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(15/05/2009 16:54:18)

Sapphire : Hasso Plattner prône le stockage vertical et en mémoire

L'information au bout des doigts. SAP, comme les autres, l'avait promis. Au final, les doigts doivent patienter des minutes voire des heures pour obtenir l'information. Hasso Plattner, cofondateur de SAP et président du conseil d'administration, l'a reconnu lors de son intervention à la conférence Sapphire de l'éditeur allemand à Orlando, le 13 mai dernier. Mais il a fait une promesse : si les bonnes technologies sont adoptées d'ici 18 à 24 mois, le patron d'une entreprise de la taille de SAP devrait pouvoir accéder à n'importe quelle donnée du progiciel en moins d'une seconde. Trois piliers technologiques sont nécessaires pour parvenir à ce résultat, selon Hasso Plattner : le multicoeur (et des applications parallélisées), des bases de données en mémoire et du stockage en colonne. Le docteur Plattner a fait précéder son intervention d'une série d'affirmations interpellant l'auditoire (voir en encadré ci-dessous). Son but était de pointer le fait que la puissance de calcul continue d'augmenter, mais que cette puissance est gâchée, du fait de solutions de stockage totalement inadaptées. Le stockage en colonnes, ignoré par tous - « y compris par SAP » Comme Hasso Plattner ne peut guère intervenir sur les supports de stockage, il a fait part d'une expérience menée avec des étudiants d'une faculté scientifique allemande sur la façon de ranger les données en base et d'y accéder. Hasso Plattner a ainsi découvert une technologie « qui existe depuis 15 ans, mais que les éditeurs comme SAP ont ignorée jusque là », le stockage en colonne (ou stockage vertical). Cette technique, mise en oeuvre par quelques bases spécialisées comme Sybase IQ ou Vertica, consiste à accéder aux données par colonnes et non par lignes. Selon les experts du domaine, cette méthode accélère grandement les accès lorsqu'il s'agit de lire les données. C'est pourquoi Sybase l'a implémentée, par exemple, dans sa base destinée aux solutions décisionnelles, ou pourquoi Google s'en est inspiré pour concevoir sa base BigTable qui stocke les éléments de ses pages Web. Vu le taux de compression du stockage vertical, tout peut tenir en mémoire [[page]] En outre, a indiqué Hasso Plattner, le stockage vertical affiche « des taux de compression 10 fois supérieurs à ceux du stockage traditionnel ». Sachant qu'une carte-mère actuelle peut accueillir jusqu'à 144 Go de RAM, « et que cela devrait monter à un demi-téraoctet dans 18 mois », cela ouvre des perspectives intéressantes pour monter toute une base de données en mémoire vive. En revanche, le stockage vertical donne des résultats bien moins bons lorsqu'il s'agit de mettre les données à jour, c'est pourquoi - malgré les rodomontades du fondateur de Vertica, Michael Stonebraker - il n'est pas utilisé pour les applications transactionnelles. Dès lors, les données de production doivent passer par le filtre de l'ETL pour alimenter un entrepôt de données qui servira de support à des applications analytiques ; autant dire, a expliqué Hasso Plattner, que l'information date un peu quand on la présente sous une forme lisible au dirigeant de l'entreprise. Un accès dans la seconde à toute donnée dans 250 millions d'enregistrements Avec son équipe universitaire, Hasso Plattner a décidé de passer outre les traditionnelles objections. « Nous avons étudié les solutions dont on disait qu'elles ne marcheraient jamais. » Au final, ils ont abouti à un prototype dont la démonstration sur scène était plutôt bluffante : une interface Excel 2007 couplée au système de recherches de données T-REX, de SAP, et à une variante - développée pour l'occasion - du langage de requête SQL, permettait d'accéder dans la seconde à des données de production (une base empruntée à un gros client, totalisant 250 millions d'enregistrements). Pour parvenir à ce résultat, Hasso Plattner est parti du principe que les bases transactionnelles avaient rarement besoin de mettre des données à jour : « dans 15% des cas pour les applications de prise de commande, dans 5 à 10% des cas pour les applications financières ». Du coup, la chose peut être réglée grâce à des insertions, ce qui permet de ne jamais verrouiller la base. Parmi les autres avantages, le stockage vertical élimine la nécessité de réaliser des agrégats (sous-ensembles présélectionnés de la base), et élimine aussi la redondance des informations : reprenant des champs couramment dupliqués, Hasso Plattner a expliqué qu'il y a un nombre limité de pays, de devises... ou de sexes. Au final, la base s'en trouve réduite d'un facteur 20. Arguant bien du fait qu'il n'est pas un dirigeant exécutif de SAP, Hasso Plattner s'est refusé à prendre tout engagement sur la transformation de ce prototype en produit. Il espère bien néanmoins pouvoir revenir sur scène dans un an avec un projet mené cette fois par la R&D de SAP. (...)

