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(02/05/2008 12:09:27)
Google lâche Ecocho, le moteur de recherche écolo
Il y a de cela quelques jours, Ecocho lançait un moteur de recherche à vocation écologique. Le principe ? Planter deux arbres chaque fois qu'un millier de requêtes ont été traitées. Pour ce faire, la firme renvoyait tout simplement vers les moteurs de recherche de Yahoo et de Google. En tous cas jusqu'à récemment. Car désormais, Google a disparu de la page d'accueil d'Ecocho. Le géant a en effet lâché Ecocho peu de temps après son démarrage, laissant un unique accès via Yahoo. Sur leur blog, les créateurs du site se défendent d'utiliser AdSense sans autorisation, ce que Google leur reprocherait. Ils expliquent n'avoir jamais rien caché de leur idée à l'éditeur et retracent l'agenda de tous leurs échanges avec lui. Les échanges téléphoniques et électroniques rassurants. Les rencontres de visu avec les responsables australiens. Le règlement de Google pour l'utilisation de AdSense précise clairement qu'il n'est en aucun cas possible de proposer une contrepartie aux utilisateurs pour avoir consulté des publicités ou effectué des recherches, pas plus qu'il n'est possible de proposer une telle compensation à une tierce partie pour le même comportement. Effectivement, l'utilisateur de Ecocho se voit promettre, en échange de ses requêtes, une petite partie d'un arbre replanté... ce qui est donc prohibé. Même si Ecocho a enfreint les règles, difficile de comprendre la décision de Google de couper au jeune site tout accès à son moteur de recherche. (...)
(30/04/2008 18:55:12)SAS mesure les impacts environnementaux
Mener une stratégie cohérente de développement durable implique aussi de se doter des moyens pour l'évaluer. Certains éditeurs apportent déjà des réponses, comme SAP avec sa solution SAP GRC (Governance Risk Compliance) ou, depuis quelques années déjà, le Français Enablon avec des outils de reporting spécialisé. Cette fois, c'est l'éditeur américain SAS qui s'appuie sur sa plateforme décisionnelle pour proposer une application analytique spécifique. L'offre SAS for Sustainability Management apporte des indicateurs de mesure de l'impact de l'activité sur les trois axes du développement durable : l'environnement, les performances économiques et la gestion des ressources humaines. Elle fournit aussi des fonctions d'analyse de performance et des outils pour élaborer et tester différents types de scénarios. Selon SAS, les entreprises commencent à prendre conscience de l'enjeu SAS a présenté cette solution, à l'occasion de sa conférence européenne Premier Business Leadership Series qui a réuni quelque 900 participants à Londres les 29 et 30 avril. La responsabilité sociétale des entreprises est visiblement un thème cher à Jim Goodnight, co-fondateur et PDG de la société, qui a annoncé l'offre en personne. Le dirigeant a relevé que cette question était désormais abordée dans tous les conseils d'administration. Une prise de conscience s'est faite, selon lui, pour mener des stratégies de réduction des risques, et ce quelle que soit l'opinion personnelle des décideurs sur les prévisions des scientifiques sur le réchauffement climatique. Pragmatisme oblige, la politique environnementale d'une entreprise a aussi un impact sur la perception qu'ont d'elle ses actionnaires, ses clients, ses employés ou les collaborateurs qu'elle cherche à recruter. [[page]]Partenaire de SAS et premier utilisateur de cette offre, Cisco a indiqué y avoir recours pour établir des priorités entre ses projets en fonction de leur impact sur l'environnement (simulation de l'empreinte carbone, objectifs de réduction des déchets, etc.) mais aussi sur ses investisseurs et ses salariés. Le dictionnaire de méta-données s'appuie sur les travaux du GRI « Nous nous sommes appuyés sur les travaux du GRI (Global Reporting Initiative) qui a établi des indicateurs à renseigner pour mesurer les performances économiques, sociales et environnementales des entreprises, explique Daniel Delorge, directeur général de SAS France. Nous avons intégré ces critères dans l'application SAS for Sustainability Management en les structurant dans un dictionnaire de métadonnées. » La solution emprunte à plusieurs applications de SAS, notamment aux offres de Performance Management et d'Activity-Based Costing (gestion des coûts par activités), ainsi qu'aux outils d'analyse prédictive. Le dirigeant français souligne que les projets de développement durable sont généralement pilotés par les directions générales et confirme qu'ils sont, au-delà des considérations de bonne conscience, importants pour l'image de l'entreprise. SAS for Sustainability Management sera ultérieurement proposée aux PME sous la forme d'un service hébergé. (...)
