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(09/01/2012 10:58:05)
Atos acquiert le groupe MSL, spécialiste de l'informatique des évènements sportifs
Atos a annoncé l'acquisition d'une participation de 50% dans MSL, fournisseur de résultats en temps réel et de systèmes d'information pour les grands évènements sportifs. Le groupe espagnol a affiché un chiffre d'affaires annuel de 15 millions d'euros, mais le montant de la transaction n'a pas été publié. Elle doit être finalisée avant le 31 mars 2012. Le contrat prévoit par ailleurs une option pour qu'Atos puisse détenir la totalité des actions. Le groupe MSL et la filiale Atos Major Events se connaissent depuis longtemps avec un partenariat qui a débuté en 1992 pour les Jeux Olympiques de Barcelone. Les deux entités disposent d'un portefeuille riche, tournois internationaux de tennis, jeux régionaux, Jeux Olympique, etc. Par ce rapprochement, 500 ingénieurs spécialisés de MSL vont intégrer les équipes d'Atos pour proposer lors de grandes manifestations sportives jusqu'à 5 000 experts. Ils pourront fournir une gamme de services informatiques, allant de l'intégration de systèmes à la gestion des performances de distribution auprès des médias internationaux.
(...)(09/01/2012 09:42:33)HP simplifie ses certifications réseaux pour concurrencer Cisco
Suite au rachat de 3 Com à la fin 2009, HP a hérité d'un programme de certification quelque peu complexe pour les revendeurs de sa gamme de produits réseaux. Afin de simplifier le dispositif, sa division Networking fait passer de 9 à 3 le nombre certifications ouvertes à ses Partenaires Privilèges. Intégré dans le programme partenaire PartnerOne, « elles ont pour objectif de tirer profit de la capillarité de notre réseau de distribution en le faisant monter en compétences pour qu'il soit capable de bien couvrir les besoins des PME, des entreprises de taille moyenne et des grands comptes », explique Jérôme Jacquot, le responsable partenaire de la division Réseaux de HP France.
Baptisé Registered Networking Specialization (RNS), le niveau de base des nouvelles certifications s'adresse aux Partenaires Privilège qui souhaitent se concentrer sur la revente de solutions aux PME. Ils peuvent acquérir plus de compétences dans le domaine des réseaux en optant pour la certification Professional Networking Solutions (PNS). Ils devront alors être en mesure de commercialiser, mettre en oeuvre, administrer et supporter des solutions d'infrastructure filaires et sans fil. Au-delà, leur choix devra se porter sur le niveau Advanced Networking Specialization (ANS) pour fournir des solutions complexes pour les réseaux et les centres de calcul. A terme, HP espère disposer de 30 revendeurs certifiés PNS et d'une dizaine de revendeurs labellisés ANS, soit 10 partenaires de plus que ceux qu'il certifiait dans le cadre de son précédent dispositif de certification. Les revendeurs ARS devraient quant à eux passer à 100 contre les 65 dont HP Networking disposait jusqu'ici à compétences équivalentes.
Des conditions d'accès en partie allégées
« Nous n'avons simplifié que les conditions d'accès [Ndlr : notamment au niveau des collaborateurs certifiés HP salariés par un partenaire] aux certifications RNS et PNS mais pas celles qui conditionnent l'obtention du label ANS», précise Jérôme Jacquot. En termes de chiffre d'affaires, les partenaires RNS devront revendre pour 30 K€ par an de produits Réseaux HP, contre 400 K€ pour les PNS et 2,5 M€ pour les ANS. « Chez HP, les revenus que doivent réaliser nos partenaires sont moins importants que chez Cisco, mais pas les pré-requis techniques que nous leur demandons, estime Eric Darrou, le directeur des ventes channel et PME de HP France. Nous ne voulons pas réserver le business à un nombre de très gros partenaires au détriment des autres. »
Dans la guerre qu'il mène à Cisco dans le domaine des réseaux, HP n'hésite plus à pointer clairement du doigt son concurrent. D'ailleurs, la compétition qui oppose les deux entreprises se joue désormais également au niveau des certifications techniques des individus. « Nous voulons donner à la certification HP la même valeur que celle dont jouit la certification Cisco », explique Eric Darrou. L'objectif est ambitieux. Pour y parvenir en France, le constructeur cherche à nouer des partenariats avec des centres de formations tels que Global Knowledge avec qui il discute. Dans l'Hexagone, seul HP lui-même délivre les formations certifiantes autour de ses gammes de produits.
Recap IT : Analyses de données très demandées, Free Mobile patiente, Jubilé sécuritaire
Il est d'usage en ce début d'années de prendre des bonnes résolutions, de se tourner vers les technologies de demain. La rédaction a donc recensé 22 outils gratuits pour analyser vos données, à l'heure où la fondation Apache publie après 7 ans de travaux la version finale de Hadoop 1.0. Cette problématique d'analyse des informations va être un sujet important sur le plan du recrutement en se trouvant en bonne position dans les 6 métiers informatiques les plus en vue. Toujours sur l'emploi, les SSII soufflent un petit peu avec l'assouplissement de la circulaire concernant le travail des étudiants étrangers.
