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(08/12/2008 18:23:32)

Plan de relance : quel impact sur les PME innovantes

Dans le plan de relance présenté jeudi 4 décembre par le président français Nicolas Sarkozy figurent plusieurs mesures qui viennent compléter le plan PME annoncé le 2 octobre, parmi lesquelles le remboursement immédiat du crédit impôt recherche. Dévoilé il y a deux mois, le plan PME prévoyait déjà le déblocage de 22 Md€ de prêts dont 5 Md€ garantis par Oséo (établissement public qui soutient l'innovation et la croissance des PME) et 17 Md€ en provenance des livrets de développement durable et d'épargne populaire. A ces dispositions s'est ajoutée, fin novembre, la décision du gouvernement de se porter garant du crédit interentreprise en créant un service de réassurance publique. Un remboursement du crédit impôt recherche étendu à toutes les PME Jeudi dernier, Nicolas Sarkozy a complété ces mesures avec une enveloppe de prêts supplémentaires de 4 Md€ qui renforce les capacités d'intervention d'Oséo. Son plan de relance prévoit également le remboursement immédiat par l'Etat des dettes aux entreprises afin d'améliorer leurs ressources de trésorerie. C'est dans ce cadre que le crédit d'impôt recherche dû au titre des années antérieures doit être entièrement restitué début 2009. La somme à restituer est évaluée dans le plan à 3,8 Md€. Elle doit concerner près de 5 000 entreprises, dont 90% de PME des secteurs du service et de l'industrie, et ira en priorité aux entreprises déficitaires ou faiblement bénéficiaires ayant une activité de recherche. Le Comité Richelieu, association française des PME innovantes, a réagi rapidement à la mesure, appréciant que ce remboursement ait été étendu à toutes les PME, alors qu'il était jusque-là réservé aux structures de moins de huit ans. Amortissement accéléré des investissements, notamment informatiques [[page]]Parmi les autres mesures visant les PME, les reports en arrière de déficits d'impôt sur les sociétés seront remboursés par anticipation en 2009 (actuellement, les entreprises peuvent imputer leurs déficits sur leurs bénéfices des 3 années antérieures mais la créance de l'Etat en résultant n'est remboursable qu'au bout de 5 ans.) L'Etat paiera, également dès le début de l'année, l'intégralité des sommes qui leur sont dues par le ministère de la Défense. A noter aussi des modifications portant sur la durée d'amortissement, notamment sur les biens dont la durée d'utilisation est de trois ou quatre ans, comme les matériels informatiques. Ainsi que, pour les TPE qui emploient moins de 10 salariés, la mise en place d'une aide temporaire pour compenser les charges patronales pour les nouveaux embauchés en 2009. Enfin, le plan prévoit d'augmenter à 20% les avances versées sur les marchés publics de l'Etat l'an prochain, sur tous les marchés supérieurs à 20 000 euros. Sur ce terrain, le Comité Richelieu rappelle que seuls 12% des marchés de l'Etat bénéficient actuellement aux PME. Pour l'association, cette mesure ne peut avoir un véritable impact sur les entreprises « susceptibles d'avoir une stature internationale » qu'avec la mise en place de l'article 26 de la Loi de Modernisation de l'Economie qui prévoit notamment de pouvoir réserver certains marchés aux PME innovantes. (...)

(08/12/2008 18:00:02)

