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(07/05/2009 17:54:25)

Citrix revisite toute son offre virtualisation

Même superbe, l'annonce du support de l'iPhone comme client léger n'est que la cerise sur le gâteau de nouveautés que Citrix a présenté à sa conférence Synergy à Las Vegas. L'éditeur a aussi pré annoncé d'autres évolutions de son offre, toutes orientées vers la virtualisation, comme il se doit. Citrix a ainsi fait la démonstration technologique d'une version virtualisée de NetScaler, son cache/accélérateur d'applications Web. L'actuel NetScaler MPX, qui utilise du matériel dédié, continuera d'être proposé dans le cadre de déploiements d'envergure. L'appliance virtualisée VPX visera les configurations moins exigeantes. MPX et VPX pourront cohabiter dans une même infrastructure. VPX est promis d'ici la fin de l'année. XenServer 5.5 se voit enrichi d'un répartiteur de charge (load balancing) et de l'intégration d'Active Directory de Microsoft. Citrix promet la mise à disposition d'ici la fin de l'année d'un switch virtuel, probablement comparable à celui présent dans vSphere, l'offre de son concurrent VMware. Citrix fait aussi passer sa suite d'administration Essentials en version 5.5. Le fournisseur revendique plus d'une vingtaine de participants à Storage Link, son programme de certification des solutions de stockage avec la suite d'administration Citrix Essentials. Tous les grands noms y figurent, à l'exception, semble-t-il, de Sun, de Cisco et d'IBM. A noter que les efforts d'administration de Citrix excluent les environnements VMware. L'éditeur se concentre exclusivement sur le sien et celui de Microsoft. Citrix a aussi pris langue avec Amazon pour interfacer C3 (Citrix Cloud Center) - suite pour la suite qui intègre XenServer, NetScaler, XenApp et XenDesktop- avec les API d'Amazon Web Services. (...)

(07/05/2009 16:09:01)

AMD simplifie son organisation autour de quatre pôles

Après s'être séparée de ses unités de production, AMD poursuit sa réorganisation. Entamée il y a près de trois ans, cette restructuration est la conséquence du rachat d'ATI, le fabricant de puces graphiques ATI, pour un montant de 5,4 Md$. Le fondeur réunit les activités CPU (microprocesseurs) et GPU (graphiques) d'AMD et d'ATI au sein de deux mêmes entités. AMD compte désormais quatre divisions. Rick Bergman (vice-président senior, ancien responsable des produits graphiques chez AMD) pilotera la division Produits et se chargera de la fusion entre processeurs centraux et graphiques des deux marques. Chekib Akrout se chargera du pôle R&D au sein d'Advanced Technology Group, Nigel Dessau s'occupera du marketing, et Emilo Ghilardi des relations avec la clientèle. Cette réorganisation laisse sur le tapis une victime remarquée, Randy Allen. Employé par AMD depuis 24 ans, il avait pris la place de Mario Rivas à la tête du groupe Computing solutions après la réorganisation de mai 2008. Aucune précision n'a été donnée pour expliquer son départ. (...)

(07/05/2009 15:35:16)

Ventes de PC : stagnation du marché européen au premier trimestre

Selon Gartner, le marché européen de la micro-informatique a connu une très légère hausse (+0,7%) des livraisons de PC avec 15,3 millions d'exemplaires écoulés au premier trimestre 2009. En revanche, bien que Gartner ne communique pas les données en chiffre d'affaires, celui-ci a dû nettement baisser. Ce sont, en effet, les netbooks à bas prix et, plus généralement les portables, qui ont dopé les livraisons d'ordinateurs de ce trimestre. Rien d'étonnant à ce que les spécialistes de ce type de machines enregistrent une forte hausse des livraisons : Acer avec +31% (il détient 22% des parts de marché), Toshiba avec +20% (7% du marché) et Asus, +43% (5% du marché). Acer surfe avec maestria sur la vague des portables et netbooks. Avec plus de 3,3 millions de machines livrées, il talonne HP (numéro un avec presque 3,5 millions d'exemplaires) qui progresse toutefois plus vite que le marché. A l'inverse, le marché professionnel a plongé de plus de 20% avec, en corollaire une chute très nette des ventes de machines de bureau. C'est Dell, surtout présent sur ce marché et moins bien positionné que ses concurrents sur le créneau des portables qui paye le prix le plus cher : -22% sur des livraisons qui s'élèvent à 1,6 million d'unités. En France, les portables pèsent 64% du marché Au niveau géographique, c'est la baisse de 5,1% du marché britannique à 3 millions d'exemplaires qui plombe l'ensemble du marché européen. Avec la livraison de près de 2,5 millions d'ordinateurs, le marché français a progressé de plus de 3% en volume. Acer (+18%, 26,5% du marché) se hisse à la première place. Il devance HP (-0,4%, 23% du marché) et Dell (-20%, 10% du marché). Mais c'est Toshiba qui a connu la plus forte croissance (+33%). En France, le marché a enregistré une hausse 18% des livraisons de portables qui pèsent désormais 64% du marché. A eux seuls, les 253 000 netbooks livrés représentent 18% du marché des portables. Asus, qui avait profité l'an dernier des ventes sponsorisées de netbooks par les opérateurs de télécommunications, essuie une baisse de 10% de sa part de marché et disparaît des cinq premières places du classement. Gartner anticipe un deuxième trimestre hexagonal moins bon que le précédent. (...)