L'actualité économique est restée assez calme, avec le rachat de Green Hat, spécialiste de logiciel de test, par IBM. Google a continué d'étoffer son portefeuille de brevets auprès de Big Blue. Yahoo a nommé enfin son PDG, Scott Thompson, ancien patron de Paypal. Le prix des tablettes concurrentes de l'iPad n'en finit pas de tomber, Sony a baissé de 90 euros la sienne, alors que RIM brade au même prix de 150 euros sa Playbook quel que soit la capacité (16, 32 et 64 Go). Enfin, comment ne pas finir sur le buzz de Free Mobile que certains attendaient cette semaine et qui aux dernières rumeurs ne seraient présentées que le jeudi 12 janvier 2012.
La sécurité continue de monopoliser l'actualité en ce début 2012. Les hackers ont la folie des grandeurs en souhaitant la création d'un réseau de satellites pour éviter la censure. La Biélorussie bloque l'accès aux sites étrangers. On entend de nouveau parler de Stuxnet et Duqu qui pourrait n'être que des arbres qui cachent la forêt. Un réseau social de militants associatifs Care 2 a été piraté et a été obligé de réinitialiser 18 millions de mots de passe. Facebook n'est pas épargné avec un ver qui a volé 45 000 identifiants en France et en Grande-Bretagne. Le site de Mark Zuckerberg a plus tôt dans la semaine lancé la 3ème édition de la Hacker Cup. Symantec a eu quelques frayeurs après qu'un groupe de pirates indiens aient subtilisé le code source de Norton Antivirus. Selon l'éditeur, il s'agirait d'une partie du code source de deux anciennes versions d'antivirus pour les entreprises. Microsoft a évoqué son prochain Patch Tuesday qui comprend un record de mises à jour et une nouvelle qualification pour les menaces. Terminons par le jailbreak de l'iPhone 4S et l'iPad 2, il semble que le pirate français Pod2g ait résolu les derniers problèmes, il a indiqué sur son compte twitter qu'une solution stable serait disponible d'ici une semaine.
Des interfaces plus élaborées avec Netbeans 7.1, souligne Oracle
Oracle a livré hier la version 7.1 de l'environnement intégré NetBeans pour le développement d'applications web et mobiles en Java, en PHP et en C/C++. L'IDE supporte désormais entièrement JavaFX 2.0 et le JDK7, ainsi que la version 12c du serveur d'application WebLogic, compatible Java EE6, annoncée début décembre.
Oracle s'est concentré sur la mise à jour des outils et bibliothèques permettant de bâtir des interfaces utilisateurs plus élaborées, ainsi que l'a souligné le vice président Bill Pataky, responsable de la gestion de produits chez Oracle. « Il y a de nombreuses nouveautés réparties à travers l'IDE, mais l'essentiel de l'effort a porté sur l'amélioration des interfaces, à la fois sur le desktop et sur le client web ». Ainsi, pour le poste de travail, outre le support de JavaFX utilisé pour les applications RIA, NetBeans 7.1 a mis à jour le logiciel Matisse editor qui utilise maintenant la dernière version de la bibliothèque Java Swing pour concevoir des interfaces. L'IDE comprend aussi un debugger visuel pour Swing et JavaFX qui, selon Bill Pataky, améliore sensiblement l'identification de problèmes difficiles à repérer dans le code des applications pour desktop.
Du côté des clients web, l'environnement a étendu son support des bibliothèques JSF (Java Server Faces) et tire parti de la version 3 de CSS (cascading style sheets). Les développeurs web pourront accéder à des fonctions utilisées depuis longtemps pour les applications desktop (code completion, coloration de la syntaxe).
Intégration avec Git
NetBeans est l'une des nombreuses technologies acquises par Oracle lors de son rachat de Sun Microsystems début 2010. L'éditeur a continué à proposer le logiciel gratuitement et à publier le code source. C'est, avec Eclipse, IntelliJ de JetBrain et le propre JDeveloper d'Oracle, l'un des environnements principaux de développement écrits pour Java et pour d'autres langages basés sur JVM, la machine virtuelle Java. Il s'utilise sur Solaris, sur différentes distributions Linux, sur Windows et Mac OS.
Parmi les autres nouveautés figure l'intégration avec le système de contrôle de versions Git, qui permet à plusieurs développeurs de travailler sur le même programme à la fois. On peut voir les précédentes versions d'un programme à l'aide d'une interface à onglets. Le logiciel accepte aussi la gestion des branches avec Mercurial, pointe Bill Pataky, les versions expérimentales d'un programme pouvant être créées et supprimées si elles ne fonctionnent pas. Le débogage PHP a également été amélioré.
