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(21/03/2011 15:20:00)
La CNIL inflige 100 000 euros d'amende à Google
La Commission Nationale Informatique et Liberté hausse le ton contre Google et surtout sur son peu d'empressement de répondre aux demandes de l'autorité administrative. Au final, l'éditeur de Mountain View écope d'une amende de 100 000 euros. L'histoire commence en 2009 quand l'Europe et notamment la CNIL se rend compte que les Google Car en charge de prendre des photos pour le service Maps et Street View, captent et enregistrent des données transitant par les réseaux WiFi des particuliers et cela à leur insu. Parmi ces données collectées, la Commission a retrouvé aussi bien des informations techniques (identifiants SIID et adresses MAC des points d'accès WiFi) que des données concernant des particuliers, identifiés ou identifiables (données de connexions à des sites web, mot de passe de messagerie, adresses de courrier électroniques, échanges de courriels révélant notamment des informations sensibles sur l'orientation sexuelle ou la santé des personnes).
Un déplacement du problème
(...)(21/03/2011 12:22:29)
Facebook rachète Snaptu, développeur d'applications mobiles
L'opération est estimée à 70 millions d'euros, mais aucun chiffre n'a été publié. Facebook a donc réalisé sa première acquisition en Israël. Le nom de l'heureuse Start-up est Naptu, qui développe des applications mobiles. Plus exactement, la société fondée en 2007 par Ran Makavy, Micha Berdichevsky et Barak Naveh s'est focalisée sur la portabilité des applications de type Facebook ou Twitter sur des téléphones portables autres que des smartphones. Cette orientation devrait accélérer le développement du réseau social dans les pays en développement où le taux d'équipement en smartphone est faible.
(...)(21/03/2011 12:13:30)CTIA 2011 : Le salon mobile pro ouvre ses portes
Le CTIA va fêter son 26e anniversaire en 2011 en accueillant plus de 1.000 exposants et 40.000 visiteurs. Le salon s'intéresse au sans-fil, aux communications convergentes, au haut-débit, et l'édition 2011 s'articulera fortement autour du thème "Mobile Life". Les exposants présenteront les dernières solutions d'entreprise, les produits peu gourmands en énergie, et les nouvelles technologies de divertissement mobile.
Alors que le Mobile World Congress de Barcelone s'attache avant tout aux produits grand public, le CTIA se concentre sur les technologies qui les rendent possibles : les services géolocalisés (Location Based Services), l'énergie intelligente (Smart Energy), la santé sans fil, l'informatique en nuage, les systèmes de transport intelligent (Intelligent Transportation), ou encore le paiement mobile (Mobile Money).
Illustration principale : Salle de tests de Mycom au CTIA 2011, crédit photo D.R.
AT&T rachète T-Mobile USA pour 39 milliards de dollars
ATT a proposé 39 milliards de dollars pour l'acquisition de T-Mobile USA. Cet achat soulève de multiples questions tant pour les abonnés, que pour la concurrence et l'économie du secteur des deux côtés de l'Atlantique.
Si cette acquisition est validée par les autorités de régulation américaines, la nouvelle entreprise ainsi formée aura 129 millions d'abonnés, dont 34 millions venant de T-Mobile. Ce qui placera la société en tête du marché américain devant Verizon avec 94 millions d'abonnés et de Sprint Nextel avec 50 millions de clients. Un point qui devrait simplifier la fusion : les deux opérateurs ont fait les mêmes choix en termes de technologies réseaux puisqu'ils possèdent des infrastructures GSM et ont pris la décision de migrer vers le LTE (Long Term Evolution). Le communiqué publié par AT&T souligne d'ailleurs que la fusion des deux réseaux devrait l'amener à déployer de manière plus agressive le LTE aux Etats Unis. L'accord a été approuvé par les comités de direction de AT&T et de Deutsche Telekom, la maison mère de T-Mobile. Deutsche Telekom devrait posséder 8% de AT&T aux termes de l'accord.
AT&T récupère T-Mobile pour nettement moins cher que les 51 milliards de dollars payés par Deutsche Telekom, il y a 10 ans, en 2001. Mais l'accord n'est pas encore bouclé. De par sa taille, il va être passé au crible par les autorités de régulation américaines, la FCC (Federal Communications Commission). « 2010 a été la première année où la FCC n'a pas estimé que le marché des réseaux mobiles était concurrentiel aux Etats Unis» rappelle Dan Frommer de Business Insider. L'accord devrait être achevé d'ici 12 mois, ce qui est très long.
