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Architecture logicielle
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(28/01/2010 16:56:15)
Adobe cherche des idées d'applications développées en Flash pour iPad
La technique de compilation d'applications développées en Flash pour les iPhone peut tout à fait convenir aux iPad, explique Michael Chou, chef produit chez Adobe, sur le blog Adobe Flash Platform. Sourd aux demandes d'Adobe concernant les iPhone, Apple n'a en effet pas davantage ouvert sa tablette présentée hier, l'iPad, au format Flash. Comme le regrette le responsable marketing Adrian Ludwig dans un autre billet sur le même blog... On se souvient que Steve Jobs expliquait ses réticences par le fait que Flash consommait trop de ressources ; or, la tablette est beaucoup plus puissante que les iPod Touch et iPhone. En outre, le projet Open Screen a fait évoluer les choses, et la dernière version du client Flash a drastiquement réduit ses exigences. Il s'agit donc bien d'une volonté délibérée d'Apple de ménager ses propres options pour la diffusion du contenu. En effet, si les applications Web en Flash devenaient librement accessibles, cela remettrait en cause la raison d'être de l'App Store. Néanmoins, pour ne pas couper ses utilisateurs du marché de l'iPhone, Adobe a prévu dans la prochaine version de sa suite pour créatifs CS5 un outil, Packager for iPhone, capable de compiler un projet Flash afin qu'il puisse tourner sur iPhone. Il pourra donc servir aussi pour l'iPad mais, prévient Michael Chou, il ne pourra pas tirer parti, dans un premier temps, de sa définition plus importante (1024x768, contre 480x320 pour les iPhone et iPod Touch). Michael Chou invite néanmoins les développeurs ayant des idées d'applications à le contacter, dans le but « de les soumettre à l'iTunes App Store au cours des deux prochains mois ». Soit juste avant que ne soit commercialisé l'iPad. (...)
(25/01/2010 16:51:54)Selon une étude Computacenter, la virtualisation reste difficile à amortir rapidement
Les entreprises cherchant à introduire une solution de virtualisation dans leur système d'information devraient considérer avec plus d'attention le temps nécessaire à mise en oeuvre de leur projet, car le retour sur investissement risque de tarder. C'est en tout cas le point de vue de Computacenter, qui a interrogé 130 décideurs informatiques sur leur expérience en environnements virtualisés. Parmi l'ensemble des entreprises concernées par la mise en oeuvre de projets de virtualisation de postes de travail et d'applications (VDI), seules 4% peuvent se prévaloir d'un retour sur investissement correspondant à leur attente. Pour celles concernées par la virtualisation de serveurs, l'étude montre une situation à peine meilleure, puisque seules 6% estiment avoir atteint les résultats escomptés. L'enquête de Computacenter souligne également la persistance des idées fausses en ce domaine, puisque 83% des personnes interrogées continuent d'affirmer qu'avec la VDI, il leur serait plus facile de gérer les applications de bureau. «Les entreprises doivent être plus réalistes sur les projets de virtualisation», a déclaré Paul Casey, le patron de la plate-forme datacenter chez Computacenter. "Nombre d'entreprises ne réalisent pas le retour sur investissement attendu parce qu'elles travaillent principalement avec les outils de supervision propres au vendeur qui ne prennent pas toujours en compte a réalité des éléments qui les concernent. Forcément les résultats sont biaisés. » L'autre raison, toujours selon Paul Casey, vient de ce que les clients ne savent pas utiliser ces outils correctement. «Les chiffres les rendent optimistes», a déclaré Paul Casey. "Mais avec les mêmes outils, nous obtenons un chiffre différent. Ainsi, quant le client estime un retour sur investissement à 6 mois, nous sommes à 12. » Comment bien gérer des postes de travail virtualisés ? Andy Goddard, responsable du centre d'expertise postes de travail et travail collaboratif chez Computacenter est d'accord. "Il y a beaucoup de malentendus: certaines personnes y trouvent beaucoup de bénéfices et d'autres aucun. C'est une chose d'introduire la virtualisation sur les postes de travail, c'en est