(30/04/2008 18:22:19)Dell licencie 5% de ses effectifs en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique
Encore un coup dur pour les salariés de Dell. Le texan envisage une nouvelle fois de tailler dans ses effectifs, dans le cadre d'un plan visant à réduire les dépenses d'au moins trois milliards de dollars par an d'ici 2011. Cette fois-ci, les coupes auront lieu en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique (EMEA). Elles toucheront 4 à 5% des effectifs du constructeur (17,500 salariés), soit environ 900 salariés des régions EMEA. « Nous sommes fiers des records de croissance de Dell dans ces pays, commente pourtant Xavier Molinié, directeur des ressources humaines de Dell Europe du Sud. Mais pour se maintenir dans la course, nous devons redoubler de vigilance sur certaines de nos activités et procéder à la réorganisation de nos équipes en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique. » Près de 9000 départs dans le monde Dell compte bien reclasser certains salariés dans des fonctions commerciales mais cela n'empêchera en rien d'inévitables licenciements. Ceux-ci auraient d'ailleurs été annoncés pas plus tard que mardi dernier, en Irlande, frappant 250 employés. [[page]]Il y a quelques semaines à peine, le constructeur avait exprimé son intention de supprimer plus que les 8 800 emplois annoncés en mai 2007 . L'entreprise a déjà fermé une usine de PC à Austin, au Texas, envoyant ainsi 900 salariés au chômage. Au Canada, un de ses centre d'appels à Edmonton , où travaillaient 900 personnes, a aussi dû cesser son activité et renoncer à recruter 1 200 nouveaux employés pour son centre d'Ottawa. (...)
(30/04/2008 16:20:22)SAP ralentit le déploiement de son offre Business ByDesign pour PME
Sans doute déçu par son chiffre d'affaires trimestriel en baisse de 22% (contre une hausse de 14% l'an dernier), SAP prend des mesures et lève le pied sur le déploiement de son offre Business ByDesign. L'allemand fondait pourtant de nombreux espoirs sur cette version en mode SaaS de son ERP, réservée aux PME. Il ne pourra donc pas en obtenir le C.A. espéré d'un milliard de dollars d'ici à 2010. Douze à dix-huit mois supplémentaire seront nécessaires pour y arriver. A son grand dam, SAP ne devrait pas non plus conquérir plus de 1000 clients avec ce service avant la fin de l'année. Il va en effet concentrer ses efforts sur les six pays dans lesquels se trouvent ses premiers clients les plus productifs. Le déploiement dans les autres régions attendra l'année prochaine. Par ce biais, l'éditeur devrait réduire son investissement dans Business ByDesign de 100 M€ pour le ramener dans une fourchette de 75 à 125 M€. Cette opération devrait aussi redynamiser la marge opérationnelle tombée à 14,6% au premier trimestre contre 20,2 l'an dernier. SAP espère aussi pouvoir maximiser le ROI de l'offre en réutilisant des innovations et des technologies déjà présentes dans ses autres produits. (...)
