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(03/02/2012 17:25:00)
Recap IT : Facebook décortiqué, Google indiscret, Multiple bêtas pour Microsoft
Imaginer le 3ème État "virtuel" du monde qui rentre en bourse. Avec 845 millions d'utilisateurs, Facebook saute le pas en présentant son dossier d'introduction en bourse. Cette opération doit apporter 5 à 10 milliards de dollars au site de réseau social. Les documents déposés auprès du régulateur américain des marchés financiers montrent la bonne santé de Facebook et ses perspectives notamment dans la mobilité. Ce dernier point est stratégique aussi pour IBM qui a racheté Worklight, spécialiste des développements d'applications mobiles. De son côté Microsoft dévoile un peu de Windows Phone 8 qui se rapproche de Windows 8. La firme de Redmond peaufine d'ailleurs la bêta de son prochain OS PC/tablette avec l'aide des utilisateurs et il annonce une version bêta d'Office 15 à l'été prochain. En matière de mobilité toujours, la Commission européenne a lancé une enquête sur une possible utilisation abusive par Samsung de ses brevets sur la 3G dans différentes procédures judiciaires. De son côté, Google Docs pour Android est maintenant consultable hors ligne. Le changement de la politique de confidentialité de Google continue à faire des remous. Le géant de l'Internet a entamé une explication de texte de sa stratégie, même si au détour d'un gestionnaire des annonces, on découvre avec amusement ou effroi ce que Google sait de vous.
Stratégies et cloud
Si sur le plan économique, les yeux sont tournés vers Facebook, d'autres acteurs ont présenté leurs stratégies et leur vision de l'avenir. Ainsi, SAP France a commenté ses résultats financiers et a parlé de ses différents chantiers. De son côté IBM a profité de sa journée perspectives et innovations pour faire un point sur ses différentes orientations technologiques et le lancement prochain des services du supercalculateur Watson en France. L'éditeur Microfocus a présenté les résultats de son 1er observatoire du Cobol, un langage incontournable, mais en mal de reconnaissance. Le cloud continue d'alimenter l'actualité avec le lancement d'un service de help desk en mode SaaS par Salesforce.com. La communauté OpenStack a décidé de sanctionner l'inactivité de Microsoft pour le portage d'Hyper-V dans le projet cloud Open Source. Il sera supprimé dans la prochaine version de la plateforme. Dassault Système a annoncé son intention de proposer un cloud public concurrent à celui d'Andromède. Enfin, Tilera a présenté sa première puce serveur 36 coeurs pour concurrencer Intel et ARM. Ce dernier a prévu de livrer le design de ses puces 64-bits pour serveurs en 2012.
Les trojans prolifèrent
L'actualité sécurité est restée discrète cette semaine. Plusieurs acteurs de l'Internet se sont réunis pour promouvoir un standard pour lutter contre le phishing et le spam nommé Dmarc. Des trojans ont fait quelques dégâts sur les captchas de Yahoo et envoient des SMS vers des numéros surtaxés pour les smartphones Android. Les arnaques touchent même Facebook dont les victimes étaient redirigées sur le cloud d'Amazon. A l'heure de sa prochaine introduction en bourse, le site de réseau social a d'ailleurs eu une petite panne de 15-20 minutes, rappelant ainsi que le colosse a aussi des pieds d'argile.
Google condamné à verser 500 000 euros à Bottin Carto
Spécialisée dans les solutions de cartographie en ligne, la société française Bottin Cartographes (anciennement Planfax) a assigné Google France et Google Inc en juillet 2009 pour pratique de prix abusivement bas et abus de position dominante. Le tribunal de commerce de Paris vient de lui donner raison et de condamner Google à lui verser 500 000 euros à titre de dommages et intérêts en réparation de l'ensemble des préjudices subis (cf le jugement du 31 janvier 2012, diffusé via Twitter par Benoît Tabaka, secrétaire général du Conseil national du numérique).