Nuage, une alternative cloud au projet Andromède
Dans l'appel d'offres relatif au cloud computing au sein du Grand Emprunt, le projet Nuage décide de sortir de l'ombre et de communiquer. Il est composé de 7 PME : Celeste, FAI et concepteur de datacenter ; Non Stop Systems, SSII spécialisée en solutions d'infrastructures sécurisées ; Oodrive éditeur de solutions professionnelles de sauvegarde et de partage de fichiers en ligne ; DotRiver qui propose des solutions de virtualisation et de centralisation de poste de travail ; Network Consulting, hébergeur ; New Generation SR, conseil en responsabilité sociale des entreprises.Deux équipes des projets REGAL (répartition et gestion des applications à large échelle) et PHARE (sur les futurs générations des réseaux télécoms) du laboratoire LIP6 de l'université Pierre et Marie Curie.
Selon Nicolas Aubé, PDG de Celeste, « l'idée est de créer le cloud computing de demain : ouvert à des composantes matérielles et logicielles externes, réparti sur un maillage régional français, et hébergé dans des datacenters écologiques, faiblement consommateurs d'énergie ». Le groupe souligne aussi l'importance de la localisation des données sur le territoire français.
Open Source et datacenter pilote
Concrètement, il s'agit d'un projet de R&D qui doit durer deux ans avec une forte connotation Open Source, pour trouver des solutions alternatives à celles existantes. Pendant cette durée, un datacenter pilote va être créé pour proposer des offres clouds. Nicolas Aubé indique « nous souhaitons travailler sur des datacenters évolutifs avec des modules verticaux optimisant mieux la consommation d'énergie. Les entreprises pourront s'interconnecter pour chercher des ressources ou des services ». Sur la partie du matériel utilisé, le dirigeant que rien n'a été encore choisi, mais il souhaite que les solutions proposées par Nuage soit compatible avec le plus grand nombre de constructeurs.
Sur le plan du financement, un investissement de 10 millions d'euros est prévu (5 en subventions de la part du FNSN de la Caisse de Dépôts et 5 de la part des membres du consortium). Nicolas Aubé rappelle que cela va créer 50 emplois, principalement des ingénieurs. Au terme des 2 ans, Celeste va investir 5 millions d'euros pour la commercialisation des résultats de Nuage. Ce dernier est un concurrent direct d'Andromède en proie à quelques difficultés de financement après le départ de Dassault Systèmes.
Des subventions pour les PME des TIC en Ile-de-France
Les PME franciliennes du secteur des technologies de l'information et de la communication peuvent adresser jusqu'au 25 janvier à la région Ile-de-France un dossier de candidature dans le cadre de l'appel à projets PM'up 2012 qui s'est ouvert le 6 décembre dernier. Outre les TIC, l'appel en cours concerne quatre autres secteurs : les éco-activités et enjeux énergétiques, la santé et les sciences de la vie, le transport et la mobilité durable, enfin, la création, la culture et les loisirs. Pour la première fois, un deuxième appel à projets sera lancé en juin pour la création numérique, les hautes technologies, les besoins sociétaux et la performance industrielle et l'environnement.
PM'up peut accorder jusqu'à 250 000 euros aux entreprises éligibles lorsqu'elles sont engagées dans d'importants efforts d'investissement. Mais, en moyenne, la subvention accordée aux dossiers de candidature retenus s'élève à 135 000 euros. Avec ce programme, la région Ile-de-France explique vouloir aider les PME locales ayant un fort potentiel de croissance à atteindre une taille critique pour exporter et, à terme, à créer des emplois sur le territoire francilien. D'ici 2015, son objectif est d'aider 500 entreprises à dépasser les 50 salariés. En retour, les PME soutenues doivent engager, au minimum, trois actions pour améliorer leurs pratiques dans les domaines de l'insertion et de l'emploi, de l'environnement, de la vie du territoire et du tissu économique.
187 000 euros pour Kobojo sur 3 ans
En 2008, parmi les bénéficiaires du programme de subvention figuraient des sociétés telles que Moviken (solutions web et mobiles pour les voyageurs) et KTM Advance (e-learning et serious game). En 2011, PM'up a retenu la société Kobojo (création de jeux gratuits pour les réseaux sociaux). La subvention prévue sur trois ans pour Kobojo s'élève à 187 250 euros. Elle viendra appuyer la création de nouveaux jeux et d'applications sur smartphones (*).
Pour soumettre un dossier, l'entreprise doit être implantée en Ile-de-France, avoir au moins un exercice, être en bonne santé économique, compter de 5 à 250 salariés et réaliser moins de 50 millions d'euros de chiffre d'affaires (ou 43 M€ de bilan). L'appel 2012 s'intéresse aux projets de protection de la propriété intellectuelle, de développement à l'international, de renforcement des ressources humaines et d'investissements. Sont également concernés par l'appel à projets les dossiers portant sur la consolidation de la stratégie, sur l'amélioration de l'organisation et sur les démarches de développement durable.
