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(04/02/2008 15:31:38)
Les bourses mondiales profitent de l'OPA de Microsoft sur Yahoo
Une offre publique d'achat est plus salutaire à la vitalité des marchés boursiers qu'un plan de relance à grands coups de milliards de dollars. C'est du moins l'un des enseignements qu'on peut tirer de la réaction des places boursières à l'OPA de Microsoft sur Yahoo. Alors que l'économie américaine suscite les plus vives inquiétudes - entre crise des subprimes et suppressions d'emplois - et que les presque 300 Md$ injectés par le Sénat et le gouvernement américains ont a peine rassuré les marchés, l'initiative de Microsoft apparaît comme la solution miraculeuse aux maux de Washington.
Vendredi, le Nasdaq gagnait ainsi 0,98% et près de 4% sur l'ensemble de la semaine. Soit la plus forte hausse hebdomadaire depuis près d'un an et demi. Une progression essentiellement due à la folie spéculatrice profitant au titre Yahoo. Réagissant à l'offre le valorisant à 31 $, soit 62% de plus que son cours au 31 janvier, les investisseurs se sont rués sur celui-ci, lui permettant d'afficher une hausse de 48%. Et ce ne sont pas les reculs enregistrés par les titres Microsoft (-6,6%) et Google (-8,6%) qui sont venus contrarier l'élan insufflé par Yahoo, y compris sur les autres places boursières de la planète, où les valeurs technologiques suscitent les convoitises.
Ainsi, à Paris, les titres des SSII sont fortement recherchés : Steria gagne 4,6% ce lundi, GFI grimpe de 3,4%, Altran progresse de 6,9% et Atos de 1,1%.
(...)
Google veut faciliter la ré-utilisation des relations existant dans les réseaux sociaux
Comment récupérer et transmettre les nombreuses relations sociales nouées dans Facebook ou MySpace à d'autres applications sociales en ligne ? Une question sur laquelle s'est penchée Google. Et, dans la lignée d'OpenSocial - qui fournit une kyrielle d'API pour développer et croiser les applications de réseau social - , le géant de l'Internet publie Social Graph API. Des interfaces pour faciliter les travaux de développeurs pour relier, partager et intégrer des profils publiques FOAF (Friend of a friend) ou XFN (XHTML Friends Network) entre applications. Ces deux standards Web définissent les relations et les connections passées entre utilisateurs. En clair, Social Graph cartographie l'ensemble du réseau social de l'utilisateur pour l'exporter vers d'autres applications. Dans une vidéo, Brad Fitzpatrick explique comment récupérer les données publiques de MySpace, Twitter et de blogs, pour éviter de démarrer sans contact ni connexion lors de l'inscription dans de nouveaux réseaux sociaux. Une solution également aux nombreuses (re)invitations qu'un utilisateur doit effectuer à son arrivée dans un réseau social. (...)
(04/02/2008 12:58:45)SAP vise 1 000 clients sur Business ByDesign d'ici à fin 2008
SAP table sur un millier de clients d'ici à la fin de l'année sur son offre de gestion hébergée Business ByDesign destinée aux PME. Un nombre que Léo Apotheker, PDG délégué de l'éditeur allemand, juge « suffisant » pour prouver que SAP est un véritable acteur sur le marché des applications fournies en ligne (un mode de diffusion des logiciels également désigné sous l'acronyme SaaS, pour « software as a service », par opposition à la mise en place de l'application sur un serveur interne à l'entreprise cliente). Le PDG délégué n'a en revanche pas souhaité préciser l'objectif de SAP sur le nombre d'utilisateurs susceptibles d'exploiter l'offre à cette date. Business ByDesign est un progiciel de gestion intégré (PGI) complet. Il s'adresse aux entreprises de 100 à 700 salariés souscrivant un abonnement pour 25 utilisateurs au minimum. L'Inde en ligne de mire D'ici au mois de décembre, l'éditeur allemand prévoit d'ouvrir ce service applicatif sur plus de vingt pays, dont l'Inde. « Notre intention est d'aller d'abord sur les plus grands marchés, a expliqué Léo Apotheker. Et l'Inde est un marché très important pour un produit comme Business ByDesign. » Lancé en septembre, le PGI en ligne, tarifé sur la base d'un abonnement mensuel (149 dollars par utilisateur), est actuellement testé ou utilisé par 150 entreprises dans cinq pays : les Etats-Unis, la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et la Chine. Chaque trimestre, [[page]]SAP lancera le service dans de nouveaux pays. L'arrivée en Inde est prévue pour le deuxième trimestre. ByDesign ne cannibalise ni All-in-One, ni Business One, selon SAP Business ByDesign n'est pas le seul PGI pour PME du catalogue SAP. Ce dernier comporte également Business One, pour les PME de moins de cent personnes, et All-in-One pour les entreprises à l'organisation plus sophistiquée. Deux produits qui s'installent de façon classique sur les serveurs des clients. Des offres qui ne sont pas remises en cause par le lancement de SAP Business ByDesign, surtout si l'on considère que certaines zones géographiques ne sont pas encore familiarisées avec la notion d'application fournie comme un service. « La Chine est un marché où le strict modèle « à la demande » est encore considéré avec circonspection », cite en exemple Léo Apotheker qui balaie le risque de cannibalisation de All-in-One et Business One par Business ByDesign en soulignant l'augmentation significative de la base installée globale pour ces deux offres en 2007. (...)
(04/02/2008 12:50:28)OPA sur Yahoo : Google s'inquiète, Microsoft le rassure
L'avenir de la compétition sur Internet serait-il menacé par l'OPA de 44,6 Md$ lancée par Microsoft sur Yahoo ? Oui, selon Google. C'est tout le contraire, répond Microsoft. D'un monopole à l'autre, les amabilités pleuvent. Sur le blog officiel de Google, David Drummond, vice-président senior et responsable des affaires juridiques (Chief Legal Officer) du moteur de recherches, écrit que l'OPA pose des questions inquiétantes, qui vont au-delà de la simple transaction financière : « Il s'agit de préserver les principes sous-jacents d'Internet : ouverture et innovation. » Et d'expliquer son inquiétude par le comportement passé de l'éditeur et ses pratiques monopolistiques : « Microsoft pourrait-il maintenant essayer d'exercer sur Internet le même genre d'influence déplacée et illégale ainsi qu'il l'a fait dans le monde du PC ? » Microsoft a vite répondu, par le biais d'un bref communiqué signé Brad Smith, conseiller aux affaires légales. Qui ne nie pas l'accusation... mais contre-attaque en accusant à son tour Google d'avoir établi un monopole sur les revenus publicitaires d'Internet : « Aujourd'hui, Google est l'entreprise dominante des recherches et de la publicité sur le Web. Google a amassé environ 75% des revenus liés aux recherches dans le monde, et sa part de marché continue de croître. Selon des sources publiques, Google dispose de plus de 65% de parts de marché aux Etats-Unis dans la recherche sur Internet, et de plus de 85% en Europe. » Les parts de marché combinées de Microsoft et Yahoo seraient, toujours selon Brad Smith, de 30% aux Etats-Unis et 10% en Europe. D'où son assertion : « La combinaison de Microsoft et Yahoo créera un marché plus compétitif en établissant un challenger attrayant pour la recherche et la publicité sur Internet. Les scénarios alternatifs mènent uniquement à moins de compétition sur Internet. » (...)
(04/02/2008 12:46:00)En attendant son ordinateur quantique, D-Wave Systems attire les investisseurs
Alors que D-Wave Systems prévoit toujours de commercialiser les premiers ordinateurs quantiques d'ici quelques mois, la start-up canadienne vient de recevoir 17 millions de dollars de la part de IIU (International Investment and Underwriting), un capital-risqueur de Dublin, et d'autres actionnaires déjà présents à son capital. Cette somme vient s'ajouter aux 40 millions déjà levés depuis la présentation contestée, il y a tout juste un an, d'« Orion », le premier ordinateur quantique. Toutefois, la mise en oeuvre commerciale a pris du retard. Après avoir annoncé une commercialisation courant 2008, D-Wave Systems prévoit les premières applications en ligne (sur un mode ASP) pour « début 2009. » (...)
(04/02/2008 12:11:20)La fusion Microsoft / Yahoo sous la loupe du Congrès américain
A coup sûr, la rachat de Yahoo par Microsoft pour 44,6 Md$ va remodeler le paysage d'Internet et de la publicité en ligne. A tel point que la commission des affaires judiciaires du Congrès américain a décidé d'ouvrir une audition pour consulter experts et spécialistes sur le sujet. Le 8 février, date fixée pour l'examen du dossier, seront examinés les termes d'une éventuelle fusion entre les deux groupes avec en ligne de mire, son influence sur le marché. « L'offre de rachat de Microsoft sur Yahoo est certainement une des plus importantes fusions du secteur et soulève d'importantes questions quant à l'environnement concurrentiel d'Internet », ont déclaré les membres du Congrès John Conyers et Lamar Smith à l'AFP. La commission devra déterminer si « cette consolidation échaude ou étend les principes fondamentaux d'un Internet concurrentiel ». (...)
(01/02/2008 18:08:47)Croissance organique de 12,4% pour Teamlog en 2007
Teamlog, SSII française spécialisée dans le conseil, l'intégration de systèmes et l'infogérance, a réalisé un chiffre d'affaires de 161,8 millions d'euros pro forma en 2007. La filiale de Groupe Open enregistre une croissance organique de 12,4% sur l'année, contre 10,5% un an plus tôt. 2007 a également été marqué par une période intensive de recrutement (+12,3%, ce qui porte les effectifs de la SSII à 2300 collaborateurs) et par le rachat de l'intégrateur Innetis en mars, pour un montant de 18,5 M€. La SSII affiche un TACE (taux d'activité congés exclus, à savoir la proportion de jours travaillés effectivement facturés) de 90,3%, en hausse de 0,3 points. Les résultats annuels complets de Teamlog seront publiés le 15 avril prochain. (...)
(01/02/2008 17:53:32)Yahoo / Microsoft : Gartner invite à la prudence pendant la transition
C'est le jour du départ de Terry Semel, un des co-fondateurs du portail, que Microsoft se décide à faire son offre sur Yahoo. Tout un symbole. Mais au-delà d'une date anniversaire, cette monstrueuse opération de croissance externe illustre une remodélisation du paysage informatique mondial et de la publicité en ligne. Microsoft, l'éditeur de Windows et n°1 mondial du logiciel, n'échappe pas à la règle. En proposant plus de 44 Md$ pour Yahoo, les intentions de l'éditeur de Redmond sont clairement d'aller chercher Google sur le terrain de la publicité en ligne. « Le marché aujourd'hui est de plus en plus dominé par un unique acteur » déclare-t-il dans un communiqué. Un segment sur lequel l'éditeur peine. Comme Yahoo qui, avec les déboires de sa propre plateforme Panama, a ébranlé tant sa base organisationnelle - cf. le manifeste de beurre de cacahuète - que son chiffre d'affaires. L'idée est alors de chercher l'union sacrée, au prix d'un exorbitant montant. Une fusion que salue Andrew Frank, vice-président chez Gartner, qui alerte cependant le marché sur la période de digestion des deux entités. « Bien que les synergies entre les deux sociétés, que Microsoft évalue à 1 Md$ par an, soient certainement bonnes, la fusion soulève la question de comment ils seront capables de maintenir la pression pendant la période d'intégration. Le marché de la publicité en ligne implique des niveaux constants de service et même la perception d'une diversion peut déboucher sur une perte du marché au profit des concurrents. » Si Microsoft et Yahoo devront maintenir la pression face à un très innovant Google, ils devraient aussi probablement se heurter aux autorités de régulation de la concurrence. « Les lois anti-trust sont aussi un paramètre à prendre en compte dans le cas d'accords de ce type, explique Andrew Frank. Bien que l'administration américaine actuelle ne devrait pas poser de problème, l'Union européenne a été agressive ces dernières années envers de telles fusions. » L'UE avait ainsi examiné de près le rachat de Doubleclick par Google pour 3,1 Md$. Restent en suspens de vastes questions technologiques, parmi tant d'autres. Comment aura lieu le rapprochement des offres de publicité de Live, aQuantive et Panama ? Et quel sera le devenir de Zimbra, solution de messagerie et de travail collaboratif Open Source acquis par Yahoo pour 350 M$, et qui se positionne en frontal à Exchange ? Des éléments de réponses devraient être donnés lorsque la transaction, si elle a lieu, sera finalisée, au deuxième trimestre 2008. (...)
