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(13/06/2011 10:21:39)

USI 2011 : Connecter les objets et rendre intelligible la vie des utilisateurs (entretien avec Rafi Haladjian)

LeMondeInformatique : Vous avez cofondé la société Violet qui a donné naissance à différents objets communicants, dont le Nabaztag, et vous interviendrez le 29 juin prochain dans le cadre de l'USI 2011 sur l'intérêt de connecter ensemble les objets. Sous quel angle prévoyez-vous d'aborder ce sujet ?

Rafi Haladjian :
Le slogan de Violet, en 2003, c'était « Make all things be connected ». Dans notre vision, tous les objets pouvaient être connectés. Depuis, sept ou huit ans ont passé. L'Internet des objets dont on ne parlait pas du tout à l'époque est devenu un sujet sinon brûlant, en tout cas chaud, dont on parle un peu partout. Mais notre réflexion a également évolué et nous pensons que, précisément, connecter les objets n'est pas la bonne façon de poser le problème. Je me suis rendu compte, lorsque l'on parlait de l'Internet des objets, que l'on imaginait souvent quelque chose d'assez futuriste. Il y a toujours ce mythe du réfrigérateur communicant que chacun imagine avoir un jour et c'est finalement assez gênant. Je pense que ce qui est en jeu et ce qui est en train de se produire, ce n'est pas tant la connexion des objets entre eux, mais le fait que l'on est en train de déborder les frontières de l'ordinateur et du téléphone portable pour rendre intelligible l'espace physique dans lequel nous vivons. Jusqu'à présent, l'interaction que l'on avait avec les ordinateurs, avec les données ou avec les systèmes intelligents, se faisait à travers un guichet qui était un écran.

C'est-à-dire à travers un terminal, quel qu'il soit ?

...à travers un dispositif vers lequel on se tournait pour faire ses transactions. Aussi commode et petit, puisse-t-il être, là n'est pas la question. Mais ce qui se passait réellement dans le monde physique, le monde réel, était inconnu. C'était une espèce de zone d'ombre dont on ne tenait pas compte. L'utilisateur venait devant son écran, déclarait un certain nombre de choses : « voilà ce que j'écris, ce que je pense, ce que je fais ». Alors que désormais, de plus en plus, il y a des dispositifs qui permettent d'occuper le reste de l'espace, comme les GPS, ou les accéléromètres que l'on trouve sur les iPhone. Tout un ensemble de dispositifs qui existent déjà. Donc, cette tendance à rendre intelligible le reste du monde physique est quelque chose qui commence à se produire. Et, l'Internet des objets, c'est avant tout cela. Ce n'est pas le fait de connecter les réfrigérateurs, ce qui est anecdotique et accessoire. Il faut voir le vrai sens de ce qui est en train de se passer.

Quel va être le rôle de ces dispositifs ?

L'objectif, c'est de comprendre ce qui se passe dans la vie des gens, de rendre intelligible ce qu'ils sont en train de faire sans qu'ils aient besoin de le dire. Par exemple, dans une conférence, si l'on veut savoir ce que l'auditoire a pensé de l'exposé, on demande aux participants de remplir un formulaire ou d'aller sur une application pour donner leur appréciation. On pourrait procéder autrement. Ce que j'ai vu à l'Université de Bilbao, par exemple, ce sont des prototypes de fauteuils dans lesquels on a placé des capteurs de pression, tout bêtes, qui sondent la façon dont les gens sont assis sur leur fauteuil. Sont-ils avachis, signe que, peut-être, ils s'ennuient ? Semblent-il au contraire attentifs à qu'ils sont en train d'écouter ? Vous pouvez de cette façon avoir une compréhension immédiate de ce que les gens sont en train de penser de la présentation en cours, sans que les personnes aient forcément besoin de l'exprimer. Il s'agit ici de recherche universitaire. Ce n'est qu'un exemple. Le but du jeu, c'est de ne pas s'arrêter à la possibilité de connecter tous les objets, mais de se demander en quels sont les moyens dont on dispose pour comprendre ce qui se passe dans un environnement sans avoir à le demander à l'utilisateur. Cela ouvre des opportunités, surtout pour les entreprises.

