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(27/01/2006 17:55:28)
SiRF rachète Impulsesoft et associe le Bluetooth à ses puces GPS
Le fabricant de composants et éditeur de solutions GPS SiRF Technology Holdings vient de procéder à l'acquisition d'Impulsesoft pour 15 M$ en numéraire et en actions. Basé à Bangalore, Impulsesoft est spécialisé dans les logiciels embarqués et le Bluetooth. Cette acquisition s'inscrit en droite ligne dans la stratégie de SiRF, une stratégie consistant à ajouter diverses fonctions - dont la connectivité sans fil - à ses puces GPS. Celles-ci prennent place dans des téléhpones mobiles, des automobiles ou autres ordinateurs portables. "Nous avons remarqué que les téléphones mobiles et les autres appareils qui embarquent nos puces GPS sont aussi dotés de Bluetooth, explique ainsi Kanwar Chadha, le fondateur de SiRF. Il semblait alors opportun de proposer une alternative aux deux systèmes dinstincts qui soit à la fois moins chère, moins consommatrice d'énergie et de taille moindre". (...)
(24/02/2006 17:00:02)Siebel signe une solide fin d'exercice 2005
Avec tous ses secteurs d'activité en croissance, Siebel finit fort l'année 2005, ce qui ne manquera pas de faire sourire Larry Elisson, le patron d'Oracle, qui a signé l'acquisition de Siebel en septembre dernier. Le chiffre d'affaires T4 atteint 469 M$, en hausse de 19 % sur un an et dépassant ainsi les prévisions des analystes. La plus forte progression est à mettre à l'actif des ventes de licences : elles croissent de 34 % par rapport au même trimestre 2004 et atteignent 215 M$. La division maintenance réalise un CA de 130 M$, soit 6 % de mieux qu'il y a un an. Siebel enregistre également une importante progression de son bénéfice net : à 89 M$, il gagne 65 % sur l'année. Pour l'ensemble de l'exercice 2005, l'éditeur réalise un chiffre d'affaires de 1,43 Md$, en hausse de 7 % par rapport à l'année précédente. Le bénéfice net annuel recule de 41 M$, à 70 M$, une diminution liée à des charges de restructuration et liées à des acquisitions. (...)
(24/02/2006 17:00:33)Marché RFID : des revenus multipliés par dix d'ici 2016
La valeur générée par le marché mondial de la RFID devrait presque décupler en dix ans, selon une étude IDTechEx. De 2,7 Md$ en 2006, la RFID générerait ainsi un revenu de 12,3 Md$ en 2010 et 26,2 Md$ en 2016. Selon l'étude, 1,3 Md d'étiquettes RFID devraient être vendues cette année, celles-ci trouvant leur application dans une vaste diversité de domaines : transport, passeports, outils de paiement, authentification de médicaments, etc. Depuis l'apparition de cette technologie de traçabilité, 2,4 Md d'étiquettes ont été distribuées, dont un quart pour la seule année 2005. Le marché n'en est donc qu'à ses balbutiements et s'apprête à véritablement exploser. Pour preuve, le nombre d'étiquettes vendues annuellement devrait être multiplié par 450 d'ici 2016. (...)
(24/02/2006 16:58:51)Résultats Lenovo : les analystes déçus par le bénéfice
Le constructeur chinois Lenovo a bouclé son troisième trimestre fiscal sur un chiffre d'affaires et un bénéfice net en progression, en partie grâce à la récente acquisition de la division PC d'IBM. Le chiffre d'affaires pour la période s'élève à 31,1 MdHK$ (4 Md$), soit une énorme progression de 392 % par rapport au même trimestre de l'exercice précédent. Une performance qui doit beaucoup au rachat des PC d'IBM en mai 2005, les ventes ne croissant que de 12,6 % en volume sur un marché en hausse de 17 % au même moment. Le bénéfice net atteint 365 MHK$, soit une hausse de 12 % sur un an. Le consensus Reuters attendait un profit nettement supérieur, proche de 460 MHK$. Là aussi, l'effet de l'acquisition des PC IBM se fait sentir ainsi que de piètres performances sur le marché asiatique. Si ce résultat ne manquera pas de décevoir experts et actionnaires, il est toutefois en ligne avec les déclarations de Yang Yuanqing, le président de Lenovo, qui indiquait récemment : "nous allons gagner de l'argent mais nous ne focalisons pas sur le profit. Notre but est avant tout la croissance". Premier marché pour le constructeur, la Chine a généré 37 % du chiffre d'affaires global, à 11,5 MdHK$. Les ventes y ont progressé de 39 % par rapport au T3 2004. A contrario, les livraisons à destination de la zone Amériques sont restées stable à 8,9 MdHK$, soit 29 % des revenus du groupe sur un bénéfice de 196 MHK$. Après une perte au trimestre précédent, la région Emea se redresse et réalise un petit bénéfice ainsi que 22 % du CA global. Les marchés dits matures font partie de la cible privilégiée du constructeur, celui-ci souhaitant y réaliser la grande majorité de sa croissance. En Asie, Chine exclue, Lenovo signe un nouveau trimestre déficitaire, 140 MHK$ de perte, notamment dû à un marché japonais en prise à une rude concurrence. (...)
(27/01/2006 17:58:38)Linus Torvald s'oppose à la GPL 3 pour Linux
Le noyau Linux ne sera pas être régi par la GPL 3. Linus Torvald, gourou open source et père de Linux s'est effectivement opposé à l'adoption de la version 3 de la GPL -actuellement en cours de révision, la première depuis 15 ans- pour couvrir le noyau Linux. Les clauses relatives à la gestion des DRM (Digital Right Management), au centre de la nouvelle mouture de la licence, seraient selon lui « trop pesantes ». « Il serait fou, par exemple, de publier ses propres clés et signatures numériques. Je ne le ferai pas.» déclare-t-il. Rappelons que la GLP 3 doit notamment aligner la licence sur les nouvelles contraintes juridiques liées au DRM et aux brevets logiciels. Linus Torvald indique sur le newsgroup Linux Kernel Mailinglist que seuls quelques éléments de Linux sont « licenciables » en GPL3, « mais pas le noyau dans sa totalité ». (...)
(27/01/2006 17:47:20)10 Md$ pour poursuivre développement et promotion d'Itanium
Plusieurs grands constructeurs de serveurs, menés par Intel, viennent de décider d'investir 10 Md$ dans la poursuite du développement et de la promotion de produits basés sur les processeurs Itanium. L'investissement consenti sera échelonné sur quatre ans. Parmi les partenaires d'Intel pour ce projet, on trouve notamment Bull, Fujitsu, Hitachi, HP, Nec, Silicon Graphics et Unisys. Les montants investis seront consacrés à la recherche et au développement mais aussi aux ventes et au marketing ainsi qu'au soutien financier d'éditeur désireux de porter leurs applications sur la plateforme. Enfin, une partie non précisée du montant investi ira à l'Itanium Solutions Alliance, une association fondée en septembre dernier pour la promotion de l'architecture Itanium. (...)
