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(28/04/2008 15:05:30)
Qualité des données : Informatica s'offre Identity Systems pour 85 M$
L'éditeur américain Informatica, spécialiste des solutions d'intégration de données, a annoncé l'acquisition d'Identity Systems pour 85 M$ afin de renforcer son expertise sur la gestion de la qualité des données. Cette filiale de Nokia Identity Systems a développé une technologie permettant de rechercher et réconcilier des données multilingues d'identité ou d'identification relatives à des personnes, des entreprises ou des produits. Cette technologie peut être mise à profit pour de multiples projets d'intégration de données, ainsi que pour la gestion des données de référence, les applications de GRC (gestion de la relation client), de commerce électronique ou encore financières, par exemple dans le cadre de la lutte contre le blanchiment d'argent. Les logiciels d'Identity Systems acceptent une soixantaine de langues et automatisent les rapprochements d'identité sur d'importants volumes de données. Des projets qui, selon Informatica, sont encore souvent codés à la main par les équipes informatiques. Une problématique primordiale des projets décisionnels et de l'intégration de données La qualité des données est une problématique récurrente et primordiale dans les projets d'intégration de données et les applications décisionnelles. Elle est résolument prise en compte par les principaux acteurs du secteur. Outre Informatica et son présent rachat, rappelons que Dataflux, filiale à 100% de SAS, est spécialisée sur ces questions. Informatica a annoncé par ailleurs un partenariat avec Orchestra Networks, cette fois dans le domaine de la gestion des données de référence. En combinant leurs solutions, les deux acteurs permettent de construire des systèmes complets de MDM (Master Data Management). (...)
(28/04/2008 13:01:47)ITS Group s'engage à reclasser des chômeurs
La société de conseil et de services informatiques ITS Group s'engage une nouvelle fois à recruter et à former des chômeurs. Pour la quatrième fois en moins de deux ans, elle ouvre ses promotions Unix à une dizaine de personnes en recherche d'emploi, des bacs + 5 issus de formations scientifiques et non informaticiens. Les candidats qui souhaitaient se réorienter vers les métiers de l'informatique ont ainsi été accompagnés dans leur reconversion par une formation de 29 jours à Unix, assortie d'un poste de consultant, en CDI. Les cours qui se sont tenus le 14 avril et prendront fin le 28 mai seront suivis d'une embauche en CDI dès le le 2 juin. La SSII a déjà reçu une vingtaine de candidats diplômés de secteurs de tous horizons, comme les mathématiques, la physique, la chimie, la biologie, ou la qualité des matériaux. Sur les dix retenus, des trentenaires pour la plupart, un peu plus de la moitié vient du monde de la chimie, secteur qu'ils ont quitté après plusieurs mois, voire plusieurs années de recherche d'emploi sans succès 70% du temps de formation consacré à la pratique Afin de rendre ses nouvelles recrues rapidement opérationnelles sur les projets de ses clients, ITS Group a décidé d'allouer 70% du temps de la formation à la pratique. Trois thèmes sont abordés : la philosophie du système Unix, l'initiation au scripting shell et les bases de données Oracle. Au terme de la formation, une rencontre est organisée entre les nouvelles embauches, le service RH et les directeurs d'agence afin de positionner au mieux les candidats selon leurs compétences fonctionnelles et techniques et sur les besoins de chaque projet clients. (...)