(07/05/2009 15:15:35)

SAP rachète Highdeal, spécialiste français des logiciels de tarification complexe

L'éditeur d'ERP SAP vient d'annoncer le rachat de l'éditeur français Highdeal, spécialisé dans les logiciels de tarification complexes et de valorisation conçus en particulier pour les opérateurs télécom. Ses solutions permettent entre autres de monétiser les transactions commerciales en temps réel et de prendre en compte un grand nombre de transactions impliquant de multiples partenaires. SAP compte intégrer ces logiciels au sein de ses propres applications de facturation. Issu des laboratoires de R&D de France Télécom, Highdeal a démarré son activité en 2000 en développant pour les opérateurs de télécommunication des solutions de facturation qui ont pu s'étendre à d'autres secteurs, tels que les médias, les services financiers, le transport et la logistique ou encore les services publics. La société est installée à Caen et à New-York, compte 90 collaborateurs et a constitué une base installée de 200 clients dans le monde. La semaine dernière, lors de l'annonce de ses résultats trimestriels, ponctués par un recul de 33% sur ses ventes de licences, SAP avait indiqué qu'il disposait de liquidités pour réaliser les acquisitions qui lui sembleraient opportunes. (...)

(07/05/2009 12:52:20)

Les patrons de l'IT française face à la crise #3: Bertrand Diard, patron et cofondateur de Talend

La crise peut-elle un accélérateur pour l'Open Source ? La réponse est clairement oui, pour Bertrand Diard, patron et cofondateur de Talend, éditeur du premier ETL en Open Source. Destiné au départ à fournir un outil léger et gratuit pour des besoins d'extraction, de transformation et de chargement de données, l'offre de Talend a largement évolué, la start-up connaissant le succès grâce au Web et à de nombreux accords commerciaux. Ce sentiment que la crise pourrait donner un bon coup de projecteur à l'Open Source était d'ailleurs plutôt partagé lors du Salon Solutions Linux (voir notre dossier). C'est dans le cadre de notre série d'entretiens vidéos de patrons français de l'IT que nous sommes allés poser cette question de la crise à Bertrand Diard. Face aux annonces de licenciements massifs dans le secteur IT, principalement aux Etats-Unis mais aussi en France, nous avons voulu savoir comment les entreprises IT françaises réagissent. Les patrons de l'informatique hexagonale racontent ainsi comment leurs sociétés vivent cette période difficile, comment elles font évoluer leur politique de ressources humaines en conséquence et enfin, comment elles utilisent les mesures mises en place par le gouvernement pour faire face. Après Viviane Ribeiro, présidente de Lefebvre Software, puis Rafi Haladjian, patron et cofondateur de Violet, fabricant du célèbre lapin connecté Nabaztag, nous vous proposons de passer 7 minutes en compagnie de Bertrand Diard, de Talend. (...)

