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(04/06/2008 11:40:40)
Un comité pour instaurer le haut débit sur toute la France (MàJ)
Députés, experts et conseillers techniques en tout genre vont plancher sur « la couverture en haut débit fixe et mobile de 100% de la population à l'horizon 2012 ». Dans le cadre des Assises du numérique, et suivant la volonté du président de la République d'assurer la connexion en haut débit de tous les Français, a été instauré hier un « comité pour la couverture numérique des territoires ». Ce comité a été mis sur pied conjointement par trois membres du gouvernement, Luc Chatel, secrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation, porte-parole du Gouvernement, Eric Besson, secrétaire d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des Politiques publiques et du Développement de l'Economie numérique, et Hubert Falco, secrétaire d'Etat chargé de l'Aménagement du Territoire. Christian Paul et le président de l'Arcep invités au comité Parmi ce comité figurent plusieurs personnalités connues de ces colonnes, telles que Jean-Michel Hubert, président délégué du Conseil Stratégique des Technologies de l'Information (CSTI) et ancien président de l'ART (Autorité de régulation des télécoms, remplacée aujourd'hui par l'Arcep), Christian Paul, député de la Nièvre et vice-président de l'Assemblée des Régions de France (ARF), ou encore Paul Champsaur, président de l'Arcep (Autorité de régulation des communications électroniques et des postes). [[page]] Le rôle de ce comité sera de lancer « une concertation avec les représentants des collectivités territoriale et les parlementaires pour définir : - les priorités territoriales relatives à l'équipement numérique, - le rôle de chaque acteur public ou privé dans le déploiement des infrastructures, - les modèles économiques des projets contribuant à la couverture numérique du territoire national, - les modalités d'organisation de la solidarité entre les territoires. La mission de Coconut : assurer un pilotage au niveau de l'Etat Aucun calendrier n'a pour l'instant été défini en dehors de cet « horizon 2012 ». Néanmoins, Christian Paul nous a précisé que des auditions seraient menées d'ici à la mi-juillet, et qu'un premier rapport d'étape pourrait alors être rendu public. Instigateur, avec l'ARF, du projet de 27e région, réflexion sur les usages des TIC dans les collectivités publiques, Christian Paul explique avoir rejoint le comité « dans un souci de travail loyal pour le déploiement du très haut débit », et afin de participer à l'élaboration d'un plan national d'action. C'est pour l'heure la seule mission de ce que le député et son équipe ont rebaptisé Coconut (COmité pour la COuverture NUmérique des Territoires). « Il faut comprendre que le marché ne peut pas tout, explique Christian Paul. Au bout de deux ou trois ans, les capacités d'investissement des opérateurs se raréfient, et on se retrouve avec un taux de couverture trop faible. Il faut un pilote dans l'avion, de la même façon que cela s'est produit pour le déploiement du chemin de fer ou de la téléphonie fixe. L'Etat doit jouer un rôle de cohérence, de régulation et - même s'il ne le joue pas actuellement - de péréquation. » [[page]] Vous trouverez ci-dessous la liste des membres de ce comité (l'ordre et l'emphase sont du fait des cabinets ministériels).
| Membre | Fonctions |
|---|---|
| Hubert FALCO | Secrétaire d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire |
| Vincent PIVETEAU | Directeur de Cabinet au Secrétariat d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire |
| Brice SOCCOL | Directeur adjoint de Cabinet au Secrétariat d'Etat chargé de l'Aménagement du territoire |
| Fabrice ALVES | Conseiller technique chargé des nouvelles technologies de l'information |
| Luc CHATEL | Secrétaire d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation, Porte Parole du Gouvernement |
| Nicolas TOURÉ | Conseiller technique Poste ' Télécommunication au Secrétariat d'Etat chargé de l'Industrie et de la Consommation |
| Eric BESSON | Secrétaire d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des politiques publique et du Développement de l'économie numérique |
| Michel COMBOT | Conseiller à l'Economie numérique au Secrétariat d'Etat chargé de la Prospective, de l'Evaluation des politiques publiques et du développement de l'Economie numérique |
| Pierre HERISSON | Vice-Président de la Commission supérieure du service public des Postes et Télécommunications |
| Laure de la RAUDIERE | Députée et membre de la Commission supérieure du service public des Postes et Télécommunications |
| Jean GUY | Membre, expert de la Commission supérieure du service public des Postes et Télécommunications |
| Christian PAUL | Vice-Président de l'Assemblée des Régions de France |
| Véronique KLECK | Chargée des Technologies, de l'Information et de la Communication à l'Assemblée des Régions de France |
| Richard SOSPEDRA | Chargé de mission à l'Assemblée des Départements de France |
| Véronique PICARD | Chargée d'études au département administration et gestion communale de l'Association des Maires de France |
