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(17/12/2009 14:51:56)

Les opérateurs traquent les pratiques des internautes

( Source EuroTMT ) Derniers acronymes à la mode chez les opérateurs télécoms, les équipementiers et autres instituts de mesure d'audience : KPI (key performance indicator) et DPI (deep packet inspection). Dans un contexte de fragmentation de l'audience, d'usage exponentiel d'internet par des centaines de millions d'individus et d'irruption de l'audiovisuel dans les réseaux IP, il devient particulièrement intéressant de mesurer précisément les pratiques des internautes et autres utilisateurs de smartphones ou de clés 3G. De nombreux opérateurs télécoms procèdent actuellement à des tests de sondes capables de mesurer le trafic, les URL visitées, les sites consultés, les pages regardées, la durée de ces consultations, les bannières publicitaires visitées, les mots les plus consultés sur les moteurs de recherche et le terminal utilisé. Ces données, outre les publicitaires, intéressent au plus haut point les opérateurs, de plus en plus soucieux de monétiser l'audience utilisant leurs infrastructures, aussi bien fixes que mobiles. Comme internet et le mobile deviennent des vecteurs majeurs pour la publicité, la mise au point d'outils précis est stratégique. Ces sondes permettent également de localiser les internautes. Elles ouvrent alors de nouvelles perspectives en matière de services contextualisés, de type gestion de la présence, géolocalisation, etc. Au plan industriel, les équipementiers télécoms ne s'y trompent pas. Une partie de la stratégie d'Alcatel-Lucent s'appuie ainsi sur le concept d'application enabler, autrement dit la possibilité de remonter à l'opérateur des informations issues de son réseau afin qu'il affine ou d'offre de nouveaux services. [[page]] Ericsson avait ainsi acquis NetSpira Networks, une société spécialisée dans la mesure du trafic de données cellulaires utilisant le GPRS, en 2005. Parmi les autres sociétés à intervenir sur ce segment, citons Nokia Siemens Network (NSM) ainsi qu'une kyrielle de sociétés spécialisées (Allot, Sanvine, I Poque, Arbor Networks, Quosmos). Autre catégorie d'acteurs incontournables, les instituts de mesure d'audience en charge du traitement de ces données, essentiellement M:Metrics (propriété de comScore), GfK (par ailleurs actionnaire de Quosmos) et son département spécialisé GFK M2 et, en ce qui concerne la France, l'inévitable Médiamétrie finalement retenu (associé à Nielsen) par les opérateurs tricolores pour la mesure de l'audience de l'internet mobile. Un contexte dans lequel l'outil de mesure passive de Médiamétrie ne serait pas le plus performant du marché, même si la firme a su se rendre incontournable compte tenu des particularités de l'écosystème franco-français de la mesure d'audience. Pour le reste, force est de constater que la plupart des programmes de déploiement ont pris beaucoup de retard en Europe. « C'est difficile de mettre tout le monde d'accord et l'implémentation de tels systèmes, compte tenu de la volumétrie colossale d'informations à gérer, s'avère parfois plus complexe que prévu » reconnaît un acteur du marché. Des déploiements significatifs chez des opérateurs cellulaires seraient toutefois en cours en Scandinavie ainsi qu'en Turquie. A noter enfin que ce type de solutions est beaucoup plus facile à déployer dans les réseaux cellulaires puisqu'elle s'implémente au niveau des passerelles GPRS, autrement dit dans le coeur de réseau, que dans les réseaux fixes qui nécessitent d'équiper chaque D-SLAM. (...)

(17/12/2009 14:39:50)

En finalisant l'intégration de Perot Systems, Dell restructure sa division services

Suite à l'acquisition Perot Systems pour 3,9 milliards de dollars début novembre, Dell a restructuré ses activités pour créer Dell Services, un pool de services dédiés qui vise une clientèle d'entreprises de taille moyenne. Avec cette fusion, le texan prévoit d'économiser environ 300 millions de dollars de dépenses annuelles. La nouvelle entité, qui a mis en commun les infrastructures de Dell et de Perot Systems, repose sur une armée de près de 42.000 personnes. La direction n'a pas précisé si certains employés de l'une ou l'autre des deux sociétés seraient licenciés, mais elle a cependant évoqué la possibilité d'affecter certains personnels des services techniques en interne à des postes orientés clientèle. "Dès l'accord de fusion signé (c'était le 21 septembre), des équipes ont été formées et ont développé une stratégie conjointe pour les ventes, le marketing et la prestation des services" indique Peter Altabef, président de cette nouvelle entité et ancien CEO de Perot Systems. Selon la direction, le démarrage a été fulgurant. "Il n'y a pas eu beaucoup de tension ni de problèmes de hiérarchie entre les personnes. Le 3 novembre, la réorganisation était effectuée," a déclaré Peter Altabef. En interne, les anciens employés de Perot Systems ont pu disposer d'une adresse mail Dell le jour où l'acquisition a été finalisée. "Dell est devenu un des leaders dans le domaine des technologies de l'information du fait de sa forte capacité à proposer des solutions sur mesure dans ce domaine. Aujourd'hui, nous voulons faire la même chose dans les services, en travaillant à la simplification des usages et en offrant un support plus efficace,» a expliqué Peter Altabef. L'ancien président de Perot a également confié à la presse spécialisée et aux analystes que la nouvelle structure visera principalement les entreprises de taille moyenne. Ce marché qui constituait déjà la base clientèle principale des deux entreprises avant acquisition pourrait générer des contrats de service de 20 à 50 millions de dollars en valeur. Pour Peter Altabef, "les petites et moyennes entreprises ont été mal accompagnées par les organisations de services." Dell Services pense pouvoir offrir un rapport coût-efficacité plus intéressant et une approche "plug-n-play" mieux adaptée que celle apportée par les fournisseurs traditionnels de ce secteur. Dell prévoit notamment d'augmenter l'automatisation, d'offrir des services à géométrie variable, de réaliser l'exécution de tâches à distance, de trouver des solutions de locations moins coûteuses, tout en maintenant les normes utilisées. [[page]] «Beaucoup de clients du marché intermédiaire ne sont pas intéressés à faire du business avec les très grosses entreprises de sous-traitance, parce qu'ils se sentent perdus," a commenté Steve Schuckenbrock, président du secteur Grande entreprise chez Dell. "Les entreprises de sous-traitance vont continuer à traiter d'énormes contrats et à faire valoir les milliards de dollars qu'ils peuvent rapporter. Dell Services veut se consacrer aux contrats de services qui peuvent atteindre jusqu'à 50 millions de dollars, avec des termes allant de trois à six ans." Ce sont des contrats de garantie, de support technique, mais aussi de gestion des outils techniques, des contrats d'affaires, de l'IT et du conseil aux entreprises, ainsi que du développement d'applicatifs, de la maintenance et du test. "Les domaines des lesquels la synergie de clientèle a été la plus importante sont l'administration américaine et celui des soins et de la santé," a déclaré Paul Bell, président des opérations du Secteur public chez Dell. Pour ce qui est de l'administration, notre souci sera "d'élargir la gamme et la quantité de services que nous pouvons offrir à ces grands comptes, avec lesquels nous entretenons déjà des liens depuis longtemps», a précisé Paul Bell. Dell affectera 120 à 130 millions de dollars de coûts liés à l'acquisition de Perot Systems à son quatrième trimestre fiscal, lequel se termine le 29 janvier, puis environ 20 millions à 25 millions de dollars par trimestre tout au long de l'exercice 2011. Pour balayer les doutes de certains analystes qui se demandent si les "milliers de clients" de Dell ne sont pas des utilisateurs finaux plutôt que des gestionnaires de programme à la recherche de contrats de service, Steve Schuckenbrock a fait savoir que les équipes de Dell sont déjà en contact avec "un nombre élevé de d'entreprises." (...)

(16/12/2009 17:17:13)

IBM s'offre Lombardi, spécialiste du BPM

IBM a enfin complété son portefeuille BPM (Business process management). Big Blue vient d'annoncer le rachat, pour un montant non communiqué, d'un spécialiste du domaine, Lombardi Software. IBM avait bien une offre de gestion des processus métier, mais il s'agissait de fonctionnalités réparties dans ses différents produits, son serveur d'applications et d'intégration WebSphere (module Dynamic Process) et l'outil de gestion de processus documentaires hérité de FileNet. Lors de la publication de son dernier quadrant magique sur les suites de BPM en février dernier, Gartner notait qu'il fallait s'attendre à ce qu'IBM fît une acquisition dans ce domaine. Lombardi figure depuis longtemps parmi la catégorie des leaders dans le quadrant Gartner, aux côtés de Pegasystems. L'éditeur texan peut aussi s'enorgueillir de références clients solides « parmi les plus avancées en maturité de BPM », note Gartner. Mais, malgré la communication d'IBM qui tend à positionner TeamWorks comme un outil départemental, l'offre de Lombardi est plus généralement considérée comme un outil d'entreprise relativement onéreux. C'est d'ailleurs cela qui permet à des petits acteurs d'émerger, en Open Source (comme BonitaSoft) ou en Saas (comme RunMyProcess). En plus de définir ce positionnement, IBM devra aussi intégrer ses offres. Or, Gartner estimait dès avant le rachat que le nombre de fonctionnalités et de possibilités d'intégration était déjà impressionnant, obligeant les clients à recourir à des prestataires de service. En France, Lombardi n'a ouvert sa filiale qu'en 2007. (...)

(16/12/2009 16:50:20)

Annuels Adobe : 2009 en baisse, des espoirs pour 2010 avec la CS5, Flash/Flex et LiveCycle 2

Après le coup de froid de 2009, Adobe est sur les rails pour rebondir en 2010. Tel est le message que Shantanu Narayen, PDG de l'éditeur, a tenu à faire passer lors de l'annonce des résultats annuels, mardi soir. Le dernier trimestre a été particulièrement rude, l'éditeur affichant une perte de 32 M$, malgré une politique assez sévère de réduction de coûts. Côté chiffre d'affaires, la baisse au quatrième trimestre est de 17,3%, reflétant celle de l'année, de 17,7%. Après six années consécutives de croissance à deux chiffres, Adobe affiche une année morose, et retombe sous la barre des 3 Md$ de chiffre d'affaires. La faute à la récession explique-t-on chez Adobe, qui a frappé au moment de la sortie du produit phare pour les consommateurs, la suite d'outils pour créatifs CS4. Néanmoins, indique le CEO d'Adobe, le groupe est en ordre de bataille et devrait renouer avec la croissance en 2010 : « Nous avons connu une amélioration de la demande des clients pour nos produits au quatrième trimestre. Nous pensons que les investissements que nous avons réalisés l'année passée, ainsi que les nouveaux produits que nous sortirons durant l'année à venir, nous permettront de croître lorsque les conditions économiques s'amélioreront. » Omniture devrait représenter 10% du CA au premier trimestre 2010 A priori, Adobe devrait conserver la confiance des marchés financiers, ces derniers ayant anticipé un plus mauvais résultat pour le dernier trimestre. Pour le premier trimestre 2010, l'éditeur prévoit de remonter à un chiffre d'affaires compris entre 800 et 850 M$. Dont 78 à 83 M$ provenant de sa nouvelle filiale, Omniture, spécialiste de l'optimisation du trafic des sites Web. Au dernier trimestre, le revenu en provenance d'Omniture n'avait contribué au CA global qu'à hauteur de 26 M$. La fusion avec Omniture a par ailleurs fait subitement remonter le nombre de collaborateurs du groupe, qui avait ajusté ses effectifs pour resserrer ses coûts et réaligner ses effectifs sur ses nouveaux objectifs stratégiques. Adobe est ainsi passé de plus de 7 600 employés au troisième trimestre 2008 à moins de 7 200 au premier trimestre 2009, avant de remonter à un peu plus de 7 500 au troisième trimestre, et enfin de bondir à 8 660 au dernier trimestre, avec l'acquisition d'Omniture. En attendant que l'intégration des capacités d'Omniture pèse véritablement sur le chiffre d'affaires, la stratégie de Shantanu Narayen s'appuie sur deux grands piliers. L'offre pour créatifs, bien sûr, avec la CS5 qui devrait sortir courant 2010. Et si le parc informatique finit par se renouveler, les éditeurs de logiciels pourraient aussi en profiter, les clients effectuant alors leurs mises à jour. Le second pilier est celui de l'entreprise, où Adobe est plus à la peine. « Un outil comme Livecycle [gestion de processus documentaire, NDLR] se vend davantage comme un outil serveur de type WebSphere, chose dont Adobe n'a pas l'habitude », explique par exemple Mathieu Poujol, consultant chez PAC. En pleine réflexion sur ses méthodes de vente, l'éditeur s'attache à convaincre avec la face émergée de l'iceberg, les RIA (applications Internet riches). Le format Flash, qui focalise tous les efforts d'Adobe - à tel point qu'on peut se demander ce qu'Adobe ferait aujourd'hui s'il n'avait pas racheté Macromedia - sert en effet de tête de pont, voire de cheval de Troie, pour vendre le reste des solutions. L'association Flash/Flex emporte l'adhésion, LiveCycle reste dur à vendre La journée Adobe Business Exchange RIA 2009, organisée hier pour la deuxième année consécutive par Adobe France, a vu se succéder de nombreux partenaires et clients expliquant pourquoi et comment ils ont opté, tant pour des applications internes qu'externes, pour des solutions techniques s'appuyant sur le Player Flash (et Flex plus BlazeDS ou LiveCycleDS pour l'intégration avec les données d'entreprise). Simplicité du déploiement, ergonomie, fluidité des processus, performances correctes, globalement, les clients se montraient très satisfaits. Les technologies de RIA offrent en effet aux utilisateurs un moyen d'interagir avec les données beaucoup plus en phase avec ce qu'ils peuvent attendre aujourd'hui. En revanche, ces mêmes clients ne se montraient guère empressés de s'appuyer sur l'offre serveur de l'éditeur, dont la version 2 vient d'être annoncée (et fait justement le lien entre une architecture basée sur SOA/mash-up et une interface ergonomique). La proposition de services LiveCycle hébergés dans le cloud fera peut-être évoluer cet état d'esprit. (...)

(15/12/2009 17:31:25)

Les ventes de téléphones mobiles progresseront de 9% en 2010

Le cabinet Gartner évalue à 0,67% la baisse des ventes mondiales de téléphones mobiles entre 2008 et 2009. Un moindre mal. Au mois de septembre dernier, Gartner situait cette baisse à 3,7%. Pour 2010, le cabinet d'études envisage un retournement de ce marché avec une hausse des ventes de 9%, par rapport à 2009 et toujours au plan mondial. Ce marché atteindra 1,32 milliard d'unités vendues en 2010, contre 1,21 en 2009 et 1,22 en 2008. Par continent, l'évolution des marchés est significative. Deux des sept sous ensembles (ou régions mondiales), définis par le Gartner sont en progression sur 2009 : Asie-Pacifique et Europe de l'Ouest. Un seul est égal : l'Amérique du nord, tous les autres baissent de manière plus ou moins forte. L'Asie Pacifique passe de 453 000 ventes en 2008 à 479,8 en 2009, l'Europe de l'Ouest de 174,4 à 186,9. En 2010, ils devraient atteindre respectivement à 546,7 millions d'appareils vendus et 198,5. L'Amérique du nord passe de 182,245 à 182,571, et devrait atteindre les 190,1 millions d'appareils vendus en 2010. La crise économique impacte les marges des fabricants Dans les autres régions du monde, le Gartner observe que l'Europe de l'Est est tombée de 96 millions d'appareils vendus en 2008 à 81,1 en 2009 et devrait atteindre 84,9 en 2010, donc rester toujours en dessous du niveau de 2008. Le Japon ne repart pas, passé de 40,58 en 2008 à 34,87 en 2009, il restera pratiquement au même niveau l'an prochain avec 34,89 millions d'unités vendues. L'Amérique latine est mieux lotie, mais ne retrouvera pas ses niveaux de 2008, ce continent passe de 142,3 millions de ventes en 2008 à 119,7 en 2009 et 126,7 en 2010. Enfin, la zone Moyen-Orient Afrique repartira plus franchement, passée de 133,7 en 2008 à 128,9 en 2009, elle devrait atteindre les 140,3 en 2010. En dehors de ces différences géographiques, le Gartner relève l'impact de la crise économique. Pour le marché des mobiles, il se manifeste sur les marges des fabricants et les cycles de renouvellement des consommateurs. Dans les deux années à venir, ces cycles devraient se raccourcir sous le triple effet de l'arrivée de téléphones intelligents, de prix plus agressifs, de contrats d'abonnements plus courts. Les ventes de matériels d'occasion devraient arriver dans les pays émergents. Le Gartner constate également le développement du marché gris à l'initiative des fabricants chinois, ce développement aura un impact sur les prix des téléphones mobiles et sur la part de marché de Nokia. Le Gartner réservé sur les smartphones [[page]] Le Gartner se montre réservé sur les smartphones. Comme tous les cabinets d'étude, il souligne leur percée en nombre d'unités vendues, mais s'interroge sur leur rentabilité pour les opérateurs. Les smartphones représentent 14% des ventes d'appareils mobiles cette année. Toujours en volume, il s'en vend 23,6% de plus qu'en 2008. D'ici 2013, ce segment de marché bondira de 38% par rapport à 2009. Toutefois, les opérateurs veulent associer à ce développement en volume, des tarifs élevés qui intriguent le Gartner. Pour le cabinet d'études, les opérateurs prennent le risque de proposer des tarifs au-delà de ce qui est acceptable par les consommateurs. Les constructeurs doivent s'interroger sur leur modèle économique conclut le Gartner. La croissance facile appartient au passé, même si les smartphones ouvrent de belles perspectives, il faut rester prudent. Les ventes de matériels seules ne suffisent plus, « logiciels, services et contenus sont de meilleurs drivers de croissance que le matériel pour les fabricants de mobiles qui doivent réinventer eux-mêmes leurs modèles économiques s'ils veulent se maintenir au top » conclut Caroline Milanesi, directrice de recherche au Gartner. (...)

(15/12/2009 16:29:25)

Microsoft s'offre des outils d'automatisation des processus IT pour le cloud

Pour renforcer ses outils de gestion des environnements virtualisés, Microsoft vient de racheter l'éditeur canadien Opalis Software. Installé à Toronto, celui-ci a développé des logiciels d'automatisation des processus IT, Opalis Integration Server, qui viendront compléter les capacités de gestion des datacenters de la suite d'administration System Center de Microsoft, pour les environnements physiques, virtuels et de cloud computing. Brad Anderson, vice président de la division Management & Services de Microsoft, explique sur l'un des blogs TechNet de l'éditeur que les logiciels d'Opalis facilitent la tâche des équipes informatiques en automatisant les processus IT complexes avec l'objectif de réduire les coûts d'administration et les temps d'intervention. « C'est particulièrement important pour nos clients qui mettent en place des environnements virtuels très automatisés et évolutifs. » Et de citer Gartner qui prédit qu'en 2010, au moins 50% des tâches d'automatisation et de workflow autour des infrastructures de serveurs virtualisées s'appuieront sur des outils de type 'Run Book Automation' (RBA). Opalis, distribué en France par 2SI Systèmes Distributeur exclusif des logiciels Opalis en France, la société française 2SI Systèmes explique que ces outils permettent d'automatiser les tâches récurrentes techniques ou métiers, au travers de scénarios construits sans codage, via une interface graphique. Sur l'Hexagone, 2SI Systèmes revendique quelque 150 implémentations de l'offre : surveillance d'applications critiques ou métiers, de serveurs de fichiers, de circuits d'impression, de bases de données, de sites Web... Selon Brad Anderson, Microsoft aurait retenu Opalis parce que ses logiciels sont simples à utiliser et à déployer et qu'ils donnent rapidement des résultats. Ces outils s'intègrent déjà avec la suite System Center et ils vont permettre à cette dernière de s'interfacer avec d'autres infrastructures logicielles, notamment celles de CA, BMC et HP. L'offre comprend des workflows prépackagés pour les tâches les plus courantes de l'administration d'un datacenter : automatisation du guide d'exploitation, gestion du cycle de vie d'une machine virtuelle, prise en charge des tickets d'incident. Une majorité de clients d'Opalis seraient aussi des utilisateurs de System Center, assure Brad Anderson. L'éditeur canadien va continuer à assurer la maintenance de sa base installée. Rappelons par ailleurs que Microsoft a annoncé la semaine dernière qu'il fusionnait ses divisions Windows Azure et Windows Server. (...)

(15/12/2009 11:47:18)

4e licence mobile : Free sera fixé le 18 décembre

L'Autorité de régulation des communications électroniques (Arcep) a indiqué lundi 14 décembre que le résultat de la procédure d'appel à candidatures pour l'attribution de la quatrième licence mobile sera annoncé ce vendredi 18 décembre, dans la matinée. Seule la société Free Mobile, filiale du groupe Iliad, s'est portée candidate pour devenir le quatrième opérateur de téléphonie mobile en France. Iliad, qui s'était déjà vu refuser l'accès au marché de la téléphonie mobile en 2007, a cette fois de grandes chances de l'emporter. La maison mère du fournisseur d'accès à Internet Free devra débourser la somme de 240 millions d'euros pour rejoindre Orange, SFR et Bouygues Telecom, alors que la licence était facturée 619 millions d'euros lors de son premier échec il y a deux ans. Iliad a récemment fait savoir que son objectif, s'il devenait quatrième opérateur, serait de proposer aux consommateurs des offres plus simples, plus innovantes, et surtout, moins chères. (...)

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