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(10/01/2012 16:05:58)
CES 2012 : Kinect et Windows Phone pour le dernier keynote de Microsoft
La technologie Kinect de Microsoft, qui permet à un utilisateur d'interagir avec sa machine par reconnaissance gestuelle, sera disponible pour les PC sous Windows dans quelques semaines, a indiqué hier Steve Ballmer, PDG du groupe de Redmond, lors de son intervention sur le Consumer Electronics Show de Las Vegas. Et dans cet environnement, la technologie Kinect débouchera sur des applications allant bien au-delà de l'univers du jeu, promet Steve Ballmer.
Il s'agissait de la dernière conférence plénière (keynote) donnée par Microsoft sur le CES, ainsi que l'éditeur l'avait annoncé en décembre. Steve Ballmer a rejoint sur scène l'acteur et animateur radio Ryan Seacrest qui orchestrait la présentation. En revanche, pas d'apparition surprise de Bill Gates pour cette dernière intervention, alors que certains s'y attendaient. Et pas vraiment de nouveautés importantes, ce qui fut d'ailleurs la raison invoquée par l'éditeur de Windows pour tirer sa révérence sur l'avant-scène du salon (plus de stand l'an prochain, plus de keynote, même s'il prévoit tout de même de participer à cette grand'messe des produits électroniques grand public).
L'éditeur a annoncé des partenariats, avec Fox, pour porter les séries télévisées Glee, Family Guy et Bones vers la Xbox, et avec Comcast, sur son service TV Xfinity. Des programmes qui arriveront cette année sur la console de jeu.
Le Windows Phone Lumia 900 pour le marché nord-américain
Parallèlement, de longues démonstrations ont été déroulées sur le prochain système d'exploitation Windows 8 et son interface Metro, ainsi que sur Windows Phone, mais en apportant finalement assez peu d'informations nouvelles. En fait, l'annonce la plus importante de Microsoft concernant le premier Windows Phone Lumia 900 avait été faite un peu plus tôt dans la journée par Steve Ballmer dans le cadre de l'événement AT&T. Ce premier Windows Phone 4G (LTE) est destiné au marché nord-américain : un écran Amoled 4,3 pouces, un appareil photo à optique Zeiss, une caméra frontale pour les vidéoconférences, un boîtier en polycarbonate.
Une responsable de Windows a montré une version du jeu « Cut the Rope » développé en HTML 5 pour Internet Explorer 9. Elle a également présenté une fonctionnalité de mot de passe pour Windows 8 qui permettra aux utilisateurs de débloquer leurs PC en cliquant sur différentes parties d'une photo dans le bon ordre, plutôt que de saisir le mot de passe au clavier. Une version bêta de Windows 8 sera disponible fin février et, dans le même temps, la boutique Windows 8 ouvrira en proposant une sélection d'applications gratuite, a-t-elle également indiqué. Les entreprises pourront également diffuser des applications à leurs collaborateurs à travers cette boutique.
18 millions de capteurs Kinect depuis son lancement
Au cours de show de 90 minutes animé par Ryan Seacrest, peu avare de gentillesses à l'égard de Microsoft, il y eut étonnamment peu d'évocations de souvenirs liés aux keynotes réalisés au fil des années par Microsoft sur le CES. Mis à part une vidéo rappelant quelques moments mémorables où apparaissaient Steve Ballmer et Bill Gates. Microsoft a pourtant orchestré 15 des 18 derniers keynotes du CES, en commençant par celui que Bill Gates a animé en 1995, l'année où Yahoo s'est créé et juste avant que le web ne connaisse l'adoption généralisée qui fut la sienne. Le mois dernier, le groupe de Redmond avait expliqué que sa présence ne serait plus aussi importante sur le CES parce que l'événement ne correspondait pas au calendrier de lancement de ses produits.
Jusqu'à présent, la technologie Kinect n'était proposée que pour la console de jeu Xbox, permettant aux utilisateurs de contrôler ce qui se déroulait sur l'écran en actionnant leurs bras et leurs jambes. Microsoft a vendu 18 millions de capteurs Kinect depuis le lancement de sa technologie il y a un peu plus d'un an, a indiqué Steve Ballmer à l'audience rassemblée à l'hôtel Venetian.
