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(02/12/2008 14:17:06)
Adthink Media premier au Fast 50 Deloitte Technology France
Le 1er décembre 2008, le palmarès du Fast 50 Deloitte Technology France a été révélé au Palais Brongniart à Paris. Ce prix récompense les entreprises technologiques à la plus forte croissance sur 5 ans. Après avoir remporté le prix régional Rhône-Alpes, le lauréat du Grand Prix National est le groupe Adthink Media. Spécialisé dans l'Internet depuis sa création en 2001, il possède trois branches : la régie/monétisation, l'édition et l'acquisition de trafic. Entre les exercices 2003 et 2007, Adthink Media a connu une croissance de son chiffre d'affaires de 8322 % pour atteindre 8,65 millions d'euros et un résultat d'exploitation de 0,95 million d'euros (contre environ 103 000 euros de chiffre d'affaires en 2003). Cette augmentation est fortement liée à une politique de croissance externe importante. LeMondeInformatique.fr est édité depuis fin 2007 par IT News Info, filiale à 25% d'IDG Corp. et à 75% d'Adthink Media, comme CIO France, Réseaux & Télécoms, Distributique, DigitalWorld et Unhomme.fr. Outre ces activités d'édition, Adthink Media est également connu au travers des sites idyllove (quatrième site de rencontres en France) et ludokado.com (deuxième acteur français du jeu en ligne). Enfin, Adsmarketplace.com est le troisième réseau publicitaire en France. (...)
(02/12/2008 14:11:55)Wavecom se tourne vers Sierra Wireless et échappe à Gemalto
Le fabricant canadien de modems sans fil Sierra Wireless va racheter le Français Wavecom, qui trouve ainsi l'alternative espérée pour échapper à Gemalto, fournisseur français de cartes à puce. Sierra Wireless vient en effet de renchérir sur l'offre de rachat inamicale de Wavecom formulée en octobre dernier par Gemalto pour un montant de 7 € par action. Sierra Wireless propose 8,5 € par action en numéraire, ce qui correspond à un prix global de 218 M€ environ. « L'accord conclu aujourd'hui constitue une étape clé pour nos deux sociétés », a déclaré Jason Cohenour, PDG de Sierra Wireless, dans un communiqué. L'acquisition de Wavecom permet en effet à Sierra Wireless de renforcer sa position sur le marché du M2M (machine-to-machine) et d'asseoir sa présence en Europe et en Asie. Une offre amicale bienvenue Le conseil d'administration de Wavecom peut se frotter les mains. Il s'est réuni au début du mois de novembre pour étudier l'offre de Gemalto qu'il a estimée « inadéquate et contraire aux intérêts des actionnaires » avant de la rejeter officiellement. Le fournisseur français de technologies sans fil embarquées pour les communications M2M en avait également profité pour préciser qu'il allait étudier des solutions alternatives. L'offre amicale de Sierra Wireless tombe donc à pile, d'autant que certains actionnaires et salariés de Wavecom commençaient à manifester leur mécontentement et leur impatience face aux orientations prises par la direction, selon nos confrères des Echos. La prochaine assemblée générale des actionnaires de Wavecom, qui devait avoir lieu le lundi 8 décembre prochain, a été ajournée. Les actionnaires étaient appelés à se prononcer sur l'OPA de Gemalto, question désormais caduque. Les fondateurs de Wavecom ont d'ores et déjà promis qu'ils apporteraient leurs titres à Sierra Wireless, soit 21% du capital. Sierra Wireless deviendra officiellement propriétaire de Wavecom s'il parvient à se saisir de 50% des actions (sous réserve de l'approbation de l'AMF, autorité des marchés financiers). (...)