(28/04/2008 12:03:51)Yahoo/Microsoft : l'ultimatum expire sans accord trouvé
L'offre de rachat de Yahoo par Microsoft a expiré ce week-end sans qu'une issue au dossier soit trouvée. Le groupe de Redmond avait en effet donné jusqu'au 26 avril au moteur de recherche pour accepter les 44,6 Md$ offerts, répétant à l'envi que cette somme constituait un montant juste et raisonnable. Des paroles auxquelles répondait en écho l'assourdissant silence de Yahoo, qui n'a cessé de faire la sourde oreille au chant des sirènes orchestré par Microsoft. Il reste maintenant deux directions possibles : la poursuite de l'offensive avec une OPA hostile et une bataille de mandats menée par Redmond, ou l'abandon pur et simple du processus. Alors que Microsoft a longtemps répété que la première éventualité était largement envisageable, Steve Ballmer et son directeur financier Chris Liddell ont relativisé cette assertion la semaine dernière, expliquant que l'acquisition de Yahoo n'était en rien vitale. Dimanche, Yahoo a refusé de commenter le dossier et Microsoft s'est contenté de renvoyer sur les déclarations récentes de Ballmer et Liddell. Le même jour, le Wall Street Journal indiquait que les deux groupes ont mené des négociations au cours des semaines passées mais se sont montrés incapables de s'entendre. (...)
(25/04/2008 17:19:52)Sun s'offre Montalvo et ses multiprocesseurs asynchrones
Après Apple qui vient d'absorber PA Semi, c'est au tour de Sun de s'offrir un fabricant de microprocesseurs. Il vient en effet d'acheter Montalvo, une startup spécialisée dans les multicoeurs asynchrones à faible consommation, pour un montant non précisé. Sun est un des constructeurs du marché qui continue de concevoir les puces de ses serveurs. Son petit dernier, l'octo-coeur UltraSparc T2, décrit par Sun comme un véritable ordinateur sur une puce, intégre par exemple directement certains composants de communication. Un moyen d'augmenter la puissance sans augmenter la consommation Les designs de Montalvo, eux, ont ceci d'original qu'ils accueillent des coeurs de différents types, plus ou moins puissants et plus ou moins spécialisés. C'est un des moyens étudiés par nombre de fondeurs pour contourner la loi de Moore et ses conséquences : le nombre de transistors sur une puce double tous les 18 à 24 mois, augmentant ainsi la puissance mais aussi la consommation électrique et la dissipation de chaleur. Le multi-coeur, en multipliant les puces, permet déjà de contourner le problème. L'installation de coeurs de capacités différentes peut se révéler un moyen encore plus économique d'augmenter la puissance. On imagine que Sun pourrait facilement combiner ses compétences 'computer-on-a-chip' à celles de Motalvo afin de concevoir des processeurs à la fois plus puissants et plus économes. Reste qu'il sera néanmoins bien difficile de concurrencer les Intel et AMD sur leur terrain. Selon les observateurs de l'industrie du microprocesseur, Montalvo était attentivement observé avec le même niveau d'intérêt que PA Semi, racheté par Apple. Mais contrairement à la société rachetée par Sun, ce dernier présente l'avantage d'avoir déjà un bi-coeur basé sur l'architecture Power en production. (...)
(25/04/2008 16:07:34)L'attribution d'une quatrième licence 3G en France repoussée à 2009
Le serpent de mer de l'attribution d'une quatrième licence d'opérateur mobile 3G replonge pour quelques mois. Luc Chatel, secrétaire d'Etat chargé de l'industrie et de la consommation a indiqué que gouvernement "réfléchissait", confirmant ainsi qu'il hésite entre la vente d'une quatrième licence 3G complète et la cession aux enchères par lots auprès de plusieurs candidats. L'alternative sera discutée devant le Parlement à l'automne. Le club de la 3G française restera donc fermé jusqu'à la fin de l'année, au mieux. Rappelons qu'Iliad/Free s'était porté candidat, mais proposait un paiement échelonné des 619 M€ réclamés par l'administration. Une condition qui a été jugée recevable par le Conseil d'Etat. Il apparaît de plus en plus clairement que le gouvernement cède à la pression des opérateurs Orange, SFR et Bouygues qui ne veulent pas d'un autre concurrent. (...)