(15/05/2009 14:57:16)

L'Open Database Alliance veut fédérer les énergies autour de MySQL

A l'initiative de Monty Widenius, l'un des fondateurs de MySQL, l'Open Database Alliance (ODA) vient de voir le jour. Alors que MySQL se retrouve dans giron d'Oracle à l'occasion du rachat de Sun Microsystems, cette association à l'ambition de devenir un lieu d'échange pour tous les acteurs gravitant dans l'écosystème de la base données en Open Source. ODA veut ainsi faciliter la coordination des développements et des évolutions autour de ce SGBD. A l'initiative de la création d'ODA, on trouve deux sociétés. D'une part, Monty Program ab, spécialiste de l'ingénierie sur MySQL, qui développe MariaDB, une variante libre de MySQL. D'autre part, Percona, société fondée par Monty Widenius qui propose des prestations de service et de support sur MySQL. (...)

(14/05/2009 16:05:44)

Google accuse les navigateurs de mal gérer Javascript

Steve Souders, le "Chief performance engineer" de Google, explique la lenteur d'affichage des pages Web par la façon dont les navigateurs traitent les codes JavaScript intégrés aux pages. Selon ce transfuge de Yahoo, où il exerçait les mêmes fonctions, les temps de réponse des serveurs Web ne contribuent qu'à hauteur de 10 à 20% dans le temps total nécessaire à l'affichage d'une page. Le frein principal provient de la façon dont les navigateurs de "première génération" exécutent les codes Javascript. Leur mode de traitement séquentiel explique leur lenteur. Selon lui, la solution réside dans la combinaison PC de dernière génération, équipé de processeurs multicoeurs, et navigateur dernier cri. Internet Explorer 8 et Google Chrome, ainsi que, bientôt, Firefox 3.5 savent mieux gérer l'exécution des codes Javascript. Malgré les mécanismes de mise à jour utilisés par Microsoft, qui avec ses trois versions de navigateurs détient 50,5% du marché, les anciennes versions, IE 6 et IE 7, restent prédominantes : IE 8 ne totalise que 2,3 % du marché. En sus de l'équipement, une autre méthode permet d'accélérer l'affichage des pages Web. En effet, on oublie souvent que la plupart des codes Javascript embarqués dans une page sont liés aux publicités. En désactivant les codes Javascript de celles-ci, les performances d'affichage s'améliorent nettement. Sur Firefox, l'association des add-on AdBlockPlus et NoScript fait des merveilles. Elle permet de n'autoriser que les codes Javascript émis directement par le site consulté. L'accélération de l'affichage des pages est patente, sans avoir à changer ni de micro-ordinateur, ni de navigateur. En revanche, cela condamne les sites qu'on consulte et qui ne vivent que de la publicité - comme Yahoo, Google... ou LeMondeInformatique.fr. (...)

(14/05/2009 15:32:38)

Axum, tentative de Microsoft pour développer des applications multi-coeurs

Le plus grand défi pour la programmation aujourd'hui est représenté par le multi-coeur (lorsque les CPU ont plusieurs coeurs, ce qui se généralise dans tous les PC et serveurs) et le 'many-core' (lorsque l'application tourne sur des puces de nature différente, par exemple des CPU et des GPU, ce qui commence à se généraliser dans le monde du calcul haute performance). Or jusqu'à présent, Microsoft n'avait pas franchement pris le problème à bras le corps. Voilà qui est réparé : l'éditeur propose de tester Axum, un langage spécifiquement conçu pour réaliser des applications parallèles, capables de s'exécuter dans des configurations multi-coeurs et 'many-cores'. Axum, explique sur son blog Soma Somasegar, vice-président senior responsable de l'entité développement chez Microsoft, doit permettre à des développeurs .Net de concevoir facilement de telles applications, le framework Axum gérant lui-même, par exemple, les problématiques de parallélisme. Parréliser les calculs entre CPU et GPU augmenterait les performances de 30% Utilisable dès à présent avec Visual Studio 2008, Axum n'en est encore qu'à un stade expérimental : Microsoft ne s'engage pas à sortir le produit et a fortiori ne donne aucune date ; ses concepteurs cherchent pour l'heure à valider leur modèle en faisant appel à la communauté des utilisateurs. La programmation parallèle pour multi-coeur et 'many-core' est aujourd'hui un marché de niche, mais prometteur. Le Français Caps Entreprise, issu du projet Caps de l'Inria de Rennes, s'est ainsi spécialisé dans le 'many-core' pour le calcul haute-performance. Caps s'est aussi donné pour objectif de cacher la complexité aux développeurs, mais a pris pour ce faire une autre voie : sa boîte à outils prend le code source original et l'annote avec des directives qui permettront de distribuer les calculs. Selon Caps, paralléliser les calculs sur un processeur classique (CPU) et un coprocesseur graphique (GPU) multiplie par 30 les performances par rapport à l'exécution du code sur un CPU seul. Alors qu'aujourd'hui, les capacités de calcul parallèles des machines sont complètement ignorées par les applications. (...)