(07/05/2009 12:30:35)

Twitter n'est toujours pas à vendre, selon son PDG

Biz Stone, co-fondateur et PDG de Twitter, a dû de nouveau faire taire hier les rumeurs : non, le site de micro-blogging n'est toujours pas à vendre. Après Facebook puis Google, c'est le nom d'Apple qui circulait ces derniers jours au sujet d'un éventuel rachat, pour un montant de 700 M$ (contre 500 M$ proposés par Facebook). « La société a [seulement] deux ans, nous avons encore tellement de choses à faire, à modifier », a insisté Biz Stone sur le plateau de la chaine de télévision ABC. Le Californien cherche notamment à trouver un moyen de monétiser son audience et de rentabiliser son activité. Une énigme que Facebook, LinkedIn et les autres réseaux sociaux ne sont pas encore parvenus à résoudre en six ans d'existence. Il faut dire que Twitter est un service gratuit d'envoi de messages courts (140 caractères maximum) à un réseau d'amis. Phénomène culturel, celui-ci emporte de plus en plus de succès auprès du public et même de personnalités politiques comme la secrétaire d'Etat au Développement de l'économie numérique Nathalie Kosciusko-Morizet ou l'équipe du président américain Barack Obama. Selon Nielsen Online, un cabinet de mesure du trafic Internet, Twitter a enregistré plus de sept millions de visiteurs uniques en février dernier, contre seulement 475 000 un an plus tôt. Pas étonnant donc que des grands d'Internet se penchent sur son avenir ou lancent des services similaires, à l'instar de Microsoft et son service Vine, présenté le 29 avril dernier. (...)

(06/05/2009 17:23:35)

Micro Focus rachète Borland et les outils de test de Compuware

Cette fois, c'en est vraiment fini de l'aventure de Borland : après la filialisation des outils de développement dans Codegear et leur reprise par Embarcadero, voici que Borland, qui s'était recentré sur les outils de gestion du cycle de vie applicatif, est racheté par Micro Focus pour environ 75 M$. Le même jour, l'éditeur d'outils de modernisation des applications mainframe annonçait aussi l'acquisition des activités de test de Compuware, pour environ 58 M$.

Les deux rachats, effectués en cash, ont été annoncés simultanément avec quelques informations financières suivant la clôture de l'exercice fiscal de l'éditeur au 30 avril ; Micro Focus devrait afficher un chiffre d'affaires en hausse de 20% à 228,2 M$. De leur côté, Borland pèse 172 M$ de chiffre d'affaires (mais a perdu plus de 200 M$ en 2008) et Compuware Testing & ASQ Business 74 M$ (pour un bénéfice avant impôt de 5 M$).

Le but de ces rachats, explique Micro Focus, est de prendre une position solide dans le marché du test logiciel et de l'assurance qualité, évalué à 2 Md$, et qui bénéficie de projections optimistes de la part des analystes. Jusqu'alors, Micro Focus ne comptait dans ce domaine que sur son produit Data Express.

40 M$ pour restructurer ce qui reste de Borland

Pour l'intégration de ces nouvelles acquisitions, Micro Focus prévoit déjà une charge exceptionnelle de restructuration de 40 M$ pour Borland, et de 7 M$ pour l'activité tests logiciels de Compuware. L'éditeur commence à avoir une certaine habitude dans ce domaine ; ces trois dernières années, Micro Focus a absorbé 5 sociétés, dont Acucorp et Netmanage.

Fondé en 1983, notamment par le Français Philippe Kahn, Borland a produit plusieurs outils cultes pour les développeurs, dont Delphi, C++ Builder et Jbuilder. L'éditeur a toutefois tardé à réagir au moment de la montée en puissance d'Eclipse, et a finalement décidé de jeter l'éponge, abandonnant le marché des développeurs pour celui des directions informatiques, avec un discours axé sur la maîtrise des projets de développement (ALM, Application lifecycle management). Il avait renforcé son offre de test et d'assurance qualité en procédant lui-même à des acquisitions en 2006 : Segue Software et Gauntlet. Delphi et JBuilder survivent aujourd'hui comme des outils accessibles à la demande.

(...)

(06/05/2009 17:05:27)

Microsoft supprime encore 3000 postes et pourrait aller au-delà

Dans un mail adressé à l'ensemble des salariés, Steve Ballmer a confirmé hier que Microsoft poursuivait le plan de suppressions de postes présenté en janvier dernier et pourrait même aller plus loin. L'éditeur avait annoncé qu'il allait tailler dans les effectifs à hauteur de 5%, soit environ 5 000 postes. La deuxième charrette devrait toucher 3000 personnes dans le monde, qui s'ajoutent aux 1 400 déjà remerciées en début d'année. Steve Ballmer a indiqué qu'il allait surveiller de près l'impact de la récession économique sur le groupe et que de nouvelles décisions pourraient être prises, sans toutefois préciser quel délai de réflexion il se donnait. Initialement, ce plan de restructuration devait s'étaler sur 18 mois, mais il est fort probable que Microsoft atteigne ses objectifs avant, sans doute pressé par les mauvais résultats du troisième trimestre 2009. Pour la première fois depuis sa création, il y a 23 ans, Microsoft a vu son chiffre d'affaires baisser (-5,6%), et ce malgré les mesures de réduction des coûts mises en place en octobre 2008. Peu touchée par cette deuxième vague, la filiale française de Microsoft ne s'émeut pas de cette annonce. Seuls deux postes (à envergure internationale) sont concernés sur les 1 300 que compte l'éditeur dans l'Hexagone. « Les personnes touchées seront reclassées, comme en janvier », indique Pascal Vaché, délégué syndical CFTC et représentant du personnel chez Microsoft France. Selon lui, la France dispose par ailleurs d'un statut particulier auprès de Microsoft, car cette filiale reste rentable avec une croissance du chiffre d'affaires de l'ordre de 10%. (...)

