Flux RSS

Architecture logicielle

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

2077 documents trouvés, affichage des résultats 471 à 480.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(02/09/2010 17:22:03)

Un accès gratuit à JavaOne pour les étudiants

Pour inciter la jeune génération de développeurs à s'intéresser au langage Java et à ses autres outils de conception de logiciels, Oracle a décidé d'accueillir gracieusement les étudiants sur les conférences JavaOne et Oracle Develop qui se tiendront à San Francisco du 19 au 23 septembre dans le cadre d'OpenWorld 2010.

Pour obtenir leur « Pass Découverte » (Discovery Pass), les jeunes gens doivent avoir dix-huit ans et être inscrits cet automne dans un établissement de formation agréé à but non lucratif, pour un minimum de six unités de cours. Cet accès gratuit leur permettra d'assister à plusieurs interventions de type keynotes, d'arpenter plusieurs halls d'exposition et de participer à des sessions Java Frontier spécialement destinées aux étudiants. Ils auront aussi le loisir d'écouter des sessions techniques, de se rendre à des ateliers pratiques (« hands-on lab ») et de prendre part à des discussions informelles sur des sujets spécifiques (les fameux « Birds-of-a-feather »), le tout en fonction des places disponibles.

Doper la notoriété de ses outils de développement

Cette annonce d'Oracle arrive au lendemain d'une controverse engagée par Tim Bray, co-inventeur de XML et ancien directeur des technologies web de Sun. Dans un billet de blog, celui qui a désormais rejoint les rangs de Google expliquait pourquoi ses équipes ne participeraient pas à JavaOne cette année. Il y déplorait aussi qu'Oracle ne déploie pas plus d'énergie à renforcer la notoriété de ses outils de programmation auprès des développeurs (comme Microsoft s'y emploie avec son programme DreamSpark). En mars dernier, Tim Bray a accepté de servir la cause du système d'exploitation Android chez Google, sous l'étiquette de « developer advocate », un terme qui vaut bien celui d'évangéliste (et qui, tout au moins, ne véhicule pas de connotation religieuse).

Se référant à une ancienne conversation, la nouvelle recrue de Google a regretté qu'Oracle cherche davantage à renforcer les relations entre ses experts métiers Oracle et ses clients. Or, les préoccupations qui concernent strictement les développeurs n'ont pas vraiment de réalité à ce niveau-là.

Les propos de Tim Bray sonnent juste néanmoins

Avec le Pass Discovery, l'éditeur montre qu'il n'a pas renoncé à faire croître sa communauté de développeurs. Malgré tout, le billet de Tim Bray sonne juste, relève Michael Coté, analyste chez Redmonk. « Oracle apprécie les développeurs, il n'y a pas de doute là-dessus. Mais, son modèle économique de base s'ancre dans les lignes de produits pour l'entreprise et les revenus qu'il en tire : Siebel, PeopleSoft, ses bases de données et, maintenant, Java. » Les plus grandes entreprises rassemblent déjà un grande nombre d'utilisateurs de ces technologies, rappelle l'analyste. Par conséquent, Oracle n'a nul besoin de courtiser les développeurs comme un acteur Open Source doit le faire pour générer des ventes « virales », conclut-il.

(...)

(02/09/2010 16:11:08)

VMworld 2010, le salon des rivalités VMware/Microsoft, a fermé ses portes

Retour en 10 points sur le VMWorld 2010 qui clôture ses portes ce jeudi.

1. Cette année, le VMworld a attiré 17 021 participants inscrits, soit en nette progression par rapport aux 12 488 inscrits de l'année dernière. Parmi eux, 4 000 n'avaient jamais participé à la manifestation auparavant et 55 n'ont jamais raté un seul VMworld depuis sa création en 2004. Le salon les a distingués en leur offrant une place spéciale sur la scène pendant le keynote.

2. L'exposition a également attiré plus de 200 sponsors et exposants, dont des sponsors de premier plan comme Cisco, Dell, EMC et NetApp. 170 sessions ont été consacrées à expliquer le fonctionnement de la technologie de virtualisation à ceux qui le souhaitaient, et surtout à parler de VMware.