| Martial GABILLARD | Président de l'Association des Villes et Collectivités pour les communications électroniques et l'Audiovisuel |
| Patrick VUITTON | Délégué général de l'Association des Villes et Collectivités pour les communications électroniques et l'Audiovisuel |
| Paul CHAMPSAUR | Président de l'Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes |
| Gabrielle GAUTHEY | Membre de l'Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes |
| Renaud CHAPELLE | Chef de l'Unité collectivités locales à l'Autorité de Régulation des Communications électroniques et des Postes |
| Jean-Michel HUBERT | Président délégué du Comité stratégique pour le numérique |
| Philippe BRAIDY | Directeur du Développement territorial et du réseau à la Caisse des Dépôts et Consignations |
| Edward JOSSA | Directeur général de la Direction générale des Collectivités locales au Ministère de l'Intérieur |
| Marie-France BARTHET | Conseillère chargée de l'équipe Innovation/Compétitivité et du pôle TIC à la DIACT |
| Jerôme COUTANT | Responsable du pôle TIC à la DIACT |
| Emmanuel GABLA | Chef de service du STSI à la Direction générale des Entreprises au Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi |
| Luc ROUSSEAU | Directeur général de la Direction générale des Entreprises au Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi |
| Jean-Marc DESSAPT | Chef de bureau à la Direction générale des Entreprises au Ministère de l'Economie, de l'Industrie et de l'Emploi |
Assises du numérique : 27 pistes de travail pour un budget nul
La connexion WiFi de la salle de presse est capricieuse, lente et instable, les PC portables ne peuvent être rechargés faute de prise de courant, le décor est daté. Malgré les apparences, nous assistons bien au lancement des Assises du numérique, le grand raout organisé par Eric Besson, le secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, pour faire de la France un géant de l'IT. Les annonceurs participent aux débats Réunis dans le grand amphithéâtre de l'Université Paris Dauphine, les représentants des exécutifs français et européen ont rappelé l'enjeu de cet événement, qui devra déboucher sur la remise au président de la République d'un plan de développement de l'économie numérique à la fin du mois de juillet. Avec 6% du PIB français issus des TIC, la France est en retard sur les Etats-Unis ou la Corée. Même constat pour le niveau d'investissement en R&D. Le but des 27 axes de travail qui seront abordés lors de ces Assises sera donc de doper les usages des technologies de l'information pour « faire de la France une très grande puissance numérique, à l'égal des économies les plus dynamiques de notre planète », explique Eric Besson. Environ 90 ateliers de travail couvrant « toutes les dimensions du numérique » seront ainsi organisés pendant le mois de juin dans toute la France et sur le Web. Ils réuniront politiques, citoyens, consommateurs, blogueurs et entreprises. Notamment les partenaires de la manifestation, classés Platinum et Gold en fonction de leur contribution, parmi lesquels on retrouve Microsoft, HP, IBM, etc. Les annonceurs seront donc également parties prenantes aux débats. [[page]] L'accès aux réseaux constitue la première piste de travail. Rappelons l'engagement pris par Nicolas Sarkozy de connecter 100% des ménages au haut débit avant la fin de son mandat (pour l'heure, d'après les chiffres de l'Arcep et de Médiamétrie, la moitié environ des ménages français serait connectée à Internet, essentiellement en haut débit). Pour y parvenir, Eric Besson suggère plusieurs pistes de travail, comme le développement du haut débit mobile et du très haut débit, ou l'équipement de 70% des foyers en ordinateurs à l'horizon 2010. Vers un Conseil national du numérique Parce que « le numérique représente une révolution de l'économie du savoir équivalente à celle de l'imprimerie », le secrétaire d'Etat suggère de mieux prendre en compte les contenus numériques dans les politiques publiques. Une idée partagée par Viviane Reding, selon laquelle « les contenus créatifs sont le moteur de la croissance des réseaux fixes et mobiles ». Dans cette optique, Eric Besson propose la création d'un Conseil national du numérique, pensé comme une « enceinte globale de concertation » regroupant tous les acteurs du Web et chargée d'élaborer des codes de bonne conduite ainsi que de les faire respecter. A la fois stratège et gendarme, cette institution remplacerait le Forum des droits sur Internet ainsi que d'autres organisations (Conseil supérieur de la télématique, Conseil stratégique des technologies de l'information, etc.) Les usages sont également au coeur des débats, avec pour objectif la multiplication des domaines dans lesquels le numérique intervient. C'est notamment le cas de l'éducation (objectif de 100% des documents pédagogiques disponibles en version numérique, enseignement à distance pour les salariés en activité...), de la santé, l'e-commerce et l'e-administration (unifier les services publiques en ligne, développer la dématérialisation, etc.) De grandes