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(11/01/2008 12:18:52)
IBM recycle ses déchets pour l'industrie des panneaux solaires
IBM, afin de donner une deuxième vie à ses déchets, a mis au point une technologie permettant de recycler les plaquettes de silicium (wafers) sur lesquelles sont gravées ses processeurs pour les revendre aux constructeurs de panneaux solaires. Ce projet original en matière de recyclage, initié par l'usine d'Essex Junction (état du Vermont) et dirigé par l'ingénieur Eric White, vise à utiliser à nouveau les wafers usés par les multiples tests sur les chaînes de production de Big Blue. Après plusieurs utilisations où elles sont polies, les plaquettes deviennent trop fines pour la fabrication de processeurs, mais contiennent suffisamment de silicium pour la construction de panneaux solaires. Reste alors à neutraliser les wafers (ôter les circuits électriques) pour permettre leur nouveau recyclage. Pour répondre à cette problématique et au lieu d'user des produits chimiques polluants, IBM a décidé de mettre au point une méthode composé d'un simple matériau abrasif, d'eau et d'une technique de polissage qui efface les composants non souhaités, tout en préservant la surface en silicium. Auparavant, IBM effaçait les wafers en y projetant du sable sous pression, mais ce procédé endommageait les plaquettes. Cette technique a valu à IBM le prix 2007 du Most Valuable Pollution Prevention Award (Trophée de la méthode la plus efficace contre la pollution) décerné par le National Pollution Prevention Roundtable. (...)
(11/01/2008 11:15:18)Sun veut faire disparaître ses salles de serveurs en 2015
Pour Brian Cinque, responsable architecture Data Center de Sun, l'objectif est simple sinon paradoxal : supprimer toutes les salles de serveurs de la société d'ici à 2015. Plus exactement, il souhaite réduire la superficie des salles de serveurs de 50 % ou plus d'ici à 2013. Pour cela, il compte s'appuyer sur des techniques de virtualisation, de consolidation de stockage ou d'application, d'accélération de transfert de données, mais aussi sur les offres de Saas (Software as a Service). C'est d'ailleurs par une migration en deux ans vers du tout Saas que Brian Cinque compte se séparer des dernières salles de serveurs de la société en 2015. (...)
(11/01/2008 09:31:19)Jeff Raikes va quitter la tête de Microsoft Business Division
Jeff Raikes, 49 ans, a décidé de quitter Microsoft en septembre de cette année. L'actuel patron de la division Business sera progressivement remplacé par Stephen Elop, ancien PDG de Macromedia, qui n'aura donc assuré la direction générale de Juniper Networks, en tant que COO (Chief operating officer), qu'une année. La division Business a réalisé l'année dernière un chiffre d'affaires de 16 Md$, soit un peu moins du tiers du chiffre d'affaires total de Microsoft. Jeff Raikes supervise en effet des produits comme le progiciel de gestion Dynamics, la base de données SQL Server, la suite bureautique Office ou encore le serveur de communication Exchange. Bien que Jim Allchin ait quitté récemment la tête de la division Windows (comme il l'avait planifié dès septembre 2005) et que Bill Gates prévoie son propre départ en juillet, cela ne devrait pas affecter le calendrier de l'éditeur, considère Rob Helm, directeur de recherches du cabinet Directions on Microsoft, dans la mesure où cela vient avec la fin d'un cycle : la sortie de Windows Vista, d'Office 2007 et d'Exchange 2007. Quant à SQL Server, sa gestion était plus directement sous la responsabilité de Bob Muglia, vice-président senior de la division Server and Tools, qui sera désormais en lien direct avec le PDG de Microsoft, Steve Ballmer. A noter aussi que fin février, Bruce Jaffe, responsable des acquisitions, quittera aussi l'éditeur. C'est lui qui a piloté l'acquisition d'aQuantive et lancé la procédure d'acquisition de Fast. (...)