(30/04/2008 16:32:05)Le marché français sauve le premier trimestre d'Altran
L'exercice 2008 d'Altran ne débute pas sous les meilleurs auspices. Pour son premier trimestre, le groupe spécialisé dans le conseil IT annonce en effet un chiffre d'affaires qui ne progresse que de 3,6% sur un an, à 408,5 M€. Une croissance molle à mettre sur le compte des mauvaises performances réalisées à l'international. Hors de l'Hexagone, la société française voit ainsi ses revenus régresser de 0,9% pour s'aligner à 224,4 M€, avec des disparités selon les différents pays dans lesquels il exerce son activité. Si l'Autriche, les pays d'Europe de l'Est et d'Asie s'avèrent de bons élèves, le Royaume-Uni, la Suisse et les États-Unis sont à la traîne (avec des pertes respectives de 12,1%, 25,9% et 23,9%). A contrario, le baromètre est au beau fixe sur la France. Altran voit ainsi le chiffre d'affaires réalisé sur son sol natal progresser trimestre après trimestre pour culminer à 182,1 M€ au T1 2008, soit une hausse de 9% sur un an. Une réussite qui permet d'atténuer les résultats obtenus à l'étranger. En un an, le groupe a, par ailleurs, vu ses effectifs passer de 17 037 à 17 650. Eric Albrand, le directeur financier, n'a pas communiqué d'objectifs chiffrés pour la suite de l'exercice, se contentant de viser un maintien du rythme de croissance en France et un calquage rapide, à l'international, sur la progression du marché. (...)
(30/04/2008 11:16:28)Sopra débute l'année avec une croissance à deux chiffres
Démentant les craintes concernant les SSII en début d'année, Sopra publie d'excellents résultats pour son premier trimestre. Le chiffre d'affaires consolidé se monte à 268,7 M€ avec une croissance organique de +10,6% et une croissance totale de +12,3%. Deux activités dépassent largement le seuil des 10% de croissance organique : l'intégration en France affiche + 11,9% et l'édition logicielle, via la filiale Axway, + 12,3%. Cette dernière activité permet d'ailleurs à Sopra de se placer deuxième dans le classement Truffle100 des cent premiers éditeurs français. En revanche, la partie conseil est à +9,3% et la partie intégration Europe à +6%. Pour 2008, la SSII table sur une croissance soutenue supérieure au marché des services En se projetant sur le reste de l'année, et au vu des carnets de commande du 1er trimestre, Sopra anticipe une accélération de sa croissance pour l'intégration France, une croissance soutenue pour Axway aux Etats-Unis et au Royaume-Uni, des croissances identiques pour le conseil et l'intégration Europe. En résumé, Sopra se fait fort d'obtenir « une croissance au moins équivalente sur le deuxième trimestre et se montre confiant dans sa capacité à soutenir, dans l'environnement actuel, une croissance organique supérieure à celle du marché sur l'ensemble de l'exercice 2008 ». Rappelons que le Syntec table sur une croissance de 6 à 7% pour l'ensemble du secteur des logiciels et services cette année. (...)
(29/04/2008 18:56:15)Orange crée un forfait logiciels inspiré du forfait téléphonique
Orange Business Services a formalisé une offre de virtualisation des logiciels sur les postes de travail de l'entreprise, dont la facturation est en tout point comparable à celle de ses forfaits de téléphonie mobile. Concrètement, les applications et les données sont hébergées par les centres informatiques d'Orange et le forfait inclut la connexion, quelle que soit la technologie (ADSL, 3G, WiFi, VPN, etc) et le terminal (micro-ordinateur, client léger, PDA...). La virtualisation permet de retrouver son environnement à distance, lorsqu'on se déplace dans un cybercafé par exemple. L'utilisateur accède à ses outils bureautiques (le principal partenaire étant Microsoft), sa messagerie et ses applications métiers. Une offre tournée en priorité vers les TPE et les PME Le lancement de cette solution est une conséquence directe du rachat par Orange à l'automne 2006 de la SSII Neocles, spécialisée dans la virtualisation. « Nous ciblons d'abord les TPE et les PME, soit les entreprises dont les effectifs vont de 3 à 800 personnes. Nous leur donnons les moyens de se passer de serveurs et de postes clients lourds en mettant les centres informatiques du groupe à leur disposition. Le forfait de base, qui intègre l'assistance téléphonique, est de 99 € par mois. Cette formule répond aussi à une attente forte des PME, d'avoir un interlocuteur unique. Plusieurs cabinets d'étude, tels qu'IDC, le Yankee Group, Ovum ou Forrester estiment que c'est la seule offre forfaitaire complète et qu'elle est beaucoup plus simple que les formules de type ASP ou Software as a Service, affirme Benoît Delanoë, Responsable du Forfait Informatique chez Orange Business Services. [[page]]Dans le cadre du pack de base facturé 99 € par mois, l'utilisateur dispose de 500 Mo d'espace de stockage sécurisé, de Microsoft Office (Word, Excel, PowerPoint) et d'outils complémentaires standards de bureautique (WordPad, PdfMaker, Acrobat Reader, compresseur, Viewer Access). L'option messagerie est facturée 16 €/mois et par utilisateur. Elle comprend un client Outlook Exchange et une capacité de 500 Mo. La messagerie est protégée par anti-spam et anti-virus et le système réalise les sauvegardes. Quant à l'option application métier, elle coûtera 6 €/mois et par utilisateur, à partir d'un minimum de 25 utilisateurs. Des extensions sont prévues telles que l'ajout d'espace disque au coût de 1 Go pour 2 €/mois et l'accès à MS Project, Vision et Access. De même, on peut étendre l'espace de stockage pour la messagerie ou l'application métier. (...)