3. L'une des sessions intitulées "L'avantage de VMware sur Microsoft pour la mise en place d'un cloud privé : un comparatif point par point," visait, avant tout à éclairer les clients afin de leur permettre de "prendre des décisions fondées sur des faits pour savoir où investir." La séance, dirigée par des cadres de VMware, a permis d'exposer de manière "tout à fait impartiale" les technologies de VMware et de Microsoft.

4. Pendant ce temps, Microsoft faisait paraître un encart pleine page dans le journal USA Today pour déconseiller aux clients de signer des contrats de trois ans avec VMware. Paul Maritz, le PDG de VMware, et ancien dirigeant de Microsoft Windows, a qualifié la pub de "témoignage sincèrement flatteur," tout en faisant remarquer que " en parlant de verrouillage (lock-in), Microsoft s'affiche comme l'hôpital qui se moque de la charité." Au passage, Microsoft n'a pas manqué d'égratigner son concurrent, faisant valoir que VMworld limitait les règles de concurrence. Mais l'éditeur a finalement offert des démonstrations de sa plate-forme cloud Windows Azure aux participants.

5. La cérémonie d'ouverture a été animée par les grandes vedettes, tentées par quelques entrées en scène humoristiques : Herrod Stephen, CTO de VMware et d'autres ont enfourché des scooters pour se déplacer d'un côté à l'autre de la scène. Ou encore, cette vidéo inspirée du film Matrix, où Oracle explique que le cloud est partout et que nos esprits sont tout simplement devenus des «terminaux passifs». Elle compare également le cloud computing avec le déroulement d'une commande de pizzas, des gags à l'américaine plutôt bien accueillis par le public.

[[page]]

6. EMC, le propriétaire de VMware, a figuré en bonne place en tant que sponsor, mais pour l'essentiel, sa participation majoritaire dans l'éditeur Palo Alto n'a pas été évoquée. EMC s'est simplement positionné comme un partenaire de Vmware - certes le plus important - apparaissant même sur un panneau comme "EMC : n° 1 du stockage pour VMware."

7. Comme toujours, l'exposition a étalé quelques présentations délirantes. Le vendeur Kingston Technology a accueilli un concours Guitar Hero; le stand de CA Technologies a mis des femmes sur des échasses, et le stand géant de VMware arborait une page du playbook d'Apple affublé d'un Genius Bar.

8. Le réseau qui a alimenté les sessions de travail était composé d'une infrastructure à 10 Gigabits, agrémenté de liaisons directes avec Terremark et les installations de Verizon en Floride et en Virginie; il offrait une capacité de stockage de 244 To; sans compter les 352 serveurs, les 736 sockets CPU et les 3072 coeurs de processeur. Globalement, 125 000 machines virtuelles ont été déployées au cours de la conférence pour satisfaire 12 500 sessions de travail.

9. 3Par, un vendeur de solutions de stockage, qui fait actuellement l'objet d'une guerre aux enchères à coup de milliards de dollars entre HP et Dell, avait beaucoup d'argent à dépenser au VMworld pour faire la promotion du stockage virtualisé dans son immense stand. Il a même offert une télévision 3D.

10. VMware s'est vanté d'avoir 190 000 clients, de "AstraZeneca à Zappos" et a fait remarqué que 2009 a été la première année où le nombre de serveurs d'applications déployés sur des infrastructures virtualisées dépassait le nombre d'applications déployées sur des machines physiques. «Le nombre de systèmes d'exploitation tournant sur des machines virtuelles dépasse désormais celui des systèmes tournant sur des machines physiques," a déclaré Paul Maritz.

(...)

(02/09/2010 16:27:56)

WMworld 2010 : Les annonces produits du salon

VMware vCloud Director


Anciennement connu sous le nom de Projet Redwood, vCloud Director de VMware étend les capacités de mise en commun des ressources dans la plate-forme de virtualisation vSphere avec pour objectif de construire des réseaux cloud. VMware mentionne que cela permet aux équipes informatiques de créer "des groupes logiques de calcul, une mise en réseau, des ressources de stockage avec des politiques de gestion, des niveaux de service SLA et des prix définis". La solution vCloud Director délivre des services informatiques aux utilisateurs dans un système en libre-service totalement automatisé.