ambitions mais pas de budget [[page]] Si le programme peut sembler ambitieux, il ne pèsera pas sur les finances du pays. Eric Besson reconnaît en effet qu'il « ne dispose pas de budget. Ce plan ne devrait rien coûter à l'Etat, certaines mesures devraient même être accélératrices de croissance et rapporter ». On imagine cependant mal comment certaines des mesures soumises au débat pourraient être mises en place sans occasionner de dépense (numérisation des procédures pénales, déploiement de la carte d'identité électronique, formation en ligne pour les enseignants, etc.). Ce manque d'investissement de l'Etat n'est, à en croire les députés socialistes Patrick Bloch et Christian Paul, qu'un prolongement des travers d'aujourd'hui. Présents aux Assises du numériques, les deux édiles dénoncent « la mauvaise pente » prise par la France en matière d'IT. Ils regrettent notamment que « l'Etat ne mette pas un euro » dans le développement du haut et très haut débit et que la loi de modernisation de l'économie « ne donne pas l'impulsion nécessaire ». D'autres critiques fusent du côté de l'April. L'Association de promotion et de défense du logiciel libre dénonce la brièveté des Assises au regard du nombre de thèmes qui y seront abordés. Elle regrette aussi l'absence de certains acteurs, citant l'exemple de la table ronde sur les enjeux de la culture et du loisir numérique, qui se tiendra sans représentant des consommateurs et sans association. (...)
(10/04/2008 13:09:47)Matignon charge Eric Besson de planifier le développement des TIC
Eric Besson, fraîchement auréolé de ses nouvelles responsabilités au secrétariat d'Etat chargé du développement de l'économie numérique, dispose d'un peu plus de trois mois pour présenter au Premier ministre un plan de développement devant permettre à la France d'accroître la place des TIC dans son activité économique à l'horizon 2012, date à laquelle expire le bail élyséen. La lettre de mission envoyée par François Fillon à son secrétaire d'Etat déplore ainsi que l'Europe investisse deux fois moins que les Etats-Unis - en proportion du PIB - dans le numérique et que la France soit elle-même en retard par rapport au Vieux Continent. Eric Besson devra donc proposer une batterie de mesures pour contre-balancer ce constat et faire oublier aux tenants du secteur IT - qui le réclamaient à cor et à cri - qu'il aura fallu près d'un an pour que l'élection de Nicolas Sarkozy aboutisse sur la création d'un poste ministériel dédié aux TIC. Bizarrement, les axes de travail concernent surtout la diffusion des technologies numériques plus que le développement des acteurs du secteur, éditeurs de logiciels notamment. Le haut débit pour 100% de la population La priorité fixée par le Premier ministre consiste à accroître le nombre de Français ayant accès au haut débit, qu'il soit fixe ou mobile. Peu de surprise ici : le locataire de Matignon reprend in extenso l'un des (rares) points forts du discours prononcé par Nicolas Sarkozy à l'occasion du Cebit 2008. [[page]]Le Président s'était ainsi engagé à ce que 100% de la population soit couverte en haut débit en 2012. Pour cela, le chef du gouvernement encourage notamment son secrétaire d'Etat à accélérer le déploiement de la 3G, alors même que la 4e licence semble voir son avenir subitement obscurci. Parmi les autres chantiers considérés comme prioritaires figure le développement de la télévision numérique terrestre et personnelle (TNT mobile). Eric Besson devra ainsi mettre en place les mécanismes permettant d'accroître la couverture du territoire et l'équipement des ménages, tout en accompagnant l'arrêt de la télévision analogique. Il aura également pour tâche de proposer des modalités de réutilisation des fréquences ainsi libérées. L'ensemble des formalités administratives en ligne Le secrétaire d'Etat au développement de l'économie numérique aura, par ailleurs, à se pencher sur les contenus et les usages avec, en ligne de mire, la lutte contre les fléaux du Web : cybercriminalité, atteinte à la protection de l'enfance, non respect du droit d'auteurs. Surtout, l'ancien député socialiste devra réfléchir à la promotion des « nouvelles applications des TIC dans les domaines du télétravail, de l'éducation, de la santé et de l'e-administration ». Sur ce dernier point, en particulier, l'IT est censé constituer « le levier essentiel de la modernisation des services publics » avec, notamment, la mise en ligne programmée de l'ensemble des formalités administratives. Enfin, Eric Besson doit plancher sur les moyens permettant d'accélérer la diversification des usages du Web, en permettant par exemple un recours généralisé à la signature électronique ou en garantissant une protection des données personnelles efficiente. La mission confiée au secrétaire d'Etat de la rue Saint Dominique consiste donc à faire en sorte « qu'Internet devienne un formidable espace de liberté et d'échanges, sans devenir une zone de non-droit ». Les mauvaises langues parleront de formule convenue, d'autres se souviendront avoir entendu, au mot près, la même expression dès la fin des années 90. (...)