(01/02/2008 16:44:56)Baisse des investissements TIC dans les entreprises en 2008, selon PAC
L'Observatoire des TIC, qui regroupe PAC (Pierre Audoin Consultants), l'Idate et Coe-Rexecode, a publié fin janvier un rapport concernant la croissance des investissements informatiques des entreprises en France, en Europe et dans le monde. Son analyse confirme des signaux déjà observés fin 2007, et prévoit une décélération de la croissance pour 2008 : 3% en Europe de l'Ouest et seulement 2,5% en France.
Dans une interview accordée au mondeinformatique.fr, Frédéric Girou, directeur chez PAC, nous rappelle que des secteurs comme la banque et la finance, gros investisseurs en 2007, seront en retrait en 2008, en raison de l'incertitude économique qui règne actuellement aux Etats-Unis. Divers projets pourraient être gelés, dans le CRM ou le décisionnel par exemple. L'outsourcing et le offshore ne devraient pas être touchés par ce ralentissement, car ces contrats permettent aux entreprises de réduire leurs coûts.
Lire l'interview complète de Frédéric Girou, directeur chez PAC
(...)
Microsoft veut racheter Yahoo pour 44,6 milliards de dollars
Microsoft vient de proposer de racheter Yahoo pour 44,6 Md$ en numéraire et par actions pour pouvoir mieux concurrencer Google sur le marché des services en ligne. Cette initiative ne surprendra finalement pas les observateurs de la sphère IT. Il n'était guère de mois au cours des derniers trimestres sans que le Landerneau des entreprises technologiques ne se fasse l'écho d'un éventuel rapprochement entre les deux principaux concurrents de Google. Le secteur de la publicité en ligne est de plus en plus dominé par un seul acteur, a déclaré Microsoft, et un rapprochement avec Yahoo permettra d'offrir une alternative. L'éditeur de Redmond pense que le marché de la publicité en ligne va pratiquement doubler d'ici les trois prochaines années, de 40 Md$ en 2007 à 80 Md$ en 2010. La fusion avec Yahoo conduira notamment à réaliser des économies d'échelle. « L'alliance de ces deux grandes équipes permettra de fournir à nos clients un éventail d'offres d'une ampleur qu'aucun de nous deux n'aurait pu atteindre seul », a déclaré Ray Ozzie, architecte logiciel en chef de Microsoft. Innover plus rapidement [mise à jour] L'éditeur pense réduire de 1 Md$ ses coûts en réalisant des synergies avec Yahoo dans quatre domaines. D'une part, [[page]]grâce à des économies d'échelle au fur et à mesure de l'accroissement de l'audience, d'autre part, en associant ses efforts de recherche et développement avec ceux de Yahoo pour innover plus rapidement, ensuite en éliminant les recouvrements au niveau opérationnel, et enfin en mettant en commun les expertises pour innover en matière d'applications vidéo et mobile. Les deux entreprises vont travailler ensemble pour faire avancer le plan de fusion, a indiqué Microsoft. L'éditeur veut retenir les ingénieurs de premier plan et les équipes de Yahoo après le rapprochement. L'offre de Microsoft dépasse de 62% le niveau de l'action Yahoo à la clôture de jeudi. L'éditeur de Redmond espère obtenir toutes les approbations nécessaires au rachat au second semestre de cette année. Sur son dernier exercice fiscal, échu le 30 juin 2007, Microsoft a réalisé un chiffre d'affaires de 51,12 Md$ et un bénéfice net de 14 Md$. Sur le premier semestre de son exercice en cours, son chiffre d'affaires s'est elevé à 30,12 Md$ (+29%) et son bénéfice net à 8,99 Md$ (+47,38 %). Yahoo, de son côté, a réalisé sur son exercice 2007 un chiffre d'affaires de 6,97 Md$ (+ 8%) et un bénéfice net de 660 M$, en baisse de 12,1% par rapport à l'an dernier. (...)
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