(29/04/2008 12:22:52)Bercy mise sur la dérégulation et la fibre optique pour moderniser l'économie
La ministre de l'Economie, des Finances et de l'Emploi, Christine Lagarde, a présenté hier - 28 avril - les grandes lignes de son projet de loi sur la modernisation de l'économie (LEM), qui s'articule autour de 44 articles mêlant déréglementation et simplification des démarches administratives Le texte accorde une grande place aux TIC. La locataire de Bercy, qui a rappelé que « la France est connue pour son avant-gardisme en matière technologique », mise en particulier sur la modernisation du territoire pour en accroître l'attractivité. La ministre s'est ainsi rapprochée d'Eric Besson, récemment nommé secrétaire d'Etat chargé du développement de l'économie numérique, pour « gagner le pari du très haut débit en étendant l'usage de la fibre optique ». L'objectif : raccorder au moins 4 millions de foyers à l'horizon 2012. Un but qui rappelle celui fixé par le Président de la République à l'occasion de l'ouverture du Cebit 2008. Le chef de l'Etat s'engageait alors à relier 100% des ménages au haut débit d'ici à la fin de son mandat. La promotion de la fibre passera notamment par le pré-câblage des immeubles neufs, le raccordement facilité des immeubles existants et la possibilité laissée aux collectivités d'aménager numériquement leur territoire. Autant de mesures déjà évoquées en février par le comité de pilotage du très haut débit. Au chapitre de la mobilisation des entrepreneurs - un sujet qui intéressera particulièrement les jeunes structures du secteur de l'IT -, Christine Lagarde entend faciliter la création d'entreprise individuelles avec, pour toute formalité requise, un seul document à remplir. De même, l'obligation d'immatriculation pour les activités indépendantes sera supprimée. L'effort de création d'entreprise passe également par des cadeaux fiscaux : les entrepreneurs individuels paieront ainsi leurs impôts et cotisations sociales en une seule fois avec un impôt maximum de 13% pour un chiffre d'affaires inférieur à 76 300 € (pour les activités de commerce) ou de 23% (activités de services et CA inférieur à 27 000 €). Une mesure dont le coût est estimé à 60 M€. Dans le même esprit, le droit de mutation à titre onéreux bénéficiera d'une réduction allant de 3% à 5%. Et dans le cadre d'une transmission d'entreprise à un membre de la famille ou aux salariés, la LME prévoit une exonération de droit jusqu'à 300 000 €. L'enveloppe prévue par l'Etat pour ces avantages s'élevant à 100 M€. Le texte adopté en conseil des ministres répond à la lettre de mission présidentielle fixant l'objectif de « lever les contraintes qui empêchent certains secteurs de se développer, de créer des emplois et de faire baisser les prix ». Rédigé sur la base du rapport Attali, dont il reprend une trentaine de propositions, et en collaboration avec les parlementaires de la majorité. In fine, la ministre estime que son plan est susceptible de générer « au moins 0,3 point de croissance et 50 000 emplois par an » dès 2009. La LME sera examinée par les parlementaires à partir du 27 mai, lesquels devraient procéder à son vote au début du mois de juillet. (...)
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