(19/03/2008 14:44:15)L'économie numérique fait son entrée au gouvernement
L'entrée du numérique au gouvernement était attendue depuis longtemps par les représentants de l'IT. C'est désormais chose faite, grâce à la nomination d'un « Monsieur » économie numérique. Hier matin, à l'occasion d'un réajustement gouvernemental, le président de la République Nicolas Sarkozy a en effet confié à Eric Besson le poste de secrétaire d'Etat au numérique. Une mission qu'il cumulera avec ses fonctions actuelles de secrétaire d'Etat chargé de la prospective et de l'évaluation des politiques publiques. Si le contenu de sa mission reste encore à préciser, il devrait s'inspirer du rapport de la Commission Attali, qui, dans sa décision 63, préconisait la création d'un haut-commissaire au Développement numérique, rattaché au cabinet du Premier ministre. Dans le rapport, il était question de « disposer d'une autorité sur toutes les structures ministérielles chargées du numérique, et de fusionner les multiples structures et instances à vocation interministérielle ». Renforcer l'équipement informatique des PME françaises Le nouveau secrétaire d'Etat devra s'attaquer à deux chantiers prioritaires. Le premier est l'accès à Internet très haut débit pour tous, un sujet déjà évoqué par Nicolas Sarkozy, en mars dernier, lors du Cebit de Hanovre. Dans l'intention de renforcer l'usage et la production des nouvelles technologies dans l'Hexagone, le chef de l'Etat avait alors poser l'objectif de 70% des ménages équipés d'ordinateurs personnels d'ici à deux ans. En parallèle de cette ambition, il avait souhaité que « 100% des Français aient accès au débit fixe ou mobile » avant la fin de son mandat. [[page]] Du côté des associations professionnelles, on ne peut que se réjouir de cette initiative. « La nomination d'un secrétaire d'Etat à l'économie numérique permettra en premier lieu de pallier au manque de coordination et de vision des politiques en la matière, estime Loïc Rivière, délégué général de l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciels). Elle devrait également permettre de faire face à une situation pour le moins contrastée, en matière de capacité française à l'innovation, comme la pénurie de compétences dans la IT, la faiblesse des passerelles R&D entre le public et les industriels, ou le retard pris par la France en matière de propriété intellectuelle. » Le délégué de l'Afdel, qui avait d'ailleurs critiqué ce même rapport Attali jugé trop favorable au Libre, considère par ailleurs que le développement numérique ne doit pas uniquement se focaliser sur le retard pris dans l'équipement des ménages français : « Il faut également encourager les PME à investir dans les outils informatiques, à augmenter les investissements en R&D, et à renforcer la propriété intellectuelle. » Dans ce domaine, les universités françaises sont clairement à la traîne, comme l'a récemment montré le dernier classement mondial de Shanghai. (...)
(13/03/2008 11:30:37)Annuels Iliad : résultat net en hausse de 24,4% grâce à la Freebox
Iliad confirme ses objectifs de croissance annoncés en février dernier. Le groupe, maison-mère de Free, a en effet franchi en 2007 le cap du milliard d'euros de chiffre d'affaires (1,212 Md€), en hausse de 29,7% par rapport à 2006. Le résultat net atteint quant à lui les 150,2 M€ (+24,4%) et le résultat opérationnel courant s'affiche à 213,8 M€, avec une marge de 17,5%. Le nombre d'abonnés a augmenté de 22,4% (626 000 en plus), ce qui permet à Free de se positionner en troisième position des fournisseurs d'accès à Internet en France, derrière Orange et Neuf Cegetel. Cette progression est liée au succès de la Freebox, dont les services ont permis à Iliad d'encaisser 263,4 M€, contre 163,4 M€ un an plus tôt. Pour 2008, le groupe espère rassembler 3,25 millions d'abonnés haut débit (contre 2,9 millions actuellement), et 4 millions en 2010. Il compte atteindre un taux de dégroupage de 84% (81,5% à ce jour). Iliad a également pour ambition de déployer son réseau de fibre optique, et de couvrir 70% de Paris d'ici au second semestre 2009. (...)
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