Les cartes réalisées par Bottin Carto sont destinées à être intégrées aux sites web de ses clients, parmi lesquels des collectivités locales, de grandes enseignes de la distribution, du secteur immobilier, de la restauration ou de la banque. Elles servent notamment à localiser des adresses, par exemple un réseau de magasins ou d'agences bancaires. Face à lui, le moteur de recherche géographique Google Maps, accessible gratuitement sur Internet, se complète d'interfaces de programmation (API) pour insérer des services de localisation dans des applications. Le problème réside dans le fait que les API, vendues aux entreprises pour un usage intranet, sont gratuites lorsqu'elles sont utilisées par ces clients sur leurs sites Internet.
Des développements sur mesure
« Ce que nous demandions surtout, c'est l'application d'un business model clair et transparent et d'un meilleur respect des règles de la concurrence », explique Dorothée Mani, directrice générale adjointe de Bottin Carto, contactée par la rédaction du Monde Informatique. « Il existe deux grands modèles, soit un financement par la publicité d'un service gratuit proposé sur le web, soit, dans notre cas, un service payant », rappelle-t-elle en soulignant que ce n'est pas le portail Google Maps qui est en cause mais les API à destination des entreprises. « Ces interfaces de programmation permettent aux entreprises d'intégrer dans leurs applications des fonds de cartes expurgés de toute publicité. Or certaines de ces API étaient fournies gratuitement, sans publicité, alors même qu'elles supposent un coût. Il y a une confusion entre le portail grand public, financé de façon loyale par la publicité et les API gratuites. »
Dorothée Mani souligne que Google bénéficie de son moteur de recherche, dont la prédominance n'est pas remise en cause, pour valoriser son service de cartographie. La dirigeante rappelle que des sociétés comme ViaMichelin, Maporama et Mappy se sont déjà écartés de la cartographie B-to-B. « Nous sommes les seuls à nous y maintenir. Nous pouvons le faire parce que nous innovons et que les solutions développées par nos ingénieurs sont proposées avec un accompagnement important et beaucoup de sur-mesure (Bottin Carto fait partie du pôle de compétitivité Systematic). Nous portons une attention toute particulière à la confidentialité des bases de données de nos clients avec des tarifs qui sont transparents. Certains de nos clients, notamment dans le secteur bancaire, sont très sensibles à la gestion de leur base de données d'implantation et à la confidentialité de leurs données. »
Google veut faire appel du jugement
Bottin Carto estime aussi que ce jugement est sans précédent, notamment car le tribunal va jusqu'à pointer dans ses attendus la pratique de gratuité de Google. Ainsi peut-on lire dans le jugement que cette pratique « a manifestement vocation à optimiser à terme la commercialisation de publicités ciblées, attendu en effet qu'une fois la concurrence évincée, rien n'empêchera l'application des conditions contractuelles prévues depuis l'origine et partant l'insertion de publicités sur les cartes web obtenues gratuitement via Google Maps API. »
Le tribunal considère par ailleurs que Google a pratiqué des prix abusivement bas et qu'il a bien profité de sa position dominante. Ce jugement ne semble pas avoir entamé la position stratégique de Google. La société fondée par Sergey Brin et Larry Page a en effet décidé de faire appel. « Nous sommes convaincus qu'une cartographie gratuite de grande qualité est bonne pour les sites web et les utilisateurs et nous continuerons à faire face à une forte compétition dans ce domaine », a déclaré par e-mail un porte-parole du groupe américain.
Annuels Osiatis : un chiffre d'affaires en hausse de 15% en 2011
Osiatis est l'une des premières grandes SSII à publier ses résultats annuels préliminaires. Avec un chiffre d'affaires de 280,1 millions d'euros (ME), Osiatis a progressé de 11,1% en organique en 2011 et de 15% au total. La France se porte mieux que l'international, elle progresse de 13,3% en organique et représente 88% de l'activité. L'international en revanche est en recul de 1,8%.
Les résultats définitifs et la rentabilité seront connus le 20 mars. Osiatis donne quelques indications sur ses activités. Les services aux infrastructures, qui représentent 87% de l'activité, sont en croissance organique de 11,7%, surtout en France. La partie nouvelles technologies, progresse de 6,9% en organique. (...)
