Flux RSS
Business
9034 documents trouvés, affichage des résultats 1131 à 1140.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(11/08/2011 18:29:02)
Oberthur Technologies cède son activité cartes à puce
Le groupe Oberthur Technologies, fondé par Jean-Pierre Savare, va cèder deux de ses activités, les pôles card systems (fabrication de cartes à puce) et identité (fabrication et personnalisation de documents d'identité comme les passeports, les cartes d'identité ou de santé, etc.). L'activité cartes à puce représentait, en 2010, 73% des 979 millions d'euros de chiffre d'affaires de la société.
Un mandat exclusif a été confié pour cette vente au fonds Advent International (conseillé par Bernard Bourigeaud, le fondateur d'Atos). La famille Savare (*) conserverait 10% de la société cédée. Elle souhaite se concentrer désormais sur ses activités fiduciaires basées dans la division security qui fabrique des billets de banque et des documents administratifs sécurisés. Elle garde également la division cash protection (ex Axytrans) dédiée aux systèmes de sécurité. La famille souhaite réaliser de nouvelles acquisitions dans le fiduciaire (mais sans relancer d'offre sur De La Rue).
(*) La famille Savare a par ailleurs pris le contrôle fin juin, avec d'autres investisseurs, du club de rugby « Stade Français Paris », dont Thomas Savare (le fils) est devenu président en remplacement de Max Guazzini.
Crédit photo : Oberthur Technologies
Annuels Cisco : les ventes progressent légèrement mais le bénéfice chute
Cisco publie des résultats annuels satisfaisants alors que l'annonce récente d'une réduction de 15% des effectifs mondiaux pouvait faire craindre le pire. Son chiffre d'affaires se monte à 43,218 milliards de dollars en progression de 8%, contre 40 milliards de dollars, en hausse de 11%, l'an passé. Sur une base non Gaap, son bénéfice net s'élève à 9,03 milliards de dollars, en baisse de 4,3% par rapport à l'exercice fiscal 2010. Sur une base Gaap, il se monte à 6,5 milliards de dollars (-16,4%).
Sur le quatrième trimestre, Cisco affiche un chiffre d'affaires de 11,2 milliards de dollars, en hausse de 3,3%, le bénéfice recule de 36,3% à 1,2 milliard de dollars.
La direction du groupe américain a indiqué que sa période de restructuration était achevée. Pour John Chambers, le CEO, les observateurs verront désormais dans Cisco une société « très concentrée, agile, amaigrie et agressive ».
Photo : John Chambers, PDG de Cisco (crédit : D.R.)
Emeutes en Grande-Bretagne : RIM se sent concerné
Le fabricant canadien des smartphones Blackberry, RIM, a promis de collaborer étroitement avec la police après les émeutes qui ont eu lieu samedi soir et les jours suivants dans les villes de Londres, Birmingham et Liverpool. Les émeutiers avaient utilisé leurs terminaux mobiles Blackberry pour coordonner leurs actions. Les émeutes ont eu lieu dans les quartiers de Hackney, Peckham, Clapham, Croydon, Ealing et à d'autres endroits encore, après avoir démarré à Tottenham et Brixton au cours du week-end. Elles ont été déclenchées par la mort d'un homme, soupçonné d'être armé et tué par la police.
Un entrepôt appartenant à Sony et situé à Enfield, principal centre de distribution des CD et des DVD au Royaume-Uni, a été incendié. La police de Londres a promis de traquer les personnes qui avaient posté des messages provocateurs sur le réseau BlackBerry Messenger, ainsi que sur Twitter et Facebook.
Patrick Spence, directeur général du marketing de RIM pour la région a déclaré: « Nous nous sentons proches des personnes qui ont été touchées par les émeutes à Londres et nous nous sommes engagés à aider les autorités de la meilleure façon possible. » Au cours des dernières années, les smartphones Blackberry sont devenus autant prisés par les jeunes que par la communauté des affaires, en raison du faible coût du service de messagerie BlackBerry (BBM). Patrick Spence a déclaré que RIM se conformera aux lois sur l'interception des communications tel que requis par la police.