(25/04/2008 13:03:28)Trimestriels 2008 : Microsoft en repli
A la veille de l'expiration de son ultimatum posé à Yahoo concernant son OPA hostile, Microsoft reçoit deux avertissements. Non seulement les bénéfices nets du géant de Redmond sont en chute libre (-10,9%), mais les ventes de Vista sont aussi très décevantes. Et c'est sans compter les gaffes de Bill Gates. L'ancien PDG aurait en effet déclaré lors d'une conférence à Miami que la sortie de Windows 7 (successeur de Vista) serait programmée pour 2009, soit un an avant la date prévue. Une affirmation que Microsoft s'est empressé de tempérer, en réaffirmant que la sortie de Seven n'interviendrait pas avant 2010. Pour Vista, il reste urgent d'attendre Microsoft s'enorgueillit d'avoir vendu 140 millions de licences de Vista. Toutefois, rien ne garantit que toutes ces licences soient effectivement activées pour faire tourner Vista dans les entreprises. Cet échec de Vista dans le monde professionnel n'est qu'une demi surprise pour nos lecteurs, qui ont estimé que la dernière version de l'OS n'avait pas tenu ses promesses. Beaucoup de sociétés ont choisi de suivre les conseils du cabinet d'études Forrester, et d'attendre les mises à jour, voire de rester sur XP. Microsoft ne semble pas dans une période particulièrement faste. Il pourrait bien ne pas non plus arriver à ses fins dans sa tentative d'OPA sur Yahoo. Un échec potentiel que Steve Ballmer chercher à minimiser. Hier encore, l'actuel PDG de Microsoft faisait mine d'ignorer l'obstination de Yahoo, et déclarait que la société « irait de l'avant », avec ou sans Yahoo. (...)
(25/04/2008 11:17:22)Truffle 100 : Le classement des éditeurs français perd sept entreprises et un milliard d'euros
Comme chaque année, la société européenne de capital-risque Truffle publie, avec le CXP et Syntec Informatique, son classement des 100 premiers éditeurs de logiciel français. 2007 a vu une forte concentration du marché avec l'acquisition de sept entreprises parmi les 50 premières du dernier Truffle 100, toutes par des sociétés étrangères. Elles représentaient un poids total non négligeable de 1,1 Md€ de C.A. Il faut dire que parmi elles se trouve l'ancien numéro deux et poids lourd du secteur, l'emblématique Business Objects, avalé par les Allemands de SAP. Le C.A. total du classement accuse une baisse de 13,5% et passe de 4,2 Md€ en 2006 à seulement 3,7 Md€ en 2007. le C.A. de la moitié des éditeurs sous la barre des 10M€ Mais encore et toujours, le Truffle 100 stigmatise la difficulté des petits éditeurs à devenir des entreprises à fort potentiel aux ambitions internationales. Bien sur, on pourrait se réjouir pour le numéro un, Dassault Systèmes, qui affiche fièrement 1,260 Md€ de C.A. Mais là où le bât blesse c'est que cela représente déjà un tiers des revenus du classement. Et juste derrière lui, à la deuxième place, l'activité logicielle de Sopra Group émarge déjà à 1Md€ de moins ! Et le plongeon continue. Dès la 9e marche, Generix Group descend sous les 100 M€ et il ne faut pas aller beaucoup plus loin pour passer sous la barre des 20 M€ avec Planisware en 28e position. Plus de la moitié des entreprises gagne moins de 10 M€. A noter enfin, la domination écrasante de l'Ile de France qui regroupe 62 éditeurs du palmarès. Les difficultés à trouver des financements auprès de capitaux risqueurs paradoxalement souvent frileux, à travailler avec le secteur public, à mener à bien leur R&D, à embaucher, à se retrouver dans la jungle des aides publiques, condamnent les éditeurs hexagonaux à demeurer de petites structures. La plupart du temps, ce n'est pourtant pas faute de compétence ni de passion. A l'occasion de l'inauguration de ses nouveaux bureaux, l'Afdel (Association française des éditeurs de logiciel) a d'ailleurs rappelé cette situation inquiétante et évoqué des solutions telles qu'un Small business act à la française. Pour en savoir plus : l'interview vidéo du patron de Dassault Systèmes sur les difficultés des éditeurs de logiciels français (...)
