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(06/08/2008 09:52:25)

Semestriels SSII : Team Partners recule de 2,2% et GFI patine à l'international

En pleine restructuration interne, avec changement de direction, Team Partners Group affiche des résultats négatifs mais assez logiques. Son chiffre d'affaires (CA) se monte à 65,6 M€ sur le premier semestre 2008, en repli de 2,2% par rapport au même semestre de l'exercice précédent. La société indique avoir poursuivi sa restructuration financière : étalement des dettes fiscales et sociales obtenu auprès des administrations concernées, moratoire pour la dette bancaire, réussite de l'augmentation de capital du mois de juin dernier (avec 11,3 M€ récoltés). GFI freiné en Italie et en Espagne Quant à GFI, la SSII présidée par Jacques Tordjman, elle progresse de 3,2%, à périmètre constant, sur le premier semestre 2008 avec un chiffre d'affaires de 191,3 M€ (+ 5,2% au deuxième trimestre). Sa croissance totale s'établit à 13,8% sur le semestre et à 15,5% sur le 2ème trimestre. GFI a intégré plusieurs acquisitions : 100% de BTD acquis en septembre 2007, la division ingénierie de Viveo reprise en avril 2008, 100% de Bull portuguesa computadores acquis en avril 2007, 100% également des filiales canadiennes Accovia et GFI Logiciels. La SSII française a par ailleurs été freinée à l'international, en particulier en Italie. Sur ce pays, elle enregistre un recul de son CA organique de 13,2% sur le semestre (avec 28,9 M€ de CA). L'Espagne recule également de 2,8% (avec 53,4 M€ de CA semestriels). Au total, sur le semestre, l'international est en repli de 3,6%, la France progressant de 7,1%. Sodifrance en hausse de 5,5% A périmètre constant, le CA semestriel de Sodifrance a progressé de 5,5%. Sinon, avec 34,3 ME, contre 23,8 cette progression serait de 43,8%. La SSII s'attend à un CA annuel de 72 ME qui »devrait se situer dans la fourchette basse de sa prévision annoncée » selon son propre communiqué. La société invoque pour le 2ème trimestre un décalage dans la mise en oeuvre de grands projets, suite à des études techniques préalables plus complexes qu'annoncé. (...)

(05/08/2008 15:54:36)

La vie privée de Larry Page décortiquée grâce à Maps, Earth et View

Aux grands maux les grands remèdes, se sont probablement dit les responsables du NLPC (National Legal and Policy Center), un organisme spécialisé dans la défense de l'éthique dans la vie publique, après que Google a fait part du peu d'attachement qu'il porte à la notion de vie privée sur le Web. A un couple qui reprochait au moteur de recherche d'avoir mis en ligne des clichés représentant le domicile familial, le pantagruélique groupe californien a répliqué que « même en plein désert, la vie totalement privée n'existe plus. » Forts contrarié par cette assertion, le NLPC a décidé de prendre Google a son propre jeu et d'illustrer, en utilisant les outils mis en ligne par le moteur, le danger potentiel qu'ils représentent. Les tenants de l'éthique ont ainsi concocté un PDF de sept pages fourmillant de détails sur la vie quotidienne d'un « haut dirigeant de Google », dont l'identité n'a pas été révélée. Selon le site Valleywag, il s'agirait de Larry Page, le co-fondateur de Google. Dans un premier temps, on apprend que le ponte vit dans une spacieuse villa de Palo Alto, dont on peu voir la façade grâce à une photo issue de View Street. Une vue aérienne, via Google Earth, confirme que la demeure est luxueuse : patio intérieur, piscine, parc paysager, rien ne manque. Dans un souci du détail, le NLPC indique même que 253 mètres séparent la grille d'entrée de la porte de la maison. Pratique pour d'éventuels monte-en-l'air, qui s'apercevront qu'une partie de leur travail est ainsi pré-machée. Ils n'auront par exemple aucune difficulté pour reconnaître la voiture du maître des lieux grâce au cliché - une nouvelle fois issu de View Street - sur lequel la plaque minéralogique est parfaitement visible. Car jacking, mode d'emploi [[page]] Et si nos malfaiteurs préfèrent les joies du 'car jacking' à celles de la cambriole, il leur suffira, pour commettre leur larcin, de se positionner le long du trajet emprunté quotidiennement par l'un des patrons de Google. La tâche sera facilitée par la photo aérienne présentée dans le document du NPLC : la route séparant la résidence de la potentielle victime de son lieu de travail y est clairement identifiée et l'itinéraire détaillé. On apprend que le chemin mesure 7 kilomètres et que 11 minutes suffisent pour aller du domicile au bureau. Les internautes les plus vils auront même, grâce au NLPC, le loisir de sélectionner les points stratégiques pour intercepter le véhicule du 'top executive' : les carrefours imposant l'arrêt par des Stops ou des feux rouges sont tous répertoriés et photographiés. La voie suivie par le NLPC est certes contestable et ne manquera certainement pas de faire grincer de nombreuses dents. Certains objecteront sans doute qu'il est vain de s'en prendre à Google, dont le seul tort pourrait être d'avoir mis en ligne des outils autorisant une incursion dans la vie privée de tout le monde, ou presque. Certes, rétorqueront les autres, Google ne désire évidemment pas jouer les Big Brother : il n'est qu'un éditeur et n'a pas d'autre but que de gagner de l'argent. Cependant, la froideur - voire le cynisme - qui entoure sa conviction (« la vie totalement privée n'existe plus ») n'en est pas moins stupéfiante. Et a servi de détonateur pour qu'explose la colère du NLPC. (...)

