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(17/03/2008 17:39:16)
Bob Beauchamp, CEO de BMC : "même sans rien faire, nous aurions 2 ans d'avance"
L'acquisition de BladeLogic par BMC, pour environ 800 M$, s'inscrit selon Bob Beauchamp, son CEO, dans la droite ligne de la stratégie annoncée l'année dernière. BMC avait en effet indiqué qu'il comptait étoffer son offre de BSM (Business service management) avec des outils d'automatisation. L'idée des logiciels de BladeLogic est de fournir aux entreprises un ensemble d'outils les déchargeant en partie de la gestion de leurs serveurs. Une idée qui coïncide avec celle du BSM, laquelle consiste à mettre en corrélation la production informatique et le service rendu au métier. Dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, Bob Beauchamp, patron de BMC, et Dev Ittycheria, président et CEO de BladeLogic, expliquent les raisons de ce rapprochement. LeMondeInformatique.fr : Cette partie automatisation manquait, jusqu'à présent, dans l'offre de BMC ? Bob Beauchamp : Oui, nous avons Remedy, qui est la plateforme de choix pour la gestion du service informatique, Patrol et nos autres outils qui constituent notre offre de gestion traditionnelle, et maintenant nous amenons de l'automatisation dans l'offre de BMC. LeMondeInformatique.fr : Estimez-vous disposer dorénavant d'une offre BSM complète, ou bien reste-t-il des manques à combler ? Bob Beauchamp : Même sans rien faire, nous aurions encore deux ans d'avance sur la concurrence, et ce n'est pas moi qui le dis, ce sont plusieurs cabinets d'analystes, Forrester, Gartner, IDC. Mais nous n'avons pas l'intention d'en rester là, notre but est de continuer d'avancer, de surprendre les compétiteurs. LeMondeInformatique.fr : Pourquoi avoir décidé cette acquisition maintenant ? Bob Beauchamp : Cela faisait longtemps que nous regardions BladeLogic, en fait depuis que nous avons pris la décision l'année dernière de compléter le BSM en allant vers un nouveau secteur, celui de l'automatisation. BladeLogic était de loin le meilleur. Mais il a fallu être réaliste, et attendre le bon moment. [[page]] LeMondeInformatique.fr : Et pourquoi, du côté de BladeLogic, avez-vous pris la décision d'accepter, alors que, comme le soulignaient les analystes lors du rachat d'Opsware par HP, vous n'aviez finalement que l'embarras du choix ? Dev Ittycheria : Le rachat d'Opsware n'a pas changé fondamentalement notre objectif, qui était de continuer à progresser sur ce marché. Mais quand BMC a fait une proposition, nous l'avons examinée avec le conseil d'administration, puis nous avons pris contact avec ceux qui avaient exprimé un intérêt par le passé et entamé un processus complet d'analyse, qui a conclu que l'offre de BMC était dans notre meilleur intérêt. LeMondeInformatique.fr : Le rachat de Platespin par Novell a-t-il précipité les choses ? Bob Beauchamp : Non, cela n'a eu aucun impact. Dev Ittycheria : PlateSpin intervient sur une niche, la migration de systèmes virtualisés, qui n'est pas un secteur essentiel pour nous ; nous sommes davantage sur la partie gestion de systèmes. LeMondeInformatique.fr : Certains de vos produits sont déjà intégrés, avez-vous dit lors de la conférence de presse. Pouvez-vous détailler dans quelle mesure ? Bob Beauchamp : Il s'agit en fait d'intégrations réalisées de façon naturelle. D'une part, en raison d'une collaboration entre les équipes de BladeLogic et de RealOps, avant que nous ne rachetions ce dernier. Et d'autre part, sur le terrain, lorsque des clients utilisent à la fois BladeLogic et Remedy. LeMondeInformatique.fr : Combien de clients compte BladeLogic, et quel est le pourcentage de clients en commun avec BMC ? Dev Ittycheria : Notre base clients croît rapidement, nous en revendiquons aujourd'hui 275. Mais pour le décompte. Bob Beauchamp : Quoiqu'il en soit, sachant que BMC compte 15 000 clients, cela fait toujours 14 725 opportunités de licences croisées ! (...)
