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(24/04/2008 18:18:33)

Apple achète P.A. Semi, concepteur de processeurs basse consommation

Apple a confirmé l'acquisition de P.A. Semi, société de 150 personnes qui conçoit des processeurs basse consommation. En revanche, le constructeur s'est refusé à indiquer le montant de la transaction, estimée à 278 M$ par le magazine Forbes. P.A. Semi à été fondé en 2003 par Dan Dobberpuhl qui fut à l'origine du StrongARM, processeur développé par Digital dans les années 90 avant d'être cédé à Intel. Lequel vient de vendre cette ligne de produits à Marvell. Cette société compte aussi nombre d'ingénieurs recrutés chez Intel, AMD et Sun. P.A. Semi a dans ses cartons le PA6T-1682M, un bi-coeur 64 bits doté d'un jeu d'instructions dérivé de celui des PowerPC. Il est décrit comme 300% plus performant que ses concurrents et ne consommerait que 5 à 13 watts à une fréquence de 2 GHz. Apple davantage intéressé par l'expertise de P.A. Semi que par ses processeurs Faute d'informations complémentaires de la part d'Apple, les commentateurs se perdent en conjecture. Pour certains observateurs, Apple pourrait utiliser le savoir-faire de P.A. Semi pour concevoir les prochaines générations d'iPhone et d'iPod. [[page]] D'autres considèrent que le rachat de P.A. Semi ne signifie pas qu'Apple va utiliser ses processeurs, mais qu'il s'intéresse à l'expertise de cette entreprise, en particulier celle concernant l'architecture ARM. Les designs de processeurs de la société anglaise dominent actuellement le créneau des composants basse consommation. L'iPhone est d'ailleurs animé par un processeur Samsung fondé sur un design ARM. Les réponses à toutes ces suppositions devraient arriver dans un an. D'ici là, tout le monde s'accorde à dire que ce rachat est un camouflet à Intel et son processeur Atom, variante basse consommation de son architecture x86 qu'il peine encore à imposer. (...)

(24/04/2008 16:31:51)

Le marché professionnel du Web 2.0 pèsera 4,6 Md$ en 2013 selon Forrester

Les outils liés au Web 2.0 sont entrés en phase de professionnalisation, selon le cabinet d'études Forrester Research, et devraient représenter un chiffre d'affaires de 4,6 Md$ en 2013, soit dix fois plus qu'en 2007 (455 M$). Cela correspond à une progression annuelle de 43%. Le cabinet a identifié sept catégories d'applications : les réseaux sociaux, les flux RSS, les blogs, les wikis (encyclopédies interactives), les mashups (applications hybrides), les podcasts et les widgets. Les réseaux sociaux se taillent la part du lion dans les intentions de dépenses des entreprises, avec 1,997 Md$ à l'horizon de 2013. Les autres technologies sont loin derrière. Elles entraîneront des investissements compris entre 273 M$ (pour les podcasts) et 682 M$ (pour les mashups). Le cabinet Forrester considère que les applications Web 2.0 représentent une nouvelles manière de communiquer, tant en interne (entre les salariés, pour travailler sur un projet de R&D ou de marketing, par exemple) qu'en externe (avec les fournisseurs, les clients et les prospects). Les investissements devraient d'ailleurs basculer en faveur des échanges externes, qui passeront de 224 M$ à 2,784 Md$, contre 231 M$ à 1,862 Md$ en interne. L'arrivée des « Digital Natives » rend la tendance inéluctable La taille de l'entreprise joue un rôle sur le taux d'adoption de ces outils. Dans les très grandes entreprises (plus de 20 000 salariés), il atteint les 51% mais dans les petites sociétés (mois de 100 personnes) il chute à 20%. Certaines DSI restent encore frileuses à l'idée d'adopter des outils Web 2.0, notamment pour des raisons de sécurité du système d'information et de productivité des salariés. Forrester estime toutefois que la tendance devrait s'inverser, et que le Web 2.0 finira par s'imposer dans les entreprises. Le phénomène semble d'ailleurs inéluctable, puisque ces sociétés devront faire face à l'arrivée des Digital Natives, cette génération qui a baigné dans le monde d'Internet et du numérique, et qui voudra retrouver des outils familiers dans un cadre professionnel. (...)

