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(23/08/2011 15:40:49)
Dell fait évoluer ses baies de stockage EqualLogic
Dell a présenté les séries PS4100 PS6100 qui succèdent aux baies SAN ISCSI PS4000 et PS6000. Le constructeur indique que ces baies EqualLogic offrent un doublement de la densité de stockage grâce notamment à l'intégration de disques 2,5 pouces et de SSD. A noter que le premier prix pour ces systèmes de stockage passe sous la barre des 10 000 dollars. Les PS4100 et PS6100 sont au prix respectivement de 9 499 dollars et 30 699 dollars.
Travis Vigil, directeur exécutif du stockage chez Dell a déclaré que les deux plate-formes offriront une amélioration du débit E/S pouvant aller jusqu'à 67%. Il a confirmé que les baies sont capables de gérer des disques 2,5 pouces en SAS et SATA, ainsi que les SSD. Les baies de stockage présentées gèrent les disques SATA en 7200 rpm (tours par minute), mais aussi les disques SAS en 10 000 rpm et 15 000 rpm et les SSD jusqu'à 400Go.
La PS4100 est disponible en configuration 2U et peut intégrer jusqu'à 21,6 To avec des disques 2,5 pouces et 36 To en 3,5 pouces. La baie PS6100 est livrée soit dans un boîtier 2U comprenant à la fois des supports 2,5 et 3,5 pouces, soit dans une configuration 4U qui permet d'atteindre une capacité maximale de 72 To. Un rack complet de 42U de PS6100 peut contenir jusqu'à 1,2 Po de données.
Une plus grande intégration avec VSphere 5
Les deux séries PS sont livrés avec un la version 5.1 du firmware Dell EqualLogic, qui peut améliorer sensiblement les performances des baies souligne Travis Vigil. Ce microcode permet aussi au datacenter de migrer vers Ethernet par rapport aux liens Fiber Channel traditionnels. Par ailleurs, la mise à jour est compatible avec la prochaine arrivée de VSphere 5 de VMware.
Le constructeur et l'éditeur ont travaillé sur l'intégration plus étroite d'APIs de stockage, vSphere for Storage Awareness (visibilité de l'environnement de stockage) , Storage Distributed Ressource Scheduler (allocation dynamique des ressources de stockage) et vCenter Recovery Manager 5 (restauration automatique après sinistre).
Illustration: Dell EqualLogic P6100
Crédit Photo: D.R
(...)
Microsoft et un éditeur Chinois travaillent au développement de produits cloud
Microsoft veut développer le cloud en Chine. Pour cela, il s'appuie sur son partenaire China Standard Software (CSS). Ce dernier a co-développé un système d'exploitation Linux avec l'université nationale des technologies de défense. Baptisé « NeoKylin », cet OS est destiné à l'usage de différents ministères, de la Défense Nationale, de l'Energie à d'autres secteurs de l'économie chinoise. Ce projet vise à réduire la dépendance de la Chine par rapport les systèmes d'exploitation importés (dont Windows avec une très forte proportion de copies illégales).
L'accord entre Microsoft et China Standard Software basé à Shanghai prévoit le développement de produits basés sur l'architecture Hyper-V Open Cloud (accord entre Microsoft et Open Stack, par ailleurs la firme de Redmond souhaite une plus grande intégration d'Hyper-V dans le noyau Linux). Le partenariat doit aboutir à lancer des offres de clouds publics ou privés. Ces solutions devront fonctionner aussi sur l'OS développé par CSS. Pour ce faire, les deux protagonistes vont financer la création d'un laboratoire sur les technologies de virtualisation à Pékin. Celui-ci travaillera notamment sur l'interopérabilité entre NeoKylin et l'architecture Hyper-V Open Cloud.
Les fournisseurs de solutions et les analystes s'attendent à ce que le marché chinois du cloud computing croit rapidement. Une enquête menée par le cabinet d'études Gartner a constaté que 55% des sociétés chinoises interrogées souhaitent consacrer plus de 10% de leurs budgets informatiques au cloud. Ce rapport est de 42% en Europe et 49% aux Etats-Unis.
Hadoop croît mais ne remplace pas les bases de données relationnelles
Le besoin de gérer des volumes sans cesse croissants de données structurées et non structurées contribue à l'adoption du logiciel Open Source Hadoop dans les entreprises. Pour autant, ce dernier ne vient pas remplacer les technologies existantes, mais fonctionne aux côté des bases de données relationnelles. C'est ce que montre une étude de Ventana Research commentée par nos confrères de Computerworld.