Prix
: à partir de 3 750 dollars pour 25 VM


Citrix XenDesktop 4 Feature Pack 2



Citrix cible la sécurité des PC portables dans la dernière version de son logiciel de virtualisation du poste de travail. XenVault sauvegarde automatiquement les données créées par les applications professionnelles dans un dossier chiffré. XenClient est quant à lui un hyperviseur installé directement sur le matériel de la machine, qui isole les postes de travail de l'entreprise des applications personnelles de l'utilisateur.

Prix : de 75 dollars à 350 dollars par utilisateur


RSA Solution for Cloud Security and Compliance



L'offre de RSA (filiale de EMC, tout comme VMware) est un service gérant la sécurité, le risque et la conformité réglementaire dans les infrastructures de cloud computing. Ce service fournit des tableaux de bord de la sécurité et de la conformité à travers l'infrastructure physique et virtualisée. La solution propose également une bibliothèque de contrôles de sécurité dans le logiciel RSAArcher, qui comprend plus de 100 contrôles spécifiques pour VMware, ainsi qu'un workflow et des processus de notification automatisés afin de simplifier la réponse aux problèmes de sécurité.

Prix : à partir de 110 000 dollars

HP  CloudStart



Cette solution proposée par HP est une combinaison de matériel, de logiciels et de services dédiée à la construction de clouds privés. La solution comprend des services d'intégration et de conseil ainsi que la plate-forme de convergence BladeSystem Matrix de HP qui réunit un serveur, du logiciel, du stockage et du réseau. Avec cet outil, un cloud privé peut être monter en 30 jours selon HP.

Prix : à partir de 250 000 dollars

[[page]]

VMware vShield



La ligne de produits de sécurité vShield de VMware s'élargit avec de nouveaux outils dont vShield App. Ce dernier protège les applications des menaces internes en s'assurant qu'elles sont correctement segmentées et en faisant respecter les règles définies par l'entreprise en matière de groupes de sécurité. Un autre outil, vShield Edge, crée des services analogues aux périmètres d'une DMZ (zone de sécurité démilitarisée, entre l'entreprise et internet) et fournit des services réseau tels que DHCP (Dynamic Host Protocol Network), des VPN (Virtual Private Network), du NAT (Network Adress Translation) ainsi que de l'équilibrage de charges.

Prix : à partir de 1 250 dollars pour 25 VM


FalconStor Network Storage Server SAN Accelerator pour VMware View



Ce système de stockage sur disques SSD est conçu pour accroître la performance des postes de travail virtuels créés avec VMware View, tout en fournissant une protection des données à plusieurs rangs (multi-tiers) pour tous les réservoirs de données des utilisateurs, ainsi que la sauvegarde et la restauration pour chaque poste de travail virtuel. La restauration de fichiers en mode libre-service est aussi fournie aux utilisateurs individuels de postes de travail virtualisés.

Prix : 35 dollars en moyenne par poste de travail virtuel

Gluster VMStor



Ce logiciel réduit les frais de stockage de machines virtuelles en supprimant le besoin d'utiliser des systèmes basés sur un SAN (réseau de stockage) qui s'avèrent toujours très coûteux. La solution, qui fonctionne sur des baies x86 très répandues, offre des copies instantanées (snapshots) des répertoires de VM, une sauvegarde sur un cloud ainsi que l'intégration avec une interface utilisateur VMware.

Prix : à partir de 1 500 dollars par noeud de stockage par année

MokaFive Suite avec BareMetal Player



Ce logiciel de virtualisation du poste de travail "bare-metal" de MokaFive s'installe directement sur le matériel d'un PC, plutôt qu'au dessus d'un système d'exploitation, fournissant potentiellement une meilleure isolation entre les machines virtuelles. MokaFive revendique le fait que BareMetal Player va simplifier la gestion des postes de travail tout en permettant aux employés d'amener leur propre PC portable au travail.

Prix : 150 dollars par utilisateur par an

[[page]]

Cloud.com CloudStack



Ce logiciel Open Source de création de cloud supporte désormais le logiciel de virtualisation vSphere 4.1 de VMware ainsi que les outils de gestion vCenter Server.

