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(09/06/2008 18:20:49)

AMD et Nvidia accusent - officieusement - Intel de vouloir se réserver l'USB 3.0

Alors que le procès d'AMD contre Intel pour pratique anti-concurrentielle n'aura finalement lieu qu'en février 2010 et que la FTC (Federal Trade Commission, agence américaine de régulation du commerce) s'apprête à lancer une enquête sur les pratiques d'Intel, le fondeur est à nouveau mis en cause. L'affaire porte cette fois-ci sur la future norme USB 3.0. Ce standard, qui devrait avoir un débit 10 fois plus rapide que l'USB 2.0 actuel (et donc atteindre les 5 Gb/s), devrait être finalisé en 2009 et faire immédiatement après son apparition dans les ordinateurs mais aussi les autres produits nomades du marché. Or AMD et Nvidia accusent tous deux Intel de ne pas communiquer les premières spécifications sur ce format, empêchant ainsi le développement par ses concurrents de chipsets et de processeurs compatibles avec ce standard. Ce qui pourrait conduire à ce que AMD, Nvidia, Via Technologies et d'autres, pourtant membres de l'USB Implementers Forum, créent leurs propres spécifications USB 3.0 pour avoir des produits à offrir dans les temps au client. Des « sources proches » des fabricants de chipsets ont en effet confié à la presse américaine qu'ils n'avaient aucune intention de laisser Intel seul sur ce marché pendant plusieurs mois. Intel a de son côté expliqué qu'il avançait comme prévu sur ce dossier, et qu'il ne servirait à rien de donner trop tôt des spécifications incomplètes. Quelle que soit la norme choisie, les produits USB 3.0 ne devraient pas se généraliser avant 2010. (...)

(09/06/2008 17:26:08)

Microsoft fait un petit pas vers la parallélisation du code

Microsoft a consacré des sessions de sa conférence développeurs TechEd tenue la semaine dernière à Orlando pour faire le point sur ses avancées en matière de parallélisation du code. Pour Brian Harry, un des pontes du développement chez Microsoft, il s'agit d'une tendance inéluctable. Tout ce qu'il était possible de faire au niveau de l'exploitation des systèmes multi-coeurs par le matériel a été fait, estime-t-il. Il reste à assurer une programmation parallèle, ce qui est loin d'être aisé, dans la mesure où une même donnée peut subir plusieurs opérations en même temps. Afin de simplifier l'écriture d'un code parallèle au-dessus de sa plateforme .Net 3.5, Microsoft propose donc une boîte à outils, dite « Parallel Extensions », disponible dès aujourd'hui en mode 'technology preview' (donc à des fins de tests uniquement). Pour Sivaramakichenane Somasegar, vice-président responsable de la division développeurs de Microsoft, il s'agit juste d'un petit pas (en VO, un « baby step »). La prochaine étape sera de faire en sorte que la parallélisation du code soit accessible à tous les développeurs, et pas seulement à une élite. Parmi les bénéfices de la programmation parallèle, on relève bien sûr les gains de performance, puisque tous les coeurs disponibles d'une machine sont alors mis à contribution. Le blog de Microsoft consacré à la parallélisation montre ainsi comment écrire en C++ un ensemble de Mandelbrot (du nom de Benoît Mandelbrot, qui a le premier défini les fractales). Mais cela a aussi une incidence d'un point de vue écologique : une meilleure exploitation des processeurs s'inscrit typiquement dans la liste des meilleures pratiques du Green IT. (...)

(09/06/2008 15:18:55)

Groupe Open : 140 millions d'euros disponibles pour des rachats

Après la vente de sa filiale Logix, Groupe Open dispose de 140 millions d'euros (ME) pour réaliser des acquisitions. La société a conclu son exercice 2007 avec 190 ME de chiffre d'affaires et compte atteindre les 450 à 500 ME en 2010. La SSII souhaite également réaliser 6 à 8% de croissance organique, nous précise son directeur général Guy Mamou-Mani. La société a recruté 800 collaborateurs en 2007 et reste sur la même tendance pour 2008. En gardant sa filiale SSII Teamlog et en se séparant de sa filiale distribution, Logix (qui représentait plus de 70% de son chiffre d'affaires total), Groupe Open simplifie ses métiers en devenant une pure SSII. Mais il modifie aussi sa structure financière. « L'activité services, c'était 8% de rentabilité par an, au dessus de la moyenne du secteur, contre 2% pour l'activité distribution. Mais en terme de progression du chiffre d'affaires, la partie distribution progressait de 25 à 30%, et l'activité SSII de 10%, » commente Guy Mamou-Mani. « Le fait d'avoir deux activités a été également un avantage dans la période 2002/2003, très agitée pour le monde informatique après l'éclatement de la bulle Internet. La partie SSII, très cyclique, étant compensée par la distribution plus linéaire. » (...)