Kinect pour PC annoncé pour le 1er février par Amazon
Microsoft travaille par ailleurs avec 200 entreprises pour développer des applications Kinect pour les PC, a-t-il poursuivi. Cela permettra d'exploiter la reconnaissance des gestes dans d'autres domaines que le jeu, même si la vidéo présentée se limitait au contrôle de robot, à l'utilisation d'instruments de musique et à des exercices physiques.
En fait, le capteur Kinect pour Windows est proposé en précommande sur la boutique en ligne d'Amazon, au prix de 250 dollars [soit deux fois plus cher que la version Xbox 360]. Il sera disponible le 1er février, selon le site. Selon Steve Ballmer, de la même façon que la Kinect a révolutionné le jeu, elle agira de même sur d'autres industries tels que les loisirs, la santé et davantage.
Microsoft utilise aussi Kinect pour apporter la télévision interactive à la Xbox. Il donne en exemple son contrat avec Sesame Street, qui développera des programmes permettant aux enfants d'interagir avec les personnages de l'émission TV.
Juniper révise à la baisse ses résultats du 4ème trimestre 2011
Juniper s'attend à ce que les résultats de son quatrième fiscal 2011, clos le 31 décembre, soit en dessous des prévisions données le 24 octobre 2011. Le chiffre d'affaires est compris entre 1,11 et 1,12 milliard de dollars contre 1,16 et 1,22 milliard de dollars dans les estimations précédentes. Le bénéfice par action est aussi revu à la baisse avec une fourchette comprise entre 0,26 et 0,28 dollar par action contre une prévision de 0,32 à 0,36 dollar par action. La marge opérationnelle est également révisée à la baisse de 21 à 23%.
L'avertissement sur résultats est principalement dû à une faible demande en routeurs par les opérateurs, notamment américains précise Juniper. « 2011 sera une année record en matière de recettes pour Juniper, même si nos revenus au quatrième trimestre ont été plus faibles que prévus » rassure Kevin Johnson PDG de Juniper dans un communiqué.
Les analystes prévoyants
Les analystes s'attendaient à des turbulences en provenance des opérateurs au 4ème trimestre. Ils pensent que la demande a impacté 3 produits de Juniper : le routeur T4000, le système de transport optique PTX et l'équipement de coeur de réseau MobileNext à destination des opérateurs mobiles. Les fournisseurs de services ont décalé leurs achats pour évaluer les différents équipements et les intégrer au deuxième semestre 2012.
La société publiera ses résultats financiers pour le 4e trimestre le 26 janvier prochain.
Avec un forfait à 20 euros, Free fait une entrée fracassante sur le marché mobile
La conférence de presse de Xavier Niels, PDG et fondateur d'Iliad (la maison mère de Free et Free Mobile), a commencé de manière tonitruante avec un faux documentaire truffé d'allusion à Martin Bouygues et aux autres concurrents. Une fois sur scène, M. Niel a attaqué bille en tête avec un « ils nous font bien marrer [les opérateurs], vous êtes tous des pigeons. Pas moi puisque je suis déjà passé chez Free Mobile ». Après avoir détaillé les blocages, les tarifs et les conditions imposés par les 3 opérateurs français à leurs clients, le dynamique PDG au langage fleuri a détaillé les forfaits tant attendus à la manière de Steve Jobs et de son célèbre « one more thing ».
Principale annonce, un forfait à 20 euros (19,99 euros exactement) tout compris et sans engagement. C'est à dire voix illimitée en Europe et aux États-Unis (40 destinations), 3 Go de data (le fameux fair use limité à 1 Go chez les concurrents) sans services bloqués (partage de connexion, peer-to-peer...) et SMS/MMS illimités. Pour les tarifs de roaming voix et data à l'étranger, l'opérateur casse également les prix : 0,5 centime la minute aux USA, Japon et Australie par exemple. Et fort de son réseau de hotspots qui repose sur les freebox des abonnés, Xavier Niel une connexion automatique aux bornes WiFi depuis son terminal mobile. Une offre spéciale est réservée aux abonnés Freebox : 16 euros par mois. La gestion de plusieurs forfaits dans une famille sera possible dans l'interface Freebox. Pour la délicate question des mobiles, Free ne proposer pas de terminaux subventionnés comme le font habituellement les opérateurs, mais proposera un paiement étalé sur 12, 24 ou 36 mois sans frais. Des accords spéciaux ont été passés avec Apple et Samsung pour proposer l'iPhone 4S 8Go et 16 Go (à partir du 27 janvier) et le Galaxy S II à 1 euro à la commande. Les mensualités seront ensuite calculées en fonction de la durée de remboursement. Et chez Free, tous les terminaux seront livrés désimlockés. Un point pas vraiment dans les habitudes des opérateurs français.