Dans quels domaines et pour quelles applications ?

Une entreprise qui, par exemple, fabrique des objets, va se demander quels services elles peut inventer au-dessus. Certains services existent depuis très longtemps déjà et l'on ne s'en rend pas compte. Tous les télécopieurs de bureau sont connectés à une ligne téléphonique et les fabricants qui les louent peuvent les surveiller pour savoir à l'avance si vous allez manquer d'encre, de papier, afin d'en livrer avant que vous ne veniez à en manquer. Il n'est pas nécessaire d'aller jusqu'à un dispositif aussi incongru qu'un Nabaztag pour imaginer les objets communicants qui vont arriver. La capacité à anticiper les besoins de l'utilisateur, à ressentir ce qu'il fait, à mettre en commun ce que font différents utilisateurs à un moment donné et de les comparer à d'autres... Google ne procède pas autrement. C'est en accumulant ces masses d'informations sur le comportement de millions d'internautes qu'il arrive à déterminer, à suggérer des comportements qui ont un sens pour d'autres utilisateurs. Observer ce que tout le monde boit comme café le matin et vous serez capable de prédire à un utilisateur particulier ce qu'il va aimer comme café, non seulement en observant son comportement, mais aussi celui des autres.

A quel horizon voyez-vous ces applications se concrétiser ?

Technologiquement, rien n'empêche de le faire demain. Pour que cela  existe sur le marché, il faudrait compter trois ans. C'est globalement le temps de mettre au point le hardware, plus difficile à élaborer que le logiciel, et de le commercialiser. D'un point de vue technologique, on n'attend rien. On a tout ce qu'il faut. Il n'y a rien d'autre à inventer que ce qui est déjà sur le marché. Donc, il manque juste la volonté des industriels d'y aller. Mon rôle, en participant à des conférences comme l'USI, c'est de continuer à sensibiliser et à évangéliser. J'étais là au tout début de l'Internet, en 1994, et jusqu'en 1999, nous avons passé notre temps à convaincre nombre de grandes entreprises qui ne voyaient pas l'intérêt d'aller sur Internet. Au début, il faut faire ce travail-là. C'est un peu ingrat.

Vous avez créé une autre société, « Sen.se » dont la devise est cette fois « Feel, Act, Make Sens ». Quels sont vos objectifs ?

Sen.se, c'est avant tout une infrastructure qui permet de connecter n'importe quoi avec n'importe quoi. Ce peut être une source d'information par exemple, la météo, votre calendrier Google, votre poids transmis par votre balance Withings, toutes sortes de flux de données, personnels ou non, et puis des informations qui sont mesurées par des appareils comme des capteurs de chaleur dans votre domicile, votre accéléromètre, un mouchard installé dans votre voiture, des machines. De la même façon qu'il existe le Machine-to-Machine, nous définissons cela comme le Whatever-to-Whatever (n'importe quoi à n'importe quoi).

Vous utilisez une infrastructure de type cloud pour regrouper les informations ?

Absolument. Cette infrastructure, nous la déclinons de trois manières. Nous la mettons d'abord à la disposition d'entreprises qui voudraient mettre au point des objets communicants parce que, non seulement, il faut concevoir et fabriquer l'objet lui-même, mais encore faut-il qu'il se connecte à une infrastructure qui va gérer les services associés. C'est ce que nous proposons. C'est la partie « Business Sen.se » de notre activité. La deuxième partie s'appelle « Open Sen.se ». C'est celle que l'on voit quand on va sur notre site (http://open.sen.se/). Elle s'adresse aux designers, aux développeurs et à tous ceux qui veulent jouer avec cela. C'est gratuit. Vous avez développé vous-même votre petit appareil, vous avez détourné un Nabaztag ou un pèse-personne, par exemple, et vous pouvez commencer à imaginer vous-mêmes des usages en combinant des applications.