Depuis le lancement de PM'up, 539 PME ont déjà été retenues sur 1 200 candidatures. Selon les chiffres communiqués par la région, près de 1 800 emplois ont été créés dans ces entreprises.
Mieux comprendre les aides publiques
Une enquête menée par Sogedev, un cabinet spécialisé sur l'accès aux aides publiques, a récemment montré que les PME qui investissaient en R&D avaient ressenti la réduction de certains dispositifs, comme le crédit impôt recherche (CIR) et le statut de la JEI. Cette étude a amené Sogedev à dresser un portrait des entreprises françaises innovantes. Celles-ci sont présentes dans toutes les régions (Rhône-Alpes et Ile-de-France en tête). Près des trois quarts viennent de l'industrie manufacturière (chimie/pharmacie, fabrication de produits informatiques, électroniques, optiques...), puis des services (13% et du secteur de la communication et de l'information (10%).
Près de 56% des répondants ont déclaré mener des projets collaboratifs, pour un tiers avec des structures publiques. Le CIR est l'aide gouvernementale la plus utilisée par les PME sondées. 45% en bénéficient, tandis que 27% sont aidées par Oséo et que 4% accèdent au statut JEI (jeune entreprise innovante), la plupart accédant à plusieurs dispositifs. Sogedev ajoute que 18% des entreprises sondées ne bénéficient toujours pas d'aides publiques malgré leurs dépenses en R&D, principalement en raison du manque de temps qu'elles peuvent consacrer à leur obtention.
Financement : un site d'information ouvert par l'Afdel et PNO
A noter que, dans ce domaine, l'Afdel et le cabinet de conseil PNO ont ouvert un site d'information sur le financement de l'innovation (www.investirdanslenumérique.fr) pour « accélérer la compréhension » de ces dispositifs : CIR, JEI, aides Oséo, ANR (Agence nationale de la recherche), FUI (Fonds unique interministériel) ou européennes (programmes Eurekâ et Eurostars, 7ème PCRDT). On y retrouve aussi les appels à projets du Grand emprunt (les Investissements d'avenir) sur huit priorités : le cloud computing, le logiciel embarqué et la nanoélectronique, la numérisation des contenus scientifiques éducatifs et culturels, la sécurité des réseaux, l'e-éducation, l'e-santé, la ville numérique et les systèmes de transport intelligents.
(*) Dans le secteur des TIC, la promotion 2010-2011 soutiendra aussi les sociétés Alliance Services+, CLT Services, Eolen, FHM Solutions, Insia, Prophessi, Réseau 19, Anatole, Backelite, CashSolve, Cedralis, CSE, Diademys, Itop Education, MBDSys, Mondeca, OpenBridge, Quadrille Ingénierie, RunMyProcess, Telemetris, Cryptolog, Henix, IP-Label, Kalis, Merethis, NBS, Olfeo et Qualixo.
Le marché du CRM en pleine croissance en 2011 selon IDC
Par segment, trois composantes fonctionnelles du CRM, ventes, marketing, et gestion client, ont réalisé une croissance à deux chiffres en 2011. La partie centre de contact, en baisse de 3,6% en 2010, récupère son retard. Plus généralement, note Mary Wardley, vice-présidente du cabinet, chargée du CRM, ce marché s'élargit et connaît un regain performances organisationnelles. Les réseaux sociaux et la mobilité apportent une modification des expériences. « Par conséquent, note Mary Wardley, nous allons aboutir à une modernisation du processus orientés clients, ce qui implique un investissement accru dans le soutien des systèmes tels que les applications de CRM. »
IDC a également étudié les fournisseurs de CRM. 18 d'entre eux figurent dans l'étude. Ils réalisent 63% du marché, le reste s'éparpille entre 170 sociétés. Oracle garde la tête du classement, sa croissance est supérieure à la moyenne, c'est le seul à détenir une part de marché à deux chiffres : 13,2%. Pour la 1ère fois, SalesForce est n°2 avec 22,6% de croissance. SAP et NICE Systems étaient les autres fournisseurs qui ont connu la plus forte croissance
Keyrus cède son activité hébergement à ITS Integra
Keyrus hosting services (KHS), la filiale hébergement de l'intégrateur va disparaître. Elle est vendue à ITS Group qui va l'intégrer dans sa filiale ITS Intégra et fera disparaître le nom ce mois-ci. Ainsi se solde le développement de Keyrus dans l'hébergement, entamé en 2009. Ce dernier a proposé ainsi du Saas pour ses différentes offres : e-business, BI, ERP-CRM. Mais le métier d'hébergeur trop consommateur en capitaux et autres ressources mobilisait trop la société qui a préféré s'en défaire, ITS Integra devenant son partenaire hébergeur pour les offres en SaaS. C'est l'explication donnée par Keyrus.
Pour ITS Group c'est un renforcement de ses capacités d'hébergement, logées dans la filiale ITS Integra. KHS représente un chiffre d'affaires de 1,6 million d'euros.
Les dépenses IT se contracteront en 2012 selon le Gartner
Après avoir progressé de 6,9% à 3700 milliards de dollars en 2011, les dépenses IT mondiales devraient atteindre 3,8 trillions de dollars cette année et enregistrer ainsi une hausse annuelle de 3,7%. Ce chiffre constitue une révision notable des projections précédemment faites par le Gartner qui tablait jusqu'ici sur une progression de 4,6%. « Le déclin global de l'économie, la crise de l'Eurozone et les conséquences des inondations en Thaïlande sur le marché des disques durs sont autant de facteurs qui contribuent à la révision des prévisions », explique Richard Gordon, vice-président en charge de la recherche chez Gartner.
Ces facteurs ont un impact négatif sur l'ensemble des secteurs qui composent le marché de l'IT : logiciels pour entreprise, services informatiques, services télécoms, équipements télécoms et matériels informatiques. Cette année, ce dernier devrait connaître une hausse de 5,1% à 424 Md$. Les logiciels pour entreprise devraient dégager quant à eux un chiffre d'affaires de 285 Md$, soit 6,4% de mieux qu'en 2011. La croissance du marché des services se limitera de son côté à 3,1% pour 874 Md$ de revenus. Attendu comme le marché le plus dynamique en 2012, celui des équipements télécoms devrait enregistrer une progression de 6,9% débouchant sur 475 Md$ pour les équipementiers. Enfin, le marché des services télécoms devrait atteindre 1,7 trillion de dollars grâce à une progression de 2,3% par rapport à 2011.
A défaut de ressembler à ceux de l'année 2011, les chiffres prévus par Gartner pour cette année ne sont dont pas catastrophiques. Du moins, cela dépend de la région du monde où l'on se trouve. En Europe de l'Ouest, le cabinet d'études s'attend en effet à une baisse de 0,7% des dépenses IT.
22 outils gratuits pour visualiser et analyser les données (2ème partie)
Pour faire parler des données, rien ne vaut une panoplie d'outils de visualisation graphique. Pour ceux dont le budget est limité, il existe de nombreux outils gratuitement accessibles pour visualiser les données et faire apparaître des modèles ou des tendances. Au printemps dernier, Sharon Machlis, de Computerworld, en a listé plus de vingt, qu'elle a répartis en neuf catégories : nettoyage de données, analyse statistique, outils et services de visualisation (1ère partie publiée le 3 janvier), outils de développement, SIG, analyse de données temporelles, nuages de mots, visualisation de données relationnelles (2e partie). Les bibliothèques JavaScript et les interfaces de programmation (API) s'adressent aux développeurs.
Pour relire la 1ère partie, «22 outils gratuits pour visualiser et analyser les données»
- Assistants, bibliothèques et API
Il faut quelquefois écrire du code pour produire certaines visualisations, en particulier quand le type d'affichage que l'on veut obtenir ne peut être réalisé qu'en recourant à une application desktop ou web existante. Cela ne signifie pas que l'on doive partir de rien, plusieurs bibliothèques et API fournissant déjà divers éléments.
10 - Choosel : pour enrichir les applications Google Web Toolkit
Ce framework Open Source disponible en mode web est destiné à la réalisation de graphiques sectoriels, de nuages, d'histogrammes, de diagrammes chronologiques et de cartographies. Il s'adresse davantage aux développeurs qu'aux utilisateurs. On peut néanmoins consulter une démo interactive qui explique comment importer des données en utilisant des fichiers CSV. Disponible sous licence Apache 2.0, il a trois champs d'applications principaux : l'exploration visuelle de données, les infographies interactives, la visualisation de données dans les applications GWT (le framework de développement Java Google Web Toolkit), peut-on lire sur code.google.com.
Comme avec Tableau Public, plusieurs visualisations peuvent s'afficher sur une page en étant reliées, de telle sorte que l'on peut, par exemple, mettre en valeur certaines données sur une carte en passant la souris sur un graphique associé.
Choosel (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences requis : Expert.
Fonctionne à partir de Chrome, Safari et Firefox.
En savoir plus : http://code.google.com/p/choosel/
11 - Exhibit : une bibliothèque JavaScript
Issu du projet Simile conduit par le MIT, le logiciel Open Source Exhibit, sous licence BSD, permet de « créer facilement des pages web comportant des fonctionnalités de recherche et de filtrage, des cartographies interactives, des échelles chronologiques et autres visualisations », décrit le site Simile-widgets.org/exhibit. Présenté comme un framework de publication, cette bibliothèque JavaScript permet d'ajouter facilement des filtres et des recherches. Sharon Machlis, de Computerworld, fait néanmoins remarquer que ce qui est jugé « facile » par les professionnels du MIT ayant créé Exhibit peut ne pas l'être autant pour un utilisateur qui connaît surtout Excel. Comme la plupart des bibliothèques JavaScript, Exhibit requiert d'écrire davantage de lignes de code que des services tels que Many Eyes et Google Fusion Tables. Cela dit, il propose une documentation claire pour les débutants, même pour ceux qui n'ont pas d'expérience JavaScript.
Si l'écriture de code ne vous pose pas de problèmes, vous avez des chances de vous approcher au plus près des présentations que vous voulez réaliser. Et vos données restent stockées localement, sauf si vous souhaitez les publier. Pour les novices, il faudra un peu de temps pour se familiariser avec l'écriture de code et la syntaxe de la bibliothèque.
Exhibit (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences requis : Expert.
En savoir plus : http://www.simile-widgets.org/exhibit/
12 - Google Chart Tools : des graphiques statiques et interactifs
Contrairement à Google Fusion Tables qui est comme une application à part entière pour stocker des données en ligner et générer graphiques et cartes, Chart Tools est conçu pour visualiser des données résidant ailleurs, par exemple sur un site web ou au sein de Google Docs. Il offre à la fois les API Chart utilisant une simple requête URL vers un serveur de graphiques Google pour créer une image statique, et l'API Visualization qui accède à une bibliothèque JavaScript pour bâtir des graphiques interactifs. Avec celle-ci, on n'échappe pas à l'écriture de code. Google donne des informations (taille des données, compétences requises...) pour déterminer quelle option retenir.
Pour les graphiques statiques les plus simples, un assistant fournit quelques exemples. Il va jusqu'à aider à saisir les données ligne par ligne, quoi qu'à partir d'une certaine taille, il est plus logique de formater celles-ci dans un fichier texte.
Google Chart Tools (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : débutant avancé et expert.
Fonctionne sur tout navigateur.
En savoir plus : http://code.google.com/apis/chart/image/docs/making_charts.html
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13 - JavaScript InfoVis Toolkit : de superbes graphiques
InfoVis ne compte sans doute pas parmi les bibliothèques de visualisation JavaScript les mieux connues, mais elle vaut vraiment la peine d'y jeter un oeil si vous voulez permettre la consultation de données interactive sur le web. Elle a été utilisée par la Maison Blanche pour créer le graphique présentant le budget de l'administration Obama.
Ce qui différencie cet outil des autres est l'apparence très léchée des graphiques qu'il réalise avec des exemples simples de code. Visiblement, le créateur d'InfoVis, Nicolas Garcia Belmonte, développeur senior chez Sencha Inc, s'intéresse autant à l'esthétique du dessin qu'à celle du code et ça se voit.
Les échantillons présentés sont superbes. On peut télécharger uniquement le code pour les types de visualisations que l'on veut utiliser pour réduire la taille des pages web. Attention, comme il ne s'agit pas d'une application mais d'une bibliothèque de code, il faut savoir développer pour l'utiliser. Par conséquent, cela peut ne pas convenir à des utilisateurs en entreprise qui analysent les données mais ne savent pas programmer. Par ailleurs, le choix du type de visualisation est limité. Enfin, les données doivent être au format JSON.
InfoVis Toolkit (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : expert.
Fonctionne sur les navigateurs compatibles JavaScript.
En savoir plus : démos avec code source (http://thejit.org/demos/)
14 - Protovis : une bibliothèque bien documentée
Présenté comme un toolkit graphique pour la visualisation, ce projet de l'Université de Stanford est l'une des bibliothèques JavaScript les plus populaires pour transformer les données en visuels. Une des choses les plus intéressantes à propos de cet outil est sa documentation. Celle-ci comporte de nombreux exemples des types de visualisation disponibles, incluant des cartes et quelques analyses statistiques. C'est un bon outil, permettant de construire des représentations telles qu'une carte associée à une échelle chronologique.
De la même façon qu'avec les autres bibliothèques JavaScript, il faut connaître ce langage (ou tout au moins être familier d'un autre langage). Même s'il est possible de copier, coller et modifier du code sans vraiment comprendre ce que l'on fait, il est difficile de recommander cette approche à des non-techniciens.
Protovis (cliquer ici pour l'image)
Niveau de compétences : expert.
Fonctionne sur les navigateurs compatibles JavaScript.
En savoir plus : comment démarrer avec Protovis
- Les systèmes d'information géographique sur poste de travail
Il existe de nombreuses applications pour les SIG (systèmes d'information géographique), allant de l'affichage des sites d'extraction pétrolier au choix de nouvelles implantations pour des magasins. Comme le Miami Herald l'a fait (le magazine a obtenu le prix Pulitzer pour sa couverture de l'ouragan Andrew), il est possible de comparer les vitesses maximum des bourrasques avec les dégâts constatés (pour s'apercevoir, par exemple, que les dommages les plus importants n'ont pas été subis dans les zones où le vent a été le plus fort, mais dans des endroits nouvellement construits où les constructions n'étaient pas de bonne qualité).
15 - Quantum GIS (QGIS) : une alternative à ArcView
C'est un SIG à part entière, conçu pour créer des cartes et qui permet des analyses de données détaillées et avancées par zones géographiques. L'application SIG desktop la plus connue est sans doute ArcView, d'Esri, qui coûte un certain prix, mais s'accompagne d'un solide support professionnel. L'alternative Open Source est QGIS, comme OpenOffice peut l'être pour Microsoft Office. A noter qu'Esri a récemment lancé une offre découverte de son SIG pour un usage privé. Les passionnés d'ArcView considèrent qu'Esri offre deux ans d'avance sur ses alternatives Open Source, que son interface est meilleure et qu'il est mieux adapté pour les impressions. De leur côté, les utilisateurs de QGIS soulignent l'excellence du produit Open Source et pointent ses performances lorsqu'il est question de générer des cartes pour le web, grâce à un plug-in spécialisé dans la génération d'images de cartes en HTML.
Quoi qu'il en soit, avec tout SIG avancé, apprendre le maniement du logiciel demande un sérieux engagement. Cela prend du temps. Certaines choses sont plus faciles à faire avec la version commerciale ArcView, a noté pour sa part Sharon Machlis, de Computerworld, qui a pris en main ArcView et QCIS. Elle explique qu'ArcView dispose d'une fonction normalisée pour calculer, par exemple, le pourcentage de personnes de 65 ans et plus au sein d'une population dans une table comportant les deux colonnes. Dans QGIS, il lui fallait appeler un champ calcul et créer une nouvelle colonne avec la formule pour l'obtenir.
Quantum GIS (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : Intermédiaire et expert.
Fonctionne sur Linux, Unix, Mac OS X et Windows. L'installation sur OS X nécessite la mise en place de plusieurs compléments.
En savoir plus : http://www.plantsciences.ucdavis.edu/plant/qgislabs.htm
On trouve d'autres solutions SIG en Open Source sur Spatialanalysisonline.com. A regarder aussi, un outil comme Post-GIS qui permet d'ajouter des objets géographiques à la base de données relationnelle PostgreSQL.
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- Les solutions de cartographie en ligne
Certains outils de cartographie en ligne sont devenus très populaires. Celui de Google, bien sûr, qui dispose en outre de plusieurs compléments tels que Map A List, un add-on qui ajoute à une carte Google Map des données provenant d'un tableur. Il y a aussi Yahoo Maps Web Services, et Bing Maps, de Microsoft qui comportent également des API. Il en existe beaucoup d'autres venant de petites sociétés ou de contributeurs Open Source individuels : des outils, entièrement développés en partant de zéro, pour afficher des données sur des cartes géographiques.
16 - OpenHeatMap : des cartes en couleurs très faciles à créer
Ce site web convivial génère des cartes dont les couleurs se modifient en fonction des informations sous-jacentes : l'évolution d'une population ou d'un revenu moyen, par exemple. On peut aussi placer sur une carte des marqueurs dont la taille varie en fonction des données qui figurent dans la table associée.
En plus de fournir ce service sur le web, son auteur Pete Warden (qui fut un temps développeur chez Apple, notamment sur Final Cut Studio) a également packagé OpenHeatMap sous la forme d'un plug-in JQuery pour ceux qui ne veulent pas dépendre de l'hébergement de OpenHeatMap.com. Toutefois, tous les formats de données ne fonctionnent pas correctement lorsqu'ils sont stockés localement. Pete Warden conseille d'intégrer les cartes depuis le site.
Selon Sharon Machlis, de ComputerWorld (qui a dressé cette liste il y a quelques mois), il est très facile de créer rapidement une carte en couleurs à partir de nombreuses sources de données de localisation, même des adresses IP. « Cela m'a pris environ 60 secondes pour créer une carte présentant les séismes de magnitude 7 et plus dans le monde depuis janvier 2000 », indique-t-elle dans son article (cf image ci-dessous). Les tailles, les couleurs et la transparence des marqueurs se personnalisent aisément.
Inconvénient signalés : les données ne peuvent pas être supprimées une fois mises en ligne.

OpenHeatMap (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : débutant.
Fonctionne sur les navigateurs web compatibles Flash ou HTML 5 Canvas.
En savoir plus : http://www.openheatmap.com/gallery.html
17 - OpenLayers : insérer des cartes dans des pages web
Cette bibliothèque JavaScript pour intégrer des cartes d'informations dynamiques dans des pages web. Elle fonctionne avec OpenStreetMap et d'autres services comme Google Street View. Il est destiné à apporter des fonctionnalités similaires à celles de ces bibliothèques, mais en Open Source. D'autres projets s'en servent pour ajouter des fonctionnalités ou une facilité d'utilisation. C'est le cas de GeoExt qui l'utilise pour apporter des fonctions SIG. OpenLayers peut intéresser les utilisateurs qui connaissent JavaScript et préfèrent se tourner vers une option non commerciale (plutôt que recourir à Google ou Bing).
Niveau de compétences : expert
Fonctionne sur tout navigateur web.