(06/05/2009 16:45:38)

3% du plan de relance finalement consacrés au numérique

Très attendues, les premières mesures liées au numérique du plan de relance de l'économie française ont été annoncées ce mercredi matin en conseil des ministres. Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d'Etat au développement de l'Economie numérique, et Patrick Devedjian, ministre chargé de la mise en oeuvre du plan de relance de l'économie française, ont présenté trois leviers qui devraient "inscrire résolument notre pays dans la sortie de crise par l'innovation et les secteurs d'avenir". Le volet le plus important concerne l'accélération du déploiement du très haut débit. La Caisse des dépôts et consignations devra consacrer 250 M€ par an sur trois ans et prendre l'initiative de mobiliser des acteurs sur le terrain afin de doubler l'objectif, de 4 à 8 millions, du nombre de prises en fibre optique d'ici à 2012. Les deux autres mesures regardent "le domaine de l'innovation et les usages", et prennent la forme d'appels à projets, dotés de 50 M€ au total. Nathalie Kosciusko-Morizet souhaite ainsi "développer une politique volontariste en faveur du 'serious gaming', utilisation de techniques issues du jeu vidéo pour réaliser des outils professionnels. [...] 30 millions d'euros seront consacrés à la réalisation de projets de 'serious gaming' dans le domaine de l'éducation, de la formation et de la défense, portés par des studios de jeu vidéo et leurs clients". Le 'serious gaming' est en effet en plein développement aux Etats-Unis, sous l'impulsion notamment du Pentagone. Dans son essai sur le 'storytelling', ou "l'art de fabriquer des histoires et formater les esprits", Christian Salmon décrit très bien comment le ministère américain de la Défense s'en est emparé pour préparer ses officiers à la situation en Irak. Du Web 2.0 dans la communication gouvernementale Le Web 2.0 a eu également droit de cité au conseil des ministres, le volet numérique prévoyant 20 M€ pour des projets "permettant la mise en place de solutions collaboratives dans le domaine des services mobiles et de l'accès aux données publiques". Certainement inspirés par le site mis en place par l'équipe Obama, les ministres expliquent que ces projets représenteront "un complément intéressant d'un effort de modernisation de la communication institutionnelle de nombreux secteurs, dont l'administration". Au total, le volet numérique représente donc 800 M€ sur un plan de relance de 26 Md€, soit 3% des dépenses. Christine Balagué, présidente de l'association Renaissance numérique, qui critiquait l'absence d'un volet numérique dans le plan de relance, salue ce premier effort... tout en attendant la suite. "Sur le haut débit, cela n'a rien à voir avec un vrai plan de relance, indique-t-elle. Et sur les usages, nous qui nous battons pour réduire la fracture numérique, nous sommes très déçus." Christine Balagué aurait ainsi aimé voir des mesures en faveur des seniors : "Plus ils sont équipés, moins ils occasionnent des dépenses de santé, et plus ils font appel aux services de proximité." De même, "une filière de reconditionnement, qui coûterait 1 M€, permettrait d'équiper les foyers défavorisés et serait créateur d'emplois non qualifiés, pour des gens en réinsertion sociale". Si elle juge les mesures prises sur le 'serious gaming' et le Web 2.0 intéressantes, Christine Balagué attend donc des mesures visant davantage à réduire la fracture numérique en permettant à davantage de Français de s'équiper et de se connecter à Internet. "Le numérique est un outil anti-crise, souligne-t-elle. Pour essayer de trouver un emploi, pour optimiser ses achats, ou encore pour maintenir un lien social." NB : cet article a été retouché pour donner la somme entière sur trois ans consacrée au volet numérique. (...)

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