(10/01/2008 15:10:51)Network Solutions soulève la polémique sur l'enregistrement de nom de domaines
Si vous allez sur le site de Network Solutions et que vous effectuez une recherche sur un nom de domaine que vous envisagez d'enregistrer, vous serez surpris de constater que, s'il n'est pas déjà utilisé par une autre entreprise, il est la propriété de Network Solutions. De fait, Network Solutions a mis en place un processus qui permet d'enregistrer instantanément et automatiquement tout nom de domaine saisi par un utilisateur dans son moteur de recherche, pour peu que celui-ci n'existe pas déjà. Résultat, si l'utilisateur veut son nom de domaine, il doit l'acheter auprès de Network Solutions. Très controversée, cette pratique est critiquée par les observateurs de l'industrie qui estiment que, outre le fait qu'elle oblige les utilisateurs à devenir des clients de Network Solutions, elle peut également conduire à des arnaques. Les noms saisis pourraient en effet être récupérés par des personnes peu scrupuleuses à des fins d'enregistrement. Pour toute réponse, Champ Mitchell, PDG de Network Solutions a annoncé mercredi qu'une mention serait ajoutée au site afin que les utilisateurs soient au courant de l'enregistrement systématique du nom de domaine saisi. Il entend également proposer de ne pas enregistrer la recherche en option. Le PDG rappelle toutefois que le processus a justement été mis en place pour éviter les vols de noms de domaine, certains spécialistes du secteur n'hésitant pas à enregistrer des noms de domaine en masse pour ne garder finalement que ceux qui suscitent du trafic. D'autres iraient même jusqu'à « espionner » les moteurs de recherche spécialisés et enregistreraient les noms pour ensuite les revendre. Des pratiques de plus en plus courantes, selon Champ Mitchell, qui campe sur ses positions malgré la polémique soulevée par son service. Il renvoie surtout la balle dans le camp de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), estimant que si l'organisme faisait son travail en interdisant toutes ces pratiques frauduleuses, il ne serait pas obligé de protéger ses utilisateurs par ce processus d'enregistrement systématique. Et la solution, selon lui, tiendrait en une réduction du tarif d'enregistrement : porté à 0,25 $, le vol de nom de domaine ne représenterait plus une manne financière. Certes, mais à condition d'oublier tous les procès passés et probablement à venir, au cours desquels plaidants et attaquants se disputent un nom de domaine enregistré en milliers d'euros et même parfois plus. (...)
(10/01/2008 11:19:02)Microsoft livre Dynamics CRM 4.0, sur site et en ligne
Microsoft vient de lancer la version 4.0 de son logiciel de gestion de la relation client Dynamics CRM, sur laquelle il travaillait d'arrache-pied depuis plusieurs mois (un projet longtemps connu sous le nom de code de Titan). L'avancée la plus attendue du produit, c'est la capacité multi-instance du serveur applicatif, ce qui permet désormais à Microsoft de mutualiser son utilisation pour proposer le produit en mode SaaS (software as a service), c'est-à-dire en mode connecté, à l'instar de ce que fait un Salesforce.com, ou Oracle avec son offre CRM On Demand (ex-Siebel On Demand). Toutefois, en phase avec sa stratégie « software + services », Microsoft continue à donner aux entreprises le choix entre une installation classique du logiciel sur site et une exploitation en mode connecté. Il ne veut surtout pas opposer les deux modes de fonctionnement qu'il juge complémentaires, a rappelé Bertrand Launay, directeur de la division PME de Microsoft France, lors de la conférence de lancement à Paris. Aux Etats-Unis, l'éditeur jouera lui-même le rôle de l'hébergeur pour la version « Live » de l'offre, accessible sur le Web. En France, il s'appuie sur des partenaires comme Prodware, Infoclip et Plenium pour commercialiser le logiciel en ligne, à partir de 45 € par mois par utilisateur. Cibles : PME, grandes entreprises et centres d'appels Initialement, l'offre CRM de Microsoft a d'abord touché les PME. Cette fois, la version 4.0 vise aussi les grandes entreprises et les centres d'appels, deux cibles pouvant tirer parti des capacités de mutualisation du serveur. Aux clients choisissant l'installation sur site, l'éditeur ne propose pas moins de six types de licences : par utilisateur nommé, par poste de travail (pour les centres d'appels), par connecteur (pour les utilisateurs externes à l'entreprise), chacune de ces trois licences existant en usage plein ou en lecture seule (accès par un portail, notamment). Le logiciel s'utilise aussi depuis un terminal mobile. Depuis le début, l'intégration avec Outlook constitue l'un des points forts de Dynamics CRM. Elle facilite l'adoption du produit auprès de tous les utilisateurs qui connaissent déjà le client de messagerie et réduit les temps de formation. Il en va de même des liens avec MS Office, de nouveau renforcés. Dans la version 4.0 sur site, les fonctions de reporting sont assistées. L'utilisateur peut aussi constituer ses rapports sans assistance du service informatique. D'autres outils l'aident à personnaliser lui-même son interface. L'import/export des données dans le module de marketing se font plus facilement. La modélisation des relations entre différentes entités d'une entreprise, un assistant de workflow (dispensant du recours à Visual Studio) et des capacités supérieures de montée en charge (notamment sur la base de données) s'ajoutent à la liste des nouveautés d'un logiciel qui sera, à terme, disponible en 25 langues. La base installée de Dynamics CRM compte actuellement 300 clients en France et 11 000 dans le monde (correspondant à quelque 500 000 utilisateurs). Microsoft lui-même est en train de déployer le produit en interne. 6 000 de ses collaborateurs l'utilisent déjà, les autres devraient le faire d'ici 18 mois. (...)