(24/04/2008 11:18:05)

Microsoft / Yahoo : Steve Ballmer soigne son bluff

On aura eu droit à tout dans la saga qui met en scène Microsoft et Yahoo depuis le 31 janvier. Après les échanges d'amabilités aussitôt avortés, la multiplication des rapprochements chacun de son côté et même les menaces, Steve Ballmer a décidé de donner encore un tour de vis. Selon nos confrères de Reuters, le PDG de Microsoft a déclaré lors d'une conférence à Milan que la société pouvait très bien se passer de Yahoo pour « aller de l'avant ». Malgré les bons résultats trimestriels du pionnier de la recherche, Microsoft reste de glace, du moins en apparence. Steve Ballmer a fixé son ultimatum à ce week-end, et tel un joueur de poker, veut montrer qu'il ne flanchera pas. Il ne reste donc que deux jours à Yahoo pour accepter l'offre de rachat de Microsoft, pour un montant de 43,2 Md$. (...)

(23/04/2008 17:50:02)

Résultats : Intel conforte sa domination au détriment d'un AMD rouge de perte

Intel qui rit, AMD qui pleure. Le premier trimestre 2008 a confirmé que le numéro un mondial des processeurs tenait toujours la dragée haute à son challenger, lequel n'en finit toujours pas d'être sur la défensive. Si le résultat net d'Intel s'affiche en baisse, c'est en raison de charges exceptionnelles liées au désengagement du groupe du secteur des mémoires flash au profit de Numonyx, coentreprise fondée avec STMicro. Ses activités liées aux processeurs et aux produits associés (chipsets, cartes mères) se portent à merveille. La division en charge des produits pour les serveurs et les machines de bureau affiche un CA en hausse de 13 % à 5,3 Md$, assorti d'un bénéfice opérationnel de 1,7 Md$, en progression de 89% ! La division qui se consacre au mobile affiche aussi une hausse de son CA à 2,7 Md$ (+ 12,5 %), mais concède une baisse de son résultat opérationnel : - 15,4 % à 1,1 Md$. Chez AMD, seules les promesses de perspectives meilleures annoncées par les dirigeants viennent compenser les résultats décevants du premier trimestre. Certes, le groupe affiche une forte hausse de ses activités. Ses ventes ont nettement progressé, tant sur les processeurs (1,2 Md$, +30%) que sur les composants graphiques (230 M$, +17%). Mais il paye le prix fort pour avoir retardé le lancement de ses Opterons quadricoeurs. Faute d'avoir repris un peu d'avance technologique, il a dû se battre sur les prix. L'activité processeurs a encore perdu 160 M$ (contre 321 un an auparavant) et l'activité graphique génère toujours 11 M$ de pertes (35 M$ un an auparavant). (...)

(23/04/2008 16:40:56)

Le service de sauvegarde en ligne d'HP en panne

Le service de sauvegarde en ligne Upline de HP devait protéger les données des clients « en cas de panne matérielle, de perte d'ordinateur mais aussi de catastrophe. » Et pourtant dix jours après son lancement, c'est le service lui-même qui est victime d'une panne. Depuis le 17 avril dernier, « HP a suspendu son offre pour enquêter sur ce que nous pensons être un incident technique isolé, » assure Sheila Waston, porte-parole de la société. Elle promet par ailleurs : « nous espérons que le service sera à nouveau disponible pour les utilisateurs d'ici à la fin de la semaine. » Le site est disponible, mais l'accès aux comptes ne l'est pas A l'heure actuelle, bien que le site Web soit fonctionnel, l'accès aux comptes ou la création de nouveaux comptes est impossible et renvoie à une page d'erreur. De plus, bien que le service ait été, en théorie, réservé aux particuliers et entreprises résidant aux Etats-Unis, n'importe qui pouvait s'y enregistrer. Désormais ce n'est plus possible, et les remboursements liés à l'indisponibilité du service ne concerneront que les clients américains. Les non-américains disposeront d'une période de transition pour transférer leurs données ailleurs dès la fin de la panne. Selon Sheila Waston, celle-ci n'affecte pas l'intégrité des données déjà stockées sur Upline. Lancé suite au rachat par HP du prestataire de stockage en ligne Opelin, cette offre n'est que la dernière d'une série de services similaires lancés par de grands noms de l'informatique. En février dernier, EMC avait lancé MozyEntreprise après son rachat du service Mozy en septembre 2007. Et Dell s'est porté acquéreur de MessageOne, un service de sauvegarde dédié à la messagerie. (...)