une autre de la gérer." La question des outils n'est pas la seule, précise cependant Paul Casey. «Les organisations doivent adopter une vision à plus long terme des solutions de virtualisation et du retour sur investissement qu'ils peuvent en attendre. Il y a des choses qui ne sont pas facilement mesurables. La philosophie du ROI, essentiellement basée sur des économies de coûts, pose problème. Les avantages réels sont plus flexibles. Estimer le bénéfice de déménager une entreprise de bureaux pouvant accueillir 1000 salariés vers des bureaux pouvant en accueillir 500 n'est pas si facile. " Paul Casey et Andy Goddard conviennent tous deux qu'il est important de regarder au-delà des outils des supervisions. «Nous avons à faire à une panoplie d'outils variés», a déclaré M. Casey. " Sans vouloir avantager un produit par rapport à un autre, je dirais que Athene de Metron est un bon outil en matière de gestion des ressources, et vCommander d'Embotics le mieux adapté au contrôle des coûts des environnements virtuels ». Malgré ces revers, les entreprises ne freinent pas leurs déploiements en terme de consolidation et de virtualisation. Pourtant il y est nécessaire de repenser certaines choses. " Si la demande reste forte sur le marché de la virtualisation, il faut toutefois revoir la gestion et les technologies. La clé serait de repartir de zéro afin de réfléchir sur les plates-formes, la taille et l'échelle des machines virtuelles, et sur la mise en oeuvre des outils de gestion. La manière de faire travailler les équipes doit également être repenser. Dans tous les cas, il est nécessaire d'adopter une vision d'ensemble. » (...)
(22/01/2010 17:04:09)Le MIT invente la programmation par copier-coller de captures d'écran
Si les ordinateurs étaient dotés du sens de la vue, on pourrait leur montrer ce qu'on attend d'eux. C'est en quelque sorte le postulat d'un professeur du MIT, Rob Miller, qui, avec l'aide du post-doc Tsung-Hsiang Chang et de Tom Yeh de l'université du Maryland, a mis au point Sikuli, un outil de programmation par copier-coller de captures d'écran. Lors de la première présentation du projet de recherche, les inventeurs de Sikuli ont proposé l'exemple d'utilisation suivant : une employée de bureau souhaite être prévenue par un sms lorsque le bus qu'elle prend arrive à un point particulier de la rue. Elle se rend alors sur le site de géolocalisation fourni par la compagnie de bus, fait une capture d'écran de la carte où figure le point qui l'intéresse, et une autre capture de l'icône représentant le bus. Dans Sikuli, elle doit tout de même écrire un peu de Python, mais surtout coller les images ; le programme comprendra que lorsque l'icône apparaît sur le morceau de carte, alors il doit déclencher l'action (image ci-dessus). Sikuli peut également servir à simplifier des recherches. Il sera parfois plus simple de coller une image que de recourir à des mots-clés dans un moteur de recherche. Les inventeurs du programme expliquent qu'un éditeur de logiciel pourra ainsi proposer un système d'aide beaucoup plus intuitif : il suffira de copier-coller telle icône ou tel autre élément de l'interface graphique pour obtenir des informations dessus. La technologie peut également servir en ingénierie logicielle, lors des phases de tests de non régression, les scripts de tests pouvant alors être réalisés à l'aide de captures d'écran. Le mot Sikuli est emprunté à l'Amérindien (les Huichol du Mexique), et signifie « oeil de Dieu », capable de voir et de comprendre l'inconnu. De fait, les chercheurs du MIT s'appuient sur des travaux d'intelligence artificielle permettant à l'ordinateur de distinguer les motifs graphiques. Dans l'exemple du bus suivi par GPS, le programme ne cherche pas à transcrire en données XML ou autres la capture d'écran : il surveille véritablement les pixels, à la manière d'un observateur humain. Les chercheurs reconnaissent que la technique reste à perfectionner. Notamment, Sikuli peut être perdu si des éléments graphiques qu'il doit reconnaître sont changés à cause d'un thème utilisateur, ou cachés par d'autres fenêtres. Mais cette première avancée du « picture-driven computing » laisse entrevoir d'étonnantes possibilités. (...)
