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Virtualisation
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(19/07/2011 16:31:56)
Microsoft veut une plus grande intégration d'Hyper-V dans le noyau Linux
« Microsoft a été le cinquième plus grand contributeur au noyau Linux version 3.0 » explique sur son blog le développeur Open Source et chercheur en informatique, David Wheeler et de préciser « le principal travail de Microsoft a été de nettoyer le driver d'Hyper-V pour qu'il puisse intégrer le noyau Linux ».
L'intégration de l'hyperviseur passe par le stagging tree du noyau Linux (une arborescence dans laquelle résident des pilotes, systèmes de fichiers et autres additions majeures utilisables) et les questions traitées par Microsoft résident dans la volonté d'intégrer des parties principales du noyau, affirme le chef de projet Linux, Greg Kroah-Hartman. Il indique que « des toilettages supplémentaires et des modifications sont nécessaires pour optimiser définitivement Hyper-V dans le noyau Linux », mais il ne sait pas quand cette tâche sera terminée.
Assurer une compatibilité avec les distributions Linux
Ce travail est essentiel pour s'assurer que la plate-forme de virtualisation de Microsoft soit compatible avec l'ensemble des distributions Linux. Aujourd'hui, Hyper-V fonctionne avec CentOS et des pourparlers sont en cours avec Canonical pour le rendre compatible avec Ubuntu.
Le dossier d'Hyper-V dans le stagging tree contient deux douzaines de fichiers, y compris une liste « to do » avec les problèmes qui doivent être résolues. Cette liste montre que Microsoft doit « résoudre des avertissements et des erreurs sur le checkpatch (validité du chemin) ; auditer le VMBus afin de vérifier qu'il fonctionne correctement; contrôler l'aspect réseau et les pilotes SCSI ». La liste s'interroge aussi sur la possible fusion entre VMbus et d'autres types de bus virtuels. Microsoft a encore du travail, mais la concurrence avec VMware et Citrix est une émulation supplémentaire pour activer ce processus d'intégration.
VMware lance une suite pour les infrastructures clouds
La suite inclut plusieurs mises à jours de versions de produits VMware et en particulier vSphere, la plate-forme de virtualisation pour la création d'infrastructures de Cloud, produit phare de l'éditeur ; vCenter Site Recovery Manager, l'outil pour la protection et la migration de site pour les applications virtualisées; vShield, la solution de sécurité orientée virtualisation ; la console de gestion vCloud Director qui permet de créer des clouds privés sécurisés ; vSphere Storage Appliance, un produit qui offre une alternative aux systèmes de stockage partagé. La Cloud Infrastructure Suite comprend également vCenter Operations, livré plus tôt cette année. Selon VMware, le groupe de produits comporte au total plus de 200 modifications, comparé aux versions précédentes.
« Cette offre intégrée va permettre aux entreprises de concevoir une infrastructure à partir de laquelle elles pourront utiliser des services cloud hébergés, » a déclaré Paul Maritz, PDG de VMware, dans un webcast annonçant la sortie du produit. « Permettre aux entreprises de regrouper leurs ressources dans des pools de données plus larges, les faire fonctionner plus efficacement et les lier à une infrastructure externe, voilà un point de départ fondamental pour effectuer une transition vers le cloud computing, » a-t-il fait valoir.
Automatisation, gestion du stockage et appli iPad
VSphere 5 permet d'exécuter des machines virtuelles de très grande taille, capables de gérer 32 processeurs et jusqu'à un téraoctet de mémoire. Le logiciel peut également faire ce que VMware appelle l'automatisation en conformité avec la politique de l'entreprise, autrement dit prendre des décisions pertinentes comme savoir où déployer une VM. Le nouveau produit VMware vSphere Storage Appliance, peut être affecté pour transformer un serveur de stockage situé en interne en pool de stockage commun, ce qui n'impose plus de disposer d'un SAN (storage area network) séparé. « Jusque là, nous préconisions l'installation d'une baie de réplication pour déplacer les données et les machines virtuelles d'un site à l'autre. Désormais, il est possible de réaliser la réplication directement dans le logiciel et d'utiliser le réseau pour effectuer la copie entre deux sites, » a déclaré Steve Herrod, CTO de VMware.