(05/08/2008 10:38:37)

Groupe Open lance son OPA sur Sylis et annonce ses semestriels

Le calendrier s'accélère pour la SSII Groupe Open. La semaine dernière, l'Autorité des marchés financiers (AMF) donnait son visa pour le lancement d'une OPA sur sa concurrente Sylis. L'opération a débuté hier, lundi 4 août. Ce projet avait été annoncé par Groupe Open le 7 juillet dernier. Les actionnaires de Sylis ont jusqu'au 18 septembre pour se prononcer. Cette OPA se compose d'une OPA principale à 4,25 euros par action et d'une OPE avec 10 actions Groupe Open pour 27 actions Sylis. Les deux peuvent se combiner. Cette opération est dite « non sollicitée », le conseil d'administration de Sylis n'ayant pas donné son accord. Rappelons qu'elle permettrait l'émergence d'une SSII de 325 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) annuel, sur les bases de l'exercice 2007, 187 M€ venant de Groupe Open, 138 M€ de Sylis. Des semestriels modestes pour Groupe Open [[page]] Groupe Open annonce parallèlement ses résultats semestriels. Ils montrent un CA de 95,2 M€ en hausse de 4,2% de manière organique (7,1% à périmètre courant). Le résultat opérationnel serait de 4,5%. Pour expliquer ces chiffres modestes, Groupe Open invoque « le recul des contrats en régie impactant transitoirement les taux d'occupation ». Ils sont de 88% sur ce premier semestre contre 90% lors du précédent. La SSII relève également « la stabilité des tarifs alliée à un taux de turn-over en hausse à 25% qui ont pesé sur la marge ». Par ailleurs, Groupe Open se donne jusqu'à fin décembre de cette année pour simplifier ses propres structures : fusionner ses deux filiales Teamlog et Open IT et présenter un seul « véhicule » à la cotation. Rappelons que Groupe Open s'est défait de sa filiale distribution Logix, vendue le 19 février dernier à l'Américain Arrow. Logix, avec 493 M€ de CA, représentait pourtant 75% du CA de Groupe Open. Mais la direction de celle-ci a décidé de se recentrer sur une activité unique, celle de SSII. En vendant Logix, elle se donne les moyens de ses ambitions avec une première proie qui serait Sylis. (...)

(05/08/2008 09:29:47)

L'éditeur français GL Trade reçoit une offre de rachat de SunGard

L'Américain SunGard, fournisseur de solutions pour les institutions financières et le secteur public, et spécialiste de la continuité de services, vient de proposer d'acquérir 64,51% du capital de GL Trade, 4ème éditeur français de logiciels (au classement Truffle). A la tête de 1 400 collaborateurs, GL Trade développe des logiciels destinés à la communauté financière (solutions de back-office et front-office, outils de connectivité, applications de diffusion d'informations financières...). Coté sur Euronext Paris, le Français a réalisé un chiffre d'affaires de 203,25 M€ et un bénéfice net de 23,8 M€ sur son année fiscale 2007. Il vient d'annoncer un chiffre d'affaires de 108,2 M€ (+15%) sur son premier semestre 2008, échu fin juin. L'offre d'acquisition de SunGard s'établit à 41,70 euros par action. Le fournisseur américain indique que son offre fait apparaître une prime de 24% par rapport au cours de l'action de GL Trade au cours de clôture du 31 juillet dernier (+53% par rapport au cours du 05 mai, avant les rumeurs de transaction). Une complémentarité géographique SunGard compte 25 000 clients sur 50 pays, parmi lesquels les 50 plus grandes institutions financières. De son côté, GL Trade gère 1 600 clients (dont 20 grands acteurs de la finance) et dispose de bureaux dans 26 pays. Les implantations géographiques respectives des deux fournisseurs sont complémentaires. SunGard possède une forte présence en Amérique du Nord, tandis que le Français a déployé ses solutions de négociation et de connectivité en Europe et en Asie. GL Trade réalise 80% de son chiffre d'affaires hors de France : 22% en Grande-Bretagne, 27% dans les autres pays européens, 16% sur le continent américain et 15% en Asie. L'an dernier, en juillet, SunGard avait racheté la SSII française GTI Consultants. (...)