Conçu pour traiter des petaoctets de données, Hadoop présente l'intérêt de scinder d'importants jeux de données en plus petits blocs qui sont alors distribués à travers des serveurs en cluster pour en accélérer le traitement. Parmi les tout premiers utilisateurs de la technologie figurent notamment des acteurs du web. Facebook, Amazon, eBay et Yahoo y ont recours pour analyser des petaoctets de données non structurées que la structure des SGBDR traditionnels ne gère pas facilement.
L'enquête menée par Ventana Research auprès de 160 entreprises montre qu'elles sont de plus en plus nombreuses à s'intéresser à Hadoop et à y recourir pour des besoins similaires (54%). La plupart l'utilisent pour collecter et analyser d'énormes quantités de données générées automatiquement (logs, résultats de recherche, contenus de médias sociaux, explique David Menninger, auteur de l'étude. Dans deux tiers des cas, a-t-il constaté, cela porte sur des analyses avancées ou sur des catégories de traitement qu'elles ne faisaient pas avant. La technologie est moins susceptible d'être utilisée pour les analyses conventionnelles portant sur les données transactionnelles et les informations sur les clients, domaines dans lesquels les SGBDR priment toujours.
Néanmoins, en dépit de l'intérêt d'Hadoop, l'étude montre que les entreprises qui l'exploitent rencontrent aussi quelques problèmes, au niveau de la sécurité, du clustering ou du manque de ressources ayant des compétences sur ce logiciel.
Illustration : D.R.
Selon GFK, le marché de l'électronique reste morose
Le secteur de l'électronique grand public est à la peine (1,34 Mds€, -19,6% par rapport au deuxième trimestre 2010). Longtemps dopées par l'extinction de l'analogique, les ventes de TV commencent à s'essouffler, aussi bien en volume qu'en valeur. Tous les périphériques audio/vidéo subissent une baisse sensible de leurs ventes, y compris les plus récents et innovants comme les lecteurs Blu-ray, qui affichent une baisse pour la toute première fois. Le déclin des appareils nomades (baladeurs, GPS...) est une conséquence de la progression des ventes de smartphones et de l'apparition des tablettes multimédia. Dans ce domaine, seuls les casques tirent leur épingle du jeu et progressent en terme de ventes.
Le marché de la micro-informatique est relativement stable (1,66 Mds€, -0,8%). A quelques rares exceptions près, toutes les familles de produits de ce secteur ont vu leur chiffre d'affaires reculer. GFK, comme Gartner il y a quelques jours, note que la situation devient de plus en plus complexe pour les PC portables, concurrencés par les tablettes (il s'est vendu en France 2,32 millions de micro-ordinateurs entre avril et juin 2011, soit 17,8% de moins qu'au deuxième trimestre 2010). Quant aux équipements de bureau et aux consommables, ils sont en recul de 6%.
Le marché de la photo est également à la peine (le marché des appareils numériques baisse de 5% en volume et de 10% en valeur) et l'impact du tsunami au japon au mois de mars se fait même ressentir sur la production de composants. Si le marché des compacts et des reflex se porte mal, le bridge crée la surprise avec une croissance de 13% à la fois en volume et en valeur.
Comparé aux autres secteurs des biens d'équipement de la maison, le segment télécom demeure celui qui se porte le mieux, avec une hausse de son chiffre d'affaires de +2,5%. Pour GFK, cette dynamique s'explique par la hausse des ventes des smartphones. Crédit photo : D.R.
(...)(23/08/2011 10:24:19)Carlyle rachètera bien Sagemcom
Samedi dernier, 20 août, Sagemcom et Carlyle ont confirmé l'accord dont nous parlions il y a deux mois. Le fonds d'investissement américain reprend la majorité, détenue par un autre fonds américain The Gores Group. Carlyle détient désormais 70% du capital (Gores Group détenait 65,7%) du fabricant français de décodeurs, de compteurs d'énergie, de box, et d'autres produits haut débit. Les dirigeants et les salariés détiennent le reste du capital, 30%, contre 25% auparavant.
Sagemcom, qui emploie 6 000 salariés dans le monde, a réalisé un chiffre d'affaires de plus de 1,4 milliard d'euros en 2010. (...)