(22/01/2010 14:37:46)Tribune libre : analyser la valeur du SI grâce à une approche par les fonctions
Valoriser l'immatériel est une gageure à laquelle sont confrontés tous les décideurs de l'informatique. Comment établir le rapport entre les coûts et les apports d'un système d'information, afin de savoir quelle technologie abandonner, quel projet lancer, etc. ? Dans une tribune libre publiée dans le Blog Experts, Guy Boizard, consultant de Conix Consulting, propose une approche par les fonctions, « certainement l'élément le plus apte à établir le rapport coût/bénéfice ». Toutefois, cela implique un très important effort de réflexion, puisque « la mesure des coûts des fonctionnalités reste embryonnaire, et surtout, l'analyse de la valeur des fonctions est largement méconnue ». Le consultant reconnaît que l'exercice reste délicat, mais, écrit-il, « la fonction matérialise le bon niveau de maille pour affecter une valeur attendue du SI : elle permet au moins de se poser les bonnes questions ». La tribune de Guy Boizard : Analyse de la valeur du SI : l'approche par les fonctions (...)
(21/01/2010 15:34:17)Oracle détaillera mercredi prochain l'intégration de Sun
Alors que la Commission européenne vient juste de donner son accord au projet de rachat de Sun Microsystems par Oracle, l'entreprise organisera mercredi prochain, en présence de son CEO, Larry Ellison, un évènement retransmis mondialement et en direct via internet (entre 9h00 et 14h00, heure locale) depuis Redwood Shores, siège d'Oracle en Californie pour dévoiler sa stratégie. Comme les régulateurs américains, la Commission européenne semble se satisfaire des garanties d'Oracle au regard des lois antri-trust du vieux continent. Si elle a objecté que l'entrée de MySQL dans Oracle pouvait aller à l'encontre de la concurrence pour les clients de la base de données, la Commission a finalement rendu un avis favorable. Mme Neelie Kroes, membre de la Commission chargée de la concurrence, a indiqué : « Je suis convaincue que la concurrence et l'innovation seront préservées sur l'ensemble des marchés en cause. Le rachat de Sun par Oracle est susceptible de redynamiser des actifs importants et de donner naissance à de nouveaux produits innovants.» La nouvelle du rachat avait suscité de nombreuses questions sur le sort de certains produits de Sun, notamment ses serveurs Sparc et sa base de données Open Source MySQL. D'autant que, lors de l'annonce de l'achat, l'entreprise avait déclaré qu'elle était principalement intéressée par les technologies Java et Solaris de Sun, laissant entendre qu'elle était prête à vendre ou à fermer les divisions hardware de l'entreprise. La réaction des clients de Sun face à cette option ne s'est pas faite attendre, incitant Oracle a assuré finalement qu'elle continuerait à développer les processeurs SPARC et les serveurs Sun. Son CEO, Larry Ellison a même déclaré : « Nous ne sommes pas sur le point de quitter le marché du hardware. » Parmi les produits que les experts s'attendent à voir développés par la nouvelle entité, ils citent en exemple l' Exadata Database Machine 2, un projet de data center haut de gamme pour la conservation des données et l'OLTP (online transaction processing) déjà mis en chantier en commun par Oracle et Sun depuis septembre. Celui-ci combine une base de données et des logiciels spécialisés dans le stockage fournis par Oracle sur des serveurs à base Intel et des technologies à mémoire flash apportées par Sun. L'intégration des technologies des deux sociétés fera certainement parti des thèmes abordés la semaine prochaine. L'invitation Oracle précise que les participants y apprendront comment les clients « bénéficieront de la synergie des deux entreprises en matière de matériel, de système d'exploitation, de base de données, de middleware et d'applications." De nombreuses questions demeurent cependant. Oracle ne dit pas quelle gamme de serveurs Sun elle continuera à développer, ni ce que vont devenir certains produits comme le serveur d'applications et le logiciel de gestion Identity. Ni ce que va devenir le projet de services informatiques de type Cloud, semblable à celui d'Amazon Web Services, que Sun était sur le point de déployer peu avant l'annonce de la transaction. Mercredi prochain, les clients de Sun espèrent aussi avoir des réponses à ces questions. (...)