Salesforce interface son Force.com avec l'App Engine de Google

Salesforce.com devrait annoncer qu'il interface sa plateforme de développement Force.com avec celle de Google, App Engine. Cette information que le PDG Marc Benioff devrait détailler à l'occasion d'une conférence à New York, suit un accord semblable signé récemment par l'éditeur avec Amazon autour de son cloud EC2 et de son Simple Storage Service (S3). L'App Engine de Google, qui reste en mode 'preview' est destiné aux développeurs qui souhaitent écrire rapidement et facilement des applications Web évolutives alors que Amazon Web Service (AWS) se positionne plutôt comme une plateforme d'infrastructure flexible pour servir tous types de programmes. Quant à Force.com, il fournit une base de données, un langage 'Java-like', des outils d'intégration, des capacités de workflow et des outils de conception d'interface utilisateurs pour créer des applications d'entreprise sur l'infrastructure de 'cloud' de Salesforce. Des applications à la frontière entre entreprise, front-office, réseaux sociaux... « Il faudra cependant attendre encore avant de voir le résultat de cet interfaçage entre les deux plateformes de développement », avertit Adam Gross, vice-président du marketing développeur de Salesforce. Mais dans une déclaration, Google estime, lui, que cette intégration va « encourager la création de nouvelles applications et démontrer encore davantage la puissance du Web en tant que plateforme. » « Nous parlons d'inventer des applications qui n'existent pas encore, et qui se placeront à la frontière des applications d'entreprise et des applications de front office, explique Denis Pombriant, dirigeant du cabinet Beagle Research. Ou entre ces dernières et des réseaux sociaux. Cela ouvre la porte à de véritables innovations. » Cette annonce est la dernière étape en date du partenariat entre Salesforce et Google - qui a aussi donné lieu à une intégration entre Salesforce et Google Apps - et pourrait relancer les rumeurs d'un possible rachat de Salesforce par le géant du moteur de recherche. Mais pour Denis Pombriant, ce ne serait pas une bonne idée. « Il est essentiel que les deux entreprises restent indépendantes, explique-t-il. Nous ne verrons pas arriver une vraie ère du cloud computing si tous les 'clouds' appartiennent à la même société. » (...)

(08/12/2008 17:01:15)

Vente liée : Dell rembourse un consommateur sans décision judiciaire

C'est une première dans le dossier de la vente liée : un constructeur a accepté de rembourser un consommateur, sans y être contraint par une décision judiciaire. En février 2008, Clément Hengy achète un PC portable Dell, vendu obligatoirement avec Windows Vista et une batterie de logiciels que l'acquéreur n'entend ni utiliser, ni payer. Il dénonce alors le Cluf (contrat de licence pour l'utilisateur final) et se tourne vers le constructeur pour demander le remboursement des outils non sollicités. Fidèle aux habitudes des fabricants, Dell refuse d'accéder à la demande de son client, lequel se tourne vers la DGCCRF. L'administration, qui orchestre d'interminables négociations sur le dossier de la vente liée entre les consommateurs, les constructeurs et les distributeurs, se penche sur l'affaire qui lui est soumise et constate les infractions. Entre temps, Dell a proposé à Clément Hengy de reprendre machine et logiciels et de lui rembourser l'ensemble des sommes déboursées. Une offre peu satisfaisante pour l'acquéreur, qui entreprend de mobiliser l'UFC-Que Choisir, une association de consommateurs elle aussi active sur le problème de la vente liée. Après deux courriers, l'UFC semble faire jouer son influence sur Dell : le constructeur propose à Clément Hengy un « geste commercial » de 100 € en guise de remboursement. Le client formule en réponse une contre-proposition de 180 €, une somme supérieure censée couvrir les frais de procédure. Deux jours plus tard, Dell accepte la transaction et vire l'argent sur le compte du consommateur, mettant ainsi fin à la procédure. Premier remboursement à l'amiable [[page]] Cette affaire peut paraître anecdotique. Elle illustre néanmoins un changement de comportement de la part des constructeurs. Jusqu'alors, en effet, les seuls cas de remboursement de logiciels fournis avec une machine neuve étaient consécutifs à une décision judiciaire, comme celles des tribunaux de proximité de Caen ou de Puteaux. Le remboursement effectué à l'amiable par Dell s'inscrit également dans un contexte politique de plus en plus favorable aux consommateurs. Après des prises de position contradictoires de Luc Chatel, le secrétaire d'Etat à la consommation, Eric Besson, secrétaire d'Etat à l'Economie numérique, semble avoir pris parti pour la vente découplée. Le 2 décembre, à l'occasion du Forum du Libre, il indiquait notamment la mise en place prochaine d'un groupe de travail chargé de réfléchir sur ce dossier. La vente découplée toujours inconnue des commerciaux En dépit de ces avancées, le remboursement des logiciels non désirés ne reste qu'une exception et nécessitera une action normative du législateur pour devenir monnaie courante. Nous avons tenté de passer commande d'un PC portable auprès du service commercial de Dell en expliquant que nous ne désirions pas acquérir un système d'exploitation. La conseillère, dans une explication peu convaincante, nous a assurés qu'il était « techniquement impossible » de dissocier matériel et OS, ce dernier « sortant de l'usine avec la machine ». Mais, nous a-t-elle assurés, la présence de Windows Vista sur le PC n'influe en rien sur le prix de vente : « Nos concurrents font payer un prix fou alors qu'avec nous c'est plus qu'intéressant car Windows est gratuit. » (...)