Pour sa part, VMware Site Recovery Manager offre désormais la possibilité de déplacer les charges de travail du site principal vers le site de sauvegarde et de revenir à nouveau sur le site principal. Cette aptitude à réaliser une « restauration automatique est importante, » estime le CTO, parce qu'elle donne la possibilité aux entreprises de déplacer plus facilement les charges de travail entre différents centres de calcul. VCloud Director donne, aux utilisateurs finaux, accès à un portail pour gérer leur charge de travail et choisir les applications qu'ils souhaitent déployer. La nouvelle version de ce logiciel est accessible depuis un iPad.
Une offre modulaire
« Dans un scénario de déploiement classique, une entreprise peut utiliser certains ou même tous ces produits comme base d'une plate-forme Cloud, » a déclaré Jacques Neela, manager marketing produit chez VMware. « vSphere lui-même, gère les machines virtuelles individuelles et vCloud Director fournit aux administrateurs un moyen de virtualiser toutes les ressources physiques, comme les serveurs, les réseaux et les appareils de stockage, en les regroupant dans un seul pool de ressources. vCenter Operations édite des rapports et des statistiques sur l'utilisation tout en réalisant des fonctions de gestion comme le suivi de facturation pour chaque utilisateur. Le framework vSphere peut être utilisé par les vendeurs de logiciels antivirus et antimalware pour scanner les machines virtuelles et repérer les virus.
Le logiciel vSphere Storage Appliance est plutôt destiné aux petites et moyennes entreprises qui n'ont pas les ressources nécessaires pour mettre en place un réseau de stockage séparé, » a détaillé le manager. « S'ils prennent leurs disques partagés et en font un pool commun, les entreprises peuvent profiter de l'équilibrage de charge et d'une haute disponibilité automatique, » a ajouté Neela Jacques. « Notre objectif est d'aider les clients à transformer l'infrastructure physique en une infrastructure virtualisée, et de rendre cette infrastructure beaucoup plus agile, » a t-il encore ajouté. VMware prévoit de livrer l'ensemble de ces produits d'ici la fin septembre. Chaque application sera disponible sous licence individuellement.
F5 Networks présente deux appliances de virtualisation de fichiers
Les produits entrée de gamme (ARX1500) et milieu de gamme (ARX2500) de F5 sont de taille 1U en hauteur. Le ARX1500 coûte environ le même prix que son prédécesseur l'ARX 500, mais intègre huit ports Gigabit Ethernet - seulement deux ports sur le ARX500, selon Renny Shen, directeur marketing produit de F5. Le constructeur n'a pas voulu révéler la tarification spécifique pour les récents produits, mais il a évalué le prix de base à 30 000 dollars pour l'entrée de gamme et jusqu'à 200 000 dollars pour le haut du marché. « Nous pensons que pour beaucoup d'entreprises l'ARX500 était devenu vraiment trop petit», explique le responsable en ajoutant « selon la licence du logiciel acheté avec le ARX 1500, l'appliance peut évoluer de 1 500 à 3 000 utilisateurs finaux ».
Le ARX2500 s'adresse lui a des environnements de partages de fichiers intensifs et est livré avec quatre ports Gigabit Ethernet et deux ports 10 Gigabit Ethernet.