Second et dernier forfait : 2 € par mois
Second et dernier forfait à 2 euros pas mois avec 60 minutes de voix et 60 SMS par mois pour « les petits utilisateurs et les revenus modestes ». Le dirigeant rappelle avec gourmandise que le forfait mobile RSA, forfait « Racket Super Arnaque » selon Xavier Niel, est aujourd'hui à 10 euros par mois avec 40 minutes de voix et 40 SMS : « une offre conçue par l'oligopole qui s'est entendu avec l'Etat ». Les dépassements de forfait seront facturés 0,05 centime la minute voix et 0,01 centime le SMS supplémentaire. Dernière cerise sur le gâteau, ce forfait est gratuit pour les abonnés Freebox !
Suite à un buzz savamment orchestré sur Internet, on attendait de connaître les forfaits d'un Xavier Niel qui promettait de diviser par deux la facture mobile. Force est de constater que la promesse initiale a bien été tenue : Free Mobile réussit une entrée fracassante sur le marché de la téléphonie mobile. Comme hier pour l'accès Internet par l'ADSL, les concurrents vont être obligés de revoir leurs prix, leurs prestations et surtout leurs conditions de vente. L'époque des engagements verrouillés sur 12, 24 ou 36 mois avec des terminaux simlockés et logotypés a vécu.
Les concurrents vont devoir réagir
Free Mobile reste toutefois prudent. Ces offres de lancement seront réservées aux 3 premiers millions d'abonnés a indiqué M. Niel. « Nous testons le marché et nous ajusterons notre offre ensuite ». Et avec ses deux forfaits, Free Mobile ne cherche pas encore à chasser sur des niches comme les abonnements pour les utilisateurs de tablette. Il couvre toutefois l'essentiel du marché avec des tarifs vraiment serrés. Les souscriptions à ces services sont possibles sur www.mobile.free.fr (le site est déjà saturé) et dans les boutiques Free Mobile. On attend avec impatience la réaction des 3 opérateurs concurrents et des innombrables MVNO qui avaient multiplié les offres low cost pour préparer l'arrivée de Free Mobile. L'atterrissage a été très brutal pour certains concurrents ce matin. On attend aujourd'hui avec impatience les ripostes des concurrents qui doivent faire chauffer Excel. Les offres vont se multiplier pour le plus grand bénéfices des consommateurs même si les opérateurs vont ressortir l'habituel argument sur la qualité. Mais qui est aujourd'hui prêt à payer son forfait téléphonique deux fois plus cher pour bénéficier de moins de services ?
(...)(10/01/2012 10:32:50)La CCI de Lyon bascule son anti-spam MailInBlack en outil de communication
La Chambre de Commerce et d'Industrie (CCI) de Lyon accompagne environ 69 500 entreprises en les représentants auprès des pouvoirs publics, en les aidant de leur création à leur développement et en participant à l'aménagement du territoire en infrastructures (comme l'aéroport). La CCI gère de ce fait énormément de contacts avec une politique visant à favoriser au maximum l'e-mail. Elle est ainsi en contact chaque mois avec 6 000 nouveaux correspondants. L'organisme consulaire souhaitait optimiser sa communication avec ceux-ci.
Depuis cinq ans, la CCI utilisait l'outil anti-spam de MailInBlack. Elle a récemment opté pour une autre version, MailInBlack Accueil Numérique.
Désormais, la vérification anti-spam est valorisée du point de vue de la communication grâce à une forte personnalisation des messages. L'idée peut sembler simple mais elle n'avait jamais été appliquée à notre connaissance.
Pour vérifier que le correspondant n'est pas un robot spammeur, l'outil classique demande la validation d'un captcha numérique dans une fenêtre web aux couleurs de l'outil. La version Accueil Numérique est d'une part aux couleurs de la CCI et d'autre part remplace le captcha numérique par un mot à saisir issu d'un nuage composé des valeurs de l'organisme consulaire. Le message parasite du captcha est ainsi transformé en un message de communication valorisant pour l'organisme.