(08/12/2008 15:55:29)

Dassault Systèmes et Chanel réfléchissent ensemble sur la lumière

L'éditeur de Product lifecycle management (PLM) Dassault Systèmes signe un accord de recherche avec Chanel dans le domaine de la cosmétique. Pour les deux partenaires de cette étonnante association, il s'agit d'étudier dans un monde 3D virtuel le rendu de la lumière sur la peau en général (en fonction du type de peau, de l'âge, des conditions atmosphériques, etc.) mais aussi en fonction de l'application de certains produits. Chanel apportera bien entendu ses connaissances en cosmétique et Dassault Systèmes son savoir-faire dans les technologies 3D et la modélisation du virtuel. Le partenariat exploitera le potentiel du Design Studio Avec cet accord, l'éditeur français sort de ses activités habituelles de CAO et de PLM. Mais Dassault Systèmes touche aussi un secteur nouveau pour lui, celui de la cosmétique. Et ce, même s'il avait déjà travaillé à la modélisation du follicule de cheveu en CAO avec L'Oréal en 2002. Le partenariat annoncé aujourd'hui s'appuie une équipe mixte de chercheurs de Chanel et de Dassault Systèmes. Mais il exploitera aussi le potentiel de la nouvelle entité Design Studio de l'éditeur dont il constitue le premier projet d'envergure. Le Design Studio avait été annoncé fin novembre à l'occasion de la grand-messe parisienne de Dassault Systèmes, l'ECF. Dirigé par Anne Asensio, il réunit les designers et les ingénieurs de la R&D de Dassault Systèmes pour développer de nouvelles offres spécifiquement destinées aux designers. Un rendu réaliste du comportement de la lumière Les deux partenaires ne donnent que peu de précisions puisque le projet ne devrait pas aboutir avant 2010. Mais on sait néanmoins que, dans ce cadre, l'éditeur exploitera sa CAO 3D Catia, bien sûr, et ses applications de rendu réaliste, en particulier pour la lumière. Celle-ci est un domaine de recherche important de l'éditeur. Les algorithmes reproduisant les caractéristiques de la lumière qu'il a élaborés sont déjà utilisés dans l'industrie automobile par exemple, pour rendre le monde virtuel le plus ressemblant possible. Ces outils virtualisent la lumière et son comportement. Chanel, de son côté, a développé par exemple de nouveaux pigments pour les fonds de teint ou les rouges à lèvres qui réfléchissent la lumière en fonction des éclairages. (...)

(08/12/2008 15:18:05)

PHP 5.2.7 censé être plus stable et plus sûr, bientôt remplacé par PHP 5.2.8

Cafouillage pour la sortie de la version 5.2.7 du langage PHP. Cette mouture, destinée à stabiliser et à sécuriser ce langage de développement dynamique grâce à plus de 170 bogues corrigés, vient d'être retirée. Elle désactive "magic_quotes_gpc", un processus qui protège automatiquement les données introduites dans un script PHP. La correction, mineure, donnera lieu à la mise à disposition d'une version 5.2.8 dès la semaine prochaine. En attendant, il est recommandé de rester ou de retourner à la version 5.2.6. En ce moment même se tient à Paris le Forum PHP, jusqu'à demain soir 9 décembre (les inscriptions sont closes). (...)

(08/12/2008 12:31:29)