(11/05/2009 18:28:40)

Virtualisation : Oracle fait grincer des dents chez VMWare

Le refus d'Oracle de supporter officiellement d'autres hyperviseurs que le sien fait grincer des dents. Chez EMC, la maison mère de VMware, deux vice-présidents ont pris la plume sur leur blog pour appeler les utilisateurs à une fronde contre la politique d'Oracle. L'éditeur, qui rechigne à accorder son support sur ses logiciels installés en VM, pratique aussi une politique de prix très dissuasive. Même si la VM Oracle n'utilise qu'une partie des processeurs physiques disponibles, Oracle facture l'ensemble de la configuration. Par exemple, même si une VM Oracle n'utilise que deux processeurs sur les huit présents, le prix à payer sera celui pour utiliser les huit. Il est ainsi très difficile de faire usage de VMware VMotion (déplacement des VM) sans enfreindre les licences accordées par Oracle. En mars dernier, les analystes du Gartner ont pondu une note sur le sujet. Ils préviennent que si les utilisateurs ne respectent pas scrupuleusement les règles édictées par Oracle, ils s'exposent à des surcoûts conséquents. Ils expliquent que l'attitude d'Oracle exige d'y regarder à deux fois avant de se lancer dans une opération de virtualisation et d'envisager des solutions alternatives comme le portage sur un autre serveur ou la mise en place de configurations parallélisées. Oracle a aussi choisi de proposer son propre hyperviseur, Oracle VM, en choisissant le code open source Xen. En mars dernier, il a renforcé son hyperviseur avec Oracle Enterprise Manager 10g Release 5 (10gR5), une suite de gestion des VM. Le projet de rachat de Sun par Oracle et la déclaration de Larry Ellison d'avoir une offre globale qui s'étend de "la base de données au disque" montre que l'éditeur n'est pas près de changer d'attitude. Dans la corbeille de Sun, Oracle va récupérer l'ensemble xVM qui se compose d'un hyperviseur, d'un outil d'administration (Ops Center), d'un gestionnaire de connexion (VDI) et d'un outil de virtualisation des postes de travail (VirtualBox).

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(11/05/2009 14:57:22)

Un groupe d'actionnaires de Sun s'oppose au rachat par Oracle

Un groupe d'actionnaires de Sun a déposé trois plaintes auprès de la SEC (Securities and exchange commission), le gendarme de la bourse américaine, dans le but de bloquer le rachat de la société par Oracle. Ils estiment que la proposition de l'éditeur à7,4 Md$ est injuste et insuffisante. Dans leur volonté des faire capoter les négociations, tous les moyens sont bons. Les actionnaires accusent ainsi Sun d'avoir bafoué l'US Foreign Corrupt Practice Act (loi portant sur les pratiques de corruption à l'étranger). Le constructeur n'a pas cherché à nier les faits. Il a indiqué vendredi avoir peut-être violé cette loi « dans certains pays », sans préciser lesquels, tout en indiquant qu'il avait mis en place des mesures correctives et qu'il tenait au courant les autorités américaines. Oracle de son côté, s'est contenté de préciser qu'il avait eu connaissance de ces entorses à la loi avant de proposer de racheter Sun. Les efforts des actionnaires devraient donc, au pire, retarder la conclusion du rachat. Larry Ellison veut conserver l'activité matérielle de Sun Le géant californien a par ailleurs précisé qu'il ne comptait pas abandonner la partie matérielle de l'activité de Sun. Interrogé par Reuters, le PDG Larry Ellison a tenu à affirme qu'il « ne s'intéressait pas seulement au système d'exploitation Solaris comme le pensent certains analystes mais également aux serveurs Sun et aux microprocesseurs Sparc. » Oracle souhaite développer un modèle hybride, à l'instar d'Apple ou de Cisco. « [Ces sociétés] réalisent des marges importantes car elles font en sorte que leurs matériels et leurs logiciels fonctionnent bien ensemble, rappelle Larry Ellison. Une fois que nous serons propriétaires de Sun, nous allons augmenter nos investissements dans Sparc. Concevoir nos propres puces est véritablement très important. » Le patron d'Oracle a également indiqué qu'il continuerait de travailler avec Fujitsu qui produit des lignes de serveurs basées sur ces puces « pour mettre au point des fonctions avancées dans le microprocesseurs destinées à exécuter plus efficacement le SGBD Oracle. Selon moi, cela permettra aux mainframes ouverts Sparc-Solaris de défier la domination d'IBM dans le datacenter. »