(20/01/2010 14:10:42)LeMondeInformatique.fr recherche un responsable des développements web
IT News Info, qui édite les sites Internet LeMondeInformatique.fr, CIO-Online.com, Réseaux-Télécoms.net et Distributique.com recherche son responsable des développements web. A la tête de notre pôle de compétences techniques, composé d'un développeur et d'un graphiste/intégrateur, vous assurez la direction des projets de développement web, et réalisez l'interface avec les différents interlocuteurs internes dans le cadre des missions suivantes : - Élaboration, mise en oeuvre et suivi des plannings de production - Intégration des problématiques de coûts, de délais et de qualité/stabilité dans les choix techniques, - Participation aux travaux de développements quotidiens (optimisation des sites, résolution de problèmes techniques, etc.), - Prise en charge des développements liés à la mise en ligne d'opérations marketing (Partner Zone, Webcast, etc.), Coordination et participation aux projets de refonte de sites, - Management opérationnel de l'équipe technique. Afin de réaliser vos missions, vous disposez de solides compétences techniques, qui vous permettent de participer aux développements, et d'assurer les choix technologiques au sein de votre équipe. Vous maîtrisez absolument les langages et outils de programmation web, dont : PHP 5 / MySQL (maîtrise impérative de la programmation orientée objet), JavaScript, AJAX, HTML,CSS, Photoshop, Merise ainsi que les solutions Open Source. Issu(e) d'une école d'Ingénieur en Informatique, vous justifiez d'une expérience probante dans la gestion de projet Internet et dans le travail en équipe (minimum 3 ans). Vous avez nécessairement déjà créé des sites Internet à forte visibilité, notamment pour les besoins d'une activité média. Force de proposition au quotidien, vous faîtes preuve d'une grande disponibilité et d'une réactivité appréciée par vos collaborateurs. Vous souhaitez participer à des projets d'envergure et maîtrisez d'ores et déjà les compétences techniques qui vous permettront d'intégrer un rôle central au sein de notre structure. Ce poste est à pourvoir début 2010, à Puteaux (92). Salaire à négocier en fonction de votre profil. Adressez vos candidatures (CV + lettre + prétentions salariales) par mail à mathieu.puderecki@adthink-media.com (...)