Un nécessaire besoin de fréquences
On commence à supputer sur l'impact sur le marché américain. Verizon pourrait faire une offre d'achat sur Nextel, les deux opérateurs utilisant la technologie CDMA. Les opérateurs régionaux pourraient créer un contre poids en s'associant. Le réseau d'AT&T utilise le spectre radio dans les bandes de fréquence de 850 et 1900 MHz pour des services GSM/GPRS/Edge et de plus en plus de services HSPA+, c'est-à-dire de la 3G. T-Mobile utilise essentiellement la bande de fréquences de 1900 MHz pour ses services GSM. Fin 2008, l'opérateur a commencé à déployer ses services 3G dans les bandes de fréquences de 1700 et 2100 MHz AWS. T-Mobile affirme que ses services 3G+ délivrent des débits de téléchargement jusqu'à 21 Mbit/s au lieu des 7,2 Mbit/s.
Les deux opérateurs adoptent une même démarche pour leurs services mobiles. D'un côté, ils dopent leurs réseaux 3G vers le HSPA+ et de l'autre, ils vont commencer à construire leurs réseaux LTE. C'est dans quelques mois, à l'été, que AT&T va construire son réseau LTE. La première phase de couverture nationale sera achevée en 2013. Dans une interview publiée ce dimanche, le président d'AT&T, Ralph de la Vega explique que « la première chose est que cet accord allège le défi que représente le manque de ressources radio pour les deux opérateurs. En combinant les spectres radios que nous avons respectivement, et qui sont complémentaires, cela aide réellement nos sociétés. Le deuxième point est que nous allons améliorer la qualité et de plus de capacité réseau puisque la couverture de réseau augmente. »
Les analystes ravis et les consommateurs sceptiques
Si cette fusion semble faire l'affaire des deux opérateurs, les bloggeurs américains réagissent plutôt négativement. « Une mauvaise entreprise en rachète une autre » râle Robert Scoble, pour Business Insider. « Alors qu'il s'agit d'une bonne nouvelle pour les deux sociétés, j'espère que les autorités de régulation vont retoquer cet accord » affirme Sascha Segan pour PC Magazine. Sascha Segan prédit que l'abonnement à petit prix de T-Mobile va disparaître, malgré les affirmations d'AT&T expliquant que les fusions ont permis de baisser les prix dans les années passées, et qu'il y aura moins de modèles de smartphones parmi lesquels choisir. « Pendant la fusion, on va baisser la qualité de service de la relation client au minimum » termine Sascha Segan.
Pour autant, les analystes saluent cette opération « il y avait trop d'acteurs, cela donnera un peu plus de place au troisième opérateur » explique Phillip Redman, un analyste du Gartner et d'ajouter « la FTC et la FCC vont mettre du temps pour analyser cette fusion, mais je pense qu'au final, elle sera autorisée. Il s'agira de la dernière grande fusion de ce type dans l'industrie du wireless ». Sur le plan de la concurrence, Jeffrey Kagan, analyste indépendant estime que l'acquisition ne devrait pas avoir d'effet négatif sur les prix. Jack Gold, un analyste de J. Gold Associates est plus pessimiste « certes il y aura une amélioration de la couverture réseau, mais avec une concurrence plus limitée, les prix vont augmenter ».
(...)(21/03/2011 09:50:16)Annuels Archos : des résultats portés par les tablettes
Sur l'ensemble de l'année 2010, le fabricant de produits d'électronique grand public a enregistré une croissance de 44% de son chiffre d'affaires par rapport à 2009. La progression des ventes s'est notamment accélérée au dernier trimestre avec le lancement des tablettes de la Génération 8 sur le segment des produits à moins de 400 €.
Grâce une marge brute qui s'est améliorée de 10 points, des charges d'exploitation en hausse de 2,3% seulement et des dépenses générales et administratives réduites de 11% à 9,3 M€, le résultat opérationnel courant du groupe s'établit à +0,2 M€ contre -10,9 M€ en 2009. Quant à son résultat opérationnel, il n'est dans le rouge que de 0,15 M€ alors qu'il s'était enfoncé à -6,3 M€ en 2009. Archos semble donc sur la bonne voie pour un retour aux bénéfices opérationnels. D'autant qu'au deuxième semestre 2010, son résultat opérationnel courant est ressorti à +2 M€.
Après prise en compte des charges et des taxes, le groupe enregistre une forte réduction de sa perte nette qui s'établit à 2,3 M€ pour l'année 2010, contre 18,6 M€ en 2009. Quant à l'année 2011, elle commence sous de bons auspices puisque le chiffre d'affaires du premier trimestre de cette année (publié le 11 avril) devrait être égal ou supérieur à celui du quatrième trimestre 2010.