Prix : gratuit en tant qu'Open Source et 10 000 dollars par an pour l'enterprise edition


SolarWinds VM Console



Cet outil de gestion de la virtualisation crée un tableau de bord qui suit les machines virtuelles et permet de les éteindre et de les redémarrer sans avoir besoin d'un professionnel de l'informatique pour se connecter au superviseur de VMware. L'outil est conçu pour accélérer le processus de réanimation des machines virtuelles, présentes dans des environnements VMware, qui ne répondent plus.

Prix : gratuit

Akorri BalancePoint



Cette version de BalancePoint de Akorri utilise des analyses prédictives pour détecter automatiquement des problèmes de performance des centres informatiques. D'autres caractéristiques comprennent l'analyse de l'utilisation du disque, le support pour Hyper-V de Microsoft et un support étendu du stockage multi-fournisseurs.

Prix : à partir de 8 750 dollars pour 5 To.


Isilon Systems OneFS



Le protocole iSCSI est désormais intégré au système d'exploitation OneFS d'Isilon. Ce dernier permet aux utilisateurs de "consolider les applications basées sur le mode fichier ou sur le mode bloc dans un stockage unique et partagé", ce qui améliore les performances de stockage pour les machines virtuelles. Le support du iSCSI, basé sur le mode bloc, a été ajouté au support existant pour les protocoles basés sur le mode fichier tels que CIFS, NFS, HTTP ou FTP.

Prix : à partir de 50 000 dollars

[[page]]

Integrien Corporation AliveVM



Les outils de gestion de la performance en temps réel AliveVM d'Integrien Corporation pour les administrateurs VMware fournissent davantage de visibilité sur des performances grâce à de l'analytique et à des visualisations conçues pour accélérer la résolution de problème. "Ce nouveau logiciel effectue une analyse comportementale continue et détaillée de l'ensemble de l'environnement virtuel et affiche ses résultats dans une interface en fournissant des données critiques de la performance sur la santé, la charge de travail et la capacité de chaque élément virtuel" annonce le fournisseur.

Prix : 2 500 dollars pour 100 VM

Aspera faspex Server 2.0



Le logiciel de livraison de fichiers faspex Server d'Aspera crée une interface e-mail simple pour les utilisateurs et utilise le logiciel de transfert de fichiers de l'éditeur en arrière-plan pour permettre un transfert rapide de fichiers volumineux. "Les utilisateurs ont accès à faspex Server via une interface web ou un logiciel client sur un PC de bureau, et envoient des données de la même manière qu'ils envoient un e-mail" selon l'éditeur. "Les destinataires sont informés par e-mail et peut rapidement télécharger les fichiers via Aspera".

Prix : 11 000 dollars pour une licence 10 Mbit/s et 20 comptes

Embotics V-Commander 3.6



Cette version du système de gestion de la virtualisation V-Commander supporte désormaise jusqu'à 15 000 machines virtuelles. Elle fournit une gestion de la capacité, de la configuration et de la performance, ainsi qu'un portail en libre-service, des rapports automatisés, une gestion des VM en temps réel, une gestion du cycle de vie des VM avec une automatisation déterminée par la politique définie par l'administrateur, ainsi que la gestion des changements et leur audit, et un support pour VMware et Hyper-V de Microsoft.

Prix : 400 dollars par socket par an

Wanova Mirage 1.5



Cette mouture de la plate-forme de virtualisation du poste de travail Mirage 1.5 de Wanova pour la gestion des ordinateurs distants et des PC portables travaille désormais avec Windows 7, et intègre un assistant pour migrer les PC de XP vers Seven via un réseau longue distance WAN. Elle offre également un usage plus efficient du stockage.

Prix : à partir de 200 dollars


[[page]]

System Generation 4 Recerunner Operating




La quatrième génération de l'OS de WhiTail Tech sera disponible sur la solution de virtualisation Virtual Dektop XLR8r du même fournisseur et le Datacenter XLR8r pour du SAN. Cette version du système d'exploitation accélère les entrées/sorties, réduit le délai de latence et améliore les performance de duplication.

Prix
: à partir de 49 000 dollars pour 1,5Tb

HyTrust Appliance



La mise à jour de l'appliance HyTrust apporte l'adoption de modèles de service de Cloud privé, fournit un contrôle d'accès et ajoute des capacités pour une infrastructure plus flexible et une segmentation de réseau virtuel, un mode libre-service contrôlé ainsi que des journaux d'historique détaillés.