(02/12/2008 11:37:04)Sun monte à l'assaut des PME européennes
Sun lance, des deux côtés de l'Atlantique, une initiative pour se renforcer sur le marché des PME. Par PME, il entend toute entreprise de moins de 2 000 et de plus de 100 salariés. Chaque pays a étudié sa cible. En France, Sun a par exemple fait interroger 700 entreprises de plus de 2 000 salariés et un millier entre 100 et 2 000 pour bien connaître leurs attentes. Début juillet, pour encadrer cette initiative, Sun France a également installé une unité « volumes » qui compte une dizaine de personnes issues de la filiale. Cette équipe est chargée d'expliquer les offres PME aux partenaires, de relayer des leads détectés par Sun et d'appuyer les partenariats techniques noués, par exemple avec AMD, Intel, Microsoft et Symantec. Du télémarketing pour détecter les projets en PME L'initiative est également accompagnée par la création d'un plateau de télémarketing, situé en Grande-Bretagne et chargé de détecter des projets dans les PME en Europe. Ces projets sont ensuite envoyés aux partenaires. L'équipe « volumes » doit aussi faire mûrir ces projets détectés par Sun et les suivre dans le temps. Sun va recruter une trentaine de nouveaux partenaires en France pour s'adresser aux PME d'ici fin 2009. La société en compte déjà 70. Ces partenaires sont recrutés par les grossistes (AVNet, Distrilogie, Frame). « Il n'est plus question de recruter uniquement des partenaires avec des certifications, on peut être partenaire de Sun avec de petits volumes dans ce marché des PME », précise Jean-Yves Pronier, directeur marketing produits de Sun France. Une offre accessible aux PME C'est effectivement un changement majeur pour la société, qui avait jusqu'alors pour partenaires privilégiés les grands comptes. Sun a pris cette initiative PME pour trouver des relais de croissance. L'offre, matériels et logiciels, a également beaucoup changé avec les architecture x86, les produits de stockage, l'Open source. Cette large palette, Sun veut la rendre accessible aux PME, c'est aussi l'enjeu de cette initiative. (...)
(01/12/2008 14:49:33)Les nouvelles rumeurs de rachat de Yahoo par Microsoft démenties
Microsoft aurait proposé 20 Md$ à Yahoo pour reprendre les activités de recherche en ligne de ce dernier, selon le Sunday Times daté d'hier. Le journal britannique annonçait que Microsoft aurait entamé des discussions avec Jonathan Miller, ancien PDG d'AOL, et Ross Levinsohn, ancien président de Fox Interactive Media, pour reprendre en main cette activité. Après plusieurs heures durant lesquelles les deux entreprises ont refusé de commenter (Brad Williams, porte-parole de Yahoo avait déclaré « nous n'avons pas l'habitude de commenter les rumeurs, et tout cela n'est qu'une rumeur. »), les deux sociétés ont finalement démenti. Sur le site D/All Things Digital (tenu par Kara Swisher, journaliste au Wall Street Journal), Ross Levinsohn avait lui-même qualifié ce rapprochement de « fiction complète ». Il y a un peu moins d'un mois, Steve Ballmer lui-même déclarait qu'il n'était pas intéressé par un rachat de la totalité de Yahoo, mais que des négociations dans le secteur de la recherche en ligne était envisageables. Le départ de Jerry Yang de son poste de PDG pourrait avoir accéléré les choses. A moins que ce ne soient les manigances de Carl Icahn qui aient favorisé un retour de Microsoft. Le milliardaire américain, qui vient de doubler sa participation dans le capital de Yahoo, n'a jamais caché qu'il désapprouvait l'obstination de Jerry Yang à refuser les avances du géant de Redmond pour 44,6 Md$. (...)
(28/11/2008 18:05:47)Fermeture définitive pour Lycos Europe
Le petit chien noir de la recherche en ligne est définitivement enterré sur le Vieux Continent. Lycos Europe vient de mettre la clé sous la porte. L'entité était une filiale de Bertelsmann et Telefonica. « La meilleure option pour l'entreprise consiste à tenter de vendre nos noms de domaines », a écrit le groupe dans un communiqué. Fini donc les Caramail, Multimania et autre Jubii qui étaient tous censés suivre le chien le plus célèbre du web. Lycos laisse ainsi sur le tapis plus de 700 personnes dont une trentaine en France. Les actionnaires devraient quant à eux se partager un butin de 50 M€. Lycos Inc., qui appartient à un groupe coréen (et ne partageait plus que le nom et le logo avec Lycos Europe), continue ses activités dans le reste du monde. (...)