Taiwan attend des répercussions après le désastre japonais
A Taïwan, le ministère de l'économie s'attend à ce que le séisme qui a durement frappé le Japon la semaine dernière se répercute sur l'industrie des semi-conducteurs et sur le marché des écrans LCD. Les livraisons de composants ont déjà été suspendues dans l'île pour cause de dégâts dans les usines de fabrication ou de problèmes d'acheminement, d'où une augmentation des coûts de fabrication. Dans un document publié ce mercredi, le ministère taiwanais de l'industrie considère que AU Optronics et Chimei-Innolux, principaux acteurs locaux du marché des écrans LCD, subiront un impact assez important si Hitachi Chemical ralentit la production de film conducteur anisotrope, une résine qui relie les puces aux circuits électroniques. Sachant qu'à lui seul, Hitachi Chemical pourvoit aux besoins d'environ la moitié des fournisseurs de films anisotropes au niveau mondial.
Un impact sur les fournisseurs de silicium
Le document émanant du ministère de l'industrie précise également qu'à Taîwan, les fabricants de semi-conducteurs doivent faire face à une «lutte sans merci pour obtenir des matières premières ». Le rapport pointe le fait que, dans l'île, la moitié du stock mondial des plaquettes de silicium proviennent des sociétés japonaises Shin-Etsu et Sumco Corp, toutes deux impactées par la puissance du séisme qui a secoué le Japon vendredi dernier. Il fait écho aux préoccupations exprimées par les économistes et par les entreprises elles-mêmes. L'effet de contagion pourrait gagner le secteur des semi-conducteurs, celui des écrans LCD et des panneaux solaires car ils utilisent une grande quantité de matériel en amont et des composants clés. Le degré d'impact devra être surveillé pour que les entreprises puissent mesurer l'état des stocks des matières premières nécessaires et le cas échéant trouver d'autres source de réapprovisionnement.
Des effets difficiles à évaluer
Toutefois, le ministère n'a pas fourni de calendrier sur les possibles impacts du séisme ni donné d'indications sur le coûts que cela générerait pour les entreprises taïwainaises qui fabriquent des composants nécessaires à la fabrication des plus grandes marques de PC dans le monde. Si les effets sur la chaîne d'approvisionnement sont difficiles à évaluer, c'est en partie parce que les entreprises taiwanaises trouvent qu'il est difficile d'obtenir des informations de firmes comme Epson, Toshiba Semiconductor ou d'autres dans la zone sinistrée, souligne le document. Toutefois, en aval, les fabricants de puces feront augmenter leur prix si le stock de silicium venait à manquer. Mercredi dernier, un chercheur de Bank of America Merrill Lynch a estimé qu'il faudrait six mois pour que la chaîne d'approvisionnement revienne à la normale. Certains analystes s'attendent à une pénurie de matières premières en provenance du Japon ce qui aura pour conséquence de retarder les livraisons de PC et d'électronique grand public et d'augmenter les prix de vente au détail.
Crédit photo: D.R
(...)
Après ses rachats, Dell dévoile ses projets d'intégration en matière de stockage
Aujourd'hui, Dell aimerait rassembler ces différentes technologies sous un système unique permettant aussi bien la migration de fichiers, la réplication que la dé-duplication entre plates-formes de stockage. « Notre objectif est de nous arrimer aux technologies d'Exanet et d'Ocarina pour établir le lien et ouvrir vers toutes les autres technologies possibles », a déclaré Travis Vigil, directeur général du marketing stockage chez Dell.
En fait, le Texan espère pouvoir annoncer d'ici à sa conférence utilisateur prévue en juin à Orlando, l'intégration du système de fichier à taille variable d'Exanet avec ses systèmes de stockage d'entrée de gamme PowerVault et les produits de stockage NAS de Compellent et SAN d'EqualLogic. Cela permettrait à Dell d'utiliser les appareils d'Ocarina en tête de ses tableaux dynamiques pour effectuer la déduplication-compression sur des données non structurées comme l'e-mail.