(09/06/2008 07:49:42)

Free en négociations exclusives pour racheter Alice

Free va redevenir numéro deux du marché français des fournisseurs d'accès à Internet : sa maison-mère, Iliad, a confirmé être en négociations exclusives pour racheter Liberty Surf, filiale française de Telecom Italia opérant sous la marque Alice. La transaction devrait se faire pour un maximum de 800 M€ ; toutefois, précise Free, des « ajustements » pourraient intervenir, qui devraient baisser le prix. Alice revendiquant environ 950 000 abonnés, cela fait un coût d'acquisition s'élevant au plus à 842 euros par client. Et Free dépassera ainsi les 4 millions d'abonnés. Neuf Cegetel, qui avait racheté AOL et Club Internet, était également en lice pour s'emparer du FAI à la blonde égérie. Cela lui aurait permis d'asseoir sa position de numéro deux, tout juste conquise, derrière Orange. (...)

(06/06/2008 16:40:39)

Antitrust : la plainte d'AMD contre Intel examinée en 2010

Initialement prévu en avril 2009, le procès intenté par AMD contre Intel n'aura lieu qu'en février 2010. AMD accuse Intel de pratiques anticoncurrentielles : selon le plaignant, Intel aurait menacé des entreprises en Asie, en Europe et en Amérique du Nord de mesures de rétorsion si elles devenaient clientes d'AMD. Toujours selon AMD, Intel aurait poussé des clients comme Dell, Sony, Gateway et Hitachi à signer des accords exclusifs en échange d'avantages financiers. Intel avait répondu après le dépôt de la plainte, en 2005, qu'AMD ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même pour expliquer son retard en parts de marché. Si Intel a en effet reconnu ajuster parfois ses prix à la baisse, le fondeur indique qu'il ne doit son succès qu'à ses capacités d'innovation et de production. La procédure engagée par AMD n'est pas la seule à laquelle Intel doit faire face. Le fabricant de processeurs a ainsi été condamné pour abus de position dominante en Corée, et il est dans le collimateur de l'Etat de New York ainsi que dans celui de la Commission européenne. (...)

(06/06/2008 16:29:12)

La CFE-CGC s'interroge avant l'AG de Devoteam

La CFE-CGC de la SSII Devoteam publie, sur son blog, un extrait des questions qu'il compte poser aujourd'hui, vendredi 6 juin, à la direction de la société à l'occasion de son assemblée générale des actionnaires. Le syndicat s'interroge notamment sur le positionnement, la stratégie et l'image du groupe, et sur les raisons de son fort taux de turnover. Concernant les acquisitions, les questions portent sur le rachat, par Devoteam, de seulement 19% de la société hollandaise Between, sur l'absence de la société Topficie dans le périmètre de consolidation, et sur les raisons qui ont motivé les rachats successifs des activités de R & D de Srit (ex Siemens), auSystems (ex Ericsson) et Nokia Siemens (en Belgique). La direction de Devoteam devra également fournir des éléments de réponse sur ses comptes 2007. La CFE-CGC s'interroge aussi sur le chiffre d'affaires consolidé (qui a augmenté de 38%, alors que l'encours client est multiplié par deux, selon la CFE-CGC), sur l'augmentation des charges financières (qui sont passées de 1,04 M€ à 4,39 M€ toujours selon le syndicat) et sur les perspectives de la SSII en 2008. (...)

(06/06/2008 15:45:57)

Sopra apporte à Axway les outils de transfert sécurisé de Tumbleweed

La SSII française Sopra Group vient d'annoncer un projet de rapprochement entre sa filiale Axway, spécialisée dans la synchronisation des échanges internes et externes de l'entreprise, et le Californien Tumbleweed Communications. Ce dernier lui apportera ses solutions de sécurisation des échanges sur Internet et réseaux privés IP. Le montant de la transaction s'élève à 40 M€. L'offre de gestion de transfert de fichiers (managed file transfer) de Tumbleweed est en partie concurrente de celle d'Axway. Mais « sa couverture technologique est beaucoup moins large que la plateforme d'Axway dont les produits de base ont plus de 25 ans d'existence [NDLR : en particulier la très connue « Règle du jeu », livrée au début des années 80] », rappelle Kathleen Bracco, directeur des relations investisseurs chez Sopra Group. « Juridiquement, Sopra va conserver l'identité des deux sociétés. L'objectif est, dès que l'opération sera finalisée (au troisième trimestre 2008), d'intégrer les composants de sécurité de Tumbleweed dans la plateforme Synchrony d'Axway. » L'éditeur américain a notamment développé des solutions de protection du courrier électronique, de transfert sécurisé de fichiers et transactions EDI, ainsi qu'un outil de validation des certificats numériques. Etendre l'activité américaine [[page]] Mais ce rapprochement va surtout permettre à Axway de s'étendre outre-Atlantique (20% de son activité aujourd'hui), « où se concentre 90% du parc clients de Tumbleweed », précise encore Kathleen Bracco. Installé sur la côté Ouest, à Redwood City, avec des utilisateurs dans la Silicon Valley, l'Américain est également présent sur la côte Est (New-York, Washington DC), son portefeuille clients comptant un certain nombre d'organisations gouvernementales. Son implantation géographique est complémentaire de celle d'Axway qui dispose de bureaux à Phoenix (Arizona) et Atlanta (Géorgie). Dès le troisième trimestre, les deux sociétés devraient approcher conjointement les clients, selon Kathleen Bracco. « La partie sécurité de l'offre peut également être intéressante pour nos clients européens. » En France, Tumbleweed est très peu présent pour l'instant. En 2007, la filiale Axway a pesé 15% du chiffre d'affaires de Sopra (145 M€ sur 1 Md€) et réalisé une progression de 24,1% de ses ventes. Sur le premier trimestre 2008, ses ventes ont augmenté de 12,3%. Une activité d'édition de logiciels qui contribue à placer Sopra à la deuxième place du classement Truffle 100 des cent premiers éditeurs français (Sopra développe également des solutions de gestion des ressources humaines). (...)