La deuxième étape est l'envoi d'un message à l'expéditeur signalant, une fois le captcha saisi, que son courrier initial a bien été transmis à son correspondant au sein de la CCI. Là encore, ce message technique était juste informatif et aux couleurs de l'outil. La version Accueil Numérique transforme ce message sans valeur intrinsèque en un message porteur de sens reprenant une fiche avec les coordonnées complètes du correspondant que l'on tente de joindre et des liens vers différentes pages web de la CCI que celle-ci souhaitait mettre en avant pour chaque nouveau correspondant.
Le coût du projet n'a pas été dévoilé.
Free Mobile atomise les prix des forfaits mobiles
En son temps, Bouygues Telecom avait bouleversé la téléphonie mobile en lançant les forfaits, Free Mobile aujourd'hui a décidé d'atomiser le prix de ces forfaits. Xavier Niel, fondateur d'Iliad, a présenté ses offres qui promettent de sortir du carcan des autres opérateurs. On distinguera deux offres, la première comprend les appels illimités (France, DOM et 40 destinations), SMS et MMS illimité, 3 Go de data pour 20 euros par mois. Les abonnés de Free auront une ristourne et ne paieront que 16 euros par mois. A noter que ce forfait est sans engagement.
Un autre forfait qui a été présenté par Xavier Niel vient battre en brèche l'offre RSA 10 euros pour 40 mn d'appel et 40 SMS. Free Mobile propose 1h d'appel et 60 SMS pour 2 euros par mois sans engagement. Ce sera gratuit pour les abonnés de Free. Le SMS hors forfait est à 0,01 €.
Free Mobile a indiqué que les offres, disponibles aujourd'hui, seraient réservées aux 3 premiers millions d'abonnés. Elles sont accessibles sur le site Internet mobile.free.fr
Nous reviendrons dans un prochain article sur ces différentes annonces de Free Mobile : « Avec un forfait à 20 euros, Free fait une entrée fracassante sur le marché mobile »
Tecnoware, spécialiste des onduleurs, arrive en France
Après avoir développé la commercialisation de ses onduleurs en Allemagne et au Royaume-Uni, l'italien Tecnoware s'attaque aujourd'hui au marché français. Suivant le proverbe italien Chi va piano va sano (e lontano), l'entreprise qui affiche un chiffre d'affaires de 30 M€ a prudemment choisi de recruter des agents commerciaux plutôt que d'ouvrir d'emblée une filiale. Pour mettre en musique sa stratégie dans l'Hexagone, elle fait appel à Gilbert Froment, qui agit comme représentant exclusif de la marque en France bien qu'il ait lui aussi un statut d'agent.
L'homme est loin d'être un nouveau venu sur le marché des onduleurs. Directeur commercial du constructeur Market Power de 1995 à 2000, il fut ensuite le directeur général d'Ascom Energy Systems puis celui de Riello France avant d'arriver à l'âge de la retraite. Mais, « J'ai été contacté par Tecnoware pour implanter la marque en France, explique-t-il. Ce nouveau challenge m'a séduit. »
Une concurrence nombreuse à affronter
Plus précisément, le défit en question va consister à développer les ventes des deux gammes de produits du constructeur transalpin. Ce dernier propose une famille d'onduleurs de 0 à 100 kVA et une autre ligne de 500 VA à 3,2 kVA. Toutefois, les choses ne vont pas être faciles, car Tecnoware va devoir affronter une concurrence nombreuse. Elle composée des leaders du secteur que sont APC et MGE et d'un bon nombre de fabricants plus petits que sont par exemple Eaton, Emerson, Riello ou encore Socomec. Mais Gilbert Froment à des arguments à faire valoir : « Contrairement à certains de ces fabricants, nous ne ferons que de la vente indirecte. En outre, nous avons une liste de prix bien déterminée qui assure à nos partenaire d'être tous traités à la même enseigne pour un volume d'achat équivalent. » Des prix qui, à en croire ce dernier, seraient assez agressifs, en tous cas inférieurs à ceux pratiqués par APC et MGE.
Reste maintenant à construire le réseau de distribution de Tecnoware en France qui est pour le moment inexistant. Dans cette optique, 1200 revendeurs français ont d'ores et déjà été prospectés par l'entreprise par e-mail. Dans le courant du mois de janvier et de février prochain, Gilbert Froment doit en outre rencontrer des grossistes dans le but de signer un ou plusieurs accords de distribution. A termes, deux autres agents commerciaux devraient venir lui prêter main forte, l'un basé dans le Sud-Est de la France, l'autre dans le Sud-Ouest. Pour sa première année de présence dans l'Hexagone, les objectifs de la Tecnoware sont modestes. Le fabricant ne vise qu'un chiffre d'affaires de 700 K€.
(...)
Cegid repense ses agences pour les salariés et les clients
Cegid tient beaucoup à sa culture, son image et à son ancrage lyonnais. Dans le monde très bousculé de l'IT, l'éditeur parie sur sa pérennité et la longévité de ses collaborateurs. Mais chasser le turn over est tout un art. Le groupe a donc engagé depuis deux ans une réflexion sur le sujet et adopté, en comité de direction, un plan stratégique. Il porte le joli nom de « Kiffe ta boîte », choisi par les salariés.
La méthodologie est très particulière. Un questionnaire a d'abord été envoyé aux 1 800 collaborateurs. Géré par une société externe, il a permis de faire un premier point sur les aspirations des salariés de Cegid . Une dizaine d'entre eux ont ensuite « planché » pendant quatre mois sur le questionnaire et le projet d'entreprise, passant en revue l'état des locaux, les temps de transport, les besoins particuliers, bref tout ce qui entre dans la notion de bien être au travail.
Les locaux sont profondément repensés
Le projet court sur plusieurs années et porte sur plusieurs millions d'euros (le chiffre exact reste confidentiel). Les 46 agences du groupe vont être repensées. Nantes et New York ont donné le coup d'envoi. Au delà du changement de couleur, les locaux sont profondément repensés, le mobilier de bureau est changé et réparti en open space. Les espaces de restauration et de pause sont revus (avec des box pour s'isoler), de même que les salles de réunions pour l'accueil des clients ou l'interne. Le graphisme et les couleurs accompagnent le tout et soulignent les choix effectués.
Des points très particuliers sont travaillés. Comme l'acoustique du service support pour les clients ou la nouvelle salle modulaire, les deux situés au siège et destinés à l'accueil des clients. La luminosité des espaces de travail a été repensée. Tout est conçu dans un double objectif, le bien être des collaborateurs et le meilleur accueil des clients. D'autres entreprises IT ont mené de telles démarchés, mais pour leur siège, peu d'entre elles disposent d'autant d'agences et les englobent dans des démarchés semblables. Ce n'est pas un projet RH isolé, il entre dans un projet global de l'entreprise Cegid pour rendre plus cohérente son évolution et faire adhérer collaborateurs et clients.
(...)
Spie Communications décline trois offres d'infogérance en PME
Pour adapter ses services d'infogérance aux demandes des PME et à la taille de leur parc, Spie Communications a monté une offre de prestations en trois volets. Baptisée Evolution, elle fait suite à l'offre Corteo proposée depuis quelques années par la SSII. Elle comprend deux services packagés, Evol'Duo et Evol'Proxim, plutôt destinés aux entreprises ayant moins de cent postes de travail, et un service sur mesure, pour des parcs plus importants. « Certaines PME gérant un parc inférieur à cent postes peuvent néanmoins être intéressées par l'offre sur mesure », pointe Sylvie Marchaland, responsable d'offres services chez Spie Communications.
Principalement constituée de prestations réalisées à distance, Evol'Duo comporte un helpdesk (le Point de contact service), qui apporte aux utilisateurs une assistance téléphonique sur une plage horaire standard, associé à des services d'exploitation déportés (sauvegarde des données, activations des connexions réseaux, etc.). Ces derniers englobent l'ensemble du périmètre de l'infrastructure du client, ce qui couvre non seulement l'informatique, la sécurité et le réseau, mais également les télécommunications. Evol'Duo se complète d'une assistance sur site réalisée ponctuellement, suivant les besoins de la PME (par exemple, lors d'un déménagement qui nécessite de reconfigurer les environnements de travail). Cette offre inclut également une brique de conseil, « Progrès et soutien », qui recouvre la prestation d'initialisation du projet, destinée à cadrer le périmètre d'intervention de Spie Communications, ainsi qu'une phase de suivi qui conduira à dégager avec le client des axes d'amélioration du service. Le tarif de l'offre Evol'Duo démarre à 25 euros HT par mois et par utilisateur.