Vous fournissez des interfaces de programmation (API) ?

Il y a des API si vous avez envie d'écrire du code. Si vous n'en avez pas envie, nous proposons des applications toutes faites. Si vous voulez que votre plante verte vous envoie un « tweet » lorsqu'elle a besoin d'eau, vous pouvez le faire sans avoir à écrire de code du tout. Si vous voulez recueillir des températures à différents emplacements, obtenir une moyenne et recevoir cette information une fois par semaine, c'est possible. Nous utilisons de petites applications en ligne que vous allez configurer. L'idée, c'est d'imaginer des usages et de pas limiter ces possibilités à des développeurs.

Vous avez évoqué une troisième déclinaison de votre infrastructure.

C'est celle que nous démarrerons plutôt vers la fin de cette année, avec laquelle nous allons proposer aussi de nouveaux types d'appareils. Qui ne seront d'ailleurs pas exclusifs. Il sera possible d'utiliser nos appareils et ceux fournis par d'autres fabricants. Nous ne croyons pas à un monde fermé, mais à un monde dans lequel on trouve des données de toutes sortes de provenance. Il faut organiser tout cela autour de l'individu et non pas avoir un utilisateur qui butine d'un appareil à un autre comme s'il s'agissait d'un archipel d'objets.
(...)

(08/06/2011 16:27:42)

Facebook active la reconnaissance faciale par défaut

Si vous êtes inquiets au sujet de certaines photos de vous-mêmes sur Facebook, vous pouvez désormais les supprimer. Hier, l'éditeur de solutions de sécurité Sophos a indiqué que le réseau social avait activé un système de reconnaissance faciale des photos sur les comptes de ses membres sans informer les utilisateurs de ce changement. Facebook avait lancé ce service en décembre dernier, mais il n'était opérationnel qu'aux Etats-Unis.

Il y a probablement de bonnes raisons à cela : en dehors des Etats-Unis, les lois de confidentialité sont beaucoup plus strictes, et le site aurait pu se trouver sur le gril assez rapidement.

Cette fonctionnalité n'était pas immédiatement disponible pour tous, et les utilisateurs de Facebook ne pouvaient  pas se désengager à l'avance afin d'éviter d'être taggés en cas de photos peu flatteuses. Au lieu de cela, ils devaient attendre d'être marqués pour figurer ou pas dans la photo. Le véritable problème n'incombait pas nécessairement à la technologie elle-même, mais plutôt à sa mise en oeuvre.

Une procédure semi-automatique

Facebook utilise la reconnaissance des visages pour inciter les « amis » des membres à les étiqueter, ce qui signifie que les photos ont de grandes chances d'être  marquées. En effet, les utilisateurs sont plus enclins à tagger quelqu'un si le réseau social émet une notification et suggère qui est cette personne. Ce marquage n'est pas très différent  par rapport à la façon dont les choses se passent habituellement - les amis Facebook peuvent toujours marquer des photos d'autres membres, et ces derniers auront la possibilité de les dé-taguer manuellement. Ce qui fait toutefois la différence, c'est que le processus est maintenant semi-automatique, ce qui constitue un affront aux yeux de certains, comme  l'éditeur Sophos : « L'obligation pour Facebook ne devrait pas porter sur le désengagement mais plutôt sur l'engagement de ses utilisateurs à accepter cette fonction de reconnaissance des visages », regrette Graham Cluley, consultant pour le compte de l'éditeur d'antivirus. Pour lui, c'est comme si Facebook portait atteinte à la vie privée de ses membres en utilisant la ruse. Il considère également que ce n'est pas au réseau social de faire le choix.