Cisco acquiert les logiciels d'automatisation réseau Axioss
Cisco va utiliser le logiciel Axioss pour améliorer le déploiement de sa plate-forme Prime. Cette dernière permet aux opérateurs d'automatiser et de mieux gérer la brique réseau. Les opérateurs seront ainsi en mesure de lancer rapidement des offres de vidéos, de services mobiles et aussi des services de cloud computing à leurs clients, selon Cisco.
Dès l'acquisition actée, les équipes d'Axioss seront intégrées au sein de NMTG (Network Management Technology Group) de Cisco, tout comme Gareth Senior, CTO de Comptel. Axioss a été initialement développé par Axiom Systems, une société acquise par Comptel en 2008.
Se renforcer dans la performance réseau
Les opérateurs sont à la recherche de nouvelles sources de revenus, l'activité logicielle pour optimiser la performance réseau est une des voies observées par les différents acteurs. Par exemple, plus tôt cette année, Ericsson a annoncé qu'il allait acquérir Telcordia dont les solutions aident à monétiser le trafic et les services vendus par les opérateurs.
Alcatel-Lucent a annoncé le déploiement d'un ensemble de services Proactive Services Suite pour analyser la santé et la performance des réseaux des opérateurs. Il s'agit d'une question cruciale, car selon l'équipementier, elle peut être un élément différentiant pour fidéliser la clientèle ou au contraire favoriser la concurrence.
Concours de start-up d'Amazon Web Services : 100 000 dollars à la clé
Il reste six semaines, jusqu'au 2 octobre 2011, pour participer à la 5ème édition du concours de start-up lancée début août par Amazon Web Services. L'opérateur de cloud public cherche à donner de la visibilité aux entreprises exploitant de façon innovante sa plateforme et les solutions qu'elle intègre. Les candidats seront non seulement jugés sur la manière dont ils l'exploitent, sur l'originalité de leur réalisation, mais aussi sur l'évolutivité de leur projet et sur leur capacité à répondre aux besoins du marché dans la durée. Pour être admissible, l'entreprise candidate ne devra pas avoir généré plus de 10 millions de dollars de chiffre d'affaires annuel brut, ni reçu plus de 10 millions de dollars de fonds externes.
Elargi cette année au monde entier, ce concours désignera 15 demi-finalistes, également répartis entre les trois grandes zones géographiques : le continent américain, l'EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique) et l'Asie-Pacifique. Chacun recevra 2 500 dollars en crédits AWS. De cette sélection sortira six candidats qui recevront 10 000 dollars en crédits AWS et se verront offrir le voyage à Palo Alto (Californie) pour participer à la finale. A la clé pour le grand gagnant : 100 000 dollars dont 50 000 en crédits AWS.
Dassault Systèmes sur AWS avec 3DS version 6
AWS insiste sur l'opportunité qu'il offre aux jeunes entreprises en mettant à leur disposition une infrastructure technique que leurs ressources limitées ne leur permettraient pas de déployer en interne. « De petites entreprises peuvent ainsi construire de nouveaux services très rapidement », Terry Wise, responsable du développement de l'activité AWS, en soulignant que, de la même façon, à l'autre bout du spectre, cette infrastructure apporte aux grandes entreprises ou à d'autres organisations ayant besoin d'analyser d'importantes quantités de données. Il cite la banque espagnole Bankinter qui, en s'appuyant sur du calcul haute performance (HPC) sur AWS, effectue en 20 minutes en moyenne, contre 23 heures auparavant, des simulations sur les risques liés au crédit.
En mai, l'éditeur de solutions de gestion SAP a de son côté annoncé la disponibilité sur AWS de ses applications décisionnelles BusinessObjects et de ses solutions Rapid Deployment. Et en juin, c'est le Français Dassault Systèmes qui a indiqué qu'il proposait d'utiliser sur AWS sa technologie 3DS version 6 pour collaborer en ligne. Au sein du cloud EC2, il a recours aux services Elastic Block Store et Simple Storage Service d'Amazon pour stocker d'importants volumes de données de conception. En France, une société comme Pagesjaunes s'appuie sur AWS pour mettre en oeuvre son service Urbandive.com.
Les entreprises réticentes à confier leurs applications à un cloud public évoquent souvent les risques d'interruption de service pour expliquer leur prudence. Comme en écho à cette inquiétude, le cloud EC2 a connu quelques déboires au début de ce mois, à la suite d'une coupure de courant dans son datacenter à Dublin, touché par la foudre. Le fournisseur vient de dresser un bilan de l'incident et indiqué qu'il allait renforcer la sécurité de ses générateurs.