Illustration : D.R.
Intel investit 300 millions de dollars en perspective des Ultrabooks
Intel a annoncé qu'il allait investir 300 millions de dollars dans des sociétés qui développaient de nouvelles technologies pour les Ultrabooks, cette catégorie d'ordinateurs portables fins et légers présentés comme de futurs concurrents du MacBook Air d'Apple. Le fonds Intel Capital Ultrabook va s'engager, pour des durées de trois à quatre ans, au sein d'entreprises développant du matériel et du logiciel dans le domaine des capteurs, du tactile et des batteries longue durée, ou travaillant sur des capacités de stockage accrues et la conception de designs affilés.
C'est fin mai, sur Computex, qu'Intel a dévoilé sa conception de l'Ultrabook. Le constructeur a expliqué qu'il voyait ces terminaux comme un nouveau type de portable doté de capacités propres aux tablettes telles que l'aptitude à démarrer dès l'allumage, les écrans tactiles et les batteries qui tiennent toute une journée. La première vague de modèles est attendue vers la fin de l'année, et on s'attend, pour les années suivantes, à des designs de conception plus avancées.
Passer sans y penser du curseur à l'écran tactile
L'intérêt d'Intel pour ces Ultrabooks se manifeste à un moment où le fabricant de puces essaie de raviver l'intérêt pour le marché des PC, affaibli par la popularité croissante des tablettes. Mais au-delà de la compétition avec les ardoises numériques, il est certain que l'arrivée de produits plus fins et plus légers donnerait davantage d'attraits aux ordinateurs portables. Les Ultrabooks cherchent à mélanger de façon harmonieuse les avantages de la tablette et ceux du laptop, a confié Greg Welch, l'un des responsables des plateformes clients mobiles chez Intel. Il explique que, sur ces terminaux, on passera alternativement et sans y penser, du curseur à l'écran tactile et vice-versa.
Ce sera peut-être aussi un moyen de tirer les utilisateurs vers les puces Core haut de gamme au détriment de ses Atom et Celeron, pense Dean McCarron, analyste chez Mercury Research. Les ventes d'Atom ont baissé au deuxième trimestre 2011, en premier lieu à cause du ralentissement des livraisons de netbooks, touchées par la demande pour les tablettes et les laptops d'entrée de gamme équipés d'écrans plus larges.
Intel a déjà dit que les Ultrabooks ressembleraient au MacBook Air, avec des modèles dont l'épaisseur sera inférieure à 21 millimètres, proposés à des prix abordables.
Illustration : Intel a exposé sa conception de l'Ultrabook sur Computex fin mai (crédit : IDGNS)
Citrix rachète RingCube, spécialisé sur la personnalisation du VDI
Citrix vient d'annoncer qu'il avait racheté RingCube, un éditeur de logiciels de personnalisation des postes de travail virtualisés (VDI), pour un montant non communiqué. Avec ces solutions, il sera plus facile aux équipes informatiques de fournir un poste de travail personnalisé à chaque utilisateur, a déclaré John Fanelli, vice-président des postes de travail et des applications chez Citrix, dans un communiqué. L'éditeur prévoit donc de coupler la technologie RingCube avec XenDesktop, sa propre offre de VDI. En s'appuyant sur les logiciels vDesk de RingCube, les utilisateurs pourront choisir leurs fonds d'écran, paramétrer leurs imprimantes, installer des applications partagées et créer leurs propres espaces de stockage.
Les déploiements en VDI virtualisent les systèmes d'exploitation des postes de travail, de sorte qu'ils peuvent être stockés sur un serveur et transmis en continu à l'utilisateur lorsqu'il en a besoin. Typiquement, pour un utilisateur qui souhaite personnaliser son poste de travail VDI, l'entreprise devra stocker une « image » du système d'exploitation complet et toutes les données de l'utilisateur. Afin d'économiser de l'espace de stockage, il arrive fréquemment qu'on utilise une copie unique d'un système d'exploitation pour tout le monde, ce qui prive les utilisateurs de l'aspect personnalisation.
