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(18/01/2008 10:42:26)

Le rachat de MySQL par Sun bien accueilli par la communauté

Pour Sun, son rachat de l'entité commerciale du SGBD libre MySQL ne peut être que positif. Mais quel accueil réserve le monde du Libre à ce rachat ? Il est plutôt positif, d'après les premiers retours. La communauté est tout d'abord rassurée par le passé récent de Sun. Sous l'influence de son actuel PDG, Jonathan Schwartz, cette société n'a cessé de s'engager plus avant dans la voie du logiciel à code ouvert en mettant à disposition OpenOffice, OpenSolaris, OpenSparc et, dans une grande mesure, Java. Pour les tenants du logiciel libre, l'affaire semble être perçue comme gagnante pour les deux parties. Et, surtout, elle s'inscrit dans le sens de l'histoire. Pour Eben Moglen, président du Free Software Law Center à New York, ce rachat indique une tendance forte pour les mois à venir au cours desquels il s'attend à d'autres annonces du même ordre. Pour lui, ce rachat souligne même le poids croissant que le Libre peut acquérir dans des entreprises capitalistes qui comprennent l'intérêt de partager du code. Sun écoutera-t-il davantage la communauté ? De manière plus précise, MySQL avait depuis longtemps adopté un modèle mixte, où cohabitait communauté libre et développement interne avec des lignes de produits qui différaient. Dans ce contexte, le rachat par Sun ne peut avoir qu'un impact mineur. Même si, au final, l'avis des communautés libres n'a que peu d'influence sur la réalité économique ; il suffit de voir le peu de retombées concrètes de la réprobation qu'avait suscité l'accord Novell - Microsoft. Voire, le rachat par Sun pourrait améliorer la façon dont les avis de la communauté sont pris en compte, espèrent certains utilisateurs. L'un d'eux cite ainsi dans un blog les problèmes de performance rencontrés avec InnoDB, le moteur transactionnel le plus utilisé avec MySQL, sur des architectures multi-coeurs. Plusieurs patches ont été écrits par des utilisateurs (dont Google), mais MySQL ne les a pas inclus dans la version officielle. Si l'on garde à l'esprit l'attention toute particulière que Sun porte à Ubuntu, une distribution Linux qui tourne sur toutes ses architectures matérielles, l'acquisition de MySQL confirme bien que Sun conteste le rôle central que joue Red Hat dans le monde du Libre. Quant à Patrick Bénichou, PDG d'Open Wide, SSLL française spécialiste de l'intégration et de l'infogérance qui devrait atteindre 100 salariés au cours de cette année, il n'est pas étonné. En rappelant les précédents des rachats de Suse par Novell et de Xen par Citrix, il souligne que MySQL est, avec Red Hat, un éditeur qui sait gagner de l'argent avec des services autour de l'Open Source. Pour lui, Sun s'attache désormais à avoir du retour sur les investissements qu'il a faits dans le libre. MySQL est un modèle en la matière. (...)

(18/01/2008 10:20:19)

Les SSII françaises intéressées par l'offshore en Tunisie

Organisée par la chambre nationale des SSII tunisiennes (Infotica) en partenariat avec le Syntec, la conférence sur les enjeux et les opportunités de l'offshore en Tunisie est un succès. Elle a réuni hier plus de 130 participants, dont une soixantaine de SSII françaises (comme Sodifrance ou SII), trente sociétés de services tunisiennes et divers éditeurs. L'objectif de cette rencontre était clair : mettre en valeur le potentiel de la Tunisie dans l'offshore des technologies de l'informatique et de la communication. Kais Sellami, président d'Infotica et DG de la SSII tunisienne Discovery Informatique, a indiqué que « la Tunisie dispose d'un réservoir culturel, compétitif, géographique, linguistique et éducatif très attractif pour les SSII françaises ». L'Inde reste la destination préférée des entreprises en matière d'offshore (avec une croissance européenne de 60% en 2008, selon le Gartner), mais ce pays très prisé devra désormais faire face à une concurrence accrue, en Europe de l'Est et dans les Etats du Maghreb. Michel Picaud, PDG d'HR Access (éditeur de logiciels de gestion des ressources humaines), souligne par exemple que la Tunisie comporte deux atouts de taille par rapport à l'Inde : la proximité (en parlant de nearshore, plutôt que d'offshore) et la stabilité des équipes. Selon lui, le turn-over des salariés est trop important en Inde, ce qui gâche la qualité et le suivi des services. Notons par ailleurs que le gouvernement tunisien s'implique de plus en plus dans le déploiement d'infrastructures informatiques et télécoms. Une loi « d'orientation de l'économie numérique » a été votée en avril 2007 par la chambre des députés. Elle a pour but de dynamiser le développement de l'informatique dans le pays, démocratiser Internet et attirer les investisseurs étrangers. (...)