De son côté, un autre géant du Net, à savoir Google semble ne porter aucun intérêt pour la reconnaissance faciale. Lors du colloque D9 de All Things D, le patron de Google Eric Schmidt avait révélé que Google avait travaillé à l'intégration de la reconnaissance faciale avant d'y renoncer en raison du risque élevé d'abus potentiels.

 


(...)

(07/06/2011 12:09:54)

Tribune de Franck Trognee: Contrôler les applications web 2.0 avec un firewall

Les administrateurs informatiques s'efforcent de fournir les meilleures solutions de sécurité réseau mais doivent faire face à des collaborateurs utilisant de plus en plus de logiciels encombrants, dangereux et surtout ayant un comportement à risque en termes d'utilisation d'Internet.

Les firewalls utilisés aujourd'hui dans de nombreuses entreprises se réfèrent uniquement aux ports et aux protocoles et ne sont donc pas en mesure d'identifier les applications cloud et SaaS ainsi que les multiples services web 2.0 qui reposent sur le navigateur. Par conséquent, ces équipements ne peuvent distinguer le trafic productif de l'improductif. De ce fait, l'informatique en est réduite à un contrôle binaire du trafic, ne laissant le choix qu'entre blocage et autorisation. Faut-il donc bloquer des ports ou des protocoles entiers à seule fin de filtrer quelques applications indésirables ? Ou bien faut-il plutôt ouvrir les vannes et autoriser l'accès à toute application susceptible d'être utile, même au risque de saper la productivité et d'exposer l'entreprise aux menaces ? Le choix est cornélien.

Pour lire la suite, cliquer sur ce lien (...)

(24/05/2011 16:11:30)

Jive rachète OffiSync pour renforcer ses liens avec Office et SharePoint

Jive Software a acquis OffiSync, dont la technologie permet de relier les applications bureautiques de Microsoft avec des suites de collaboration et de réseau social en entreprise hébergées dans le cloud. Dirigée par d'anciens responsables de Microsoft, la société OffiSync est basée à Seattle. Elle compte 12 personnes, dont une équipe d'ingénieurs travaillant en Israël. Les termes de l'accord passé entre les deux sociétés n'ont pas été communiqués.

Jive Software utilise déjà la technologie OffiSync pour intégrer son logiciel Social Business avec la suite Office et le portail collaboratif SharePoint. L'éditeur prévoit donc d'approfondir les liens avec ces deux produits Microsoft et d'ajouter une passerelle avec le client de messagerie Outlook au cours du troisième trimestre de cette année. La technologie OffiSync est également utilisée par d'autres fournisseurs, dont Google Docs, pour sa suite de productivité cloud et de Central Desktop pour sa suite hébergée de collaboration sociale en entreprise. « Jive Software n'a pas l'intention de remettre en question les partenariats actuels d'OffiSync, ni de refuser sa technologie à d'autres éditeurs de suites », a déclaré Bryan LeBlanc, directeur financier de Jive Software. « Par contre, les clients de Jive Software pourront profiter d'une plus grande intégration de la suite maison Social Business avec OffiSync », a t-il ajouté. « Cela apporte à Jive une expertise Microsoft considérable. »

OffiSync relie aussi Office à Twitter ou LinkedIn

La technologie OffiSync crée une passerelle entre Outlook, Office et SharePoint et des suites de réseau social et de collaboration en entreprise, comme celle de Jive Software. Cela permet aux utilisateurs de retrouver les fonctionnalités et les capacités de Jive Software, ou de toute autre suite utilisée par leur entreprise, dans les interfaces des applications bureautiques de Microsoft. Quand ils sont reliés à la suite de Jive Software, les utilisateurs de Microsoft peuvent avoir accès à des fonctions comme l'édition de documents communs, le microblogging, les forums de discussion, les flux d'activité et les profils des collaborateurs. OffiSync permet également d'intégrer les logiciels de Microsoft avec des services comme Twitter ou sites tels que LinkedIn.