Une gamme complète et interopérable
La gamme des ARX s'étend maintenant de l'ARX VE, qui a un seul port Gigabit Ethernet et supporte jusqu'à 500 utilisateurs, à l'ARX4000, une solution de taille 4U avec 12 ports Gigabit Ethernet et deux ports 10 Gigabit Ethernet qui peut accueillir jusqu'à 12 000 utilisateurs. Sans oublier, la gamme ARX Cloud Extender, que nous avions vu à Boston récemment.Michael Raposa, DSI du fournisseur de vidéo à la demande In Demand LLC, a déclaré que proposer des ports 10 Gigabit Ethernet sur une appliance facilite la gestion du partage de trafic sur les différents ports. In Demand fournit un service de pay per view et de VOD que les consommateurs achètent auprès des câblo-opérateurs comme Cox, Comcast et Time Warner. L'entreprise a installé deux ARX 4000 en corrélation avec des baies NetApp d'une capacité de 300 To et les serveurs de fichiers. Les appliances de virtualisation de fichiers ont permis de créer un seul nom de domaine sur l'ensemble des 300 To de capacité, de sorte que les applications n'ont plus besoin d'avoir une LUN (logical unit numbers) dédiée et ainsi accroître les performances.
Tous les appareils ARX prennent en charge le protocole CIFS pour l'environnement Windows et NFS pour les équipements sous Unix et Linux. F5 indique que ses solutions sont compatibles avec presque tous les périphériques NAS et serveurs de fichiers du marché.
Structure 2011 : Bromium veut repenser la sécurité dans le cloud
Simon Crosby a créé Bromium (dont il est le CTO) avec Guarav Banga, ancien CTO et vice-président senior chez Phoenix Technologies (PDG de la start-up). Ian Pratt, président de Xen.org et co-fondateur de XenSource est en charge de la partie produit. La société a été présentée rapidement mardi à la conférence Structure Gigaom à San Francisco. « Bromium a des plans pour utiliser un hyperviseur pour fournir aux serveurs et aux clients une protection continue contre les malware », a indiqué Simon Crosby et d'ajouter « nous pensons avoir trouvé un moyen de permettre à un hyperviseur de protéger en mode continu des parties de code exécutable ».
Les entreprises sont préoccupées par la sécurité du cloud computing, mais la menace ne réside pas dans le nuage, précise le fondateur. La grande majorité des attaques sur les cloud privés d'entreprises se déroulent à partir de clients non sécurisés. L'accès aux ressources sur le cloud depuis n'importe où et sur une variété consistante de terminaux, nécessite une autre approche de la sécurité.
Une solution encore bien secrète
Bloquer l'usage des PC obère l'expérience utilisateur. On peut se tourner vers la virtualisation du poste de travail pour avoir plus de sécurité, mais cette option laisse encore certaines vulnérabilités comme les mails avec des pièces jointes, souligne le responsable technique. La technologie proposée par Bromium sécurisera les applications dans le cloud et les bureaux virtuels ainsi que les terminaux des utilisateurs, selon une diapositive montrée par le fondateur lors de la conférence Structure. Cette solution fonctionnera sur différents type de processeurs, y compris x86 et ARM, et sera optimisée pour les appareils mobiles.
Selon un communiqué de presse, Bromium a levé 9,2 millions de dollars auprès de capitaux-risqueurs et devrait présenter son produit avant la fin de cette année. La société est basée à Cupertino, en Californie, et à Cambridge au Royaume-Uni.
Illustration: Simon Crosby
(...)(17/06/2011 15:46:59)Dell complète son offre VIS avec Netuitive
L'un des défis d'une infrastructure virtuelle est les interactions qui existent entre plusieurs éléments, ce qui rend la gestion du système global complexe. Les logiciels de Netuitive collectent des données sur les niveaux de performance et de l'utilisation de l'infrastructure. Ils dressent ainsi une image du bon fonctionnement du système et prévoit les éventuels problèmes qui pourraient survenir. Netuitive affirme que ses outils disposent de fonctionnalités de « self learning ».