Le Crédit Agricole et Gemalto vont tester des cartes de paiement sans contact
La société Gemalto, spécialiste de la sécurité numérique, a annoncé son partenariat avec le Crédit Agricole pour fournir à ses clients une carte bancaire sans contact. Cette technologie, déjà adaptée au passe Navigo pour les transports franciliens par exemple, permettra aux consommateurs de payer leurs achats, d'un montant inférieur à 20€ sans saisir de code.
Alors que les expérimentations de la technologie sans contact se succèdent en France par le biais des mobiles Cityzi, le concept se concrétise du côté des cartes bancaires. Leader sur le marché des cartes à puce, l'entreprise Gemalto s'est associée au Crédit Agricole pour créer des cartes de paiement à scanner sur un terminal, lors d'un achat inférieur à 20€.
Reste à équiper les commerces de terminaux capables de lire ces cartes de paiement, répondant à la technologie NFC (Near Field Communication). Le groupement des cartes a donné son agrément en avril dernier, pour implanter ces machines à travers la France.
(...)(02/02/2012 16:17:14)Gestion de parc IT : Staff &Line se renomme EasyVista pour s'étendre aux Etats-Unis
Spécialisé dans les logiciels de gestion des infrastructures informatiques, l'éditeur français Staff &Line a décidé de changer de nom pour accélérer son développement sur le marché Nord-Américain où il a pris pied en 2010. La société prend le nom d'EasyVista, déjà adopté pour sa gamme de produits. Elle explique dans un communiqué que cette marque est mieux comprise dans les pays anglo-saxons et indique qu'en moins de dix-huit mois, une vingtaine de grands clients lui ont fait confiance aux États-Unis. Un marché où se concentre selon Gartner plus de la moitié du potentiel mondial des revenus de l'IT Service Management (ITSM).
L'éditeur a entamé en 2005 son implantation internationale en commençant par s'étendre en Europe. Il dispose de filiales outre-Manche, ainsi qu'en Espagne, au Portugal et en Italie, et précise que plus de la moitié de ses collaborateurs et un tiers de ses 800 clients se situent hors de France (35% du chiffre d'affaires sont réalisés à l'étranger). Ses solutions sont utilisées en mode SaaS par 300 clients, une option choisie de plus en plus souvent par les entreprises, souligne la société.
15 processus ITIL version 3 certifiés
L'offre d'EasyVista couvre les différentes étapes du cycle de vie des actifs informatiques : gestion du parc et des configurations, inventaire automatique, mais aussi gestion des incidents et des changements, portail utilisateurs, mises en production et suivi des budgets informatiques, gestion des projets IT et des processus ITIL, amélioration continue des services ITSM... La société a obtenu la certification de 15 processus ITIL version 3.
La société Staff &Line a été co-fondée en 1988 par Sylvain Gauthier et Jamal Labed, respectivement PDG et directeur général de la société. Elle est cotée sur Alternext et a réalisé sur les neuf premiers mois de son exercice 2011 un chiffre d'affaires de 6,7 millions d'euros, en progression de 10% par rapport aux trois premiers trimestres 2010. L'exercice 2010 avait été marqué par un repli par rapport au précédent avec un chiffre d'affaires de 9,2 M€, expliqué par la transition de l'offre vers le modèle SaaS entraînant une baisse des ventes de licences.
845 millions de membres pour Facebook
Le réseau social Facebook comptait 845 millions de membres actifs dans le monde au mois de décembre 2011, dont 425 millions connectés via des applications mobiles, selon le dossier fourni le 1er février par la société à la Securities and Exchange Commission (SEC), l'organisme fédéral américain de réglementation et de contrôle des marchés financiers. Au moment d'entrer en bourse, Facebook est donc forcé de jouer la transparence. Le réseau fournit ainsi dans son dossier d'introduction de nombreuses statistiques éloquentes.
Le premier réseau social mondial compte 845 millions de membres actifs (qui se sont connectés au moins une fois au mois de décembre 2011). Cela représente une progression de 39% sur un an. D'autre part, 483 millions de membres se connectent chaque jour, un chiffre en hausse de 48% par rapport à 2010. Sur cette même période, 425 millions de membres se sont connectés à Facebook via des applications mobiles.
Sur le dernier trimestre 2011, les utilisateurs du réseau ont généré en moyenne 2,7 milliards de commentaires et de "j'aime" chaque jour. Ce sont aussi 250 millions de photos qui sont chargées quotidiennement sur le réseau. Au total, Facebook a permis de mettre en place plus de 100 milliards de relations entre ses membres.
(...)(02/02/2012 13:00:14)Grand Emprunt : dotation de 476 M€ pour deux IRT / 3e appel à projets pour l'embarqué
Dans le secteur du numérique, le Programme d'investissements d'avenir (Grand Emprunt) va accorder des dotations à deux instituts de recherche technologique (IRT) pour un montant total de 467 millions d'euros, dont plus des trois quarts en dotation non consommable et le reste en subvention. Le gouvernement vient d'annoncer la sélection de l'IRT SystemX de Saclay, dédié à l'ingénierie numérique des systèmes, et de B-COM, qui se consacre aux réseaux et aux contenus de l'Internet du futur. Les IRT sont des instituts thématiques interdisciplinaires qui réunissent les compétences de l'industrie et de la recherche publique dans une logique de co-investissement public-privé, avec pour finalité première le développement industriel ou de services. Ils viennent renforcer les écosystèmes des pôles de compétitivité. Six autres IRT avaient déjà été sélectionnés en mai 2011 dans d'autres domaines (aéronautique, nano-électronique, infectiologie...).
Des IRT situés sur à Saclay et à Rennes
Fondation de coopération scientifique, l'IRT SystemX va développer des briques technologiques pour piloter les systèmes complexes tels que les systèmes de traitement de données pour la sécurité, les réseaux multimodaux de transports et les réseaux intelligents d'énergie. Cela fait déjà plusieurs années qu'acteurs industriels et publics travaillent conjointement sur le plateau de Saclay, dans l'Essonne, dans le domaine des sciences et technologies de l'information et de la communication. Un montant de 336 M€ est attribué à cet IRT, composé de 290 M€ de dotation non consommable (*).
Situé en Bretagne, principalement à Rennes avec des sites à Brest et Lannion, l'institut de recherche technologique B-COM bénéficiera pour sa part de 131 M€ dont 100 M€ en dotation non consommable. La coopération scientifique s'applique ici à la convergence entre réseaux fixes et mobiles et aux contenus dans le cadre d'applications de réalité virtuelle ou augmentée qui pourront être mises en oeuvre dans le domaine de l'imagerie médicale ou de la télémédecine.
3e appel à projets sur le logiciel embarqué bientôt clos
Toujours dans le cadre du Grand Emprunt, mais dans un autre domaine, le troisième appel à projets sur les briques génériques du logiciel embarqué sera clos dans quatre semaines, le mercredi 29 février 2012 à midi. Le cahier des charges est disponible sur deux sites : investissement-avenir.gouvernement.fr et cdcinvestissementsdavenir.achatpublic.com.
Cet appel lancé par le ministre chargé de l'industrie, de l'énergie et de l'économie numérique, Eric Besson, et par René Ricol, commissaire général à l'investissement est financé par le Fonds national pour la société numérique (FSN). Il fait suite aux deux autres appels à projets autour du logiciel embarqué. Une première salve a retenu six projets de R&D en novembre dernier, bénéficiant d'un soutien public de 32 M€ pour un investissement R&D total de 72 M€.
Enfin, cette semaine, Eric Besson a également lancé avec Bruno Le Maire, ministre de l'Agriculture, et René Ricol, un appel à manifestations d'intérêt doté de 300 M€ de prêts aux opérateurs déployant un réseau à très haut débit hors des zones très denses. Pour en savoir plus : investissement-avenir.gouvernement.fr.
En janvier, un appel à projets avait par ailleurs été lancé dans le domaine des "Services numériques innovants pour l'e-éducation".
(*) Les sommes correspondant aux dotations non consommables ne sont pas dépensées, mais les IRT en touchent les intérêts au fil du temps pour leur fonctionnement.
