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(04/03/2008 16:47:24)
Cebit 2008 : SAP annonce des serveurs sous Linux préinstallés avec All-in-One
A l'occasion du Cebit de Hanovre, SAP vient d'annoncer pour les PME la prochaine livraison de solutions packagées couplant matériel et logiciel. Issues d'une collaboration avec Intel, ces offres « tout en un » sont optimisées pour l'architecture Intel Xeon. Il est prévu qu'elles soient livrées sur des serveurs modulaires sur lesquels aura été préinstallé le progiciel de gestion intégré (PGI) SAP Business All-in-One (taillé pour les entreprises de taille moyenne), sous système d'exploitation SUSE Linux Enterprise, de Novell, et avec la base de données MaxDB, de SAP. Ces configurations serveurs seront déployées par des partenaires OEM (original equipment manufacturing). L'éditeur allemand les destine aux PME de l'industrie, du commerce et des services. Sur son stand du Cebit, le fournisseur présente un prototype de cette offre sur un système NEC. 700 PME exploitent déjà SAP sous Linux Pour parvenir à l'objectif ambitieux qu'il s'est fixé (100 000 clients en 2010), SAP cherche donc à multiplier les modes de commercialisation de ses offres destinées aux PME. Avec l'annonce de ce jour, il diversifie l'éventail de ses solutions à installer dans l'entreprise (basées sur Business All-in-One et BusinessOne) avec une configuration plus rapide à déployer et, ce faisant, moins coûteuse. [[page]] Rappelons que, dans le même temps, l'éditeur fait parallèlement monter en puissance son offre de gestion Business ByDesign à exploiter en ligne (une application fournie comme un service, hébergée par SAP et actuellement en phase de lancement). A l'occasion de l'annonce faite ce jour sur le Cebit, le fournisseur allemand précise que 700 entreprises de taille moyenne exploitent déjà ses applications sous Linux, plus de 35% d'entre elles le faisant en association avec la base de données SAP MaxDB. Les premiers exemplaires de ces serveurs sous Linux, préinstallés avec All-in-One et MaxDB, devraient être disponibles en Europe au cours du semestre. SAP compte ensuite lancer la commmercialisation de ces offres en Inde et en Chine, au deuxième semestre. En Asie, la mise en place des applications sur des serveurs internes à l'entreprise est toujours préférée à une exploitation des logiciels en ligne, ainsi que le rappelait récemment Léo Apotheker, PDG délégué de SAP. (...)
(04/03/2008 15:50:38)Cebit 2008 : les PME françaises communient à la Messe
Nicolas Sarkozy s'en était félicité hier soir, dans son discours inaugural : environ 150 entreprises françaises sont présentes à Hanovre et illustrent le partenariat noué entre la Deutsche Messe et l'Hexagone. Parmi les sociétés à avoir fait le déplacement, neuf pôles de compétitivité et de compétences ont profité des services et des conseils d'Ubifrance, l'organisme chargé d'épauler les entreprises françaises à se développer à l'international. « La collaboration franco-allemande sur le Cebit, la présence de Sarkozy, l'année de la France... tout cela est la conséquence d'une volonté des entreprises françaises souvent exprimée, celle de travailler avec le pays voisin », explique Claude Courivaud, de la mission économique de Düsseldorf et membre d'Ubifrance. Qu'elles éditent des solutions de gestion, des outils collaboratifs ou des logiciels pour le monde de la mode, les entreprises françaises présentes à Hanovre semblent ravies du voyage. D'abord parce qu'elles participent à l'un des principaux rassemblements IT au monde, s'offrant ainsi une visibilité sans précédent et la possibilité d'humer les tendances du moment. « Nous commençons notre expansion européenne, confie Laurent Pantanacce, de blueKiwi, une entreprise qui édite des outils Web 2.0 pour les entreprises. Nous ouvrons un bureau à Londres et jugeons le spectre du marché allemand intéressant. » Installé dans le Limousin, il a pu profiter du soutien du pôle d'excellence e-design, et indirectement d'Ubifrance, pour se rendre en Basse-Saxe. Tout comme son voisin sur le salon, Pierre Peyramaure, venu pour promouvoir Clipbooster, une application permettant d'expédier de larges fichiers par courriel. Ce dernier n'espère cependant pas vendre