(25/04/2008 10:03:29)La justice américaine se penche sur l'accord Yahoo-Google
Le ministère américain de la Justice (DoJ, Department of Justice) s'intéresse à l'accord passé entre Google et Yahoo visant à l'affichage des publicités du premier dans les pages de résultats générées par le second. Selon Reuters, l'objectif du DoJ est de déterminer si ce partenariat, présenté par les protagonistes comme un test devant s'étaler sur deux semaines, viole ou non les dispositions anti-trust américaines. L'enquête ouverte par le ministère s'intéressera notamment à une conversation téléphonique entre Eric Schmidt et Jerry Yang, les patrons respectifs de Google et Yahoo, dont l'objet portait sur une association pour contrer Microsoft. Le groupe de Redmond entend mettre la main sur Yahoo et est prêt à débourser 44,6 Md$ pour cela. Une offre jusqu'alors fermement rejetée par Yahoo et vue d'un mauvais oeil par Google, qui n'entend pas laisser naître un géant susceptible de lui faire de l'ombre sur le marché de la publicité en ligne. Les investigations du DoJ le conduiront par ailleurs à s'interroger sur l'éventuelle volonté de Google et Yahoo de prolonger leur accord sur le long terme. La semaine dernière, le Wall Street Journal révélait ainsi que les deux acteurs étaient satisfaits des résultats obtenus par l'affichage des publicités contextuelles de Google dans 3% des pages de résultats générées par Yahoo aux Etats-Unis. Sans tarder, les mis en cause ont plaidé la bonne foi. « Yahoo a pris l'initiative d'informer le DoJ de son intention de mener un test d'une durée limitée avec Google et a fourni des informations sur la nature de ce test », explique-t-on du côté de Yahoo. Même son de cloche chez Google : « Nous avons informé le DoJ avant le démarrage de ce test et avons répondu à ses questions à ce propos. » Le ministère n'a pas confirmé le lancement d'une enquête mais se dit au courant de la collaboration entre les deux groupes. Si l'existence d'une enquête était avérée, elle pourrait avoir de sérieuses conséquences. Selon Keith Hylton, professeur de droit à l'Université de Boston, « le raisonnement de la cour pourrait fort bien la conduire à estimer que l'entreprise dominante - Google - cherche à établir un partenariat présentant des effets empêchant de façon significative la concurrence. » (...)
(24/04/2008 18:30:43)Les résultats d'Apple boostés par les ventes de portables
Une fois n'est pas coutume, ce sont les ordinateurs qui ont propulsé les résultats d'Apple vers des sommets. Certes, la vente de 10,6 millions d'iPod a généré un CA de 1,8 Md$, mais les volumes n'ont progressé que de 1% et le CA a fléchi de 2%. A l'inverse, le CA ordinateurs progresse de 54% à 3,49 Md$. Une forte hausse principalement due à la vente de 1,4 million de portables (+61%) qui ont, à eux seuls, généré un CA de 2,1 Md$, en hausse de 54%. En volume, les ventes de machines de bureau n'augmentent que de 37% à 856 000 exemplaires pour un CA de 1,3 Md$ (+48%). Les portables d'Apple se vendent si bien que, fait remarquable, il s'en est vendu plus ce trimestre, habituellement morose, qu'au trimestre précédent, en principe le plus actif de l'année en raison de la période des fêtes. Grâce peut-être au lancement du Macbook Air en janvier dernier, aussi sexy qu'il est limité. Quant aux 1,7 million d'iPhone, ils ont généré un CA de 378 M$. Si la comparaison avec l'an passé est impossible, il est intéressant de noter qu'Apple a nettement augmenté le revenu unitaire de ses iPhones par rapport au trimestre précédent. Alors que le volume des ventes chute de 26%, le CA augmente de 57%. Ce paradoxe pourrait s'expliquer par une pénurie d'iPhones aux Etats-Unis. Selon Apple, nombre de ses combinés seraient achetés par des étrangers de passage qui profitent de la faiblesse du dollar plutôt que de payer le prix fort dans leur pays d'origine. (...)
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