(...)(02/02/2012 09:26:35)Un extranet social Open Source à L'Ecole Centrale de Paris
Fondée en 1829, lʼÉcole Centrale Paris forme des ingénieurs généralistes, dispose de laboratoires de recherche et contribue à la formation continue des cadres. Elle est fréquentée par 2 200 élèves (1 700 élèves ingénieurs, 360 mastères spécialisés, 140 masters recherche et 250 doctorants). Pour cela, elle dispose de 220 enseignants permanents et 1 000 vacataires. Par ailleurs, le réseau des différentes communautés de l'école (élèves, anciens élèves et enseignants sans oublier les partenaires industriels et les personnels non-enseignants) est traditionnellement très actif. Mais celui-ci nécessitait un outil moderne pour améliorer la collaboration et le partage en ayant recours à un outil en ligne adéquat.
L'école s'est donc lancée dans un projet d'extranet social avec trois mots d'ordre : fédérateur, communautaire et collaboratif. 5 000 utilisateurs potentiels sont concernés. Le coeur de l'outil est un système de partage documentaire destiné à faciliter les échanges au sein de groupes de travail autour de projets, notamment d'études et de recherche.
Fin 2010, l'école a choisi la solution Nuxeo Platform 5.5 en l'installant sous Debian Linux. Le projet a été lancé au premier trimestre 2011 et, après des phases de prototypages associant des élèves et des enseignants, est entré en production début 2012. Ce choix a été opéré à cause d'une part de la grande modularité de l'outil avec la possibilité d'y ajouter des gadgets développés par les étudiants de l'école d'autre part de sa licence Open Source. Le nombre d'utilisateurs va pouvoir varier sans incidence économique. Les fonctions réellement sociales de l'outil regroupées au sein d'un module « social collaboration » ont été développées en partenariat avec l'école. Ce co-développement -qui va se poursuivre- fait partie de la démarche voulue par l'école. (...)
HP France nomme Olivier Labbé à la tête de la division Technology Services
Le successeur de Jean-Paul Alibert, désormais DG de l'activité imagerie et impression, au poste de directeur de la division Technology Services de HP France a été nommé. Il s'agit d'Olivier Labbé. Celui-ci n'est pas un inconnu. Depuis mars 2011, il était directeur du business support de HP TS France.
Diplômé de l'école Centrale de Lyon, Olivier Labbé a travaillé pendant 17 ans chez IBM en tant que responsable Business et Delivery dans les services aux infrastructures. Il a rejoint en 2008 Cap Ingelec, entreprise d'ingénierie spécialisée dans l'efficacité énergétique, comme directeur général délégué.
(...)
Salon des entrepreneurs : quels créneaux pour le numérique ?
Dans le cadre du Salon des Entrepreneurs Paris 2012 qui se tient jusqu'au jeudi 2 février au Palais des Congrès (Porte Maillot), deux conférences abordent le domaine des technologies de l'information. « Révolution numérique & nouveaux business » se penchera jeudi à 11 h sur l'infiltration des usages web au quotidien et les applications qui peuvent se concrétiser en projets. Parmi les intervenants sont notamment annoncés Julien Codorniou, directeur des partenariats de Facebook en France, Axel Dauchez, directeur général de Deezer, ainsi que le fondateur de Seesmic.
Dans l'après-midi, le salon a programmé à 14 h une conférence intitulée « Innovez, devenez entrepreneur social ». Parallèlement se tiendra une session sur le financement d'une jeune entreprise. A 16 h 30, une conférence au titre évocateur , « Born global », portera sur la génération d'entrepreneurs qui se projette d'emblée à l'international et qui y réussit, avec notamment le président fondateur d'Emailvision, Nick Heys, ou encore la fondatrice de WebMediaGroup.
ITvite, solution de comptabilité en Open Source
L'espace d'exposition consacre son village 4 à l'économie numérique, ainsi qu'à l'équipement et à la gestion d'entreprise. Parmi les éditeurs de logiciels pour petites entreprises figurent notamment 8 Sens, Innomatix, Ciel, EBP, Evoliz, Oxatis (solutions de e-commerce) ou encore, Microsoft. La société Audaxis, intégrateur de l'ERP Compiere, y présentera ITvite, une solution de comptabilité en mode SaaS basée sur cette offre de gestion Open Source. Le salon accueille aussi des hébergeurs de sites web.
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