(18/01/2008 10:03:57)

IBM explose ses compteurs logiciels et services au 4e trimestre

Après les résultats préliminaires de lundi, indiquant un chiffre d'affaires annuel de près de 100 Md$ et une marge brute dépassant les 42%, voici les chiffres détaillés des (bons) résultats d'IBM pour son 4e trimestre fiscal, donnés par Mark Loughridge, directeur financier d'IBM. Globalement, ce sont les divisions services et logiciels qui ont tiré le chiffre d'affaires de ce dernier trimestre. Les 'Global Technology Services' ont crû de 16% à 10 Md$, tandis que la branche 'Global Business Services' a grimpé de 17% à 4,9 Md$. Côté logiciels, le CA atteint 6,3 Md$, en hausse de 12%. Dans le détail, les revenus de la division Websphere (middleware) et de la division Rational (outils de développement) sont ceux qui affichent les plus fort taux de croissance, avec respectivement 23% et 22%. Viennent ensuite Tivoli (administration de systèmes) avec 19%, Information Management (bases de données, ETL...) avec 11% et Lotus (outils de collaboration) avec 7%. IBM voit les pays émergents comme un relais de croissance pour son offre matérielle Le matériel affiche de son côté des résultats moins enviables. La division 'Systems & Technology' enregistre une baisse de 4% par rapport au quatrième trimestre 2006, à 6,8 Md$. Les gammes de serveurs p et x ont pourtant progressé (respectivement de 9% et 6%), mais le chiffre d'affaires de la branche z (les mainframes) a chuté de 15%. IBM compte, pour enrayer cette baisse, sur deux facteurs. D'une part, le lancement en février prochain d'une nouvelle génération de mainframes, qui devrait se traduire par un rebond du CA au deuxième trimestre 2008. D'autre part, Mark Loughridge explique que la croissance de l'économie de certains pays émergents, comme la Malaisie et l'Equateur, provoque une « demande insatiable » de leur part pour les nouvelles technologies. Quant à la répartition géographique, le CA américain a grimpé seulement de 5% à 11,7 Md$, alors que la région EMEA (Europe, Moyen-Orient et Afrique) a crû de 16% à 10,8 Md$ et la région Asie-Pacifique de 15% à 5,5 Md$. IBM estime que la faiblesse du dollar a compté pour une grande part dans la hausse de son chiffre d'affaires, les entreprises hors des Etats-Unis en profitant largement. (...)

(18/01/2008 09:33:04)

Le Libre a représenté 730 ME en 2007 selon PAC

Selon Pierre Audoin Consultants, le marché français du logiciel libre s'est monté à 730 millions d'euros en 2007, représentant une croissance de 66%. La France représente un cas à part avec une forte impulsion de l'Etat. Mais les commandes publiques ont également entraîné une diffusion du Libre dans des secteurs comme les systèmes embarqués, l'aérospatiale, la Défense. Le secteur privé pourrait suivre à partir de l'infrastructure du poste client. (...)

(17/01/2008 17:49:35)

Steria a ouvert un centre de services en Pologne

[mise à jour] Le profil de Steria a beaucoup changé avec l'acquisition, en juillet dernier, de la SSII britannique Xansa, cette dernière ayant sensiblement accru l'assise européenne de la société de services française. Cette orientation se renforce avec l'ouverture, en Pologne, d'un centre de services de support aux utilisateurs et de gestion à distance des infrastructures informatiques. Cette implantation s'inscrit dans la stratégie d'industrialisation des processus mise en oeuvre par Steria depuis un an. Elle offre une prestation de services « nearshore », plus proche des entreprises clientes que la plateforme offshore indienne (5 000 personnes) également héritée du rachat de Xansa. Une trentaine de clients du groupe, en France, en Angleterre, en Allemagne et en Belgique, ont déjà accepté de passer sur ce centre de support, Steria leur ayant apporté l'argument de services supplémentaires, en particulier l'accueil multilingue et la possibilité de basculer sur l'un des trois centres européens en cas de pics d'appels. La direction des systèmes d'information de la SSII en a été elle-même le premier client. Installé à Katowice, à une quarantaine de kilomètres de Cracovie, le centre pourra accueillir 140 personnes. Ouvert depuis le 15 octobre, il emploie actuellement 50 salariés, formés pendant plusieurs mois dans les centres de compétences français et anglais de Steria. « Nous avons été très exigeants sur le profil des personnes recrutées puisque nous avons transféré vers ce centre des contrats de clients en portefeuille, explique Karine Brunet, la directrice de l'industrialisation du groupe Steria. La majorité des salariés (85%) possède un niveau Bac+4 et trois ans d'expérience. » La région de Cracovie concentre le plus grand bassin d'étudiants La SSII a retenu la Pologne, plutôt que la Bulgarie ou la République Tchèque (pays également examinés), en raison de la qualité des infrastructures locales et du vivier de compétences spécialisées dans l'informatique présent dans la région (qui concentre le plus grand bassin d'étudiants -le pays en compte 2 millions- et les meilleures écoles d'ingénieurs informatiques). Steria souligne aussi les capacités multilingues des candidats. Même si la SSII précise que le critère économique ne fut pas le seul considéré dans son choix de la Pologne (en particulier par rapport aux deux autres pays étudiés), le coût des ressources qu'elle y emploie est malgré tout trois à quatre fois moins élevé qu'en France. Pour retenir ce personnel, Steria prévoit des plans d'évolution professionnelle qui leur permettront de changer de métier en passant du help-desk au pilotage ou à la gestion d'infrastructure. Le centre de Katowice assure le support aux utilisateurs en français et en anglais (et bientôt, également en allemand et en espagnol), 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Il traite 70 à 75% des demandes des utilisateurs et transmet les 15% d'incidents restants aux autres centres européens. (...)

(17/01/2008 17:24:39)

BT finalise l'acquisition de la SSII Net2S

L'opérateur et fournisseur de services télécoms British Telecommunications (filiale de BT Group) annonce la finalisation du rachat de Net2S. BT détient désormais 68,6% du capital de la SSII française. Cette transaction est préparée depuis trois mois environ, et attend désormais l'approbation de l'autorité des marchés financiers. L'opérateur signe ainsi sa 27e acquisition en l'espace de trois ans. François Barrault, CEO de BT Global Services, affirme vouloir « augmenter la croissance organique et inorganique de BT » et explique le choix de Net2S en soulignant que « l'Hexagone est un passage obligé pour la réussite de BT Group ». Olivier Huart, actuel président France de la société, endosse les fonctions d'administrateur (aux côtés de deux autres collaborateurs, Franck Cormier et Bruno de Saint Chamas) et de président du conseil de Net2S. Net2S emploie plus de 800 personnes dans six pays, et a réalisé un chiffre d'affaires de 77 M€ en 2006. Au premier semestre 2007, le CA atteignait 44,4 M€. (...)

(17/01/2008 16:14:00)

