La Liberty Alliance veut participer à la lutte contre l'usurpation d'identité. En avril dernier, l'association a fondé un groupe de travail dédié, l'ID-Theft Special Interest Group (SIG), et vient de le rebaptiser Identity Theft Protection Group. Celui-ci compte une cinquantaine de membres, parmi lesquels AOL, Nokia, Oracle ou encore RSA Security. Ce groupe vient de publier le premier jet d'un lexique regroupant les termes permettant de définir précisément en quoi consiste l'usurpation d'identité. Avec ce lexique, le groupe entend rationaliser le débat autour de ce problème, soulignant que le terme même d'usurpation d'identité recouvre beaucoup d'actes, en ligne et hors ligne, dont les impacts et les victimes ne sont pas les mêmes.
L'Identity Theft Protection Group se donne quelques mois pour finaliser son lexique, qui sera au centre de l'atelier dédié à l'usurpation d'identité de la Liberty Alliance, le 20 juillet prochain.