sa solution, mais plutôt « prendre la température, voir comment les gens réagissent, repartir d'ici en sachant que des personnes connaissent [son] produit : Les PME/TPE ont besoin d'être sur des salons comme le Cebit ». Dans les deux cas, les jeunes entreprises ont été aidées par le pôle de compétences de leur région, qui a pris en charge le prix de la location des stands. [[page]] L'appui logistique et financier d'UbiFrance et de ses partenaires aux PME de l'Hexagone est l'autre raison pour laquelle le Cebit 2008 compte plus d'exposants français que les éditions précédentes. Si la vitrine est belle, l'adition est en effet salée : « les petites entreprises n'ont pas les moyens de mettre 2000 € pour un bout de table », indique Pierre Peyramaure. A titre d'exemple, un stand de 12 m², dans une configuration standard, sans fioriture ni élément de décoration ostentatoire, revient environ à 5500 € pour la durée du salon. « Ubifrance a cherché à ramener le prix au mètre carré à un niveau qui soit le plus bas possible sans que le taux de subvention global soit trop élevé, résume Claude Courivaud. Surtout, venir au Cebit avec Ubifrance, c'est avoir la certitude d'être bien placé, de constituer une attraction ». De fait, réunies dans le vaste parallélépipède loué par l'organisme de développement international, les PME jouissent d'une visibilité maximale et sont clairement identifiées comme représentant la France. Certains en feraient presque des complexes : « ils se sentent un peu petits en arrivant ici, s'amuse le délégué à la mission de Düsseldorf. Et il y a du déchet, sur dix entreprises qui viennent, toutes ne vont pas se développer à l'international. In fine, c'est le marché qui décide ». Certaines histoires trouvent pourtant au Cebit une issue heureuse. C'est notamment le cas de Xamance, une entreprise spécialisée dans « la GED intelligente », qui présente un produit « capable de ranger le bazar tout seul », selon les mots de Thomas Henry, le fondateur de la société. Celle-ci était déjà présente au salon allemand l'an passé : « on a montré un prototype et recueilli de nombreux retours positifs alors même qu'on n'avait rien à vendre ». Cette année, retour à Hanovre avec l'outil prêt à être commercialisé. L'essai pourrait être transformé avec déjà « sept ou huit rendez-vous avec des partenaires potentiels » pour distribuer la solution. (...)
(04/03/2008 15:20:38)Pour HP, le futur des centres de données est à l'harmonisation de ses composants
Pour Parthasarathy Ranganathan, chercheur chez HP Labs, la multiplication de systèmes de gestion de l'énergie au sein des processeurs, de la mémoire, du serveur, des logiciels et des circuits de refroidissement va nécessiter une collaboration totale entre ces différents composants d'une salle de serveur. « Que se passerait-il si tous ces systèmes (ndlr, de gestion de l'énergie) se mettent en place en même temps ? Comment puis-je m'assurer que l'ensemble ne va pas exploser avec des infos contradictoires ? », craint-il. Au-delà des techniques actuelles visant à alléger les salles de serveurs (comme la virtualisation) et à réduire la consommation électrique (comme les processeurs multicoeurs), Parthasarathy Ranganathan préconise une optimisation des applications installées et surtout une coopération holistique de tous les systèmes de gestion de l'énergie, sans que l'un d'entre eux n'entre en conflit avec les autres. Ce qu ele chercheur baptise alors « No Power Struggle Project ». Quel en sera le chef d'orchestre ? Quelle forme prendra la communication entre les différents composants ? Pour l'instant, ces questions restent sans réponse, la réflexion d'HP Labs n'en est qu'à ses prémices. IBM face à ce même problème a une réponse déjà prête, le « Cloud Computig » dont l'initiative Blue Cloud (qui permet aux utilisateurs d'utiliser une interface similaire au Web pour administrer leur systèmes d'information). Pour Laura Anderson, responsable des systèmes d'information au centre de recherche Almaden d'IBM : « Nous sommes au bord d'une nouvelle révolution. Nous parlons de faire quelque chose pour simplifier et intégrer ces éléments de façon à ce que de simples mortels (ndlr, non informaticiens) puissent les administrer. » (...)
(04/03/2008 15:10:59)Cebit 2008 : Software AG réaffirme ses ambitions
A l'occasion du Cebit 2008, Software AG, spécialiste de la SOA et du BPM, a réaffirmé ses ambitions de devenir un éditeur influent sur le marché. En bon régional de l'étape, Karl-Heinz Streibich, PDG de l'éditeur, a profité de la Grand Messe de Hanovre pour rappeler que son projet de se muer en une société à un milliard d'euros de CA d'ici à 2010 était bien sur les rails. Et optimiste, il se déclare être le digne héritier de SAP, en termes de croissance et d'évolution, et l'entreprise la mieux positionnée pour suivre les traces du modèle de l'icône allemande. « La croissance et l'innovation résident dans les processus métiers et la SOA . » Ainsi, le groupe prévoit de doubler en taille tous les cinq ans, tant en revenus qu'en d'effectifs. Et place au centre de sa stratégie entre six et dix opérations de croissance extérieure, sans mentionner de noms. Pour mémoire, Software AG s'est payé webMethods pour 546 M$ mi-2007, affirmant la positionnement de la société dans le middleware. Depuis Oracle a finalement, après une passe d'arme entre actionnaires, croqué BEA pour 8,5 Md$. Ce qui ne semble pas inquiéter Karl-Heinz Streibich, pour qui sa société représente ce dont le marché a besoin : « une nouvelle et indépendante source sur le segment de l'intégration [d'applications, ndlr] ». (...)
(04/03/2008 14:27:12)Apple pourrait défavoriser les éditeurs tiers
Après Microsoft, Apple deviendra-t-il la bête noire des éditeurs ? En tout cas, la société est en passe de devenir celle de Vladimir Vukucevik, l'un des développeurs de Firefox. Celui-ci a découvert une modification dans le code de Webkit intégrée au navigateur de Safari qui lui permet d'aller nettement plus vite que ses concurrents, dont Firefox. Vladimir Vukucevik se plaint que certaines modifications de Webkit effectuées pour obtenir ce gain de performance n'ont pas été documentées par les développeurs d'Apple, alors que Webkit est un logiciel Open Source sous licence BSD et LGPL. Si certains comparent déjà les méthodes d'Apple à celles de Microsoft avec ses API, David Hyatt, ancien développeur de Firefox et actuellement employé d'Apple s'en défend : « Plusieurs des méthodes que WebKit utilise sont privées pour une raison. Soit elles exposent des structures internes sur lesquels on ne peut rien dire (parce qu'elles touchent à des parties commerciales du navigateur), soit elles sont intégrées à un cadre d'instructions qui n'est pas encore totalement fini. » (...)
(04/03/2008 10:55:03)Cebit 2008 : Nicolas Sarkozy fait le service minimum sur l'IT
La sphère IT attendait un catalogue de mesures concrètes à l'occasion du discours inaugural de Nicolas Sarkozy. Le président français, qui ouvrait les festivités aux côtés d'Angela Merkel, José Manuel Barroso et Steve Ballmer, aura finalement axé son intervention sur la nécessaire coopération économique franco-allemande, reléguant le sujet des TIC au second plan. « Nos cultures économiques sont différentes, cela suscite des incompréhensions », a expliqué le chef de l'Etat pour justifier le nécessaire travail de collaboration que les deux partenaires historiques doivent s'escrimer à accentuer. Evoqué tout au long de la soirée par les différents intervenants, le succès d'Airbus (qui vient de rafler un énorme contrat aux Etats-Unis) doit servir d'exemple et illustrer les conséquences bénéfiques de ce que peuvent faire la France et l'Allemagne « qui ont su parler d'une seule voix ». « Vous êtes les plus grands exportateurs du monde, vous êtes fiers et vous avez raison », a lancé le président français à un auditoire encravaté. « On va faire tout comme vous », a-t-il poursuivi, s'attirant les rires et les applaudissements des spectateurs, réunis dans l'amphithéâtre du Centre des Congrès d'Hanovre. Le haut débit pour 100% des Français Celui qui s'est présenté comme « le premier à avoir mené une vraie cyber-campagne électorale en 2007 » n'a pas cependant totalement éludé le sujet des TIC, se fendant d'une « intention de renforcer l'usage et la production des nouvelles technologies » dans l'Hexagone. Mais, alors que d'aucuns rêvaient d'une annonce venant concrétiser l'idée d'un ministre de l'IT, le locataire de l'Elysée s'est contenté de ce que certains qualifieront de mesurettes. En premier lieu, Nicolas Sarkozy a posé l'objectif de 70% des ménages équipés d'ordinateurs personnels d'ici à deux ans. En parallèle de cette ambition, le président a souhaité que « 100% des Français aient accès au débit fixe ou mobile » avant la fin de son mandat. Dans cette optique, le premier édile s'est félicité de l'ouverture d'une partie des fréquences GSM allouées aux opérateurs mobiles pour une utilisation 3G. [[page]] Les deux rives du Rhin unies pour les TIC Le couple franco-allemand doit également servir de pivot au développement des TIC, qui sont « à l'origine de 25% de la croissance mondiale ». Pour cela, les deux pays voisins « doivent se mobiliser sur des projets concrets ». Mais, là encore, point d'annonce tonitruante. Nicolas Sarkozy s'est ainsi contenté d'évoquer « l'intégration régionale des réseaux électriques » permettant à la France et l'Allemagne de mutualiser leur production d'énergie et « l'association franco-allemande dans un programme de calculateurs géants qui feraient un million de milliards d'opérations par seconde ». Rappelons au président de la République que le CNRS s'est récemment doté d'un supercalculateur affichant une puissance de 207 teraflops, soit 207 millions de milliards d'opérations par seconde. Le renforcement de la coopération des deux côtés du Rhin doit aussi se traduire la formation des scientifiques : « il faut plus d'Allemands en France, plus de Français en Allemagne », a clamé Nicolas Sarkozy. En s'adressant à celle qu'il a appelée à plusieurs reprise sa « chère Angela » - marquant ainsi une volonté manifeste de réchauffer des relations quelque peu glaciales depuis son projet d'union méditerranéenne -, Nicolas Sarkozy s'est dit impatient d'accueillir les étudiants allemands dans les universités de l'Hexagone. Et a laissé la porte ouverte à d'autres initiatives, souhaitant « construire ensemble une ambition commune dans un secteur et montrer au monde qu'en travaillant ensemble, on peut gagner ». Avant de se réunir autour de Surface, le prototype de table interactive et tactile de Microsoft, pour une démonstration peu spectaculaire orchestrée par Steve Ballmer, Nicolas Sarkozy a conclu son allocution en rappelant, une dernière fois, l'importance de la complicité franco-allemande : « Pour moi, venir au Cebit ce n'était pas une mondanité mais un engagement du coeur pour vous dire, amis allemands, que nous voulons travailler avec vous. » (...)
(03/03/2008 18:16:49)Neterion et NextIO prônent de la virtualisation des entrées-sorties
C'est la ruée sur la virtualisation des entrées-sorties des serveurs. Deux sociétés, Neterion et NextIO, proposent à leur tour des solutions pour faire sauter le goulet des entrées-sorties qui étrangle les performances des systèmes virtualisés. Neterion, qui revendique être le premier à avoir un produit qui exploite Single Root IOV, une spécification de l'interface PCI Express 2.0, affirme que ses adaptateurs Ethernet 10 Gbits de la série X3100 mettent à disposition 17 entrées-sorties indépendantes capables de supporter une QoS pour améliorer encore les performances. Cette autoroute ouvre la possibilité de porter sur des VM des applications comme Microsoft Exchange, des SGBD comme SQL et, bien sûr des ERP comme celui de SAP. Jusqu'à maintenant, l'installation de ce type d'applicatifs dans des VM se heurtait au problème des entrées-sorties sous-dimensionnées. Neterion affirme que l'utilisation de ses adapteurs, qu'il appelle des VNIC (Virtualized Netword Interface Card), soulage la charge de l'hyperviseur. VMware propose toutefois cette approche avec NPIV (n-Port I/O virtualization). Chez NextIO, c'est l'interfaçage avec les sous-systèmes de stockage qui est visé. Soutenu par Dell et Fujitsu, NextIO travaille à la mise au point d'un switch de virtualisation sur un port. L'approche de NextIO ressemble à celle de Xsigo et de 3 Leaf Systems. (...)