(23/04/2008 15:52:33)

Avec Live Mesh, Microsoft adapte son Porte-documents au Web 2.0

Accéder à ses fichiers de façon transparente sur n'importe lequel de ses appareils (PC de son domicile, ordinateur portable du travail, téléphone mobile...), connecté ou non, telle est la promesse de Live Mesh, une plateforme introduite par l'architecte en chef de Microsoft, Ray Ozzie. A l'image du porte-documents des anciennes versions de Windows, Live Mesh offre de synchroniser ses fichiers, mais en tirant parti des nouvelles possibilités techniques offertes par le Web : stockage en ligne, centralisation de l'authentification, partage avec des amis, flux d'informations et alertes, etc. Ainsi, un document mis à jour sur tout appareil du réseau maillé sera automatiquement dupliqué et/ou synchronisé sur les autres terminaux. Les formats de publication (flux RSS Atom, technologie Rest) laissent aussi entrevoir la possibilité de mettre à jour ces fichiers sur les réseaux sociaux. Relativement discret jusqu'ici, Ray Ozzie avait brièvement évoqué lors de la conférence Mix (en mars dernier à Las Vegas) le principe de Mesh, un terme emprunté au vocabulaire des réseaux, désignant les réseaux maillés. Aujourd'hui, Microsoft dévoile une 'technology preview' de cette plateforme, une étape qui permet de commencer à tester la technologie et à recueillir des commentaires avant la réalisation d'une bêta. Une étape importante dans la stratégie S+S de Ray Ozzie A la fois logiciel et service, Live Mesh s'inscrit dans la stratégie S+S (Software plus services) de l'éditeur définie par Ray Ozzie, qui a succédé à Bill Gates pour participer à la transition du modèle économique de l'éditeur. En ce sens, Live Mesh apparaît donc beaucoup plus stratégique qu'un simple service de synchronisation ou de stockage en ligne. Soucieux de montrer l'évolution de Microsoft vers les applications Web tout en préservant l'importance des logiciels installés sur les appareils accédant au Web, Ray Ozzie explique qu'il faut considérer le Web non pas comme une fin en soi, mais comme un hub servant à relier ses terminaux. Dans un memo aux employés de Microsoft, Ray Ozzie explique ainsi : « Pour les individus, le concept de 'mon ordinateur' cèdera la place au concept de 'maillage personnel d'appareils' - une façon de rassembler l'ensemble de ses appareils et de les gérer via le Web comme un tout. Une fois qu'un appareil sera identifié comme vous appartenant, alors l'ensemble de ses réglages de configuration, ses applications et leurs propres réglages ainsi que les données qu'il héberge seront disponibles et synchronisés au travers du réseau maillé. » Seuls XP et Vista sont supportés pour l'instant [[page]] Pour l'heure, cette 'preview' accessible à quelques milliers d'utilisateurs américains n'est disponible que sur Windows XP et Vista. Mais, précise sur son blog Amit Mital, qui dirige l'équipe Live Mesh, l'objectif est d'élargir le nombre de clients possibles, en commençant par les Mac et les appareils mobiles. En théorie, dans la mesure où les protocoles d'échange utilisés sont standards et les interfaces de programmation (API) ouvertes, il devrait être possible à un tiers de réaliser son propre client. Toutefois, les modalités en termes de licence ou de conditions tarifaires « ne sont pas encore déterminées », indique Laurent Ellerbach, responsable marketing de la division Plateforme et écosystème de Microsoft France. Licence et conditions tarifaires restent à préciser De même, Laurent Ellerbach précise qu' « il faudra une authentification Windows Live ID ». Avant d'ajouter qu'il est « possible que cela s'ouvre à d'autres technologies ». Même flou sur la partie stockage en ligne. Si les 5 Go alloués le seront sur Skydrive, rien n'empêche, toujours théoriquement, un service tiers de s'insérer dans ce maillage. « C'est possible technologiquement, mais pas encore déterminé », explique Laurent Ellerbach. L'inclusion de mobiles dans ce maillage fera aussi naître d'autres questions, notamment du fait des limitations en bande passante et en quantité d'octets transférés. « On n'en sait pas plus pour l'instant, indique Laurent Ellerbach. J'imagine qu'il sera possible de choisir ce qu'on veut synchroniser en fonction de critères comme la taille du fichier, la date de mise à jour... » Le financement du service par la publicité ou via un abonnement n'est pas non plus déterminé. « C'est un début, conclut Laurent Ellerbach. Il n'y a pas de date de sortie, justement pour se laisser le temps de s'adapter. » (...)

(23/04/2008 14:54:42)