(28/11/2008 17:03:01)Winshuttle transfère les données entre Excel et les applications SAP
Winshuttle s'est spécialisé sur les outils de productivité autour des ERP et en particulier dans l'univers SAP. Son produit transactionShuttle, 'logiciel compagnon' de l'ERP SAP Business Suite, a été conçu pour effectuer des transferts de données, de façon automatisée et sécurisée, entre Microsoft Excel et la suite de gestion intégrée de SAP (incluant, outre l'ERP, les applications de gestion de la relation client, de gestion du cycle de vie des produits et de gestion de la relation fournisseur). L'offre, qui répond à des besoins de saisie de masse, propose des modèles prédéfinis de transfert. Elle présente l'intérêt de pouvoir être mise directement entre les mains des utilisateurs, pour des besoins récurrents d'intégration de données, ce qui permet d'éviter de recourir aux équipes informatiques. Les cas d'applications sont variés, des processus métiers liés aux commandes et à la facturation, à la gestion des ressources humaines, en passant par le pilotage des processus de fabrication (secteur industriel), etc. SAP utilise lui-même l'outil Près d'une centaine d'entreprises françaises utilisent l'outil, notamment Bouygues Telecom, Yves Rocher, Bosch, Thalès Avionique, LVMH ou encore EDS pour son propre système d'information. La base installée comprend également des PME : « Notre plus petit client compte vingt utilisateurs SAP », donne en exemple Bernard Haddad, président de Winshuttle France. La licence du produit est facturée à l'utilisateur (à partir de 31 000 euros pour cinq licences). Dans le monde, quatre cents clients recourent à transactionShuttle, parmi lesquels SAP lui-même. Winshuttle doit prochainement livrer une autre solution, Query Shuttle, qui servira cette fois à extraire des données des tables SAP pour les verser dans Excel. (...)
(28/11/2008 13:50:29)Carl Icahn double sa participation dans le capital de Yahoo
Carl Icahn n'a pas froid aux yeux : malgré les remous qui agitent le navire Yahoo, l'investisseur milliardaire a doublé sa participation dans le capital du portail Web en l'espace de trois jours. Il a déposé auprès de la SEC (Securities and exchange commission, le gendarme de la bourse américaine) une demande de rachat de 6,9 millions d'actions du portail, ce qui porte sa participation globale à 5,4%. Montant de la facture : près de 70 M€. Des actions achetées à bon prix Cette montée en puissance à de quoi surprendre. Yahoo étant en proie à de violentes secousses économiques et stratégiques. Le chiffre d'affaires croupit, le résultat net s'écroule (54 M€ au troisième trimestre 2008, soit - 64% par rapport à l'année dernière), les licenciements se succèdent, Yahoo vient même de brader Kelkoo, le site comparateur de prix acquis en 2004 pour 475 M€ et revendu moins de 100 M€ à un fonds britannique. Pas de quoi représenter l'investissement idéal. Mais à y regarder de plus près, la stratégie de Carl Icahn est loin de se limiter à un simple caprice de milliardaire. D'un point de vue financier tout d'abord. L'action de Yahoo mord aujourd'hui la poussière à moins de 10 $, alors qu'elle flirtait avec les 27 $ il y a tout juste un an et que Microsoft en proposait 33 $. Une affaire donc, à condition de croire en l'avenir de Yahoo. Et c'est apparemment le cas de Carl Icahn. Carl Icahn veut peut-être ouvrir une nouvelle porte à Microsoft Le milliardaire a toujours fait savoir qu'il désapprouvait l'entêtement de Jerry Yang à refuser l'offre en or de Microsoft. Fin stratège, il a même poussé le vice jusqu'à menacer Yahoo de se lancer dans un proxy fight (bataille de mandats) et de faire renouveler son conseil d'administration. Yahoo a fait profil bas lors de sa dernière assemblée générale en octroyant à Carl Icahn la place qu'il convoitait au sein du conseil d'administration. Mais cela ne suffit pas à Carl Icahn, qui n'a sans doute pas abandonné l'idée d'un rapprochement avec Microsoft. L'homme d'affaires dispose de beaucoup d'influence et ne risque pas de desserrer les griffes. Il a déjà poussé bon gré mal gré le conseil d'administration de BEA à accepter l'offre de rachat formulée par Oracle. Des analystes cités par Reuters ont récemment souligné que « Jerry Yang aura plus de mal à se sortir des griffes de Carl Icahn que de celles de Steve Ballmer », PDG de Microsoft. Les faits leur donnent raison : Jerry Yang a récemment abandonné son poste de PDG de Yahoo, peut-être légèrement poussé par des actionnaires. Quant à Steve Ballmer, il s'est récemment déclaré désintéressé par un rachat de Yahoo. Carl Icahn parviendra peut-être à renverser la vapeur... (...)
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