Citrix a vendu plus de 7 millions de licences XenDesktop
La technologie de RingCube enregistre, dans un fichier séparé, toutes les données de personnalisation pouvant être couplées avec le système d'exploitation lorsque l'utilisateur en fait la demande. « Cette approche peut réduire considérablement la quantité de stockage nécessaire, puisque la duplication de l'OS ne s'impose pas », a précisé John Fanelli. Le dirigeant de Citrix n'a pas révélé de quelle manière la technologie de RingCube sera packagée ou intégrée à XenDesktop.
Citrix a vendu plus de 7 millions de licences de XenDesktop, notamment à une cinquantaine de clients équipés de 10 000 postes de travail ou plus. Située à Mountain View, en Californie, RingCube a lancé sa solution de personnalisation VDI en mai dernier. Une vingtaine de demandes de brevet sont actuellement en cours d'examen. Les équipes de RingCube seront affectées à la division postes de travail et applications d'entreprises de Citrix.
Illustration : Citrix XenDesktop avec vDesk (crédit : RingCube)
Oracle recrute 1 700 consultants et commerciaux en zone EMEA
Oracle annonce une campagne de recrutement ambitieuse en Europe, au Moyen-Orient et également en Afrique. La firme californienne ouvre 1 700 postes dans l'ensemble de la zone EMEA à des profils issus des filières technologiques, commerciales et du consulting. Ces embauches viendront soutenir la croissance de l'ensemble des activités du groupe.
Les offres concernent des candidats juniors et confirmés, des consultants avant-vente, ALM (Asset and Liability management), des responsables des partenariats et des produits, des responsables de projets, des développeurs .net et BI (business intelligence), des ingénieurs support CRM, des analystes bases de données, etc. Cette campagne de recrutement se décline sur les canaux habituels mais également sur le réseau social Facebook et sur le site de micro-blogging Twitter.
La fonction d'ajout de photo se déploie sur Twitter
Petite innovation hier sur Twitter avec la possibilité de poster n'importe quelle image depuis son ordinateur en complément à son message de 140 signes maximum. Jusqu'à présent il fallait forcément passer par un service annexe (comme TwitPic ou yFrog par exemple) pour joindre une photo à son texte. Maintenant, il suffit de cliquer sur l'icône "photo" (sous le champ texte et à gauche de l'icône "localisation"), puis de parcourir le contenu de son disque dur et de choisir son image. Sa taille est limitée à 3 Mo et sa résolution adaptée au panneau de détails.
Une fois l'image ajoutée, le décompte de signes se mettra à jour, le lien occupant plusieurs caractères (adresse de type "pic.twitter.com/codephoto"). Notez que les photos sont hébergées par Photobucket, sans avoir à s'inscrire sur leur site.
Annoncée au printemps, cette fonctionnalité débarque progressivement en France à partir de ce mercredi. De nombreuses options sont prévues d'ici la fin de l'année, comme la possibilité de visualiser les galeries d'images envoyées par les utilisateurs.
Crédit illustration : Twitter
Services : IBM aide à simuler les effets des politiques municipales
S'appuyant sur le projet pilote « System Dynamics for Smarter Cities » mené avec la ville de Portland, Oregon, IBM propose désormais un modèle de services et de logiciels qui permet aux administrations municipales de prédire les effets de leurs choix politiques. L'objectif de ce « modèle dynamique pour des villes plus intelligentes » est de fournir aux maires, et aux autres responsables qui l'entourent, un système permettant de comprendre les conséquences possibles des décisions municipales. Selon IBM, le modèle a été conçu pour faire tomber les barrières de communication qui ont jusque-là empêché ces administrations d'avoir une vision globale et d'apprécier comment une décision politique prise au niveau local pouvait affecter d'autres domaines. Il serait possible de faire des prévisions allant jusqu'à 25 ans.