(27/01/2006 00:00:00)Recrutement : Une tendance au jeunisme ? positive mais inquiétante
L'intérêt des recruteurs informatiques pour les jeunes diplômés devrait s'accroître en 2006. « Nous avons eu l'information cette semaine. Nos clients assouplissent leurs exigences quant aux ingénieurs que nous leur proposons, car les consultants ayant entre deux et cinq ans d'expérience se raréfient, " explique Alexandra Lecordier, responsable du recrutement pour la société de services te de conseil en informatique SQLi.. "Pour pallier cette pénurie, ils acceptent d'accueillir des jeunes diplômés avec six mois de stage". La société de recrutement en intérim Expectra confirme. Pour Julien Garrigues, responsables des salons et des relations avec les écoles, cette évolution chez les clients se manifeste clairement depuis le mois de septembre. Il ajoute en revanche qu'ils restent relativement intransigeant sur la nature des formations, privilégiant les écoles d'ingénieurs aux universités. Le mouvement est malgré tout positif pour favoriser leur recrutement, même si certaines SSII ont déjà pour habitude d'embaucher beaucoup de jeunes diplômés. Chez Sqli par exemple, les projets d'embauche devraient de nouveau concerner les débutants et les confirmés dans des proportions égales. Si la tendance est positive pour les jeunes, elle demeure en revanche alarmante pour le marché du travail informatique dans son ensemble. Le plébiscite des jeunes se ferait en effet au détriment d'informaticiens "seniors", ayant passé la barre des sept/huit ans d'expérience et atteint des âges canoniques de plus de 35 ans. " Lorsque les compétences manquent, les clients préfèrent investir davantage de temps pour former un jeune que de se tourner vers quelqu'un de plus expérimenté, avouent en effet certaines SSII. Pire "certains recruteurs envisagent de former des ingénieurs scientifiques, non informaticiens aux technologies informatiques alors que le taux de chômage sur ce marché reste élevé, s'exclame Cédric Barbier, directeur associé des Jeudi, soulignant lui aussi le jeunisme qui toucherait la profession. Les plus cyniques estiment que c'est une question de rentabilité, les profils expérimentés seniors étant plus chers que les profils juniors. D'autres que cette frilosité est liée à la moyenne d'âge des équipes projet et de développement, souvent inférieure à 30 ans. "Certains clients ont peur que des informaticiens plus âgés aient du mal à s'intégrer". Tous les articles à propos du salon : Recrutement : Une embellie confirmée et modérée sur le salon Les Jeudis Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience Recrutement : Une tendance au jeunisme ? positive mais inquiétante (...)
(27/01/2006 00:00:00)Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience
C'est dans une ambiance plutôt calme et bon enfant que les jeunes diplômés, arborant l'inévitable costume cravate et munis d'une pile de CV, ont rencontré les recruteurs sur le salon Jeudis.com. Quelques files d'attente se détachaient ça et là devant les stands des exposants, mais sans que cela ne soit systématique. Certains ont décroché des entretiens, comme Sylvain, un diplômé de l'Esigelec. Ce dernier souhaitait travailler dans le domaine du développement java et .net. Il a fait valoir le stage de six mois qu'il a effectué sur un projet de développement logiciel pour Pocket PC avec le très prisé langage de environnement .NET, C# et a obtenu trois rendez-vous dans des SSII. D'autres, toutefois ont eu moins de chances, tel ce jeune ingénieur en temps réel et informatique embarqué de 23 ans, sorti de l'INSIA. Il a rencontré une dizaine de sociétés auxquelles il a laissé son CV, mais dressait un bilan mitigé de ses brèves rencontres. "Ils cherchent des gens qui savent tout faire et qui ont déjà de l'expérience", concluait-il à la fin de la matinée. Globalement, les exposants interrogés dans les allées du salon confirment effectivement leur intérêt prioritaire pour les profils ayant au minimum un an d'expérience, même si ils souhaitaient également rencontrer des jeunes diplômés. Valtech, la société de conseil en management et technologies, expliquait par exemple qu'il propose entre 5 à 13 postes qui peuvent être pourvus par des jeunes diplômés sur 40 à 60 embauches prévues cette année. Chez Microsoft, la proportion est comparable. L'éditeur cherche 20% de Jeunes Diplômés pour sa division "Services" cette année, contre 40% de personnes ayant de 2 à 5 ans d'expérience et 40% de plus expérimentés. Les chiffres des offres d'emploi publiées sur les jeudi.com confirment par ailleurs cette tendance. « 17 % des offres publiées en 2006 sur