Dell pense achever cette intégration au cours du second semestre de l'année. « La première étape consiste donc à réaliser un système de fichiers commun pour l'ensemble du portefeuille. Ensuite, on peut commencer à faire des choses intéressantes en termes de gestion du cycle de vie des données, » a déclaré le dirigeant de Dell. « On peut utiliser ce contexte commun pour introduire une architecture globale afin de gérer les données d'un stockage primaire, vers un stockage secondaire pour archivage, comme nous le faisons avec nos produits DX. »
Une intégration complexe à orchestrer
La firme d'Austin prévoit de mettre la technologie SAN de Compellent en haut de sa liste de produits destinés au marché des entreprises, tandis qu'EquaLogic restera axé sur le marché du stockage de taille moyenne. Avec Compellent, Dell a aussi acquis la technologie de hiérarchisation des données ou multi niveaux, c'est-à-dire la capacité de déplacer des données à l'intérieur du réseau entre différentes catégories de disques durs. La technologie « Fluid Data » de Compellent est en cours de déploiement dans ce que Dell appelle son Architecture Fluid Data.
« Dell espère qu'elle permettra à ses clients de transférer des données entre plates-formes et éventuellement archiver les données hors site via un cloud public, » indique Scott Horst, vice-président du marketing corporate chez Dell. « Cela ajouterait un autre niveau de stockage, » a-t-il ajouté. « Compellent nous a aussi apporté des capacités de facturation à la demande et une architecture multitenant»
Un gros travail reste à faire
Selon Brian Babineau, analyste senior pour le cabinet d'études Enterprise Strategy Group, l'intégration des technologies héritées d'Exanet et de Ocarino dans ses produits de stockage pourrait prendre à Dell plus de temps que prévu. « L'intégration de la technologie nécessaire pour ajouter la déduplication et un système de fichier étendu sur Compellent et EqualLogic demande beaucoup de travail. Mais c'est faisable, » commente-t-il. « Je pense que le vrai enjeu est de faire qu'Exanet fonctionne entre ces plates-formes de façon à disposer d'une offre de stockage de fichiers. »
Dell cherche à concurrencer les plus grands fournisseurs de solutions de stockage de fichiers comme EMC, qui a récemment acheté Isilon Systems et son cluster NAS, NetApp et son système d'exploitation Data ONTAP GX, ou encore Hewlett-Packard, qui travaille à l'intégration du cluster de fichiers IBRIX - acquis en 2009 - à StorageWorks.
« Au cours des quatre dernières années, Dell a fait du bon travail pour enrichir son portefeuille de produits de stockage via ces acquisitions, » estime l'analyste. « Mais le manque flagrant, dans la perspective d'une offre de système de stockage, c'est une solution spécialement conçue pour la protection des données, » a déclaré Brian Babineau. « Quelque chose comme un système Data Domain. Pour cela, il faut parvenir à optimiser Ocarina, Compellent et EqualLogic pour offrir un système de sauvegarde en temps réel et continu des workloads,» déclare-t-il.
(...)(18/03/2011 14:23:24)Google Apps annonce 1 million d'entreprises clientes en Europe
Le début de l'année 2011 a réservé de bonnes surprises à Sébastien Marotte, vice-président Entreprise EMEA de Google depuis 2 mois et demi. Le nombre d'entreprises utilisant les Google Apps a passé le cap du million en Europe. Elles sont 3 millions dans le monde à avoir choisi la suite bureautique et collaborative hébergée par Google. Si le chiffre montre l'appétence des entreprises pour ce type d'outils, il est par contre impossible de connaître les détails sur le marché français à part quelques références. Sébastien Marotte indique simplement que la croissance sur l'hexagone suit la même dynamique que dans les autres pays. Dont acte. Sur les questions plus sensibles de la localisation des données, Matthew R. Glotzbach, directeur du marketing produit de Google, ne pense pas que cela soit un frein à l'adoption des Apps et met en avant la sécurisation des données plus que leur localisation.
Rajouter des fonctionnalités et des services
Pour Matthew R. Glotzbach, « la beauté du cloud est de pouvoir rajouter des fonctionnalités et des services pour le même prix ». Dernier ajout en date, la possibilité de gérer en temps réel les commentaires sur un document. Pour autant, Google se tourne vers l'avenir, « la voix et la vidéo sont des axes de travail », tout comme la mobilité qui « est un focus important de notre recherche ». En déplacement à Londres la veille, le responsable a aussi annoncé à nos confrères d'IDG News Service, que Google reproposera avant la fin de l'année des capacités de sauvegarde en mode déconnecté. L'éditeur avait utilisé son plug-in Gears pour cela, mais mise maintenant sur les fonctions du HTML 5 pour adapter ce service. Pour le reste, la roadmap des évolutions se fait aussi en fonction du retour des clients. Ainsi, la demande des administrateurs IT de pouvoir retarder les mises à jour de Google Apps qui touchent les interfaces graphiques a été prise en compte.
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