Prix : 750 dollars par processeur

Zetta Data Protection



Ce service de protection des données hors-site "comprend l'agent ZettaMirror, qui protège instantanément les données en répliquant de manière sécurisée des sources des données disparates issues de l'entreprise vers le service Zetta Storage, en créant une copie en ligne, disponible, et vérifiée des données des clients" explique le fournisseur. Parmi les caractéristiques il y a également le chiffrement hors site et un historique sur 7 ans.

Prix : à partir de 256 dollars par To par mois

NetApp/Syncsort Integrated Backup



Ce package de sauvegarde associe le matériel NetApp et le logiciel de protection des données de Syncsort pour offrir aux distributeurs de matériel informatique "une solution complète et intégrée afin d'aider des PME à résoudre un large éventail de problèmes de protection des données pour des environnements virtualisés".

Prix : à partir de 70 000 dollars pour 8 To

[[page]]
Virtensys VIO-4004



Le système de virtualisation I/O VIO-4004 de Virtensys "consolide et virtualise la connectivité au réseau pour un rack de serveurs et fournit jusqu'à 80 Gbit/s de débit soutenu sur Ethernet par serveur" déclare Virtensys. La solution permet une reconfiguration dynamique des serveurs, en complément des déploiements de la virtualisation de serveurs.

Prix : à partir de 25 000 dollars

Wyse PocketCloud for Android



L'application pour poste de travail distant PocketCloud de Wyse est maintenant disponible pour les smartphones Android. Elle donne aux utilisateurs un accès aux fichiers, aux postes de travail et aux applications "sur n'importe quelle infrastructure physique ou virtualisée via un choix de plusieurs protocoles".

Prix : 15 dollars

F5 Networks BIG-IP Management Plug-in for VMware vSphere



Le module complémentaire pour la solution BIG-IP Local Traffic Manager de F5 Networks simplifie les tâches administratives communes pour les clients utilisant la plate-forme de virtualisation vSphere de VMware. Il réduit le risque d'erreur et permet une automatisation basique.

Prix : à partir de 18 000 dollars

Aria Systems Cloud Revenue Adapter for vCloud Director



La plate-forme de paiement d'Aria Systems intégrée au logiciel vCloud Director de VMware facilite l'implémentation de paiement à l'usage pour les fournisseurs de services en délivrant "une information sur l'usage, dont le nombre d'instances virtualisées, la mémoire, le stockage, la bande-passante du réseau utilisés ainsi que les processeurs".

Prix : 500 dollars par mois

(...)

(01/09/2010 16:19:51)

Alcatel-Lucent s'offre OpenPlug

Alcatel-Lucent élargit son offre dans l'écosystème de la mobilité. Très connu pour les réseaux de téléphonie mobile, l'équipement monte en gamme dans le domaine des applications. Récemment, il avait acquis ProgrammableWeb, un annuaire universel d'API. Aujourd'hui, il annonce le rachat d'OpenPlug, éditeur d'outils de développement pour applications mobiles. Cette opération, dont le montant n'a pas été communiqué, permettra à Alcatel-Lucent de fournir aux entreprises les moyens de développer des applications ou des boutiques dédiés sur plusieurs plateformes mobiles (Windows Mobile, Android, iPhone, etc). OpenPlug propose des suites, baptisées Elips, à l'attention des développeurs.

(...)

(01/09/2010 16:14:43)

WebOS 2 arrive en version beta pour les développeurs

Le WebOS 2.0 dispose de la fonctionnalité « Stacks ». Selon Palm, elle gère le vrai « multitâche » à travers un système d'empilement de cartes (fenêtres d'applications). On peut ainsi se déplacer rapidement entre les tâches. Un utilisateur peut aussi faire une glisser-déposer des cartes ou laisser le système d'exploitation les empiler automatiquement.

La fonction « Quick Action » fait partie de ce que Palm appelle «Just Type », nom de son outil de recherche. Avec de simples gestes, un utilisateur peut lancer un e-mail, mettre à jour le statut de sur son réseau social ou effectuer une recherche sur le web sans avoir besoin de lancer une application.

Le chargeur support d'applications


D'autres changements sont inclus avec la fonctionnalité « Exhibition », qui autorise la création d'applications par les développeurs lorsque le smartphone est placé sur Touchstone, le dock de chargement à induction de Palm. Cela pourrait être par exemple, la mise en route d'un diaporama ou de widgets sur des informations (météo, bourse, etc.). L'éditeur prévoit aussi une meilleure prise en charge d'HTML5, dont la géolocalisation et la gestion du cache.

Pas de date n'a été annoncée sur le lancement de la version grand public, ni sur quel terminal il sera intégré.

(...)

(01/09/2010 11:37:55)

VMWorld 2010 : VMware place Java dans le cloud

La plateforme d'application cloud de VMware  s'appuie sur le célèbre Framework de Spring pour le développement Java et sur le dernier produit de la société, vFabric. Ce dernier propose déjà des outils de SpringSoruce tels que la gestion des données, la messagerie et la répartition de charge dynamique. Les 2,5 millions d'utilisateurs de Spring seront les premiers à inaugurer cette plateforme. «In fine, nous pensons apporter une architecture de cloud computing  propice à l'avenir de Java », a déclaré Shaun Connolly, vice-président produit d'EMC VMware et d'ajouter « jusqu'à présent, il n'y avait pas de vision claire pour le cloud à destination des développeurs Java ».

Les applications sur la plateforme de cloud de VMware peuvent partager des informations avec l'infrastructure sous-jacente pour dynamiser les performances des logiciels, la qualité de service et de l'utilisation des infrastructures. Les techniciens peuvent déployer vFabric l'intérieur d'un centre de calculs, dans les clouds publics tels que VMforce ou des fournisseurs de services vcloud.

Cette plateforme comprend :

-TC serveur, une version entreprise du serveur Apache Tomcat Java

- les logiciels de gestion des données GemFire

-RabbitMQ, serveur de messagerie, de communication entre les applications à l'intérieur et à l'extérieur du datacenter

-ERS (Enterprise Ready Server), qui est une version entreprise du serveur Web Apache capable de gérer dynamiquement la répartition des charges.

-Hyperic, pour la gestion des performances applicatives

« VFabric VMware peut fonctionner avec la solution  vSphere, qui automatise le provisionning et la configuration, a dit Shaun Connolly. Spring et VMware Application Platform Services sont disponibles en téléchargement. VMware prévoit que le service basique vFabric  débutera à 500 dollars par CPU. « Cette plateforme est destinée au marché des clouds privés », indique l'analyste Karin Kelley, du cabinet 451 Group et de compléter, « elle est la base de la couche middleware nécessaire à la création d'un cloud privé  d'entreprises souhaitant faire des applications Java ».

(...)

(30/08/2010 16:56:03)

Des outils Flash et Flex pour les familiers de Visual Studio

Avec Amethyst Professional, les utilisateurs de Visual Studio, de Microsoft, se voient proposer un environnement de développement intégré pour concevoir, coder et déboguer des applications Flash, Flex ou ActionScript. « Créez en flash, déboguez dans Visual Studio 2008 ou 2010 », annonce SapphireSteel Software, fournisseur de cet IDE qui permet aussi d'élaborer des applications AIR (Adobe Integrated Runtime, la technologie client riche de l'éditeur de Flash).

Dans l'environnement graphique d'Amethyst, les développeurs glissent les composants depuis la boîte à outils de Visual Studio vers le logiciel Amethyst Designer pour composer les interfaces utilisateur Flash. SapphireSteel explique que son produit fonctionne de la même façon que les environnements C# et Visual Basic. Les projets sont importés dans Amethyst depuis les outils d'Adobe (FlexBuilder, Flash Builder ou l'IDE Flash). Le débogueur Amethyst Cylon supporte les points d'arrêt (breakpoints) simples et conditionnels, et le décompte des arrêts (hit count).

L'IDE Amethyst Professional coûte 249 dollars. Un essai gratuit de soixante jours est proposé à l'issue duquel le logiciel se convertit en Amethyst Personal, version gratuite mais limitée du produit.

(...)

(30/08/2010 14:09:21)

Citrix achète VMLogix pour assouplir l'usage d'OpenCloud

Citrix prévoit d'inclure certaines des technologies de VMLogix, lui-même fournisseur en technologies de gestion et d'automatisation de la virtualisation, dans ses prochaines versions gratuites de XenServer. Cela permettra, au sein d'une entreprise, d'offrir des services virtuels sur la base des ressources informatiques existant en interne, de la même manière que cela se fait sur des clouds publics. Les utilisateurs pourront notamment s'abonner à des services en ligne et les utiliser immédiatement, comme le pratiquent généralement les prestataires de cloud public.

L'éditeur de Ft. Lauderdale va également ajouter la technologie VMLogix à sa plate-forme OpenCloud de manière à ce que ses clients, eux-mêmes fournisseurs de clouds publics, puissent offrir des fonctions de type "gestion du cycle de vie" pour l'assurance qualité et la continuité de l'activité. Citrix a également l'intention d'ajouter de nouvelles capacités à OpenCloud permettant aux entreprises clientes de gérer une combinaison de traitements répartis entre leurs clouds publics et privés à partir d'une console de contrôle unique, même s'ils utilisent les services de différents fournisseurs de services en ligne.

Assouplir l'usage du cloud

L'acquisition de VMLogix et les mises à jour d'OpenCloud répondent à d'importants problèmes en matière de cloud computing, comme l'a souligné Wes Wasson, directeur de la stratégie chez Citrix. "Nos clients ne cessent de nous dire qu'ils veulent en priorité profiter de l'économie et de l'élasticité du cloud dans leurs datacenters existants," a-t-il déclaré. "Ensuite, ils demandent de pouvoir disposer de la souplesse nécessaire pour transférer les traitements entre le cloud privé et public, en fonction des besoins, avec des garanties de sécurité et de performance. Enfin, ils veulent pouvoir changer de fournisseur et déménager leurs données facilement."
Pour Wes Wasson, "ces apports faciliteront la mise en place et le partage d'environnements de production à la demande sur les clouds privés et publics, et que la répartition des charges de travail virtuelles en fonction des besoins pourra être effectuée en un clic, cela à travers plusieurs types d'hyperviseur."

Citrix a également réitéré son soutien à OpenStack, le groupe dirigé par Rackspace et la Nasa, qui travaille sur des outils Open Source destinés à faciliter aux entreprises la collaboration avec des fournisseurs de cloud multiples. A la convention VMWorld qui démarre cette semaine à San Francisco, Citrix montrera comment gérer une charge de travail entre plusieurs machines XenServer tournant sur un cloud et des machines virtuelles tournant sur un cloud public qui utilise OpenStack, cela à partir d'une console de contrôle unique.

Enfin, Citrix a indiqué qu'il allait ajouter des capacités de commutation virtuelle à OpenCloud avec vSwitch Open, un commutateur virtuel Open Source qui supporte le protocole OpenFlow. L'idée est de permettre aux fournisseurs de clouds de bâtir facilement des plateformes multi-tenants séparées, c'est-à-dire capable de faire tourner plusieurs comptes clients sur un seul système, tout en proposant des politiques dynamiques.

Crédit photo : Citrix

(...)

(30/08/2010 12:56:00)

Google se désengage de JavaOne 2010

A son grand regret, Google ne participera pas à la prochaine conférence JavaOne, à San Francisco mi-septembre, en raison des poursuites lancées à son encontre par Oracle qui l'accuse de violation de brevets associés à Java. Cet événement annuel consacré aux technologies Java a été lancé par Sun en 1996. Après le rachat du constructeur par la société de Larry Ellison, en janvier dernier, le rendez-vous est désormais intégré à la propre conférence utilisateurs d'Oracle, OpenWorld.

Dans un billet de blog publié le 27 août, Joshua Bloch, du bureau des programmes Open Source de Google, déplore cette situation : « Comme beaucoup d'entre vous, nous attendons chaque année avec impatience les ateliers autour des logicielsOpen Source (...) qui comptent parmi les meilleures façons de partager nos expériences et d'apprendre les uns des autres. Nous sommes donc tristes d'annoncer que nous ne pourrons pas participer à JavaOne cette année. Nous aurions aimé pouvoir le faire, mais le récent procès intenté par Oracle contre Google et l'Open Source nous empêche de pouvoir partager librement nos pensées sur le futur de Java et de l'Open Source en général. Il s'agit d'une prise de conscience pénible pour nous, dans la mesure où nous avions participé à chaque JavaOne depuis 2004 et que j'ai personnellement pris la parole sur chaque édition depuis la première en 1996 ». Ce faisant, Google espère intervenir à d'autres occasions sur le sujet. « Nous sommes fiers de contribuer à la communauté Open Source Java, conclut Joshua Bloch, et allons chercher de nouveaux modes d'engagement et de participation. »

Google devait intervenir sur plusieurs sessions

Sur le programme de la conférence JavaOne, il était effectivement prévu que Google anime plusieurs sessions. Max Ross, ingénieur logiciel au sein de la société, devait par exemple aborder les techniques de test dans le cloud autour de App Engine, tandis qu'un autre ingénieur logiciel, Dhanji Prasanna, devait participer à plusieurs autres sessions sur le cloud computing et les serveurs Java haute performance. Chet Haase, Romain Guy et Jeremy Manson devaient également intervenir.

L'annonce de ce retrait signifie que Google et Oracle n'ont sans doute guère avancé dans la résolution de leur conflit, a confié Al Hilwa, analyste chez IDC, à nos confrères d'Infoworld. Selon lui, c'est un signe qui montre que les fissures s'aggravent ce qui augmente les risques de fragmentation de Java. « Je ne serai pas surpris de voir Google modifier le langage basé sur Java qu'il utilise pour Android et, à un moment donné, cesser ses efforts pour le rendre conforme à Java. »

L'analyste d'IDC relève par ailleurs que la firme de Mountain View présente la situation sous la forme d'une lutte entre Oracle et l'Open Source, et il n'est pas certain qu'il faille le positionner ainsi. Al Hilwa dit notamment n'avoir jamais vraiment compris pourquoi il apparaît plus vertueux de gagner de l'argent sur les logiciels par l'intermédiaire de la publicité, des services, des terminaux ou de toute autre façon, plutôt que par le biais d'un droit de licence d'utilisation. « Je pourrais le comprendre pour une organisation à but non lucratif, mais ce n'est pas le cas ici. Nous nous trouvons face à deux sociétés excessivement profitables réalisant des investissements très significatifs dans les logiciels ».

(...)

(30/08/2010 10:06:56)

Qualité : Micro Focus intègre SilkTest à Visual Studio

Un an après le rachat de Borland et de la division tests de Compuware, l'éditeur britannique Micro Focus présente les versions 2010 de ses solutions de test logiciel SilkTest et SilkCentral Test Manager. La première s'est enrichie d'une interface de type story-board facilitant la création et le lancement de tests pour les utilisateurs moins techniques. Parmi les autres apports importants, les développeurs travaillant dans les environnements .Net bénéficient d'une intégration renforcée de Silk4Net et DevPartner Studio avec Microsoft Visual Studio 2010. Quant au produit Silk4J, il permet aux développeurs Java de relier SilkTest aux environnements Eclipse.

Micro Focus signale aussi l'arrivée de SilkPerformer Diagnostics (illustration ci-dessus), mis au point avec DynaTrace Software pour accélérer le diagnostic des problèmes de performances. Autre nouveauté annoncée en juillet et destinée cette fois aux environnements cloud, SilkPerformer CloudBurst permet d'effectuer des tests de montée en charge.

Gestion de la qualité pour les projets agiles

La solution SilkCentral Test Manager est utilisée pour contrôler les processus de tests une fois que ceux-ci sont mis en place. Ce framework unifié convient pour les développements menés de façon traditionnelle, de même que pour les projets s'appuyant sur les méthodes agiles. Il s'intègre avec les outils de détection de défauts de Visual Studio, ainsi qu'avec la gamme Caliber qui facilite la collaboration au sein des équipes de tests.

Micro Focus signale que parmi les utilisateurs de ses outils de tests figurent des éditeurs de logiciels comme Adobe Systems et Cegedim Rx.

Illustration : SilkPerformer Diagnostics, développé par Micro Focus avec DynaTrace Software

(...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >