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(08/07/2009 11:31:23)
Plaidoyer pour une prise en compte du capital logiciel dans le bilan des entreprises
« Pour encourager la mise à niveau et la valorisation du 'patrimoine logiciel' des entreprises, nous proposons que les grands groupes soient tenus à publier, annuellement, à côté de leur bilan financier et de leur bilan RSE, un troisième bilan rendant compte de la gestion de leurs systèmes informatiques. » Dans une lettre adressée au président de la République, Pierre Bonnet, directeur du conseil d'Orchestra Networks, qui a fondé la communauté S-IT-A (Sustainable IT Architecture), et Saïd Elinkichari, PDG du cabinet Générale Europe Consultants, demandent que la France plaide auprès de ses partenaires européens pour créer une agence de notation indépendante, qui serait chargée d'apprécier « l'intelligence logicielle » des entreprises. Envoyée fin mai, la lettre vient d'être publiée sur l'Observatoire de l'immatériel, un portail fondé par des dirigeants de l'IT française dont l'ambition est d'offrir aux entreprises « les informations, méthodes et outils qui leur permettront d'étudier et de valoriser leurs actifs immatériels ». Cette publication est un premier pas encourageant pour Pierre Bonnet, qui dit « faire du lobbying auprès de différents réseaux, dans la sphère informatique et au-delà ». Pour lui, en effet, omettre ces actifs immatériels dans le bilan des entreprises est un non-sens économique. La lettre ouverte stipule : « Opacité, obsolescence et complexité excessive des systèmes informatiques empêchent aujourd'hui nos plus grandes entreprises d'optimiser leur fonctionnement, de déployer de nouvelles activités, de gagner en agilité et de répondre rapidement à de nouvelles normes ou contraintes internationales. Cette situation est dangereuse : elle est source de fragilité et de risques pour les entreprises engagées dans la bataille de la mondialisation. » Or, poursuivent les auteurs, « les directions générales ont aujourd'hui du mal à saisir l'importance de ces enjeux. Elles considèrent, en effet, l'informatique comme un coût et non comme un actif. » Pour encourager les chefs d'entreprise à mieux considérer leur capital logiciel, Pierre Bonnet pense qu'il est indispensable de mettre le bilan informatique au même niveau que le bilan comptable et le bilan social. Et pour encourager la rénovation, Pierre Bonnet propose d'étendre le dispositif de crédit impôt recherche à la refonte des systèmes d'information : « Actuellement, le CIR permet en fait de financer les activités des éditeurs de logiciels. Orchestra Networks en profite, d'ailleurs. C'est bien. Mais si les entreprises en face n'ont pas de projet, n'achètent pas, l'offre ne rencontrera pas la demande. » Pour l'instant, le Cigref n'a pas encore appuyé la proposition. (...)
(08/07/2009 11:26:27)Fin de bêta pour Gmail et les Google Apps
Après 5 ans, Google a annoncé le mardi 7 juillet que son service de messagerie en ligne n'est plus à l'état de bêta. Google Agenda, Google Docs et Google Talk ont eux aussi été débarrassés de leur étiquette bêta mardi, alors que Google mettait à jour les éléments de sa suite GAPE (Google Apps Premier Edition) vers un statut 'produit fini'. Pour autant, produit fini ne veut pas dire développement terminé. « Vous continuerez à voir ces applications évoluer et se doter de nouvelles fonctionnalités, mais ces dernières seront testées de manière très approfondies avant d'être implémentées », précise Rajen Sheth, chef de produit Google Apps. C'est au niveau entreprise que ce changement pourrait avoir le plus d'impact, l'étiquette bêta en refroidissant plus d'une. « Pour beaucoup trop d'entreprises intéressées commercialement par Gmail, la mention 'bêta' était comme un néon qui clignotait 'Amateur, amateur'... fait remarquer Matt Cain, analyste Gartner. Les entreprises ne veulent pas mettre les parties les plus critiques de leur communications sur un code bêta. Supprimer cette étiquette enlève l'un des plus gros obstacles qui empêchaient encore Google de s'attaquer aux entreprises. » Gmail et Google Agenda disposent depuis 6 mois d'un support hors-ligne, d'un accès BlackBerry, de l'intégration des listes de contacts et de la synchronisation avec le logiciel Outlook. D'un point de vue sécurité, l'acquisition de Postini en 2007 répond au besoin des entreprises. Google y ajoute aujourd'hui des fonctionnalités à but professionnel, telles que la réplication de messages. Dans les semaines à venir, il sera possible de déléguer son compte mail à des assistants, et de mettre en place des politiques de conservation de mails. Ces nouvelles fonctionnalités n'auront pas de conséquences sur le prix actuel de GAPE (50 dollars par utilisateur). « Bien qu'ayant commencé un peu lentement dans le marché de l'e-mail commercial, Google apprend vite et prend de l'inertie. Dans 2 ans, ça sera un vrai, crédible et agressif concurrent pour Microsoft et IBM », estime Matt Cain. (...)
(07/07/2009 17:22:55)Plan social HP : des négociations freinées par une dissonance intersyndicale
Les négociations se sont bien ouvertes entre la direction de HP France et les représentants du personnel. Mais l'unanimité ne s'est pas encore faite entre les différents syndicats représentés. Cinq d'entre eux -la CFTC, FO, la CFE-CGC, la CGT et Sud- sur six souhaiteraient soumettre à l'ensemble des salariés de HP, sous la forme d'un référendum, les garanties qui ont été obtenues de la direction dans le cadre du projet de restructuration du groupe en France. Ces dispositions concernent le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) dans les trois entités concernées (HP France, HPCCF et EDS) et les conditions du transfert de 600 employés vers EDS. La CFDT, de son côté, ne se satisfait pas de ces dispositions, jugeant insuffisantes, notamment, les garanties sur les conditions de travail des salariés d'HP qui rejoindront EDS et sur les possibilités de reclassement à l'intérieur du groupe entre les différentes entités. La synthèse des garanties obtenues par les syndicats lors de ces premières négociations ont été publiées sur le blog de la CFTC-HP. Elle fait état, notamment, d'une réduction du nombre de postes supprimés. Celui-ci a été ramené à moins de 800 contre 1 050 initialement craints. L'objectif est de réduire encore ce nombre en se rapprochant des 700 suppressions. Les conditions de départ proposées sont celles du PSE HP 2006 pour les trois sociétés (EDS, HPF et HPCCF), hors dispositif PDA (préretraite). La direction dit vouloir éviter, dans la mesure du possible, les licenciements par désignation. Le calendrier prévisionnel des négociations fixe les premières réunions d'information à la mi juillet, pour le CE HPCCF, et au 8 septembre pour les CE HPF et EDS. Les transferts des salariés HPF ou HPCCF chez EDS se ferait le 1er novembre 2009. Le même mois s'ouvrirait le volontariat chez HPCCF et, en janvier 2010, le volontariat chez HPF et EDS. (...)
(07/07/2009 16:51:54)Facebook vise les 500 M$ de chiffre d'affaires en 2009
Facebook, le site communautaire aux 200 millions de membres, sera-t-il un jour rentable ? Oui, selon Marc Andreessen, membre du conseil d'administration de la société depuis un an. Dans un entretien accordé à Reuters, le créateur de Mosaic (premier navigateur Internet) et de Netscape affirme que Facebook devrait réaliser un chiffre d'affaires de 500 M$ en 2009 et que dans cinq ans les revenus du site se compteront en milliards de dollars. D'après Marc Andreessen, Facebook aurait même déjà dû franchir la barre du milliard de revenus si la société s'était davantage mobilisée pour monétiser son audience. Il estime néanmoins que Facebook (au même titre que Twitter, dans lequel il a investi) a eu raison de se concentrer sur sa base utilisateurs pour l'étoffer, sans être obnubilé par l'argent comme l'a fait MySpace. Longtemps chouchouté par les internautes, le réseau social racheté en juillet 2005 par le milliardaire Rupert Murdoch (pour 580 M$) a trop mis l'accent sur la vente de publicités et a négligé le développement de sa plateforme, entrouvrant une brèche dans laquelle Facebook n'a pas manqué de s'engouffrer. Marc Andreessen vient par ailleurs de lancer un fonds d'investissement avec Ben Horrowitz, son associé depuis des années. Ce fonds est doté d'un capital de 300 M$. Il servira à financer des jeunes pousses du secteur IT, à hauteur de 300 000 $ pour les sociétés qui viennent de se lancer et de 15 M$ pour celles qui sont déjà bien positionnées. Au cours de sa carrière de mentor, Marc Andreessen a notamment investi dans les réseaux sociaux Ning, LinkedIn et Digg. Depuis le décollage de l'audience de Facebook, de nombreux investisseurs ont injecté des millions de dollars dans le site, comme Microsoft (240 M$), les fonds Accel Partners et Peter Thiel, le milliardaire chinois Li Ka-Shing (60 M$) ou encore le Russe Sky Digital Technologies (200 M$ en mai dernier). Le site communautaire a toujours refusé de communiquer le moindre résultat financier. (...)
(07/07/2009 16:34:07)Une pénurie de disques durs menace les constructeurs de PC portables
L'été sera chaud pour les constructeurs de PC portables. La faute à une pénurie de disques durs dévolus aux machines nomades que les fabricants n'ont su anticiper et qui pourrait obérer les résultats des spécialistes des notebooks. Nos confrères de Digitimes rapportent ainsi les constatations des distributeurs taiwanais GMI Technology et Weikeng Industrial, selon lesquels les principaux fabricants de disques durs pour portables - Hitachi, Western Digital, Toshiba - n'ont su anticiper une demande pour leurs produits qui n'a cessé de croître depuis quelques mois. Au contraire, ils ont frappé leurs prévisions du sceau de la prudence et ont adapté leur production au ralentissement du marché observé l'hiver dernier. Le fait que la demande émanant des constructeurs de portables ait été forte au printemps n'a pas suffi à ce que les capacités de production augmentent en conséquence, les spécialistes du stockage ayant fait montre d'une certaine inertie dans la reprise de leur production. Digitimes cite notamment le cas des disques Toshiba de 250 Go que les constructeurs de netbooks et notebooks réclament mais que le fournisseur souffre à livrer. La pénurie sur le marché du stockage pour ordinateurs portables est également alimentée par la récente décision de Samsung de se retirer du marché des disques durs magnétiques de 1,8 pouce au profit des SSD. Cette tendance risque fortement de nuire aux spécialistes des laptops dont la production se trouve conditionnée par les capacités de livraison des fournisseurs d'unités de stockage. In fine, les constructeurs pourraient ainsi voir leur chiffre d'affaires du troisième trimestre affecté. (...)
(07/07/2009 15:43:56)USI 2009 : Des scénarios d'avenir à l'usage des DSI
« Les prévisions sont difficiles, surtout lorsqu'elles concernent l'avenir. » La maxime de Pierre Dac a une nouvelle fois été illustrée la semaine dernière, par Antoine Gourévitch, directeur associé du Boston Consulting Group, et François Hisquin, directeur général d'Octo Technology, qui ont réfléchi avec des DSI à des « futurs possibles » de notre environnement, qui auront des impacts énormes sur la configuration des systèmes d'information... et sur la viabilité des entreprises. La seconde journée de l'Université du SI d'Octo Technology avait commencé sous les meilleurs auspices, le généticien Albert Jacquard invitant les participants à réfléchir à leur rapport aux autres, à « profiter de cette période de mutation pour mieux organiser les rencontres », et à abandonner notre culture de la compétition qui dresse les êtres humains les uns contre les autres : « A partir du moment où je veux faire quelque chose mieux que vous, je deviens incapable de vous rencontrer. » François Hisquin et Antoine Gourévitch ont pour leur part clos cette journée, dense en sessions techniques et stratégiques (cf. nos liens ci-dessous), en invitant les gens à examiner quatre scénarios d'avenir pour l'informatique, et à en distinguer aujourd'hui les signes précurseurs. Un avenir de fusions-acquisitions mettant les entreprises à la merci de trois géants Comme nous l'avait confié François Hisquin, cette dernière présentation de la journée était une gageure, car il s'agissait de rendre compte d'un atelier s'étant déroulé la veille, avec des DSI de grands groupes, tels que Generali, Axa, Thalès, Calyon, Danone, Carrefour... Toutefois, si les DSI ont en effet planché plusieurs heures sur le sujet, Octo et le BCG avaient largement préparé le terrain, mettant au point les quatre hypothèses. Dans la première hypothèse, nommée « Big is beautiful », Octo et le BCG imaginent que « le marché s'est consolidé autour de trois géants : IBM, Oracle et ATSys (fusion d'AT&T et d'Infosys) », qui se répartissent respectivement la finance, l'industrie et la high-tech. Du coup, tout est externalisé et le DSI n'est plus qu'un gestionnaire de contrats... pressuré. Exemple de clause : « Le client versera durant toute la durée du présent contrat une redevance égale à 5% de son chiffre d'affaires. Durant les 15 années suivant la rupture du présent contrat, le client versera au prestataire un dédit égal à 2% de son chiffre d'affaires. » Comme l'a souligné sur scène François Hisquin, les clients SAP, qui subissent actuellement la hausse de la maintenance, ont ri jaune à la lecture de ce scénario. AppStore et Green Detox : les scénarios les plus probables aux yeux des DSI [[page]] Le deuxième scénario, nommé « AppStore », imagine un monde déstructuré : les informaticiens peuvent faire fortune chez eux en inventant des logiciels, qu'ils proposent sur une plateforme en ligne née de la fusion de Google et d'Apple. De leur côté, les directions métier picorent les logiciels dont elles ont besoin sur cette plateforme, ou au pire composent des services à partir de ce qui y est proposé, réalisant « un système d'information à la demande ». Les offres de Google, Salesforce, et de bien d'autres en Saas (Software as a service, services applicatifs accessibles en ligne) préfigurent ce que cela pourrait devenir. Bien entendu, le poste de DSI n'est plus nécessaire dans cette configuration. Des mesures simples pour anticiper la taxation des ressources énergétiques Le troisième scénario présenté, « Green Detox », est apparemment celui qui a le plus fait réagir. Il imagine les conséquences d'une « guerre de l'eau » au Proche-Orient, ayant entraîné la décision de diviser par trois la consommation énergétique mondiale, et une politique de taxation drastique de l'IT. Dans cette hypothèse, « la recherche Google est taxée à 5$ » et tout le monde cherche le moyen d'écrire des programmes qui consomment le moins de ressources possibles. Ainsi, « SAP qui a sorti une version 'Logan' de son ERP prend des parts de marché »... De leur côté, les DSI mutualisent au maximum. Ceux qui ont planché sur le scénario l'ont apparemment jugé très plausible, puisque Antoine Gourévitch a rapporté que plusieurs ont fait part de leur décision de prendre des mesures proactives en matière de Green IT : inventorier les systèmes pour détecter ce qui est sous-utilisé, arrêter de refroidir les datacenters à moins de 20°C, placer des indicateurs sur les dépenses carbone... Le quatrième et dernier scénario, « Reboot », joue à se faire peur : « La généralisation d'un activisme anticapitaliste fait suite à la crise financière. Les virus 'Spoutnik' et 'Longue Marche' se sont combinés, ce qui a entraîné l'effacement de 30% des données des centres de calcul et empêché l'Internet de fonctionner pendant 8 semaines. » S'ensuivent faillites en série, réinternalisation des infrastructures IT pour plus de sécurité, résurgence des technologies propriétaires... Soit qu'il fasse trop peur, soit que les DSI s'estiment à l'abri, ce scénario n'a guère soulevé de commentaires. « L'incertitude doit être explorée, car elle est source d'opportunités » Si l'exercice peut paraître vain, il est en fait essentiel pour le développement à moyen et long terme des entreprises, ont fait valoir François Hisquin et Antoine Gourévitch. Pour le DG d'Octo Technology, une telle approche aurait peut-être permis à DEC de perdurer. En 1977, le dirigeant de Digital, Ken Olsen, expliquait qu'il ne voyait aucune raison pour que les gens aient un ordinateur chez eux. Comme le rappelle Luc de Brabandère, directeur associé de BCG et inventeur de la méthode, en préambule d'un document remis à tous les participants ce jour-là, « il est probable qu'aucun de ces scénarios ne se produise, car ce sont des caricatures de l'avenir ». Néanmoins, dit-il, cette incertitude doit « être considérée et explorée, car elle est source d'opportunités ». « En plus du ''probablement que'' qui mobilise vos réflexions quotidiennes, il faut faire de la place aux ''mais au fond si...'' qui vous aideront dans les décisions de demain à prendre dès aujourd'hui. » (...)
(07/07/2009 12:23:29)SQLI se convertit au SaaS avec son offre de dataroom électronique
Destinée aux secteurs de la finance et de l'immobilier, l'offre de dataroom électronique de SQLI est désormais proposée en mode SaaS. Plusieurs formules de location ou d'abonnement sont déclinées pour accéder en ligne à une ou plusieurs salles virtuelles adaptées à la mise à disposition sécurisée de documents confidentiels. Ces datarooms en ligne sont par exemple utilisées par les banques d'affaires, les cabinets de conseil, les études notariales ou les fonds d'investissement dans le cadre d'opérations de fusion/acquisition, de cessions d'actifs immobiliers, d'appels d'offres, de LBO, etc. Il est possible de stocker, dans un de ces espaces sécurisés, de 1 000 à 50 000 documents, voire davantage, pour faciliter les échanges d'informations entre des vendeurs et des acquéreurs potentiels. Pour encadrer son entrée sur le marché des solutions en ligne, « SQLI a constitué en début d'année une agence SaaS qui travaille de manière transversale pour le groupe », explique Olivier Larribe, directeur du développement Solutions SaaS. La SSII française compte développer d'autres offres en ligne, pour ses propres besoins ou pour le compte de tiers. La mise à disposition d'une salle virtuelle en 48h La transposition de l'offre de dataroom vers le mode SaaS s'est faite en deux temps. Il y a eu d'abord une refonte ergonomique du logiciel, puis l'application a été portée dans une architecture multitenant. « L'application a fortement évolué. Les projets de dataroom se gèrent sur un seul écran, en utilisant notamment des fonctionnalités de glisser/déposer », détaille Olivier Larribe, précisant que le client peut désormais gérer seul des fonctions qui nécessitait auparavant une intervention de la SSII : ajouter des rubriques ou des dossiers, créer de nouveaux utilisateurs, ajouter des documents, ouvrir une dataroom pour un intervenant pendant une période déterminée, ou bien la désactiver. La mise à disposition d'une salle virtuelle se fait en 48 heures dès que le client a fourni l'arborescence des rubriques qu'il souhaite voir apparaître et précisé le nombre d'utilisateurs. Pour 3 990 euros HT, on accède pendant trois mois à une dataroom où peut être chargé un nombre illimité de documents. Le tarif est dégressif pour trois ou cinq projets. Quant à la formule d'abonnement, elle permet d'utiliser un nombre illimité de datarooms sur six ou douze mois, pour 3 750 €HT ou 3 250 €HT par mois. « Le client peut également acheter les sources de l'application pour l'installer en interne », rappelle Olivier Larribe. (...)
(07/07/2009 11:00:27)EMC augmente à nouveau son offre pour acheter Data Domain
EMC ne renonce pas à mettre la main sur Data Domain. Malgré le refus catégorique opposé par le spécialiste de la déduplication, il y a trois semaines à EMC, Joe Tucci, patron du prétendant éconduit, a surenchéri hier en proposant 2,1 Md$, soit 200 M$ de plus que l'offre de NetApp . De quoi couvrir largement les frais qu'entrainerait un éventuel revirement de situation. Si les actionnaires de Data Domain rejetaient la proposition de NetApp, déjà approuvée par le conseil d'administration, l'éditeur devrait en effet verser 57 M$ à titre de dédommagements. Joe Tucci a insisté encore une fois sur le fait que son offre est formulée uniquement en espèces, alors que celle de son rival combine numéraire et titres. En grand habitué des acquisitions, le patron d'EMC affirme qu'il est capable de conclure l'affaire beaucoup plus rapidement que NetApp. Dan Warmenhoven, PDG de NetApp, a immédiatement réagi en indiquant que la société allait « soigneusement examiner toutes les options » et qu'elle allait « réviser son offre » dans les jours qui viennent. NetApp vient par ailleurs de recevoir l'aval de la SEC (la commission américaine des opérations en bourse) pour procéder au rachat de Data Domain. Les actionnaires de la société devront trancher le 14 août prochain. (...)
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