(04/08/2008 15:34:18)

Annuels Sun : l'Open Source ne compense pas encore la baisse des commandes

Sun Microsystems a terminé son année fiscale 2008 sur un chiffre d'affaires étal par rapport à l'an dernier, à 13,88 Md$. Le fournisseur pâtit, sur ses deux derniers trimestres, des difficultés économiques qui affectent les Etats-Unis depuis le début 2008. Sa marge brute annuelle représente 46,5% de son CA total (+1,3% par rapport à l'exercice précédent). Sur le quatrième trimestre de l'exercice, le chiffre d'affaires en retrait de 1,4% est assorti d'un bénéfice net en recul de 73,25% par rapport à l'an dernier. Le directeur financier, Michael Lehman, a expliqué que 40% des revenus de Sun sur ce trimestre venaient de clients américains évoluant principalement dans les télécoms, les services financiers et l'administration, tous secteurs ayant été affectés par les revers financiers et ayant réduit leurs dépenses informatiques. Sun table sur l'intérêt marqué pour l'Open Source Jonathan Schwartz, PDG de Sun, a indiqué que les mois à venir continueraient à être touchés par la baisse des investissements IT. Pour redresser la barre, le dirigeant américain table sur l'adoption croissante des offres proposées par Sun autour de ses solutions en Open Source, tant autour du système d'exploitation OpenSolaris, que de la base de données MySQL (rachetée en février), ou encore des offres liées aux systèmes de stockage Lustre et ZFS. L'intérêt pour les offres en Open Source porte notamment les bonnes ventes de serveurs, en particulier celles de la gamme Niagara qui continuent à progresser. Les commandes autour de MySQL ont par exemple progressé de 44% sur le trimestre échu (par rapport à l'an dernier), tandis que, sur la même période, celles portant sur les systèmes Solaris ont augmenté de 61%. Sur l'exercice 2008, les ventes de systèmes Solaris se sont établies à 1,1 Md$. Un plan de licenciement enclenché mi-juillet [[page]] Sur son troisième trimestre fiscal (échu fin mars), Sun présentait déjà un chiffre d'affaires en recul (-0,5%). Mais il avait surtout enregistré une perte de 34 M$ sur les trois premiers mois de 2008. Jonathan Schwartz a attribué cette perte aux contre-performances sur les ventes et non à l'effort consenti pour le rachat de l'éditeur suédois MySQL. Sun avait dans le même temps annoncé un plan de licenciement de 1 500 à 2 000 salariés qui vient de démarrer en touchant 1 000 personnes. Pourtant, l'année fiscale 2008 avait bien démarré, avec une rentabilité retrouvée apportée par le plan de redressement mis en place par Sun. Sur le premier semestre de l'exercice , le bénéfice net atteignait déjà 349 M$. Toutefois, sur la même période, la progression du chiffre d'affaires n'a guère dépassé les 1%. Sun poursuit par ailleurs le programme de rachat d'actions (pour 3 Md$) annoncé l'an dernier. Sur son quatrième trimestre fiscal 2008, il a dépensé 464 M$ pour racheter 35,7 millions de ses actions. Le fournisseur a également indiqué qu'une autorisation supplémentaire de rachat d'actions pour 1 Md$ venait d'être accordée. (...)

(04/08/2008 15:19:34)

Semestriels Iliad : 3 millions d'abonnés en juin, 4 en décembre

Free a franchi la barrière des 3 millions d'abonnés au haut débit au cours du premier semestre 2008. C'est l'un des chiffres clés communiqués par Iliad, la maison-mère du FAI, à l'occasion de la présentation des résultats pour ses deux premiers trimestres. Avec un chiffre d'affaires de 692,2 M€, Iliad voit ses revenus progresser de 20,6% sur un an. Une somme presque intégralement tirée des activités du groupe dans le haut débit : 648,1 M€ proviennent de ce secteur. La progression enregistrée sur la période profite de la recrudescence de nouveaux abonnés. Sur le seul deuxième trimestre, un nouvel internaute sur quatre s'est ainsi tourné vers Free (93 000 au total). Au 30 juin, le FAI comptait 3 134 000 clients et se classait en 3e position sur le marché de l'accès à Internet en France, avec une part de marché de 19,8%. Devant, Orange et SFR-Neuf comptaient respectivement 7,84 millions et 3,67 millions d'abonnés. Davantage d'abonnés qui rapportent toujours plus Les revenus augmentent également grâce à une consommation croissante, par les clients, des services optionnels à valeur ajoutée venant se greffer sur les prestations comprises dans les offres triple play. Ces services ont généré un CA de 168,9 M€ au premier semestre, soit 41% de plus qu'il y a un an. Ils représentent désormais un quart du chiffre d'affaires haut débit d'Iliad (contre environ 20% l'an passé) et permettent au revenu moyen mensuel par abonné d'augmenter de 1,3 €, à 36,3 € HT par mois (rappelons que l'offre tout compris est à 29,99 € par mois). La suite de l'exercice 2008 devrait permettre au groupe d'atteindre les objectifs qu'il s'était fixés en début d'année. Iliad n'aura ainsi aucune difficulté à dépasser 3,25 millions de clients à la fin de l'année : avec l'acquisition d'Alice - qui devrait être finalisée « avant la fin du troisième trimestre » - il y aura plus de 4 millions d'abonnés dans l'escarcelle de Free. Soit au moins autant que l'objectif fixé pour 2010. (...)