Premières offres combinées de SAP et BO

Avec satisfaction, SAP a annoncé hier, dans ses locaux californien de Palo Alto, le succès de son offre d'achat amicale sur Business Objects. L'éditeur allemand de progiciels de gestion intégrés détient désormais 87,18% du capital de BO, c'est-à-dire bien plus que ce dont il avait besoin pour acquérir le contrôle de l'éditeur français, spécialiste des applications décisionnelles. Désormais division de SAP, Business Objects reste dirigée par John Schwarz, son PDG depuis septembre 2005. A Palo Alto, les trois dirigeants présents, Henning Kagermann et Léo Apotheker, respectivement PDG et PDG délégué de SAP, ainsi que John Schwarz, ont rappelé les objectifs déjà évoqués en octobre dernier lors de l'annonce de l'offre d'achat. Le rapprochement des deux acteurs va permettre de développer une forte intégration entre les offres de SAP et de Business Objects, tout en continuant, « avec un engagement équivalent », a insisté John Schwarz, à développer des solutions Business Objects totalement indépendantes de SAP, à associer aux autres plateformes applicatives du marché. « Mon intention est de proposer pour l'environnement Oracle des solutions décisionnelles meilleures que les propres solutions décisionnelles d'Oracle », a cité en exemple John Schwarz. Henning Kagermann a exposé son ambition de renforcer l'intégration entre l'offre de SAP et celle de BO, jusqu'à réduire à quelques heures les capacités d'accès à l'information nécessaire pour une prise de décision rapide, alors que certains besoins d'analyse nécessitent aujourd'hui des interventions de quelques jours ou de quelques semaines des départements informatiques des entreprises. La mise en oeuvre de cette intégration étroite nécessite, rappelle le dirigeant, de faire travailler ensemble les équipes d'ingénieurs respectives, opération qui peut maintenant démarrer. Une offre hébergée pour les PME En attendant, SAP annonce neuf offres commerciales constituées conjointement avec Business Objects. Ces offres combinent des applications de l'un et l'autre éditeurs dans trois domaines : l'optimisation de la performance (finance et efficacité opérationnelle, gouvernance), les outils décisionnels (tableaux de bord, reporting, analyse, intégration de données, synchronisation de données) et les solutions adaptées aux PME. Parmi ces dernières figure notamment un package permettant d'intégrer les solutions BusinessObjects Edge, livrées en 2007, aux applications de SAP. Henning Kagermann a également indiqué que les équipes développant la toute nouvelle offre de gestion en ligne pour PME, SAP Business ByDesign, pourront recourir aux fonctions d'analyse de Business Objects. Un terrain - celui des applications fournies en ligne - sur lequel Business Objects dispose déjà d'une certaine expérience, l'éditeur revendiquant quelque 70 000 abonnés à sa gamme OnDemand. (...)

(17/01/2008 15:01:43)

Mandriva et Turbolinux s'allient pour le développement

Le Français Mandriva et le Japonais TurboLinux ont créé Mambo-Labs, une équipe d'une dizaine de développeurs basés en France, au Japon et au Brésil pour définir un socle commun à leurs distributions Linux. Ouvert aux développeurs tiers, ce Mambo-Labs devrait fournir la base pour la prochaine distribution de Mandriva attendue pour avril 2008. Une question se pose cependant : quelle sera la position du Mambo-Labs par rapport aux revendications en propriété intellectuelle de Microsoft sur Linux ? En effet, TurboLinux fait partie des acteurs de l'Open source qui ont signé un accord de propriété intellectuelle avec Microsoft (en octobre dernier, donc à la même période où l'accord avec Mandriva a été ébauché) et Mandriva est l'un des distributeurs Linux les plus bruyants contre Microsoft et ce type d'accord. (...)

(17/01/2008 13:01:48)

BEA-Oracle : Gartner conseille aux clients de différer leurs investissements

« Les clients sont dans une situation classique de 'wait and see'. Pour des entreprises déjà clientes de BEA, sur WebLogic par exemple, il n'y a pas de raison de paniquer. En revanche, ce serait risqué d'investir maintenant sur des produits récents. » Massimo Pezzini, vice-président de Gartner et analyste distingué, estime que l'acquisition de BEA par Oracle conduira à « des décisions difficiles » ; il serait donc risqué, explique l'analyste, d'investir sur des produits de BEA qui ne disposent pas déjà d'une base installée conséquente, les rendant quasiment intouchables. « Beaucoup [de produits] seront mis en mode maintenance, d'autres intégrés au sein de l'offre Oracle. Certains continueront de vivre, des produits comme WebLogic ou Tuxedo qui ont probablement des centaines de milliers de déploiements, ce serait un suicide de les arrêter. D'autres produits sont complémentaires, comme la machine virtuelle Jrockit. Et beaucoup sont en situation de recouvrement. » Dans tous les cas, explique encore Massimo Pezzini, dans un entretien avec LeMondeInformatique.fr, même si Oracle choisit de privilégier certains produits de BEA par rapport aux siens, le projet Fusion aura le dernier mot : Oracle a en effet engagé une vaste réorganisation de son offre progicielle afin de l'appuyer sur son offre middleware. (...)

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