Un service d'exploitation réalisé in situ
L'offre Evol'Proxim s'adresse à des entreprises qui souhaitent que les prestations d'infogérance s'effectuent dans l'entreprise. Comme la précédente, elle inclut la brique helpdesk « Point de contact service » et la brique de conseil et suivi « Progrès et soutien ». En revanche, cette fois, les prestations d'exploitation sont réalisées sur site. Pour cette formule, il est plus difficile pour Spie Communications de communiquer un tarif d'entrée standard. Quoi qu'il en soit, Evol'Duo et Evol'Proxim sont deux offres packagées dont le prix varie suivant le nombre de postes de travail gérés dans l'entreprise.
Avec la troisième offre, Evol'Sur mesure, « la prestation est dimensionnée en fonction des besoins du client », indique Sylvie Marchaland. Les services de proximité sont proposés par la SSII sous forme de demi-journées. Sur les deux premières offres, un certain nombre de demi-journées sera déterminé en fonction du nombre de postes de travail de la PME. Sur la troisième, ces interventions sont évaluées de façon plus ajustée et le Point de contact service est accessible sur une plage horaire plus étendue.
« Evol'Sur mesure » comporte également un service supplémentaire de supervision présenté par Spie Communications comme une offre de gestion complète du système d'information. « Nous anticipons les dysfonctionnements sur l'infrastructure du client », explique Sylvie Marchaland. Dès qu'une alarme est remontée, la SSII vérifie sa pertinence, puis l'identifie pour y remédier. « Dans ce cadre, nous intervenons sur trois types de plages horaires : normale, étendue, 24/24 », précise la responsable d'offres.
Le directeur marketing de Windows Server et Tools quitte Microsoft
Selon nos confrères de The Register, une simple phrase dans la biographie de Robert Wahbe sur le site de Microsoft indique son départ au mois de février 2012. Il était vice-président en charge du marketing des offres Windows Server et Tools. Cette activité s'occupe de la commercialisation de plusieurs produits comme SQL Server, Visual Studio, System Center et Forefront, mais aussi l'aspect cloud avec Windows Azure. Elle représente un chiffre d'affaires de 15 milliards de dollars.
Robert Wahbe a passé 16 ans chez Microsoft. Il reportait directement à Satya Nadella, qui a été nommé en février 2011 à la tête de l'activité Windows Server et Tools, après le départ de Bob Muglia à ce poste. Cette annonce intervient selon le site anglais, alors que Satya Nadella doit annoncer la semaine prochaine les orientations de System Center 2012 notamment comme composant de création de clouds privés.
(...)(09/01/2012 12:15:34)L'éditeur de Linux Mandriva de nouveau en difficulté
La version 2011 de la distribution Linux Mandriva n'est officiellement disponible que depuis quelques mois. Mais la menace d'une faillite semble se profiler pour la société française qui l'édite et ses salariés s'inquiètent pour leur avenir. Le 26 décembre dernier, l'actuel PDG de Mandriva, Dominique Loucougain, nommé à ce poste en juillet 2011, a adressé aux actionnaires une lettre dans laquelle il informe qu'aucune des propositions de recapitalisation de la société ayant été présentées n'a été acceptée.
L'un des actionnaires, LinLux Sarl, détenant 42% de parts, a voté contre chacun d'elles, explique-t-il dans cette lettre publiée vendredi dernier sur le forum de Mandriva. Un autre actionnaire, Townarea Trading & Investments, avait pourtant proposé de supporter seul l'injection de 4 millions d'euros dans la société. Or, écrit encore Dominique Loucougain, une recapitalisation est indispensable. Sans solution de financement pérenne avant le 16 janvier 2012 à midi, le PDG indique qu'il devra mettre la société en faillite.
Sur le forum a également été postée la lettre que certains salariés de Mandriva ont adressée au tribunal de commerce. Ils s'y déclarent « très étonnés » de voir leurs emplois menacés en raison de cette situation bloquée.
Mandriva Linux a été lancé en 1998 sous le nom de Mandrake Linux. Son distributeur, alors dénommé MandrakeSoft, a rencontré des problèmes financiers similaires. En 2010, l'éditeur français Wallix a notamment cherché à l'aider. Mandriva a longtemps figuré dans le Top 10 des distributions Linux établi par le site DistroWatch où il occupe maintenant la 12e place.
Les difficultés de Mandriva ont suscité en septembre 2010 la création d'un projet communautaire séparé, Mageia, mené par d'anciens salariés de la société et des contributeurs de la distribution. Mageia est actuellement 10e au classement DistroWatch.
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