En savoir plus : http://openlayers.org/
Il y a d'autres bibliothèques JavaScript pour incruster des informations sur les cartes, telles que Polymaps. Il existe également d'autres plateformes de cartographies : Google Maps et ses nombreuses API, Yahoo Maps Web Services, Bing Maps et GeoCommons.
18 - OpenStreetMap : une cartographie communautaire
C'est un peu le Wikipedia de la cartographie, doté de fonctions de routes ou d'immeubles auxquelles ont contribué différents utilisateurs dans le monde. L'intérêt principal, c'est son caractère communautaire qui a débouché sur des utilisations intéressantes. Il est par exemple compatible avec la plateforme mobile Ushahidi http://www.ushahidi.com/
utilisée pour récupérer des informations après les tremblements de terre en Haïti et au Japon (alors que Ushahidi peut utiliser plusieurs fournisseurs pour les couches cartographiques, en incluant Google et Yahoo, certains créateurs de projets se sentent plus à l'aise avec des solutions en Open Source).
Inconvénients : Comme pour tout projet acceptant les contributions publiques, il peut y avoir des problèmes d'exactitude certaines fois sur les informations fournies (sur le positionnement de certains services sur les cartes, par exemple). Quoi que ce genre de choses peut arriver avec Google Maps. Par ailleurs, l'apparence des cartes est moins bonne que celles des produits commerciaux concurrents.
OpenStreetMap.org (cliquer ici pour agrandir l'image)
Niveau de compétences : débutant avancé et intermédiaire
Fonctionne sur tout navigateur web.
En savoir plus : http://www.openstreetmap.org/
http://openstreetmap.fr/
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- Analyse de données temporelles
19 - TimeFlow : les concepteurs du projet ont rejoint Google
Ce logiciel pour poste de travail a été développé pour analyser des données ayant une composante temporelle. Ses créateurs, Fernanda Viégas et Martin Wattenberg (tous deux se trouvant derrière le projet Many Eyes d'IBM) ont créé la société Flowing Media, un studio de visualisation spécialisé sur les groupes médias et les projets grand public http://hint.fm/about/. Ils ont rejoint Google en 2010 pour diriger son groupe de visualisation de données Big Picture.
TimeFlow (cliquer ici pour agrandir l'image)
En savoir plus : https://github.com/FlowingMedia/TimeFlow/wiki
- Les nuages de mots et de textes
Certaines spécialistes de la visualisation de données n'aiment guère ces nuages qui affichent les mots d'un fichier texte en faisant varier leur taille en fonction du nombre de fois où ils figurent dans le fichier. Ils ne les trouvent pas sérieux ou jugent qu'ils ont été trop utilisés. Ceux qui veulent néanmoins y recourir peuvent se tourner vers trois outils.
20 - IBM Word Cloud Generator : dans Many Eyes
Plusieurs des outils déjà cités dans la liste établie par Computerworld permettent de créer des nuages de mots. C'est le cas de l'API Visualization de Google et de Many Eyes où l'on trouve Word-Cloud Generator. On peut aussi le faire avec Wordle http://www.wordle.net/ (un outil pratique pour créer ces nuages à partir de sites web plutôt que de fichiers texte).
Word Cloud Generator dans Many Eyes (cliquer ici pour agrandir l'image)
- Outils d'analyse de réseaux sociaux
Ces outils se réfèrent à la définition SNA (social network analysis) pré-Facebook/Twitter. Ils servent à rechercher des liens entre des individus en s'appuyant sur différents jeux de données. Il est nécessaire d'avoir des notions de statistiques pour les utiliser.
21 - Gephi : pour établir des relations dans un réseau complexe
Présenté comme un Photoshop pour les données. Ce projet Open Source est conçu pour visualiser des informations statistiques, incluant des relations au sein de réseaux de type graphe comptant jusqu'à 50 000 noeuds et un demi-million de connexions, de même que l'analyse de facteurs tels que l'intermédiarité, la proximité auxquels s'ajoute un coefficient d'agglomération.
Gephi (cliquer ici pour agrandir l'image)
Fonctionne sur Windows, Linux, Mac OS X avec Java 1.6
En savoir plus : http://gephi.org/
22 - NodeXL : plug-in pour Excel pour explorer Twitter et Flickr
Ce plug-in pour Excel affiche des graphes de réseaux à partir d'une liste de connexions, afin d'aider à dégager des modèles et des liens entre les données. NodeXL combine l'ancienne et l'actuelle définition de SNA. Il est optimisé pour analyser les médias sociaux en ligne. Il intègre notamment des connexions pour appeler les API de Twitter, Flickr et YouTube, ce qui permet de dessiner des réseaux d'utilisateurs et leurs activités, explique Peter Aldhous, responsable du bureau de San Francisco du magazine New Scientist.
NodeXL (cliquer ici pour agrandir l'image)
Fonctionne sur Excel 2007 et 2010 sur Windows.
En savoir plus : http://nodexl.codeplex.com/
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