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(06/05/2009 17:23:35)

Micro Focus rachète Borland et les outils de test de Compuware

Cette fois, c'en est vraiment fini de l'aventure de Borland : après la filialisation des outils de développement dans Codegear et leur reprise par Embarcadero, voici que Borland, qui s'était recentré sur les outils de gestion du cycle de vie applicatif, est racheté par Micro Focus pour environ 75 M$. Le même jour, l'éditeur d'outils de modernisation des applications mainframe annonçait aussi l'acquisition des activités de test de Compuware, pour environ 58 M$.

Les deux rachats, effectués en cash, ont été annoncés simultanément avec quelques informations financières suivant la clôture de l'exercice fiscal de l'éditeur au 30 avril ; Micro Focus devrait afficher un chiffre d'affaires en hausse de 20% à 228,2 M$. De leur côté, Borland pèse 172 M$ de chiffre d'affaires (mais a perdu plus de 200 M$ en 2008) et Compuware Testing & ASQ Business 74 M$ (pour un bénéfice avant impôt de 5 M$).

Le but de ces rachats, explique Micro Focus, est de prendre une position solide dans le marché du test logiciel et de l'assurance qualité, évalué à 2 Md$, et qui bénéficie de projections optimistes de la part des analystes. Jusqu'alors, Micro Focus ne comptait dans ce domaine que sur son produit Data Express.

40 M$ pour restructurer ce qui reste de Borland

Pour l'intégration de ces nouvelles acquisitions, Micro Focus prévoit déjà une charge exceptionnelle de restructuration de 40 M$ pour Borland, et de 7 M$ pour l'activité tests logiciels de Compuware. L'éditeur commence à avoir une certaine habitude dans ce domaine ; ces trois dernières années, Micro Focus a absorbé 5 sociétés, dont Acucorp et Netmanage.

Fondé en 1983, notamment par le Français Philippe Kahn, Borland a produit plusieurs outils cultes pour les développeurs, dont Delphi, C++ Builder et Jbuilder. L'éditeur a toutefois tardé à réagir au moment de la montée en puissance d'Eclipse, et a finalement décidé de jeter l'éponge, abandonnant le marché des développeurs pour celui des directions informatiques, avec un discours axé sur la maîtrise des projets de développement (ALM, Application lifecycle management). Il avait renforcé son offre de test et d'assurance qualité en procédant lui-même à des acquisitions en 2006 : Segue Software et Gauntlet. Delphi et JBuilder survivent aujourd'hui comme des outils accessibles à la demande.

(...)

(06/05/2009 11:09:23)

SpringSource s'offre Hyperic pour la supervision des applications Java

Springsource ne cache plus ses ambitions dans le domaine du déploiement d'applications Java d'entreprise. Après avoir lancé son dm server et racheté Groovy, l'éditeur Open Source s'est offert les actifs logiciels d'Hyperic, éditeur d'une offre de supervision des performances applicatives. Les deux entreprises se connaissaient bien, Springsource s'appuyant déjà sur l'offre Hyperic pour son Application Management Suite. Le montant de la transaction n'a pas été dévoilé. En revanche, sur son blog, le patron d'Hyperic, Javier Soltero, explique qu'il restera à la tête du développement des outils d'administration, et qu'il continuera de développer l'offre de supervision pour les applications en mode cloud computing, en tant que directeur technique de l'offre produits d'administration de Springsource. (...)

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