Illustration : D.R. (...)
Skype s'offre GroupMe spécialiste de messagerie mobile
Le spécialiste de la VoIP Skype, dont le rachat par Microsoft est en cours de finalisation, vient d'acquérir GroupMe, une start-up spécialisée dans les services de messagerie mobile en groupe, pour un montant non encore communiqué. Créée en 2010, GroupMe a développé une solution fonctionnant avec l'iPhone d'Apple, le BlackBerry de RIM et avec tous les smartphones fonctionnant sous Android. L'éditeur a également lancé, il y a un mois, une version de son application pour Microsoft Windows Phone 7. Une version SMS pour les utilisateurs ne possédant pas de smartphones est également disponible aux Etats-Unis.
175 millions de connexions par mois
Au début du mois, GroupMe avait dévoilé une application qui permet de dialoguer en messagerie instantanée avec une personne au sein d'un groupe. Elle permet par ailleurs de poser des questions à quelques personnes membres d'un groupe ou à tout autre utilisateur ainsi que de les diffuser sur Twitter ou Facebook. GroupMe 3.0 propose également des fonctions pour gérer des groupes, envoyer des messages, partager des photos ou poser des questions à partir d'un site web, sans avoir à télécharger l'application.
Dans le cadre de l'accord avec Skype, GroupMe restera basé à New York, avec l'ensemble de ses équipes, et travaillera sur son application de façon autonome, « La principale différence réside dans le fait que nous allons maintenant avoir accès aux 175 millions d'utilisateurs mensuels connectés à Skype, a indiqué GroupMe, dans un billet de blog.
Skype n'a pas précise si l'offre de GroupMe serait intégrée à ses services, ou si elle continuerait en tant que service distinct sous sa propre marque.
Illustration : Crédit photo : GroupMe
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Gouvernement et opérateurs rectifient le tir sur l'Internet illimité fixe
Un petit vent de panique a soufflé ce week-end quand le site owni.fr a publié un document émanant de la FFT (Fédération Française des Télécoms) regroupant plusieurs opérateurs télécoms et qui proposait de « plafonner » l'accès illimité à l'Internet fixe. Ce document de travail était une réponse à une consultation menée par l'ARCEP sur la neutralité des réseaux. Une fois publié, beaucoup de monde s'est inquiété de ce plafonnement de l'Internet fixe, sur quels critères, quel est le niveau de téléchargement à partir duquel la détérioration du débit sera mise en place, y a-t-il un risque de blocage ?
La FFT explique cette réflexion par le risque de congestion des réseaux. Cette analyse rappelle celle liée à la data mobile où les opérateurs s'interrogent sur le plafonnement de l'illimité pour l'Internet mobile. Plusieurs opérateurs dans des pays comme les Etats-Unis, l'Allemagne ont déjà sauté le pas et proposent maintenant des forfaits en fonction de la consommation.
Pas touche à l'Internet fixe, mais plus de transparence sur la notion d'illimitée
Eric Besson, ministre en charge de l'économie numérique est intervenu dans un communiqué pour rejeter cette idée de plafonnement de l'Internet fixe. « Le gouvernement n'envisage aucune restriction de l'accès à Internet et travaille bien au contraire au développement du très haut débit fixe et mobile sur l'ensemble du territoire et pour l'ensemble des Français » et d'ajouter qu'il « travaille à encadrer l'utilisation du terme « illimité » par les opérateurs afin de protéger les consommateurs contre certains abus ».
La FFT a aussi rectifié le tir par la voix de son directeur général, Yves le Moël qui a indiqué à l'AFP « Il n'est pas question de la fin de l'Internet illimité sur les lignes fixes » et de conclure « cette affaire n'est pas à l'ordre du jour ». Dans un entretien au Figaro, le dirigeant a expliqué que le document de travail ne concernait que les gros consommateurs d'Internet (en résumé ceux qui téléchargent beaucoup) et que les opérateurs réfléchissent à une modulation des offres pour ces clients-là.
Pendant le week-end, quelques opérateurs comme Numericable (qui ne fait plus partie de la FFT) se sont démarqués des propositions émises en indiquant que leur offre Internet fixe resterait illimitée. Free de son côté s'est déclaré « plus que réservé sur la pertinence d'une telle proposition ».
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