(19/01/2010 09:50:54)Lotusphere 2010 : IBM promet ses API pour étendre les services de LotusLive
Lotusphere vient de démarrer sa dix-septième édition à Orlando sur la toute fraîche nomination d'un nouveau patron pour la division Lotus Software. En ouverture de la conférence, Bob Picciano, jusqu'alors directeur général de l'entité Lotus, a ainsi passé les rênes à Alistair Rennie, qui était jusque-là vice-président du développement et du support. Lui-même prend la tête des ventes mondiale d'un IBM Software réorganisé en deux divisions : l'une axée sur les solutions, incluant les logiciels Lotus, l'autre gérant les produits middleware. Jusqu'au 21 janvier, près de 7 000 personnes sont attendues à Orlando : partenaires de Lotus et utilisateurs de Notes, QuickR, Sametime et Connections, ou des outils de collaboration en ligne LotusLive annoncés l'an dernier sur Lotusphere 2009. IBM dit aujourd'hui compter 18 millions d'utilisateurs de LotusLive dans une centaine de pays. Parmi les derniers en date, Panasonic a annoncé il y a quelques jours avoir choisi ces outils en ligne pour ses équipes internationales. A terme, quelque 380 000 salariés accéderont de cette façon à leur messagerie, ainsi qu'à des fonctions de web conférence, dialogue en direct, partage de fichiers et gestion de projets. Encore plus satisfaisant pour IBM, en concurrence frontale avec Microsoft sur ces solutions, ce sont en partie des utilisateurs d'Exchange que Panasonic fait ainsi migrer vers la messagerie de LotusLive. Le fabricant de produits électroniques doit aussi mettre en place LotusLive Connections pour constituer un réseau social avec son écosystème et avec ses fournisseurs. LotusLive s'ouvre davantage aux partenaires IBM offre de nouvelles perspectives à ses partenaires tentés par LotusLive. A partir du deuxième semestre 2010, des API seront accessibles à tous pour ajouter des services à ces outils de collaboration en ligne ou les inclure dans un processus métier. Auparavant, il fallait passer par un programme spécial (Lotus Design Partner) pour y accéder. Parmi les prochains services attendus figure une fonction d'appel téléphonique proposée par Skype (annoncée pour le deuxième trimestre). Certains partenaires pourront par ailleurs commercialiser les services de LotusLive en complément de leurs propres offres. [[page]] Pour imaginer le futur de LotusLive, ses utilisateurs sont par ailleurs mis à contribution. A l'instar d'autres éditeurs, comme SAP (avec Business Objects) ou Google, IBM propose de donner son avis sur des technologies en incubation au sein de ses équipes de R&D. Déjà, le LotusLive Labs (où se conjuguent les ressources d'IBM Research et de Lotus) livre quatre versions, qualifiées de « pre-alpha », que les utilisateurs enregistrés peuvent tester. On y trouve Slide Library, qui a déjà été montrée par IBM lors de précédentes conférences. Le logiciel sert à constituer une bibliothèque de 'slides' qui seront utilisées pour créer de nouvelles présentations. Collaborative Recorded Meetings enregistre et retranscrit les conférences pour permettre ensuite les recherches. Avec la technologie Composer, on bâtit des mash-up à partir de services LotusLive. Quant au logiciel Event Maps, il permet de visualiser des plannings de conférences de façon interactive. Au deuxième trimestre, un cinquième logiciel sera livré à l'appréciation : Project Concord proposera d'élaborer et partager en ligne documents, tableaux et présentations. Un accès plus souple à LotusLive Notes Enfin, une prochaine version (multitenant) du client de messagerie Notes sur LotusLive (basé sur Lotus Notes Hosted Messaging) permettra de combiner les déploiements sur site et dans le cloud, en supportant de façon standard la synchronisation entre les annuaires gérés sur site et dans le cloud. Chaque utilisateur pourra choisir entre un client Notes ou un navigateur pour accéder à sa messagerie. Et IBM assouplit les conditions d'accès au service. Le nombre d'utilisateurs minimum pour s'abonner à LotusLive Notes passe ainsi de 1 000 à 25 utilisateurs. Cette offre fournira par ailleurs une capacité standard de 5 Go pour stocker les mails et comportera les fonctions de messagerie instantanée de Sametime. La version bêta sera disponible au deuxième trimestre. (...)