Un don de 900 000 $ pour simplifier Wikipedia

Simplifier l'utilisation de Wikipedia pour attirer de nouveaux contributeurs. C'est l'objectif poursuivi par la fondation Stanton, à travers le don de 890 000 $ qu'elle vient de verser à la Wikimedia Foundation, l'institution chargée du financement et du développement de l'encyclopédie libre Wikipedia. Ce don est censé se concrétiser en un projet, dont la mise en place s'étalera entre janvier 2009 et avril 2010, qui visera à améliorer l'interface de MediaWiki, l'outil Open Source sur lequel repose Wikipedia. Créée en 2002, cette interface souffre, selon Wikimedia, de plusieurs lacunes empêchant certains contributeurs potentiels - pleins de savoir mais pas forcément aguerris techniquement - de participer à l'enrichissement de l'encyclopédie libre. « Par exemple, beaucoup de personnes ont des difficultés pour créer des nouveaux articles, pour envoyer des images ou mettre en place des notes de bas de page et des tableaux », indique la fondation. Record de dons en 2008 La première phase des travaux, qui s'étalera jusqu'à la fin de l'été 2009, consistera à dépoussiérer l'interface et à en retirer les obstacles les plus évidents pour les utilisateurs les moins aguerris. Dans un second temps, les travaux s'attacheront à identifier les morceaux de 'wiki code' les plus abscons et à les faire disparaître de Wikipedia afin que les internautes puissent soumettre leurs articles sans avoir besoin d'assimiler des compétences techniques spécifiques. En 2007, Wikimedia a récolté 2,7 M$, dont 81% sous la forme de dons. L'année 2008 se conclura sur un bilan nettement plus favorable puisque, en plus des 890 000 $ alloués par la fondation Stanton, Wikimedia a reçu, en mars, une donation de 3 M$ de la fondation Alfred P.Sloan. (...)

(08/12/2008 11:16:54)

Steve Ballmer à propos d'un accord avec Yahoo : « le plus tôt sera le mieux »

Dans un entretien accordé au Wall Street Journal, Steve Ballmer a déclaré qu'une alliance entre Microsoft et Yahoo dans le secteur de la recherche en ligne avait toujours « beaucoup de sens ». Mieux encore, le PDG de Microsoft a estimé que plus tôt un accord serait trouvé, mieux ce serait pour les deux sociétés, pour Yahoo en particulier. Steve Ballmer a toutefois refusé de dévoiler si Microsoft et Yahoo avaient entamé des pourparlers, comme l'ont régulièrement laissé entendre des rumeurs, les dernières datant d'une semaine à peine. Pas question non plus de parler chiffres, le montant que pourrait proposer Microsoft reste confidentiel. Dans l'interview accordé au WSJ, Steve Ballmer - grand habitué du bluff - ne manque pas de gonfler les bras pour la énième fois : « nous sommes parfaitement prêts à affronter la concurrence sans Yahoo, nous n'avons pas besoin d'eux pour agir. » Microsoft pourrait-il donc faire cavalier seul pour contrer Google sur le marché de la recherche en ligne ? Rien n'est moins sûr. Dans ce combat de titan, le géant de Redmond ne détient que 9% du secteur, alors que le mastodonte de Mountain View s'octroie sans difficultés 65% des parts de marché. Steve Ballmer a beau faire bonne figure, il apparaît évident que Microsoft devra au final s'adosser à un partenaire pour concurrencer Google. Avec une dote de 20% du marché, Yahoo reste le candidat idéal - et unique - pour un mariage. D'ailleurs Microsoft ne se gêne pas pour faire son marché chez Yahoo. Il vient de recruter Qi Lu, ex vice-président des technologies de recherche et de publicité en ligne du portail. (...)

(05/12/2008 15:39:12)

L'accord Google/Yahoo abandonné juste avant que la justice américaine ne s'y attaque

Un partenariat abandonné juste à temps. Yahoo et Google ont tiré un trait sur leur accord publicitaire trois jours seulement avant que le ministère américain de la Justice ne lance une procédure antitrust à leur encontre. C'est du moins ce qu'affirme Sanford Litvack, l'expert judiciaire spécialiste des problèmes d'abus de position dominante, recruté par le DoJ (Department of Justice) pour apporter son éclairage sur cette affaire. Interrogé par le blog AMLaw Daily, consacré aux questions juridiques, Sanford Litvack révèle que l'abandon du partenariat réunissant les deux géants du Web serait intervenu après que le DoJ leur eut indiqué sa décision d'instruire une information. L'association Yahoo-Google - qui prévoyait l'affichage de publicités fournies par Google dans les pages de résultats de Yahoo - avait suscité une levée de boucliers de toutes parts, dès son annonce en juin. Les régies publicitaires maugréaient que l'accord contribuerait à diminuer la concurrence et à augmenter les prix de la réclame en ligne ; un club de réflexion estimait que la conséquence du partenariat serait « un trou noir qui avalerait Yahoo » et réclamait par conséquent une enquête ; le président de la commission sénatoriale chargée de travailler sur les questions liées à l'antitrust pressait même la Chancellerie américaine, en octobre, pour qu'elle se penche avec célérité sur cet accord susceptible, selon lui, de nuire à la concurrence. (...)

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