Dell va intégrer ces solutions au sein de VIS (Virtual Integrated System) qui est un ensemble de logiciels et de produits conçus pour faciliter le provisioning et la gestion des systèmes physiques et virtuels, y compris les serveurs, la partie réseau et les équipements de stockage. Il vise à rivaliser avec des offres telles que les serveurs UCS (Unified Computing System) de Cisco et Blade System Matrix de Hewlett-Packard, qui vient d'être récemment rebaptisée CloudSystem Matrix.
Une orientation entreprises de taille moyenne
Dell souhaite que VIS s'adresse aux entreprises de taille moyenne. Le constructeur indique aussi qu'à la différence de ses concurrents son offre s'adapte à l'ensemble des fournisseurs. Les logiciels de Netuitive seront intégrés à la solution nommée VIS Director.
« Netuitive espère que cet accord montrera l'intérêt de ses outils d'analyses prédictives » explique Rachel Chalmers, analyste chez 451 Group dans une note de recherche et d'ajouter que « d'autres sociétés concurrentes comme ProactiveNet et Integrien, ont été acquis respectivement par BMC Software et VMware, laissant Netuitive comme le dernier pure player sur ce marché ».
Roy Illsley, analyste chez Ovum estime que ce partenariat est positif pour Dell. «Ovum considère l'analyse du comportement comme la prochaine innovation majeure de l'infrastructure et la gestion des clouds, et cet accord donne à Dell un avantage sur ses principaux concurrents, notamment sur le mid-market » déclare-t-il.
(...)
Cisco lance 2 routeurs optimisés IPv6 et virtualisation
Cisco a dévoilé les routeurs ASR 9922 et 9000v, deux extensions de la gamme de routeurs d'agrégation (ASR) sortie il y a maintenant 3 ans. Ils disposent d'une nouvelle capacité baptisée Network Virtualisation (NV) qui permettra aux fournisseurs de services de combiner la périphérie du réseau, l'agrégation et les couches d'accès au sein d'un seul routeur logique, pour simplifier les opérations et accélérer la délivrance de services, notamment pour les applications IPv6. Ces annonces interviennent au lendemain de la journée IPv6. Pour faciliter basculement vers ce protocole, Network Virtualisation peut devenir le point unique pour le déploiement d'IPv6 sur des milliers d'équipements. Les nouveaux routeurs seront en compétition avec la ligne de routeur Edge MX3D de Juniper et les plateformes d'Alcatel-Lucent 7705, 7710 et 7750.
Pour concurrencer sur la partie Edge, Cisco propose donc ASR 9922 et deux types de modules - une carte Ethernet à deux ports 100 Gb Ethernet ou une lame 24 ports 10Gb Ethernet. Le 9922 est le plus important dans la famille routeur ASR. Il fonctionne avec le même système d'exploitation IOS XR que les actuels ASR 9010 et 9006 et comprend les fonctionnalités logicielles suivantes : Ethernet classe entreprise tels que VPN de niveau 2 et de niveau 3, IPTV, du CDN (Content Delivery Network) et le backhaul de la couche transport des réseaux mobiles. A noter que les modules deux ports 100 Gb Ethernet et la carte 24 ports Ethernet 10 Gb Ethernet peuvent également s'intégrer au sein des routeurs 9010 et 9006.
Pour l'agrégation, Cisco a présenté le 9000v, un dispositif un rack 1 U qui fonctionne comme une carte de pilotage à distance de l'ASR 9000 ou 9922. Cette carte peut être située à 80 km des routeurs. La 9000v supporte 44 ports 10/100/1000 Gb et 4 ports 10 Gb Ethernet. Avec ce module, les fournisseurs de services peuvent offrir des services Ethernet via des connections Ethernet virtuelles (Ethernet Virtual Connections). Cette technologie peut être utilisée en conjonction avec du VPN MPLS de niveau 2 ou sur de la commutation nativement Ethernet.
Illustration : Gamme 9000 de Cisco
Crédit Photo: D.R
(...)