notre site web s'adressent à des ingénieurs ayant moins de deux ans d'expérience, 64% à des candidats de 2 à 5 ans d'expérience », expliquait Cédric Barbier, directeur associé des Jeudis.com. En attendant de profiter davantage de la reprise du marché (LIEN vers article suivant), les candidats ont toutefois saisi des conseils pour leur recherche d'emploi. Sylvain s'est félicité d'avoir progressé sur la connaissance du fonctionnement interne des SSII. "J'ai appris qu'un ingénieur débutant pouvait se positionner sur les projets menés en interne, dans les centre de services des SSII, plutôt que sur les missions menées chez les clients où ils ont une obligation de moyens". D'autres ont admis que les entretiens, si brefs qu'ils aient été parfois, leur ont permis de tester leur profil et l'exposé de leur projet, ce qui n'est parfois pas du luxe. Plusieurs recruteurs regrettent en effet le fait que certains jeunes ne sachent pas mettre an avant leurs points forts et expliquer ce qu'ils cherchent. Frédéric Queva, responsable RH pour la division Services De Microsoft, insiste sur ce point. « Nos managers ont reçu quelques candidats qui ont tendu leur CV sans dire ce qui les intéressaient chez Microsoft. Ce manque de précision peut les desservir». Et de poursuivre. « Aujourd'hui, nous avons pu mettre en évidence avec l'un des candidats, ayant fait un stage dans la grande distribution, qu'il exerçait des fonctions de conseil interne et qu'il pouvait être intéressé par un travail de consulting, alors qu'il n'en avait pas conscience au début. Mais nous n'avons pas toujours le temps d'approfondir le dialogue". Tous les articles à propos du salon : Recrutement : Une embellie confirmée et modérée sur le salon Les Jeudis Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience Recrutement : Une tendance au jeunisme ? positive mais inquiétante (...)
(27/01/2006 00:00:00)Recrutement : Une embellie confirmée et modérée sur le salon Les Jeudis
Moins nombreux qu'en septembre 2005 (60 participants), les 42 exposants au dernier salon du recrutement informatique organisé le 19 janvier dernier par Lesjeudis.com ont confirmé l'embellie sur le secteur en promettant plus de 50% de postes supplémentaires pour 2006. Les recrutements massifs attendront cependant un peu... Selon Pascale Barbier, directrice associée des Jeudis.com, certaines SSII auraient affirmé manquer de visibilité pour planifier leurs embauches et donc leur participation au salon. Malgré cette "timidité", la croissance du nombre des recruteurs est tout de même manifeste, si l'on regarde les chiffres de l'année précédente pour le même événement - il y avait une quarantaine d'exposants en septembre 2004 et 35 en janvier 2005. Ils confirment aussi que les exposants accordent la priorité à la période de septembre pour s'offrir une présence sur un salon. Une stratégie que les candidats semblent avoir bien intégré : le salon affichant une fréquentation moindre que lors de la précédente édition, même parmi les jeunes diplômés, avec 2 200 visiteurs recensés. Côté offres, quelques 15 000 postes étaient à pourvoir selon les prévisions d'embauches communiquées par les exposants, contre 10 500 en janvier 2005, ce qui confirme là aussi l'embellie du marché du recrutement, sans que cela ne soit dans des proportions spectaculaires. Les exposants étaient à quasi 100% des SSII. Microsoft et la Direction Générale des Impôts faisaient office d'exceptions, comme représentants des fournisseurs et des utilisateurs d'informatique. Au niveau des profils, les plus recherchés demeurent les développeurs en nouvelles technologies (Java, J2EE, .net, etc), les spécialistes d'Unix, les consultants SAP et les ingénieurs présentant une double compétence métier et technique. Près de 80 % des offres s'adressaient par ailleurs à des consultants présentant entre 2 à 5 ans d'expérience, selon Cédric Barbier, directeur Associé des Jeudis.com. Cette première mouture 2006 ne s'est donc pas traduite par une ruée vers les Jeunes diplômés. Mais la tendance pourrait s'inverser en 2006, avec la pénurie de compétences qui se manifeste parmi les profils plus expérimentés. Ces derniers, qui étaient attendus à partir de 15H sur le salon - la matinée étant plus particulièrement dédiée aux jeunes diplômés- se sont montrés moins nombreux que leurs cadets. Tous les articles à propos du salon : Recrutement : Une embellie confirmée et modérée sur le salon Les Jeudis Recrutement : Les Jeunes diplômés coiffés au poteau par les 2 à 5 ans d'expérience Recrutement : Une tendance au jeunisme ? positive mais inquiétante (...)
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