(04/08/2008 12:10:24)

Les actionnaires de Yahoo reconduisent largement leurs dirigeants

Sans surprise, les actionnaires de Yahoo ont reconduit à une large majorité l'équipe dirigeante à l'occasion de l'assemblée générale du groupe. Alors que certains s'attendaient à des règlements de compte entre les actionnaires et la direction - les uns reprochant aux autres leur gestion de l'offre d'achat formulée par Microsoft - les débats furent en réalité relativement sereins. D'emblée, le président du portail, Roy Bostock, a tenu à souligner que l'offre présentée par Microsoft n'était pas suffisamment alléchante pour être acceptée : « aucune offre mise sur la table n'a jamais été suffisante pour que nous, au conseil d'administration, puissions regarder les actionnaires dans les yeux et leur dire que c'est une bonne affaire pour eux. » Réactions contrastées chez les actionnaires, les uns approuvant le refus adressé au géant de Redmond, les autres regrettant de n'avoir pas eu l'occasion de céder leurs titres aux conditions offertes. Celui qui s'était posé en principal opposant à l'équipe dirigeante en place, le milliardaire Carl Icahn, s'était finalement rangé aux côtés de ceux qu'il villipendait, en échange de trois places au sein du conseil d'administration. « Carl est un garçon intelligent, a assuré Roy Bostock. En dépit des mauvaises choses qui ont été écrites à son sujet, c'est quelqu'un de bien. Nous sommes impatients de le compter comme membre productif du conseil d'administration. » L'enterrement de la hache de guerre et l'union sacrée qui s'en est suivie ont visiblement contenté les actionnaires, qui ont largement accordé leur confiance aux sortants. Roy Bostock a ainsi reccueilli 79,5% des votes en sa faveur et Jerry Yang, le CEO et co-fondateur, 85,4%. Ce dernier avait pourtant été désigné à de maintes reprises comme celui qui avait fait échouer l'OPA hostile de Microsoft. L'équipe de direction ainsi reconduite a d'ores et déjà du pain sur la planche. Outre une éventuelle réouverture des discussions avec Microsoft, elle devra surtout trouver les moyens d'endiguer la chute des revenus du portail. Au deuxième trimestre, Yahoo a en effet vu son bénéfice net reculer de 18% par rapport au T2 2007. (...)

(04/08/2008 11:15:40)

Dell veut déposer le terme 'cloud computing'

Faudra-t-il bientôt accoler un ® à côté du terme 'cloud computing' ? Dell a en effet demandé à l'USPTO, organisme américain d'enregistrement des brevets, de lui accorder la paternité du terme, de plus en plus employé : le 'cloud computing' devient en effet un tampon marketing appliqué à toutes les sauces, du simple service en ligne au datacenter accessible à distance, via Internet. Dans le document présent sur le site Web de l'USPTO, Dell définit l'informatique dans les nuages - plutôt vaguement - comme un procédé de personnalisation du matériel informatique pour un usage dans les centres serveurs ou comme un moyen de créer un environnement informatique capable de largement monter en puissance : « custom manufacture of computer hardware for use in data centers and mega-scale computing environments for others. » L'information nous parvient alors que la phase d'acceptation vient de se clore (par l'émission d'une « notice of allowance »). Celle-ci a pour objet de rendre publique la demande, afin de permettre à des tiers de formuler des objections. Désormais, la voie est donc ouverte à une acceptation par le US Patent and Trademark Office. Dell doit maintenant signer une demande d'usage (« statement of use ») ou bien demander un délai supplémentaire. Si la demande du constructeur était acceptée, les IBM, HP ou autres Amazon, Microsoft et Google devraient trouver un autre nom pour leurs offres d'informatique dans les nuages. Ce qui aurait peut-être le mérite de mieux désigner, et donc classifier, chaque proposition. (...)

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