Un bailleur social parisien mise sur Wyse pour sa VDI
La société d'économie mixte SGIM est le troisième bailleur social sur le territoire parisien avec 12 600 logements locatifs gérés à partir de 120 loges de gardien et espaces d'accueil. Les gardiens d'immeubles assurent un lien indispensable entre le siège et les locataires, notamment pour remonter les réclamations. Mais, par nature, chaque loge est éloignée du siège, située dans un immeuble en location.
Pour améliorer le lien entre les gardiens et le siège, accroître la visibilité du siège sur ce qui se passe dans les immeubles notamment en terme de réclamations et atteindre à terme le « zéro papier », la SGIM a décidé d'informatiser les relations entre les gardiens et le siège. Accessoirement, cette informatisation vise aussi à valoriser les gardiens et leur métier. Mais la dispersion géographique rendait cette informatisation délicate. La SGIM souhaitait que tous les postes soient configurés de la même façon, que les données soient sécurisées, que le déploiement soit simple et rapide, que le dépannage soit aisé et enfin que l'exiguïté de certaines loges soit prise en compte.
Un client léger comme solution
Pour tenir compte de toutes ces contraintes, le bailleur social a décidé de recourir à la virtualisation des postes. Chaque loge est équipée d'un client léger Wyse fixé derrière un écran plat, ce qui prend peu de place. La centralisation des postes grâce à la virtualisation facilite le déploiement (un poste peut être créé en quelques instants), la maintenance (le dépannage s'effectue au siège) et la sécurisation (tout est stocké au siège).
L'intégrateur TR Services, déjà en charge d'autres chantiers comme la téléphonie, a été retenu avec les logiciels de virtualisation de l'éditeur Neocoretch. Le déploiement de la solution a été effectué par lots de 25 loges.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
CIO.PDF 38 : Le poste de travail virtuel répond à des besoins spécifiques
La virtualisation du poste de travail n'a pas bénéficié du raz-de-marée annoncé par certains experts. Elle répond cependant à des besoins spécifiques de sécurité, de facilité de gestion ou de rapidité de mise à disposition. Si on peut dire qu'elle a trois ans d'existence réelle dans les entreprises, elle est loin d'avoir tenu ses promesses initiales. Elle devait simplifier radicalement la vie des responsables de parc informatique. Or cette technologie s'ajoute à toutes celles existantes, comme la publication d'applications ou le PC lourd, sans en supprimer aucune.
A l'heure du Cloud computing et du SaaS (software as a service), du client web généralisé, un responsable informatique doit toujours cultiver son expertise technique. Et faire les bons choix pour les bons utilisateurs, en sachant mixer un ensemble de technologies.
Au-delà du dossier sur la virtualisation du poste de travail, CIO.PDF 38 est aussi l'occasion de suivre la carrière du DSI des Pompiers de Paris, de voir comment un groupe de mutuelles partage son SI et notamment ses outils de cartographie de processus dans le cadre d'un processus de mise en conformité Solvency II, et enfin, avec nos confrères américains de CIO.com, de s'attacher à optimiser le retour des investissements informatiques.
Orsyp Institute dévoile une mesure de la performance des opérations informatiques
Mesurer la performance des opérations informatiques se faisait jusqu'à présent uniquement via la multiplication d'indicateurs parcellaires comme le coût, des indicateurs-clés, des benchmarks ponctuels ou la perception de la qualité de service. Cette situation ne convenait pas à Orsyp Institute. Il a donc réuni une vingtaine de responsables informatiques de tous secteurs en 2010 pour constituer un groupe de réflexion à ce sujet. Le résultat des travaux se nomme le TRS : le taux de rendement synthétique.
Celui-ci s'exprime sous forme d'un pourcentage et est issu des travaux précédents du secteur industriel. Orsyp Institute estime que le TRS comble un manque important pour le pilotage par la performance à l'heure où la production informatique est un facteur déterminant de la survie d'une entreprise. Cela serait d'autant plus vrai que la production, grâce à la virtualisation, peut être aisément externalisée, notamment via l'informatique en nuage.
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