(19/01/2010 09:31:07)Lotusphere 2010 : IBM propose la bêta de sa suite bureautique gratuite Symphony 2.0
IBM profite de la conférence Lotusphere, qui se tient du 17 au 21 janvier à Orlando, pour dérouler la feuille de route de la prochaine version de sa suite bureautique gratuite, Symphony, basée sur le code d'OpenOffice.org 3.x. Actuellement en version bêta sous le nom de code Vienna, celle-ci sera disponible au plus tard à la fin du mois de juin 2010. Symphony inclura le support du format Open Document 1.2, la compatibilité avec les objets OLE, les macros VBA, et de nouveaux plug-ins. L'éditeur indique que l'importation de documents Office 2007 sera améliorée. La suite comportera également de nouvelles fonctionnalités de tableaux, offrira des fonctions de rendu pour les objets graphiques et comprendra des API Java et LotusScript plus riches. Un installeur pour Notes sera fourni. Symphony continuera à supporter le format .docx, au coeur d'une bataille judiciaire opposant Lotus à Microsoft à propos des droits du brevet i4i concernant ce format de document. Vienna -Symphony 2.0 en version finale- sera aussi dotée de fonctions de tables liées. La suite supportera l'affichage multiple de documents, ainsi qu'un nombre de 1 024 colonnes maximum dans sa fonction tableur. Enfin, elle gèrera le support multi-moniteur et son module de présentation disposera de fonctions audio et vidéo. [[page]] IBM Lotus qui présente les trois applications - Documents, Tableur, Présentation - de Symphony, comme une alternative bon marché à Microsoft Office et à Google Docs, affiche aussi son intention d'assurer un avenir pérenne à sa suite logicielle. Ainsi l'éditeur fait savoir que Vienna sera suivie de deux mises à jour d'ici à mars 2011 avec une longue liste de nouveautés déjà prévues au programme. La première, Amsterdam, annoncée pour la fin septembre, disposera de macros VBA plus affinées et offrira une meilleure compatibilité avec Office 2007. Elle inclura aussi des filtres pour le format HTML et des API pour la gestion de la présentation et des documents, plus efficaces. Enfin, elle sera dotée d'une bibliothèque de modèles pour l'entreprise, et d'outils de management. Au cours du premier semestre 2011, IBM/Lotus publiera une seconde mise à jour à sa suite Symphony sous le nom de code actuel de Berlin. Celle-ci arrivera avec des macro VB renouvelées et une meilleure intégration avec les autres logiciels de Lotus, notamment Foundations et Connections, sans compter des API encore plus performantes. La version bêta de Symphony sera téléchargeable dès cette semaine gratuitement à partir du site web d'IBM pour plateformes Mac, Windows, Ubuntu Linux, Red Hat Linux et SUSE Linux. (...)
(18/01/2010 14:09:19)Trophées Le Monde Informatique / CIO 2010 : déposez votre candidature !
Les Trophées Entreprises et Société de l'Information récompensent chaque année l'apport de l'informatique aux métiers de l'entreprise. Cette manifestation est organisée par les rédactions du Monde Informatique, de CIO et de Réseaux et Télécoms. Sur le site suivant, vous pouvez télécharger le dossier de candidature à l'édition 2010. La saisie des informations prend moins d'une heure. Le dossier est à transmettre avant le 21 février 2010, au format PDF exclusivement pour en simplifier la lecture. Une caractéristique importante de cet événement réside dans la diversité des profils des nominés et des lauréats. Qu'une organisation soit de petite ou de grande taille, qu'elle soit une entreprise privée, une administration, une association ou une structure parapublique, ce qui compte avant tout est la valeur ajoutée apportée au métier par l'informatique. Plusieurs axes peuvent être mis en avant par les candidats dans leurs dossiers, par exemple : - La stratégie du SI et son alignement sur le métier et la stratégie générale de l'entreprise, de l'association ou de l'administration ; - La transformation de l'entreprise, de ses méthodes et de son organisation, grâce au SI, notamment pour gagner en agilité ou réduire ses coûts ; - Le développement de la responsabilité sociétale de l'organisation (moindre empreinte carbone, recyclage des déchets électroniques...) ; - L'innovation au service des métiers. Une amélioration de rupture dans un processus déjà bien établi. - La conduite du changement : suite à une transformation du SI, il est nécessaire d'accompagner l'évolution des métiers avec les formations adéquates. Un fournisseur de solutions informatiques ne peut pas être candidat mais peut encourager l'un de ses clients à postuler. (...)
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