EDS ferme trois sites en région et licencie 80 salariés

La filiale française de la société de services EDS annonce un projet de réorganisation régionale qui se soldera par la fermeture de plusieurs sites en province et par le licenciement de salariés qui y sont rattachés. Les trois centres de la SSII situés à Villeneuve d'Ascq (Nord), Freyming-Merlebach (Moselle) et Lingolsheim (Bas Rhin) cesseront bientôt leur activité, d'où un Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) lié à ces fermetures. Selon la direction de la communication, ce plan ne concernera pas la totalité des postes rattachés à ces trois sites mais un maximum de 80 emplois, soit moins de 3,5% des effectifs de la filiale française. « Les exigences actuelles du marché nous conduisent à mener des plans de productivité importants pour maintenir notre compétitivité, justifie EDS, dans un communiqué. L'un des axes de ces plans réside dans le regroupement de nos centres de production, décision qui fait partie intégrante de la stratégie mondiale du groupe.» Un marché local de l'infogérance devenu trop réduit Historiquement, la présence d'EDS dans ces régions s'explique par la signature de contrats d'infogérance datant du début des années 1990. Or aujourd'hui, EDS estime que la structure du marché local associée à la concurrence déjà établie et à la stratégie du groupe ne justifient plus sa présence dans ces régions sauf pour quelques grands comptes. Pour se donner bonne conscience, la SSII s'engage à mettre en oeuvre des mesures d'accompagnement afin d'aider les salariés concernés à retrouver un emploi : ouvertures de postes en interne, mesures d'aide à la mobilité, formations d'adaptation et primes de mutation. Un espace « Conseil Emploi » avec l'assistance d'un cabinet de consultants spécialisés dans l'accompagnement au reclassement devrait également être mis en place. (...)

(23/04/2008 09:22:29)

Les bons résultats de Yahoo n'émeuvent pas Microsoft

Les bons résultats trimestriels dévoilés aujourd'hui par Yahoo n'influeront en rien sur l'offre faite par Microsoft pour mettre la main sur le géant du Web. C'est Steve Ballmer lui-même qui s'est fendu de cette déclaration, délivrée quatre jours avant que n'expire l'ultimatum lancé par l'éditeur à Yahoo. Ce dernier n'a plus que jusqu'à samedi pour accepter ou refuser les 43,2 Md$ proposés pour rejoindre le géant de Redmond. « Je pense que nous pouvons accélérer notre stratégie en achetant Yahoo et nous paierons une somme acceptable aux yeux de nos actionnaires. Je souhaite à Yahoo le plus grand succès avec ses résultats, mais ils ne modifieront pas la valeur à laquelle nous les estimons », a ainsi déclaré le président de Microsoft à l'occasion du lancement de MSN Maghreb. Les bonnes performances financières réalisées au cours du premier trimestre pourraient pourtant permettre à Yahoo de réclamer plus que les 31 $ par actions offerts par Microsoft. Même si il refuse d'envisager cette éventualité, ce dernier pourrait toutefois bénéficier d'un appui de poids si l'addition finale enflait. Rupert Murdoch, le patron de News Corp, vient en effet de tendre la main à Steve Ballmer, lui proposant son aide pour avaler Yahoo, avec un seul but en tête : dresser une barrière contre l'hégémonie de Google dans la publicité en ligne. (...)

(22/04/2008 17:43:09)

Logica supprime 1 300 emplois en Europe

La SSII Logica (39 000 salariés) vient d'annoncer un plan de restructuration qui devrait, selon un communiqué, « relancer l'activité du groupe et améliorer le rendement des actions ». Reste que ce programme « de revitalisation » passera par la réduction de 1 300 emplois, soit 3% de l'effectif total du groupe : 500 licenciements toucheront la Grande-Bretagne, tandis que le continent européen devrait subir 2% de coupes, en Allemagne, en Suède et également en France. Cette restructuration coûtera à Logica, 70 millions de livres cette année et 40 millions en 2009. A partir de 2010, l'entreprise devrait parvenir à économiser 80 millions de livres par an. Dans l'Hexagone, on s'attend à des suppressions de postes dans les fonctions centrales de la SSII : Les syndicats français parlent de 250 réductions d'emplois sur des activités qui pourraient bien être délocalisées dans des pays dits à bas coûts. «Chez Logica France, les coupes devraient se monter à 2% de l'effectif actuel (9 000 collaborateurs), et heurter les fonctions centrales de plein fouet, prévient Hubert Macone, délégué syndical CGT chez Logica. Les services centraux, comme le contrôle de gestion, la paye, la facturation, ou le relevé des activités, seront délocalisés, ce qui conduira à d'inévitables licenciements. ». En France, le voile sera levé le 5 mai, à l'issue d'un Comité Central d'Entreprise (CCE), tandis que le lendemain, les Top Managers français se réuniront. Logica a également déclaré vouloir investir davantage dans la vente, le marketing, le conseil (où le nombre de collaborateurs devrait passer de 2 500 à 3 500) ainsi que dans la sécurité et la facturation automatisée (pour l'électricité, l'eau, etc.) qualifiés par la SSII de domaines en croissance. L'entreprise va également accroître son offre d'externalisation, et faire doubler le nombre de ses collaborateurs dans les pays offshore d'ici 2009 à 8 000. Pour 2008, la SSII table sur une hausse de 3% de son chiffre d'affaire, et également sur une extension de sa marge d'environ 0,5 % par an en 2009, assortie d'une augmentation de 0,5% à 1% en 2010. (...)

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