumors aurait remarqué dans un premier temps une hausse des barres de signal suite à l'installation de la bêta 1 de l'iOS 4.1, avant de finalement se faire l'écho de rapports faisant état de la persistance des problèmes de réception. Pourtant, le firmware du modem est passé de la version 01.59.00 à la 02.07.01, d'où l'espoir initial, finalement déçu. Par ailleurs, pour certains bugs, comme le capteur de proximité, il faudra peut-être attendre la version finale de l'iOS 4.1.

Il est intéressant de noter le court délai entre la sortie de l'iOS 4, et celle de la bêta un de sa mise à jour. Si l'on compare ces dates avec celles de l'iOS 3.0, sorti le 17 juin 2009, et sa version 3.1, mise à disposition le 9 septembre 2009, il est alors flagrant de voir la hâte d'Apple à mettre à jour son iOS 4. Effet d'annonce ou réelle tentative pour corriger le tir et sortir de la tourmente ? Une conférence d'Apple prévue vendredi 16 juillet en Californie 
et ayant pour objet l'iPhone 4 pourra peut-être répondre à ces interrogations.


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(15/07/2010 11:39:36)

Le projet de base non SQL CouchDB désormais opérationnel

Chris Anderson, directeur financier et l'un des fondateurs de Couchio, une entreprise qui apporte son support commercial à la base de données CouchDB, met en avant des améliorations majeures. En premier lieu, la performance du logiciel a été grandement améliorée. Ensuite, le serveur de données est désormais capable de fonctionner sur des machines Windows. Un gros travail a été également effectué pour stabiliser l'application, selon le responsable de Couchio.

À en juger par les tests menés en interne par le parrain, cette version atteste d'une augmentation de 300 % en vitesse de lecture et d'écriture. « Ce gain des performances a été obtenu par l'optimisation du code, » a  indiqué Chris Anderson. « C'est aussi la première version de CouchDB à être pleinement capable de tourner sur des ordinateurs Windows, que ce soit les versions serveur ou desktop, » a-t-il ajouté. Les versions précédentes pouvaient fonctionner sous Linux. Une version est en cours de développement pour fonctionner sous le système d'exploitation pour smartphone Android de Google.

Un projet de la fondation Apache

Cette base de données non relationnelle, projet de la fondation Apache, stocke les données sous forme de simples paires de valeurs clefs en utilisant le JavaScript Object Notation (JSON). Elle sait aussi répondre à des requêtes HTTP. « La base permet de créer des applications Web sans couche intermédiaire. Au lieu d'avoir une base de données, une pile Java et un navigateur, il suffit d'avoir du HTTP et un navigateur, » explique Chris Anderson. Les développeurs d'applications Web devraient trouver la technologie intéressante dans la mesure où elle permet le stockage des données hors ligne, ce qui lui confère un intérêt certain pour concevoir des applications web destinées à des périphériques qui ne sont pas connectés en permanence à Internet. «Le support de la réplication hors ligne est vraiment spécifique et unique à CouchDB, en particulier dans l'univers Open Source, » a encore déclaré le responsable de Couchio. « Dans un groupe de travail  par exemple, chaque participant à ce groupe peut disposer d'une copie des données, lesquelles peuvent être synchronisées entre elles. »

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Pour les développeurs, CouchDB peut être également plus facile à utiliser que les bases de données relationnelles, car le projet d'Apache ne les oblige pas à comprendre comment créer des requêtes SQL pour écrire ou exploiter les éléments d'une base de données. Pour effectuer ses requêtes, la base utilise MapReduce de Google. « On peut construire des requêtes complexes et demander à CouchDB d'exécuter presque tous les types de requêtes du SQL. On doit juste réfléchir à une manière différente de les écrire, » a déclaré Chris Anderson.

C'est en 2005, chez IBM, qu'ont débuté les travaux sur CouchDB sous forme de projet Lotus Notes pour aider à la réplication des données hors ligne. Depuis 2008, CouchDB est devenu un projet Open Source indépendant.

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(15/07/2010 11:30:35)

Le Syntec informatique adopte sa nouvelle gouvernance

Le programme du candidat Guy Mamou-Mani qui a pris les rênes du Syntec Informatique (lien) a trouvé un début de traduction lors du premier conseil d'administration. Le comité exécutif, baptisé les Présidents des Comités Métiers, a vu l'élection de 8 personnes :

-Philippe Tavernier (Sogeti) à la Présidence de la Commission « Social »
-Philippe Hedde (IBM) est élu Trésorier
-Pascal Brier (Altran) à la Présidence de la commission Communication
-Franck Mazin (Sodifrance) dirigera la commission PME/Régions
-Olivier Vallet (Steria) prend la charge du « Collège » SSII
-Patrice Demay (SII) est élu Président du « Collège » Conseil en Technologie
-Laurent Baudart devient Délégué Général de Syntec informatique
-Bruno Vanryb (Avanquest) est élu Président du « Collège » Editeur

Vers un Syntec Numérique

L'arrivée de Bruno Vanryb à la tête de ce collège s'inscrit dans le cadre d'une évolution de la gouvernance du Syntec voulue par Guy Mamou-Mani. Elle doit mener début 2011 à la mise en place du programme « ensemble vers un Syntec numérique » qui vise à fédérer l'ensemble des acteurs du numériques au sein d'une même organisation. Dans ce cadre, le PDG d'Avanquest aura une double vocation d'information sur le métier d'éditeur auprès des consommateurs, mais aussi d'efforts de pédagogie auprès des pouvoirs publics. Enfin, il s'assurera que les éditeurs se reconnaissent dans le Syntec et y adhèrent.

 

 

 

Crédit Photo: DR
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Pour certains en effet, le Syntec se serait jusqu'ici trop peu intéressé aux éditeurs de logiciels. En novembre l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels) avait ainsi préféré adhérer au CICF (chambre de l'ingénierie et du conseil de France) plutôt que de rejoindre le Syntec. Depuis, le dialogue entre les deux organisations se réoriente positivement. Toutefois, une adhésion de l'Afdel au Syntec n'est pas encore à l'ordre du jour.

Deux structures se créent

En complément de son comité exécutif, le Syntec se dote de deux structures spécifiques. La première se consacrera aux actions de lobbying auprès des décideurs politiques. Cette démarche s'inscrit dans l'approche des élections présidentielles de 2012 pour expliquer aux pouvoirs publics les enjeux du numérique.

Parallèlement, un cercle de réflexion va être mis en place comprenant les membres du Syntec, mais également des intervenants extérieurs, économistes, intellectuels, pour réfléchir d'une autre manière sur différents sujets liés aux activités numériques. En complément, un comité stratégique composé d'acteurs externes « impliqués dans transformation numérique de l'Etat et de la société » apportera aussi sa contribution à la vision stratégique du Syntec.

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