(05/06/2008 15:45:59)

France Telecom justifie sa proposition de rachat de TeliaSonera

Didier Lombard, le PDG de France Télécom n'avait pas caché qu'il voulait faire des acquisitions. Mais alors que les marchés s'attendaient à des opérations dans les pays émergents, c'est au nord de l'Europe que le groupe français a jeté son dévolu. - Et plus précisément sur TeliaSonera, l'opérateur télécom né du mariage en 2002 du suédois Telia et du finlandais Sonera. Pour acquérir ce groupe de 36 millions d'abonnés et de 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires (en 2007), France Télécom est prêt à mettre sur la table plus de 27 milliards d'euros. L'offre qui se répartit à 52% en « cash » et à 48% par actions a été immédiatement rejetée par Tom von Weymarn, le PDG de TeliaSonera qui la trouve insuffisante. Une réaction qui n'inquiète pas France Télécom Mais cette réaction n'inquiète pas Didier Lombard : « ce n'est pas un scoop pour moi. Je le savais parce que nous en avons discuté ensemble cette nuit. Mais les deux groupes se laissent 15 jours pour réfléchir. Et d'ici là, les points de vue ont le temps de se rapprocher». Quoiqu'il en soit, le PDG de France Télécom refuse de modifier la parité entre le cours des actions de chacun des deux groupes et qui a été retenue pour établir sa proposition financière. Il compte bien mener à terme cette opération qui si elle est finalement acceptée pourrait être bouclée au dernier trimestre 2008. Didier Lombard estime qu'il existe d'autres éléments non monétaires qui peuvent séduire TeliaSonera lors de la négociation. Des éléments qu'il a refusé de détailler, car "il ne s'agit pas de mener la négociation sous le feu des projecteurs". Le quatième opérateur mondial L'acquistion ferait du nouveau groupe le quatrième opérateur télécoms au monde derrière AT&T, Verizon et NTT. L'annonce de cette OPA fut-elle amicale n'a pas plu aux marchés. A la mi-journée, l'action France Télécom dévissait de 4,5% à 18,35 euros. Tous les investisseurs se demandent pourquoi France Télécom veut acquérir un opérateur dont une grande partie de l'activité se fait dans des pays matures (Suède, Finlande, Espagne...) à faible croissance et où la concurrence est très forte. [[page]]« Avec TeliaSonera, nous allons atteindre deux des trois objectifs que nous nous sommes fixés. A savoir, nous renforcer sur des actifs essentiels dans les pays matures et augmenter notre exposition dans les pays à forte croissance, répond Didier Lombard à ses détracteurs." De fait, TeliaSonera est particulièrement présent dans les pays émergents et notamment dans les pays baltes et les anciennes républiques soviétiques (Kazakhstan, Azerbaïdjan, Ukraine...). Il détient par ailleurs 44% de l'opérateur russe Megafon et 37% de l'opérateur turc, Turkcell. De son côté, l'opérateur français est très bien implanté en Afrique, mais encore peu présent dans les régions où TeliaSonera se développe. L'acquisition de TeliaSonera peut lui permettre de compléter sa couverture géographique et ainsi de contrer les offensives de Vodafone et autres Orascom qui n'ont pas caché leur appétit pour ces marchés. France Télécom veut grossir Mais il n'y a pas que le portefeuille de pays émergents qui semble avoir poussé France Télécom à se lancer dans cette aventure. « Dans les pays matures, il faut élargir le socle d'opérations des activités, a répété Didier Lombard. En clair, en grossissant, France Télécom a plus de poids vis-à-vis de ses fournisseurs. Ainsi l'ensemble des synergies découlant de la fusion se monterait à 1% du chiffre d'affaires du nouveau groupe. Mais surtout en devenant le quatrième opérateur mondial, France Télécom va pouvoir peser un peu plus face aux grands acteurs de l'Internet comme Google, Yahoo, YouTube... que Didier Lombard accuse régulièrement d'utiliser ses autoroutes (les câbles et les fibres) sans qu'il en tire profit. C'est d'ailleurs pour changer ces règles du jeu et récupérer une partie de la manne financière générée par les contenus que France Télécom se lance actuellement dans la production de nouveaux services (vidéo à la demande, Catch up TV, publicité...) tout en misant sur sa nouvelle force de frappe pour les imposer face à ceux des fournisseurs américains. (...)

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