C'est en avril 2010 que la ville de Portland a démarré ce projet pilote. Au départ, les autorités de la ville et IBM ont consulté plus de 75 experts de la région pour comprendre les relations entre les différents services de la ville, comme le transport, le logement et la sécurité publique. « Nous avons impliqué 18 organismes gouvernementaux », a déclaré Joe Zehnder, administrateur principal de la ville de Portland. Ensuite, en collaboration avec des chercheurs de la Portland State University et avec l'aide des systèmes logiciels de Forio Simulations Business, la ville et IBM ont rassemblé des données de la zone couverte, dont certaines datant de près de 10 ans.
Une approche plus pertinente
Cela a débouché sur un modèle informatique spécifique à la ville de Portland construit à partir de ces données et capable de montrer en quoi des changements effectués dans un secteur pouvaient influer sur un autre secteur.
« Le but était de dépasser les frontières traditionnelles en matière d'information et de communication », explique Joe Zehnder. Même si les services communiquaient étroitement avant le projet, l'intégration des données à permis une approche « plus pertinente», a t-il ajouté. Par exemple, dans le cadre du plan mis en place par la ville pour réduire de 40% les émissions de carbone d'ici à 2030, il a été possible de voir comment les changements affectés à un secteur pouvaient en affecter un autre. Les autorités savaient déjà que, pour atteindre leur objectif, il fallait inciter les gens à changer un certain nombre d'habitudes, comme préférer la marche à pied, ou le vélo, à la voiture. Le modèle a montré que ce changement contribuerait aussi à réduire le nombre de personnes obèses et modifierait ainsi la situation sanitaire de la ville. Selon IBM, le modèle peut également établir des relations entre l'état de santé des habitants et l'attractivité de la ville pour les entreprises, ou entre la densité de population et le bien-être.
De quelle façon réaliser des économies d'énergie
Joe Zehnder a été surpris du résultat obtenu avec le modèle dynamique dans le secteur de l'énergie. L'administration municipale a voulu connaître les habitudes de consommation d'énergie de ses habitants et savoir si la consommation devait être réduite de manière équivalente dans tous les quartiers. « Avant le projet, nous pensions que, dans les quartiers riches, avec des maisons plus grandes, la consommation d'énergie serait généralement plus élevée. L'analyse a montré que ce n'est pas nécessairement le cas », a déclaré l'administrateur. [[page]]Les résultats de l'évaluation sont désormais utilisés aussi dans un autre projet mené par la ville, le Clean Energy Works, qui doit aider l'administration à identifier dans quels domaines elle peut réaliser des économies d'énergie. « Dans la plupart des situations, le modèle a permis de montrer comment poursuivre les priorités énoncées dans la feuille de route de la ville pour les 25 prochaines années », a déclaré Joe Zehnder. « C'est un outil très utile pour remettre en question sa façon de penser et ses hypothèses », a t-il ajouté.
Simuler des systèmes complexes
System Dynamics for Smarter Cities est d'ores et déjà disponible sous forme de logiciels et de services de consulting proposés par IBM. L'éditeur fournira les services de consultation pour son modèle System Dynamics for Smarter Cities, mais des logiciels d'autres vendeurs peuvent aussi être utilisés. À condition que le système logiciel soit capable d'analyser et de simuler des systèmes complexes et dynamiques. « Il existe de nombreux outils logiciels dans le domaine des systèmes dynamiques sur le marché, et notre modèle n'est pas lié à un type spécifique », a déclaré Naveen Lamba, partenaire associé pour une ville plus intelligente, chez IBM Global Business Services. « Si une ville utilise déjà un système dynamique avec certains logiciels, dans la plupart des cas, le modèle d'IBM peut l'utiliser », explique le partenaire. « A contrario, nous recommandons une solution, mais nous ne préconisons pas de logiciel en particulier », a ajouté Naveen Lamba. Dans le cadre du projet pilote mené avec la ville de Portland, c'est un logiciel de simulation du vendeur Forio Business Simulations qui a été utilisé.
Dans son communiqué, IBM a qualifié sa nouvelle offre de 'service app'. « Cependant, le sens de 'app' est différent de celui utilisé pour les petites applications des Smartphones », explique encore Naveen Lamba. « Ce n'est pas une solution prête à l'emploi. Il faut l'adapter aux besoins de chaque ville », a-t-il expliqué en précisant que l'ampleur et la durée d'un projet utilisant le modèle System Dynamics for Smarter Cities dépendait de ce que la ville voulait atteindre avec le système. En dehors de la ville de Portland, IBM ne peut pas encore citer d'autres clients pour son nouveau service. Cependant, il serait en pourparlers avec plusieurs villes. La nouvelle offre est disponible dans le monde entier et peut être mise en oeuvre dans des villes de tailles et de structures différentes. « IBM doit aussi former ses consultants dans le monde entier pour faire adopter son modèle », a également souligné Naveen Lamba.
Microsoft ajoute le support d'Hadoop à SQL Server et PDW
La réponse de Microsoft au phénomène des « Big Data » consiste à apporter à sa base de données SQL Server et à sa plateforme Parallel Data Warehouse le support du framework Open-Source Hadoop, adapté au traitement d'importants volumes de données. Les connecteurs qu'il proposera seront disponibles sous peu sous forme de CTP (community technology preview) précise l'équipe de SQL Server dans son blog officiel.
L'expression Big Data fait référence à la multiplication des données générées par les entreprises, en particulier en provenance du trafic web et de capteurs. « Nos clients nous demandent de les aider à gérer et analyser à la fois des données structurées et non structurées, qui sont notamment stockées dans des environnements Hadoop », explique l'éditeur. Avec les connecteurs qu'il s'apprête à fournir, les clients pourront échanger des données entre ces environnements, SQL Server et Parallel Data Warehouse (PDW).
Hadoop, qui s'adosse à l'Apache Software Foundation, a été constitué par Yahoo. Il est basé en partie sur le modèle de programmation MapReduce développé par Google. Un écosystème de plus en plus étendu s'est développé autour d'Hadoop, comportant des acteurs tels que Cloudera, pour offrir des services et des distributions spécialisées du Framework.
Pas de feuille de route à long terme
La démarche de Microsoft est logique, dans la mesure où des fournisseurs de datawarehouse tels qu'EMC (avec Greenplum) et Teradata ont déjà adopté Hadoop, rappelle James Kobielus, analyste de Forrester Research. De plus en plus d'entreprises exploitent des clusters Hadoop et veulent être capables d'envoyer des données de ces systèmes vers leurs datawarehouses, ajoute-t-il. Mais, selon lui, aucun fournisseur ne peut prétendre avoir construit une offre Hadoop complète qui inclurait des distributions, des connecteurs vers des projets liés à Hadoop tels que la base de données Cassandra, des outils de modélisation et d'autres composantes. Il est évident qu'à l'instar des autres acteurs, Microsoft a des projets très sérieux pour Hadoop, reconnaît James Kobelius en soulignant toutefois que, pour l'instant, il n'avait pas encore communiqué de feuille de route à long terme.
Microsoft n'adopte pas Hadoop au détriment de ses propres développements. Il a par exemple livré récemment le projet Daytona, un modèle de programmation basé sur MapReduce à utiliser sur son cloud Azure.
Cette semaine, la société de Steve Ballmer a également annoncé qu'il avait livré une deuxième mise à jour pour Parallel Data Warehouse. Celle-ci combine de nouvelles fonctionnalités, à la fois du côté du matériel et du logiciel. Cela inclut des connecteurs supplémentaires pour des éditeurs d'outils de BI (Business Intelligence) et d'intégration de données tels que SAP, Informatica et Microstrategy. Par ailleurs, une version de PDW est maintenant disponible pour les serveurs de Dell. Les prix démarrent à moins de 12 000 dollars par téraoctet.
Illustration : projet Hadoop / Blog de l'équipe SQL Server
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |