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(05/12/2008 15:07:46)

Les mémoires plombent le secteur des semiconducteurs

Si la santé de l'industrie des semiconducteurs préfigure celle de l'informatique, les données préliminaires d'iSupply pour 2008 n'augurent rien de bon pour les mois à venir. Le secteur des semiconducteurs devrait finir l'année sur une baisse de son CA de 2%. La faute aux mémoires, dont le CA dégringole de près de 17%. Exception faite de ces composants qui pèsent près de 18% du CA du secteur, la croissance eût été de 2%. Autrement dit, le marasme sur le marché des mémoires, qui conjugue surproduction structurelle et retournement de conjoncture, n'est pas le seul responsable de la crise de cette industrie. Alors qu'ils ne sont pas tous producteurs de mémoire, le CA 2008 annuel de six des dix premiers acteurs du secteur est prédit en baisse. Texas Instruments, Renesas Technology et Sony figurent sur cette liste. Ce sont cependant les producteurs de mémoires qui subissent les baisses les plus fortes : le CA du Coréen Samsung, numéro un, est annoncé en baisse de plus de 9%, celui de Toshiba de près de 6%,. Derrière eux, c'est la débandade : Hynix et Nanya - 29%, Powerchip Semiconductor - 23,4%. La palme revient à Qimonda, filiale à 77% de l'Européen Infineon, avec un effondrement de plus de 40%. Deuxième année consécutive de baisse pour les mémoires [[page]]2008 va être la deuxième année de baisse (-17%) pour le secteur des mémoires, après les -4% de 2007. La nouveauté de cette année, c'est la première baisse de la demande dans l'histoire des mémoires Flash NAND. Ces -13% pèsent lourd dans le bilan général, aux côtés des -20% des DRAM, des -16% des SRAM et des -16% des Flash NOR. iSupply suggère de relativiser la crise actuelle sur les mémoires en se rappelant les - 48% subis en 2001. Au détail près que la dégringolade de l'époque faisait suite au bond de 43% enregistré en 2000... Dans le monde des microprocesseurs, une hausse de 5,7% est annoncée pour 2008, avec +0,4% pour Intel. Le marché des contrôleurs (+3,3%) et celui des Asic (+3%) évoluent aussi à contre-courant. Au maigre chapitre des bonnes nouvelles, iSupply distingue aussi deux sociétés, Qualcomm et Broadcom. Ces deux acteurs sur le marché des composants pour les technologies sans fil s'acheminent vers des croissances annuelles respectives de 19,6% et 26,4%. A leur positionnement sur un des rares secteurs en croissance s'ajoute le fait qu'elles sous-traitent la fabrication de leurs produits. (...)

(05/12/2008 14:34:29)

Accord de licence autour du papier électronique entre Seiko et Nemoptrics

Seiko a passé un accord de licence avec le Français Nemoptrics : il fabriquera désormais des écrans en s'appuyant sur sa technologie de papier électronique « BiNem ». Basée sur les travaux du prix Nobel (1991) Pierre-Gilles de Gennes sur les polymères et les cristaux liquides, cette technique permet aux écrans de conserver leur affichage sans consommer d'énergie et peut s'intégrer très facilement dans une ligne de fabrication d'écran LCD déjà existante. Dans un premier temps, Seiko utilisera la technologie BiNem pour concevoir des étiquettes électroniques, plutôt que de se lancer dans l'aventure des livres électroniques aux débouchés plus hasardeux. Dans un premier temps, Seiko va adapter deux usines (une au Japon et une en Chine) pour produire mensuellement 100 000 affichages utilisant la technologie BiNem. (...)

(05/12/2008 14:32:15)

Annuels Novell : Microsoft est un bon apporteur d'affaires pour Linux

Les accords passés par Novell avec Microsoft lui ont attiré l'inimitié de beaucoup d'acteurs du Libre, mais aussi beaucoup d'opportunités pour le business. L'éditeur vient de présenter ses résultats annuels et, si Novell n'est pas encore dans une santé florissante, la stratégie en cours - revenir à un métier d'éditeur épaulé par des partenaires - semble commencer à porter ses fruits. Vus de haut, les résultats sont plutôt étals, le chiffre d'affaires stagnant un peu en deçà du milliard de dollars (ce qui était prévu par la direction et annoncé à la Bourse), et les pertes se réduisant quelque peu. Mais cela cacherait quelques bonnes nouvelles. Novell souligne ainsi que sa marge opérationnelle, proche de zéro selon les normes GAAP, atteint 10% si on la mesure en « non-GAAP », comme le fait la direction de l'entreprise « pour évaluer les performances ». Et d'ajouter que même avec la crise économique, l'objectif est au minimum de conserver ce niveau de marge opérationnelle en 2009. Bonnes performances de la ligne produits, baisse plus forte que prévu dans les services Christophe Therrey, directeur général de Novell France, voit d'autres raisons de se montrer optimiste. Il cite les bonnes performances de ses lignes de produits d'administration de systèmes et de gestion de la sécurité et des identités (cf. le tableau ci-dessous pour les détails), et surtout le fait que la ligne de produits Linux ait crû plus vite que le marché (« 38% contre 22% ») notamment en ayant « pris des parts de marché à Red Hat ». Chose surprenante, la baisse des revenus pour la partie collaborative (services NetWare, messagerie Groupwise...) est plutôt contenue par rapport à ce qu'avait prévu Novell. « D'ailleurs, alors que la 'Corp' anticipait une baisse de ce revenu d'environ 13%, en France on fait de la croissance », indique Christophe Therrey. Au final, « le chiffre d'affaires des lignes produits a crû d'environ 8% sur l'année », se réjouit-il. Même la baisse drastique des revenus (-20%) provenant des services n'inquiète pas Christophe Therrey. « Nous avions anticipé une décroissance, dit-il, et elle est un peu plus rapide que prévu. Mais cela fait partie d'une stratégie délibérée : nous passons sur un modèle tourné vers les partenaires, et au lieu de faire du consulting nous-mêmes, nous leur donnons beaucoup d'opportunités. » Suse est entré chez HSBC ou Renault grâce à Microsoft [[page]]Si le DG de la filiale française relativise l'apport en cash de la part de Microsoft (lié aux accords de 2006 et de cet été), les sommes étant amorties sur plusieurs années, il admet volontiers que cela crée des opportunités d'affaires que Novell n'aurait pas eues autrement. Non pas que Microsoft ait directement promu Suse auprès des entreprises : « On ne peut pas demander à un commercial Microsoft de pousser Linux. » Mais « pour des entreprises qui ont à la fois une approche Linux et de bons rapports avec Microsoft, cela crée indéniablement plus d'opportunités ». Novell France a ainsi pu entrer dans des grands comptes au profit d'une consolidation des plateformes Linux sur Suse. « Ces douze derniers mois, cite Christophe Therrey : HSBC, Renault, PSA et TDF. » Impact relativement faible de la crise financière Pour 2009, la plus grosse incertitude est évidemment liée à la crise financière. Qui, semble-t-il, commencerait à peine à se faire sentir. « Honnêtement, aujourd'hui, l'impact est faible, indique Christophe Therrey. On commence juste à voir un ralentissement des investissements ; même des projets actés sont gelés, jusqu'à janvier 2009. A l'inverse, certains projets sont accélérés, les gens souhaitant dépenser leur budget 2008, ne sachant pas ce qu'ils auront en 2009. » Sans vouloir trop s'avancer sur l'année prochaine, Christophe Therrey se montre encore une fois optimiste, ressortant l'argument choc de tous les éditeurs de logiciels Open Source : « La crise peut aussi être une bonne opportunité, nous représentons une alternative plus économique. » (...)

(05/12/2008 12:58:18)

Gestion de la chaîne logistique : JDA ne rachètera pas i2 Technologies

L'éditeur américain i2 Technologies, spécialisé sur la gestion de la chaîne logistique, a annoncé hier qu'un terme avait été mis au plan de fusion engagé le 10 août dernier par son compatriote JDA Software. Début novembre, ce dernier avait notifié au Texan i2 qu'en raison de la situation économique défavorable, les conditions de crédit accessibles allaient mettre l'entité fusionnée dans un contexte de coûts et de risques inacceptable. JDA demandait alors à i2 de négocier un prix d'achat réduit pour finaliser ce rapprochement. En août, son offre initiale d'achat s'élevait à 346 M$. Certains analystes avaient dès le départ évalué que le processus d'absorption ne se déroulerait pas sans mal. En particulier Bruce Richardson, d'AMR Research, qui listait alors cinq obstacles sur le chemin de l'acquisition parmi lesquels la forte spécialisation de i2, ainsi que la forte chute de son chiffre d'affaires, de ses effectifs et du nombre de ses clients. JDA devrait verser un dédit de 20 M$ La rupture des négociations devrait conduire JDA à verser un dédit de 20 M$ à l'éditeur i2. En revanche, JDA ne souhaite pas voir la teneur des discussions entre les deux parties révélée. Dans un communiqué, Jackson Wilson, président du comité exécutif de i2, regrette l'arrêt du processus de fusion et affirme que sa société se trouve dans une situation financière solide. Son action a néanmoins chuté de 20% hier, à 6 dollars. Celle de JDA a baissé de 8% à quelque 11,50 dollars. (...)

(05/12/2008 12:37:35)

Nvidia dope le calcul haute performance à coup de processeurs graphiques

Depuis quelques temps, Nvidia martèle l'idée que ses GPU ne riment plus avec Graphic Processor Unit mais davantage avec General purpose Processor Unit. Le principe ? Ses puces, capables de traitements graphiques puissants, sont aussi capables de mener à bien n'importe quel type de calcul haute performance. Le constructeur en veut pour preuve sa dernière famille de processeurs, la gamme Tesla qui, qui malgré une architecture similaire aux puces graphiques, est destinée à entrer dans des machines que le constructeur nomme « supercalculateur » de bureau. Ces systèmes s'appuient en fait sur un quadricoeur AMD ou Intel sous Windows XP, Suse ou RHEL avec jusqu'à quatre Tesla complémentaires pour le calcul. Des puces qui incluent 240 coeurs chacune. Selon Nvidia, une telle machine devrait atteindre une performance de 4 Teraflops. Cerise sur le gâteau, les machines dopées par Tesla sont également plus économes (jusqu'à 100 fois moins chères qu'un cluster de puissance équivalente selon Nvidia) et moins gourmandes en énergie (20 fois moins d'électricité que le même cluster, toujours selon Nvidia).Parmi les constructeurs qui construisent des systèmes à base de Tesla, on trouve le français Carri, mais aussi Lenovo, Asus, Dell. Le langage Cuda pour paralléliser les applications Tesla est particulièrement adapté au traitement d'applications massivement parallèles : sismographie, imagerie médicale, simulation financière, séquençage du génome, etc. Pour adapter de telles applications, Nvidia propose son propre langage Cuda qui s'appuie sur C++ et est intégré en standard sur toutes ses puces vendues depuis mai 2005. Les développeurs devront donc réécrire leurs applications dans ce langage. Avec 25 000 développeurs l'utilisant, la base d'applications va croissant, mais il s'agit principalement de logiciels ad-hoc développés par des scientifiques pour répondre à des besoins ponctuels. Cela n'empêche pas Nvidia de promouvoir les universités et les professeurs enseignant Cuda en leur remettant des prix d'excellences généreusement dotés aussi bien financièrement que matériellement. Ainsi, l'université anglaise de Cambridge vient d'être nommée Centre d'excellence Cuda pour l'Europe et s'est vu offrir un cluster rassemblant 32 unités Tesla S1070 (soit 128 GPU), pour une performance totale de 128 Tflops. (...)

(05/12/2008 12:21:15)

Le secteur informatique boude les accords sur la gestion des compétences

Seules quatre entreprises informatiques sur mille rattachées à la branche Syntec (Études, Conseil, Informatique et Ingénierie) seraient couvertes par un accord de GPEC (Gestion prévisionnelle de l'emploi et des compétences) ! C'est ce qu'indique une étude sociodémographique de la branche des bureaux d'études réalisée par LH2 pour le compte de l'Opiiec (Observatoire paritaire des métiers de l'informatique, de l'ingénierie, des études et du conseil). Cette enquête, en cours de validation, montre en outre que 1,1% des entreprises informatiques de la branche Syntec envisagent de signer un accord de GPEC. Cette tendance se vérifie dans plusieurs secteurs d'activités, comme le conseil informatique (où 0,3% des entreprises ont signé un accord), la réalisation de logiciels (0,2%), ou le traitement des données (1,8%). La gestion prévisionnelles des emplois et des carrières ne semble pas faire partie des préoccupations de ces entreprises, puisque la quasi-totalité (89,2%) d'entre elles n'envisagent pas de signer un accord. (...)

(05/12/2008 12:09:23)