(03/03/2008 18:13:01)Avec Online Services, Microsoft propose Exchange et SharePoint en ligne
Sans surprise, Microsoft programme sa montée en puissance dans les services en ligne. Assurant lui-même le rôle d'hébergeur, il vient d'annoncer la généralisation, à toutes les tailles d'entreprises, de l'offre « Microsoft Online Services » qui s'appuie sur ses applications de messagerie et de collaboration Exchange Server 2007 et Office SharePoint Server 2007. Pour les utilisateurs, c'est la possibilité d'accéder en ligne à des fonctions de messagerie, de visioconférence et de partage de calendriers, de documents et d'espaces de travail. L'éditeur de Windows l'a maintes fois répété. Il conçoit la fourniture d'applications en ligne comme une offre complémentaire à ses logiciels installés en interne dans les entreprises. C'est sur ce mode qu'il a établi sa stratégie « Software + Services ». Son objectif est de permettre à ses clients de choisir entre trois formules : déployer leurs applications en interne sur leurs propres serveurs, exploiter les logiciels en ligne (sous forme de ressources hébergées par Microsoft ou l'un de ses partenaires), ou bien encore, opter pour la coexistence de ces deux modèles. [[page]] En version bêta aux Etats-Unis L'offre Online Services avait été ouverte en octobre dernier à un nombre limité de grands clients américains. Il s'agissait de groupes gérant plus de 5 000 utilisateurs (Coca Cola, Autodesk, Energizer Holdings...) à qui Microsoft a proposé d'externaliser leurs services de messagerie sur des plateformes dédiées. Cette fois-ci, ce sont bien des services hébergés mutualisés que Microsoft met en place avec l'extension d'Online Services. L'offre n'est pour l'instant disponible qu'en version bêta et uniquement aux Etats-Unis. La mise en production du service interviendra au deuxième semestre 2008 outre-Atlantique. L'accès à ces fonctions en ligne se fera sur la base d'un abonnement payé par utilisateur. Pour l'instant, le tarif n'en est pas encore fixé. En France en 2009 L'offre Online Services sera uniquement commercialisée en mode indirect, par l'intermédiaire de partenaires. Elle n'arrivera dans l'Hexagone qu'au début de l'année 2009, mais Microsoft France a déjà commencé à travailler avec les partenaires qui la revendront et proposeront en complément un éventail de services : installation, migration, support, personnalisation de portails intranets, développement d'applications métiers spécifiques, etc. Parmi ces sociétés figurent notamment Axians, Net-Streams et ABC Systèmes. A noter qu'aujourd'hui, en France, de nombreux partenaires proposent déjà des services hébergés autour de Microsoft Exchange et Office Sharepoint (Jet Multimédia, Easyjet, Orange ou France Telecom, par exemple). « Nous continuerons à promouvoir ces offres qui sont complémentaires aux nôtres », précise Gwenaël Fourré, chef de produits communications unifiées chez Microsoft France. Une console d'administration A l'inverse des services hébergés Office Live qui visent les utilisateurs, l'offre Online Services s'adresse aux responsables informatiques des entreprises. Elle comporte en particulier une console d'administration pour gérer les comptes et les droits des utilisateurs. Pour la mettre en fonction, les petites entreprises qui ne disposent pas de spécialistes informatiques s'appuieront donc sur des partenaires de Microsoft. (...)
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