(17/03/2008 16:33:33)Coda réunit ses utilisateurs sur fond de rachat par Unit 4 Agresso
L'éditeur britannique Coda, éditeur de solutions comptables et financières qui compte 2 600 clients dans le monde, réunit aujourd'hui, lundi 17 mars, et demain, les membres de son club utilisateurs français à Charenton. Ce rendez-vous annuel, qui rassemble généralement entre 100 et 150 clients, s'inscrit cette année dans un contexte particulier, puisque le groupe néerlandais Unit 4 Agresso, éditeur de progiciels intégrés, a fait en février une offre de rachat à Coda, après l'avoir une première fois approché en décembre dernier.
Unit4 Agresso, dont l'offre s'adresse en particulier aux fournisseurs de services, a précisé qu'il comptait poursuivre le développement et le support de tous les produits de Coda. Jeremy Roche, PDG de Coda, a fait le déplacement à Charenton pour répondre aux questions de ses utilisateurs français. Outre ses fonctions à la tête du fournisseur britannique, il préside également l'European Software Association qui regroupe des éditeurs de logiciels avec l'objectif de représenter ce secteur d'activité auprès des instances européennes (parmi ces éditeurs figurent notamment les Français Cegid, Business Objects, Dassault Systèmes, aux côtés de Microsoft, SAP et Oracle).
Rappelons que Coda, qui s'adresse principalement aux grandes et moyennes entreprises, a également annoncé, en septembre dernier, qu'il développait une solution de comptabilité, baptisée Coda 2go, en s'appuyant sur la plateforme Force.com de l'éditeur américain Salesforce. Une offre qui sera donc destinée à être exploitée en ligne et qui visera cette fois des structures de toute taille (de 10 à quelques milliers de salariés). (...)
BMC s'offre les outils d'automatisation de BladeLogic pour 800 M$
BMC a proposé environ 800 M$ pour racheter BladeLogic, éditeur d'outils d'automatisation de la gestion des centres serveurs. Bob Beauchamp, patron de BMC, explique dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr que BMC souhaitait depuis plusieurs mois compléter son offre d'administration avec une solution d'automatisation. Blade Logic a découpé son offre en quatre éléments : Discovery Manager (découverte des constituantes matérielles et logicielles du data center), Compliance Manager (application de règles de conformité et audit), Configuration Manager (mise à jour et reconfiguration des serveurs) et Virtualization Manager (couche d'abstraction pour la gestion de serveurs virtuels ou physiques). Depuis le rachat d'Opsware par HP, qui avait d'ailleurs boosté le cours de Bourse de BladeLogic, ce dernier était l'un des derniers grands éditeurs indépendants sur ce créneau (on peut aussi citer PlateSpin, récemment repris par Novell, pour la partie gestion de la virtualisation). D'ailleurs, après le rachat d'Opsware, les spéculations allaient bon train chez les analystes sur qui rachèterait BladeLogic. Brian Babineau, analyste senior chez Enterprise Strategy Group, expliquait en juillet 2007 à nos confrères d'Infoworld que « BladeLogic pourrait continuer seul un certain temps et, s'il continue ainsi, quasiment fixer son prix ». Stephen Elliot enchérissait : « Si vous cherchez un produit et une base installée vraiment décents, BladeLogic est le seul autre éditeur indépendant sur le marché. » BMC fait une offre à près de 13 fois le CA de BladeLogic En revanche, ces analystes se trompaient sur le nom de l'acquéreur potentiel. Ils citaient Symantec (qui avait racheté Jareva, mais a depuis décidé d'abandonner ce créneau), CA, ou encore EMC. D'autres estimaient qu'IBM n'attendrait peut-être pas les bras croisés que HP le rattrape dans la gestion automatisée des infrastructures. Mais c'est donc finalement BMC qui devrait emporter le morceau : le conseil d'administration de BladeLogic appuie la transaction, qui devrait être finalisée d'ici quelques jours. BladeLogic a affiché en 2007 un chiffre d'affaires de 62,7 M$, réalisant une croissance de 105% (pour un déficit de 174 000 dollars, à comparer aux 8,7 M$ de pertes pour l'année 2006). BMC a enregistré de son côté plus d'un milliard et demi de dollars de chiffre d'affaires en 2007. L'offre de BMC, à 28 dollars l'action (soit un bonus de 18,6% par rapport au cours de clôture de vendredi soir), valorise BladeLogic à environ 800 M$. (...)
(17/03/2008 09:33:28)Flash Lite et PDF bientôt sur Windows Mobile
Microsoft ne proposera pas que du Silverlight comme technologie de client riche sur Windows Mobile. D'après nos informations, Microsoft devrait annoncer aujourd'hui le support de Flash Lite pour son système d'exploitation pour Smartphone. Flash Lite est la déclinaison mobile du format Flash d'Adobe. L'accord conclu entre Adobe et Microsoft porte également sur la version légère du Reader, le lecteur de documents PDF. Chez Adobe, on espère que les technologies seront disponibles d'ici à fin 2008. Scott Rockfeld, un des patrons de la branche mobile de Microsoft, a toutefois d'ores et déjà pris soin de rappeler que Microsoft n'avait pris aucun engagement ferme quant au support de Silverlight sur Windows Mobile ou quant à la feuille de route pour l'intégration de Flash Lite. On sait toutefois que Nokia a l'intention de livrer ses Series 60 avec Silverlight vers la fin de l'année. Dans tous les cas, ces technologies de clients riches semblent constituer la martingale pour vendre des abonnements data avec des appareils mobiles, explique Julie Ask, analyste chez Jupiter Research. D'après ses études, les possesseurs de téléphones disposant d'une interface « riche », telle que celle offerte par l'iPhone, consultent davantage de pages Web, et sont donc plus consommateurs de forfaits tout compris. Il faut noter cependant que Flash et Silverlight n'ont pas (encore ?) droit de cité sur l'iPhone. Le SDK pour développer son propre logiciel pour iPhone est sorti en bêta, mais pour l'instant hormis une déclaration d'intention de Sun pour porter Java sur l'iPhone (mais qui a l'air de buter sur les termes de la licence d'Apple), les projets ne sont pas lancés. (...)
(17/03/2008 08:59:26)Forrester prévoit des dépenses informatiques en faible hausse
Le cabinet Forrester a basé son dernier rapport, Global IT 2008 market outlook », sur les chiffres de croissance de l'OCDE et sur l'analyse des comptes de 46 entreprises représentatives du monde de la distribution IT. Une étude menée sur une quinzaine de pays. La base est donc suffisamment solide pour permettre au cabinet d'affirmer son diagnostic : les achats des entreprises, en biens et services informatiques, tombent à 2,8% d'augmentation au lieu des 4,6% prévus (un chiffre déjà faible par rapport aux prévisions, elles aussi pessimistes, d'IDC). En 2007, les achats informatiques avaient grimpé de 12%. Derrière ce chiffre global, Forrester apporte plusieurs notations, elles montrent schématiquement que le hard s'effondre alors que le soft résiste. D'abord, la dépense en logiciels augmentera de 8% en 2008 contre 11% en 2007, une baisse, mais le secteur reste très en pointe. La partie consulting et intégration devrait diminuer également. En revanche, seul secteur dans ce cas, l'outsourcing afficherait 9% de croissance. Inversement, les équipements de communication (réseaux et télécoms au sens large) partis pratiquement du même point, 12% en 2007, progresseront d'un petit « 3% » en 2008. Même punition pour les équipements informatiques (PC, serveurs, périphériques, équipements de sauvegarde) qui devraient chuter de 12% en 2007 à 4% en 2008. [[page]] Forrester a scruté de près les aspects géographiques de son étude. Diagnostic : la lente récession de l'économie américaine sur les premiers trimestres des exercices 2008 devrait se reporter sur l'ensemble de l'économie mondiale. L'Europe tire péniblement son épingle du jeu avec une croissance des dépenses informatiques de 5%, contre 15% en 2007 (mais largement due à l'affaiblissement du dollar contre l'euro). L'éclaircie vient de l'Europe de l'est, du Moyen-Orient et d'Afrique, pratiquement pas de baisse par rapport à 2007, même si les volumes sont encore faibles la tendance est bonne. L'Asie affiche un excellent 9% de dépenses prévues en 2008, quand même loin des 15% de 2007. Forrester note enfin que la part des Etats-Unis dans la dépense mondiale se réduit inexorablement. Et là, ce n'est plus un effet de la crise, mais une tendance de fond : en 2003, le marché américain réalisait 40% de la dépense mondiale en biens et services informatiques, en 2008 le chiffre tombe à 33%. Les Américains sont les plus inquiets d'une crise qui les affecte en priorité, que ce soit à court terme ou sur plusieurs années. (...)
(14/03/2008 17:51:07)Suicide d'un informaticien du Technocentre de Renault
La série noire se poursuit au Technocentre de Renault à Guyancourt (Yvelines). Le site en est en désormais à son quatrième suicide, et la dernière victime est un informaticien. Il s'agit d'un technicien de 47 ans qui travaillait depuis trois ans au support informatique de production d'Assystem, pour le compte du Technocentre, et qui a mis fin à ses jours le mois dernier à son domicile. Selon nos confrères de La Tribune, qui citent une source syndicale de Renault, le salarié se serait dit surmené. Pour Emmanuelle Capiez, DRH d'Assystem, il est impossible à ce stade d'établir un lien entre le suicide de son collaborateur et les conditions de travail du centre d'ingénierie de Renault. « C'était un salarié apprécié par son entourage professionnel et son management, qui était bien intégré dans l'entreprise, indique la DRH. Ses entretiens d'évaluation faisaient apparaître un ressenti positif sur son intégration, son positionnement, la politique de la société et son manager. » Autant d'éléments qui ne pouvaient laisser présager un tel événement. En réaction à cette annonce, la DRH a organisé, dans les jours qui ont suivi le drame, une réunion extraordinaire avec le CHSCT (Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail) afin d'analyser les faits et avoir un premier échange plus large autour des conditions de travail. Suite à cette réunion, la direction du groupe confirme sa volonté d'engager des actions en coordination avec les partenaires sociaux et notamment les CHSCT sur les mesures à mettre en place en vue de prévenir toute forme de mal être au travail. [[page]] Le rapport sur les risques psychosociaux au travail remis à Xavier Bertrand De son côté Renault a notamment souligné qu'un certain nombre de mesures avaient été prises depuis un an, dont « la mise en place d'un DRH à part entière dont la mission est de s'occuper des conditions de travail au Technocentre ». Hasard du calendrier, ce suicide intervient au moment de la remise d'un rapport remis à Xavier Bertrand, ministre du Travail, des Relations sociales et de la Solidarité, sur les risques psychosociaux au travail. Ce rapport sur « la détermination, la mesure et le suivi des risques psychosociaux au travail » a donné lieu à neuf propositions d'actions concrètes pour prévenir le mal-être en entreprise. Le ministère du Travail souhaite notamment rendre obligatoires des négociations sur le stress dans les branches où le phénomène est le plus marqué. Une initiative qui semble utile à l'heure où le stress touche les salariés des services informatiques : les rapports des médecins du travail d'IBM France, par exemple, ont déclaré, pour la seule année 2006, 29 dépressions, 9 cas d'épuisement mental ('burns-out'), un suicide reconnu en maladie professionnelle et 206 urgences. En 2007, au cours des 6 premiers mois, 19 dépressions, 2 'burns-out' et 116 urgences ont également été comptabilisés chez IBM. (...)
(14/03/2008 17:08:21)Annuels Sodifrance : un résultat net multiplié par 2
Exercice 2007 Chiffre d'affaires : 56,95 M€ (+26,4%) Bénéfice net : 2 M€ (+120,7%) La SSII rennaise Sodifrance, spécialisée dans la modernisation des systèmes d'information, vient de communiquer un résultat net de 2 M€ sur son exercice 2007, soit une progression de 120,7% par rapport à 2006. Comme indiqué le mois dernier, le chiffre d'affaires de la société s'est élevé l'an dernier à 56,95 M€ (+ 26,4%). Le résultat opérationnel s'établit à 3,15 M€ (+81,7%). Rappelons que la SSII est notamment engagée dans les projets de migration vers les nouvelles technologies et les architectures orientée services (SOA) et que son exercice 2007 a été ponctué par deux acquisitions : la SSII OneXt, en avril, et API Group, en juillet. La première est spécialisée dans les portails et la gestion des contenus Web, et la deuxième, dans le secteur de la banque et de l'assurance/retraite. Pour 2008, Sodifrance s'est fixé un objectif de croissance ambitieux. La société vise un chiffre d'affaires compris entre 72 et 75 M€ (entre +26 à +32% de progression). (...)
(14/03/2008 16:42:57)Gestion de parc : EMC achète l'Australien Infra
EMC s'est porté acquéreur de la société australienne Infra, spécialiste, avec son produit InfraEntreprise, de l'ITSM (IT Service management : gestion des problèmes, des incidents, des changements, de la configuration, des mises en production, de la disponibilité et des niveaux de service...) Infra affirme que son produit respecte le référentiel de bonnes pratiques Itil (IT Infrastructure Library). Pour EMC, cette acquisition s'inscrit dans son projet stratégique d'étendre largement ses compétences au-delà du stockage et de se poser en fournisseur central dans le domaine de l'automatisation du SI. L'an dernier, Infra est entré dans le "Magic Quadrant" que le Gartner consacre aux "IT Services Desk". Infra évolue sur un marché où BMC, CA (Computer Associates) et HP se partagent plus de 50% du marché. Le Gartner Group estime que les challengers (Infra, Axios Systems, FrontRange Solutions, iET Solutions et Touchpaper) gagnent du terrain et poussent à l'innovation sur un marché où les produits des leaders ne brillent pas par leur modernité. IBM est entré sur ce marché fin 2006 en achetant MRO Software. Auparavant HP avait renforcé sa position avec l'achat de Peregrine et Oracle avec celui de Vantive. Fondé en 1991, Infra dispose de deux bureaux en France, l'un à Sophia Antipolis et l'autre en région parisienne. (...)
(13/03/2008 17:42:49)Annuels Devoteam : résultat net en hausse de 26% et augmentation des effectifs
La SSII française Devoteam a publié des résultats annuels supérieurs à ses attentes, qui viennent confirmer les résultats non audités communiqués le mois dernier . Elle a réalisé un chiffre d'affaires de 369,9 M€ - alors qu'elle tablait sur 365 M€ en septembre dernier -, en hausse de 39% (dont 17% en organique) par rapport à 2006. Le résultat net ressort à 20,1 M€ (+26%), et la marge d'exploitation gagne 40%, à 29,2 M€. Devoteam a réalisé 45% de son chiffre d'affaires à l'international, contre 35% en 2006. Les effectifs de la société ont augmenté de 40% en 2007. Le groupe compte désormais 3950 collaborateurs, grâce à une politique d'acquisitions et de recrutement soutenue. Devoteam a racheté auSystems en mai dernier, une société européenne spécialisée dans les télécoms, de Genesis et de NSN. La SSII compte d'ailleurs intensifier sa croissance externe à l'internationale en 2008. Elle a profité de la publication de ses résultats annuels pour annoncer l'acquisition des filiales « services en infrastructure » du Groupe Tepum, une société située en Turquie et qui emploie 70 collaborateurs, pour un chiffre d'affaires de 5 M€. (...)
(13/03/2008 17:08:04)L'arrêt du HD DVD pourrait coûter plus de 600 ME à Toshiba
Toshiba avait prévu une perte de 50 milliards de yens suite à sa décision d'arrêter le HD DVD, officialisée il y a un mois. D'après un article du quotidien économique Nikkei, relevé par l'AFP, la facture pourrait être deux fois plus lourde pour le constructeur, qui devrait ainsi inscrire une perte de 100 milliards de yens, soit près de 640 ME, sur son exercice fiscal, clos à la fin de ce mois. Avant qu'il ne décide de cesser la lutte face au Blu-Ray de Sony pour le format du DVD haute définition, Toshiba prévoyait un bénéfice net de 180 milliards de yens sur un chiffre d'affaires de 7 800 milliards (49,8 MdE), rapporte encore l'AFP. (...)
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