Un rachat très pertinent

Relier leurs suites de réseau social avec les applications de communication et de collaboration de Microsoft est devenue une priorité pour des vendeurs comme Jive Software, qui ont réalisé que des outils comme Outlook, SharePoint et Office restent profondément enracinés dans les environnements professionnels. Rob Koplowitz, analyste de Forrester Research, se réjouit du rachat d'OffiSync par Jive Software. « La technologie OffiSync est utilisée par un grand nombre d'entreprises, de sorte que Jive a pris une bonne décision en achetant cette technologie pour elle-même », estime-t-il. « L'intégration avec Outlook est particulièrement convaincante. » L'acquisition est aussi une stratégie défensive, dans ce qu'elle élimine la possibilité de voir OffiSync racheté par un concurrent, lequel pourrait priver Jive Software d'accéder à cette technologie », a ajouté Rob Koplowitz. « C'est un choix très pertinent », a t-il conclu.

Illustration : démo d'OffiSync

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(20/05/2011 16:02:59)

LinkedIn fait une entrée fracassante en bourse

Hier, la Silicon Valley est entrée en ébullition lorsque le réseau social professionnel LinkedIn a fait son entrée en Bourse  Le Wall Street Journal révèle que, pour son premier jour de cotation à la bourse de New-York, le prix d'introduction de l'action, fixé à 45 dollars, a clôturé à 94,25 dollars, soit une augmentation de 109%. A la fin de la journée, LinkedIn pesait quelque 8,9 milliards de dollars. Pour le WSJ, ils s'agit de la plus grosse introduction en bourse d'une entreprise Internet depuis Google en 2004. « Tout le monde était très excité, ensuite le prix de l'action a doublé et cela a été tout simplement choquant », a déclaré Kay Luo, 38 ans, une ancienne employée de LiinkedIn au quotidien économique. Elle a ajouté que le prix des actions qu'elle avait reçues en tant qu'employée était d'environ 1 $, mais a elle a refusé de révéler ses gains. Elle a aurait obtenu deux coup de fils de félicitations au sujet de cette introduction en bourse, l'un de son père et l'autre de son conseiller fiscal...

Cet évènement n'est pas sans rappeler l'introduction en bourse du navigateur Netscape en 1995, la firme ouvrant alors la voie aux introductions boursières de sociétés du Net, comme le distributeur en ligne Webvan ou l'entreprise de commerce électronique Amazon.com. Aujourd'hui, les investisseurs et d'autres analystes  estiment que LinkedIn sera bientôt suivi par un nouvel afflux d'entreprises du web, allant de  Groupon (site de bons de réductions) jusqu'à l'incontournable Facebook, sans oublier Twitter.

Une valeur beaucoup trop élevée d'après les investisseurs

« Le modèle Netscape était réellement efficace lorsque nous l'avons rendu public et, de même, celui de LinkedIn fonctionne vraiment bien », a déclaré Ben Horowitz, ancien dirigeant de Netscape et co-fondateur de la firme de capital-risque Andreessen Horowitz au Wall Street Journal. Dans une interview également accordée au WSJ, Jeff Weiner, PDG de LinkedIn, a minimisé l'importance de la flambée de cette  introduction en bourse. « Ce n'est pas nécessairement une indication de quelque chose », a t-il déclaré  « Le marché réagira comme il a l'habitude de le faire. »
Certains investisseurs ont souligné que la valeur de LinkedIn était beaucoup trop élevée pour une entreprise qui a généré 243 millions de dollars de revenus l'an dernier. « La firme a pour avantage d'être la première du genre à devenir publique », a déclaré Lee Simmons, un spécialiste des technologie et médias pour le compte du cabinet de conseil boursier Hoover. Selon lui, si Facebook avait fait son entrée en bourse la semaine dernière, l'action de LinkedIn ne serait pas devenue aussi élevée. Pour leur part, Facebook, Groupon et Twitter ont refusé de commenter ces informations.

Illustration : Jeff Weiner, PDG de LinkedIn. Crédit photo : D.R

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