Microsoft recrute chez Yahoo pour ses services en ligne

Un ancien de Yahoo chez Microsoft. L'éditeur de Redmond vient de recruter Qi Lu pour diriger sa division Services en ligne. Une recrue qui occupait auparavant le poste de vice-président chargé des technologies de recherche et de publicité en ligne chez Yahoo, où il s'occupait plus précisément du développement des plateformes de monétisation. La division que va diriger Qi Lu - les services en ligne - rassemble la plateforme publicitaire du groupe, Hotmail, les services Live et les portails MSN. Elle a dégagé un bénéfice de 770 M$ au premier trimestre de l'année fiscale 2009, soit près de 15% de plus sur deux ans. Qi Lu a passé dix ans chez Yahoo avant de quitter la société en août dernier en compagnie de sept autres hauts dirigeants du portail. Yahoo nageait alors en plein doute, tiraillé entre la tentation d'accepter l'offre de rachat formulée par Microsoft et la volonté de son (ex)PDG, Jerry Young, de ne pas céder au chant des sirènes. Le transfuge prendra ses nouvelles fonctions le 5 janvier et sera placé directement sous les ordres de Steve Ballmer. Après l'échec de son OPA sur Yahoo, Microsoft ne peut plus compter que sur lui-même pour parvenir à s'imposer sur le terrain de la recherche - et donc de la publicité - en ligne. Une gageure quand on se rappelle le retard pris sur Google : ce dernier détient 65% des parts de marché dans ce domaine, contre seulement 9% pour Microsoft. (...)

(04/12/2008 17:01:35)

AMD anticipe un quatrième trimestre en forte baisse

Dans un communiqué, AMD annonce que son chiffre d'affaires du quatrième trimestre (qui sera clos le 27 décembre) devrait être inférieur d'environ 25% aux résultats de son troisième trimestre qui s'élevait à 1,585 Md$ (sans inclure les licences de process technologiques). Entre les lignes, cette annonce traduit aussi une déception du fondeur quant à ses attentes pour la fin d'année. La période est en effet traditionnellement plus faste que le troisième trimestre. Sans surprise, le fabricant blâme une demande plus faible que prévue dans toutes les régions du monde où il exerce son activité, en particulier sur le marché du grand public. (...)

(04/12/2008 16:31:03)

Représentation du personnel : les salariés sur site voteront dans leur SSII ou chez le client

Désormais, tous les salariés mis à disposition par une SSII, présents dans les locaux d'une entreprise utilisatrice et y travaillant depuis au moins un an, doivent être pris en compte dans le calcul des effectifs de l'entreprise (Article L. 1111-2 du Code du Travail). Syntec informatique engage ses adhérents à faire application de cette solution législative qui découle des nouvelles modalités de la loi du 20 août 2008 portant sur la rénovation de la démocratie sociale Concernant les élections des délégués du personnel, l'article L. 2314-18-1 stipule que ces collaborateurs devront avoir une condition de présence de 12 mois continus pour être électeurs et de 24 mois continus pour être éligibles. Ils devront préciser s'ils exercent leur droit de vote et de candidature dans la SSII qui les emploie ou dans l'entreprise utilisatrice. S'agissant des élections du Comité d'entreprise, le nouvel article L. 2324-17-1 édicte le principe selon lequel les salariés mis à disposition et remplissant la condition de 12 mois de présence continus peuvent être électeurs mais non éligibles dans l'entreprise utilisatrice, « afin de limiter le risque de diffusion d'informations stratégiques par un salarié mis à disposition ». Ils auront également le choix d' exercer leur droit de vote dans la SSII qui les emploie ou le donneur d'ordre. (...)

(04/12/2008 15:33:18)

Concentration en vue sur un marché des PC en proie à la crise

La crise économique pourrait conduire à la concentration de l'industrie du PC. Dans une des multiples études visant à annoncer une révision à la baisse de prévisions faites quelques mois auparavant, IDC évoque cette fois le marché des PC. Selon le cabinet, le volume des ventes ne progressera que de 3,8% l'an prochain dans le monde, contre une croissance de 13,7% envisagée jusqu'alors. Et l'écroulement de la demande, conjugué avec des prix de vente en baisse continue - notamment due au succès des netbooks, qui dégagent des marges très faibles-, pourrait déboucher sur une diminution du nombre d'acteurs jouant sur ce marché. Une consolidation qui passerait soit par le rachat de petits constructeurs par de plus grands, soit par la disparition pure et simple de certains d'entre eux. Ainsi, les fabricants pourraient être contraints de mettre leur flotte en commun pour braver le gros temps, particulièrement dans les pays émergents, estime IDC. Il y a quelques jours, c'était au tour d'iSuppli de revoir ses prévisions à la baisse. L'institut, qui pronostiquait jusqu'alors une croissance du marché des PC de 11,9% pour 2009, a abaissé ce taux à 4,3%. Le même IDC a également exercé ses prophéties pour les dépenses IT, qui ne devraient progresser que de 1,2% en Europe, contre une précédente estimation de 4%. Quant à l'Eito (Observatoire européen des technologies de l'information), il n'envisage qu'une croissance de 2% pour l'industrie IT en Europe de l'Ouest l'an prochain, contre 4% prévus auparavant. (...)

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