(09/01/2008 17:46:02)Un photographe dénonce des failles dans les licences Creative Commons
Décidément la photographie ne réussit pas à Créative Commons. Un mois à peine avoir échappé à des poursuites judiciaires pour une photo postée sur Flickr en Creative Commons et réexploitée commercialement par Virgin Mobile Australie, le consortium est à nouveau mis en cause. Cette fois-ci, le photographe californien, Dan Heller, dénonce dans une série de trois articles sur son blog les failles importantes qu'il détecte dans Creative Commons. Il s'inquiète notamment de la possibilité de re-licencier des images sous copyright au format Creative Commons en les prenant sur le Web (sur un site de photographe par exemple) et en les réinstallant sur Flickr. Ce qui expose les utilisateurs suivants à des poursuites de la part de l'auteur de l'image, même s'ils sont de bonne foi. Selon lui, cette manipulation s'avère d'autant plus facile que Creative Commons ne définit en fait aucun cadre légal pour l'exploitation des images et qu'elle peut être révoquée par le propriétaire de l'oeuvre à tout moment, sans prévenir les utilisateurs des images, qui se retrouvent encore une fois exposés à des poursuites. (...)
(09/01/2008 16:43:47)Le BSA fait payer six sociétés américaines indélicates
Près de 700 000 $. C'est la somme que le BSA (Business Software Alliance) a obtenu de six sociétés américaines utilisatrices de logiciels sans licence. Les six sociétés concernées ont dû effacer toutes les copies illicites se trouvant dans leur entreprise. Les logiciels étaient des copies d'outils Microsoft, Autodesk, Adobe et Symantec, trouvées grâce à des audits menés en interne. Ces infractions ne résulteraient pas de volontés délibérées de nuire, mais d'une politique d'installation logicielle mal appliquée. Ainsi, Andrew Wilkinson, porte-parole d'IBG Software, l'une des sociétés incriminée explique : « Cela a été malencontreusement causé par des installations manuelles et des procédures administratives que nous avons depuis revues en automatisant la gestion de nos logiciels et en effectuant des vérifications trimestrielles. » (...)
(09/01/2008 16:00:34)Virtualisation : Les DSI américains bien au fait des difficultés à surmonter
Le passage à la virtualisation ne sera pas de tout repos. S'ils ont bien compris l'intérêt de cette technologie, les quelque 300 directeurs informatiques interrogés par notre confrère américain CIO sont aussi bien au fait des obstacles qu'ils vont devoir surmonter. Tout est à découvrir. En particulier les bonnes métriques : combien de VM et quelles applications peut supporter un serveur donné sans qu'il ne s'effondre ? Là est la seule question technique qui importe. Et la plus difficile. Il est intéressant de noter que la vague de la virtualisation commence à déborder des datacenters pour déferler sur les postes de travail. Si 87% des répondants ont implanté la virtualisation dans leurs centres serveurs, 34% ont entamé celle des postes clients. Si ce sont les économies qui poussent en premier lieu au virtuel (81%), l'optimisation des PRA (Plan de reprise d'activités) et des sauvegardes arrive juste derrière (63%). Quant aux difficultés à surmonter, elles sont presque autant d'ordre politique (42%) que technique (58%). La virtualisation implique en effet une redéfinition des responsabilités et, surtout, oblige à resserrer les liens entre différents services qui vont devoir revoir leur collaboration. Les hommes ne sont pas naturellement enclins au changement. (...)
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