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(27/11/2007 19:07:50)
Bon trimestre pour les serveurs x86, le marché Unix dans le creux
Pour le cabinet d'études Gartner, le troisième trimestre 2007 a été meilleur qu'attendu sur le marché des serveurs. Avec une croissance des ventes de 8,7% en unités (soit 2,22 millions de serveurs) et de 2,6% en chiffres d'affaires (soit 13 358 millions de dollars), le secteur se porte bien malgré la crise financière et la tendance de fond à la virtualisation. Toutefois, tous les segments du marché ne s'en sortent pas aussi bien. « Ce trimestre le marché des serveurs a été soutenu par le secteur des x86, tant en volume qu'en valeur, tandis que le marché des serveurs RISC-Itanium Unix a vu sa part en valeur croître de 8 % », affirme Errol Rasit, analyste senior chez Gartner. « Les dynamiques sous-jacentes comme la croissance des marchés émergents, couplée à une demande persistante pour des capacités accrues, sont plus fortes que certains inhibiteurs comme la virtualisation des serveurs. » En effet, les ventes de serveurs Unix ont baissé en volume de 6,4% par rapport au même trimestre l'année précédente (soit 103 267 unités vendues). Les mauvais résultats des serveurs Unix s'expliquent certes en partie par de moins bonnes ventes des serveurs d'entrée de gamme de cette catégorie. Certains clients préférant alors les remplacer par des serveurs x86. Pour Samina Malik, analyste senior chez Gartner, l'explication est également à chercher du côté des produits vendus. « Les résultats d'Unix s'expliquent principalement par une transition dans les produits. IBM voit ainsi ses revenus décliner de 12,9% car ils sont en train de changer leurs gammes vers Power 6. HP est lui en pleine croissance [NDLR : +29,4% sur ce segment] car ils ont fait leurs transitions vers Montecito l'an dernier à la même époque. Dès le trimestre prochain, les tendances peuvent s'inverser. » Sur le marché Unix, Sun mène la danse, devant - dans l'ordre - IBM, HP, Apple et Fujitsu-Siemens. (...)
(27/11/2007 16:48:35)Pointblog ferme, Le Monde du blog apparaît
Pointblog ferme de nouveau ses portes, et cela semble définitif cette fois. Ce blog qui suit depuis 2003 l'actualité des blogs - et plus généralement des médias et du Web 2.0 - n'a jamais réussi à élaborer un modèle économique viable. Ou plutôt, précise Gille Klein, collaborateur de la première heure et rédacteur en chef du site depuis un an et demi, « Pointblog n'est pas mort parce qu'il n'était pas viable, mais à cause d'une mauvaise gestion, ce qui laisse un sentiment de frustration de gâchis ». Gilles Klein a d'ailleurs décidé de continuer l'aventure sous un autre nom : LeMondeDuBlog.com, qui héberge ses anciens billets (« près de 2800 sur les 3849 billets que comptait Pointblog »), et sur lequel il publie de nouveau tous les jours. L'aventure Pointblog aura fait couler beaucoup d'encre (virtuelle), et se règle aujourd'hui à coups d'assignations en justice. Le site a été lancé en 2003 par Cyril Fiévet et Emily Turretini. Cyril Fiévet tient la rédaction jusqu'en début 2005, date à laquelle il décide de s'associer avec Christophe Ginisty, par ailleurs cofondateur et directeur d'une agence de relations presse spécialisée dans les nouvelles technologies. Christophe Ginisty explique sur son blog que l'accord est signé en février 2005 : la SARL Pointblog est créée. Elle s'associe rapidement à un imprimeur et éditeur marseillais, Astrolabe, afin de lancer un magazine papier, Netizen. Les premières dissensions entre les responsables de l'aventure apparaissent rapidement. La soirée de lancement de Netizen, transformée en grande fête des blogueurs, est ainsi mal vécue par Gilles Klein. Quant au PDG d'Astrolabe, il doit avoir peu goûté la soirée puisque Christophe Ginisty, qui avance qu'un budget de 20 000 euros aurait été alloué pour la soirée, explique n'avoir pas été réglé par son associé. C'est le début des histoires d'argent, « Cyril et ses collaborateurs ne sont pas payés ou en retard », explique Gilles Klein, qui prend alors la rédaction en chef du site. L'hébergeur prononce la fermeture définitive Netizen ferme ses portes après trois numéros, faute d'annonceurs et de ventes en quantité suffisante, et Cyril Fiévet quitte la société - tout en restant actionnaire. Quelques mois après, excédé, il coupe l'accès au site Pointblog, expliquant alors : « Toute l'année 2005, l'ensemble des collaborateurs de Pointblog ont dû se battre pour être payés, moi compris. Des dizaines de mails en attestent. En moyenne, les collaborateurs de la société ont été payés avec 2 à 3 mois de retard, quand ils ont été payés. » Gilles Klein avance de l'argent afin de régler quelques factures, et le site reprend. Christophe Ginisty explique alors qu'il veut arrêter les frais, mais qu'il accède à la demande de Gilles Klein de continuer l'aventure. Pointblog survit donc. L'autre coup de semonce vient il y a quelques jours de l'hébergeur. « Il m'a dit ne pas avoir été payé depuis avril 2006, et avoir engagé une procédure, raconte Gilles Klein. J'ai alors acheté le nom de domaine LeMondeDuBlog à tout hasard. » Aujourd'hui, le créateur du site dit n'avoir aucune intention « à mon âge, de me transformer en patron de presse ». « Pour le moment, je n'attends pas de revenus au titre du blog », dit-il. Christophe Ginisty, qui s'est depuis engagé dans une autre aventure (Internet sans frontières), ne dit pas sur son blog s'il compte donner une suite à Pointblog, et nous n'avons pas réussi à le joindre à l'heure de la publication de cet article. Mise à jour du 28 novembre 2007 : Christophe Ginisty, que nous avons joint au téléphone, estime de son côté que la viabilité du site dépend en grande partie de son design. « Une des raisons pour lesquelles nous n'avons pas eu de ressources tient au fait que je n'ai jamais réussi à changer le site profondément, dit-il. Il avait un look épouvantable et une ergonomie qui ne correspond pas à ce qu'on peut trouver aujourd'hui sur un site d'informations. » Or, dit-il, Cyril Fiévet a fait en sorte qu'il ne puisse toucher au domaine (lorsque la crise a éclaté au grand jour, Cyril Fiévet a en effet expliqué qu'il en était arrivé là en dernier recours pour obtenir des arriérés de salaire). C'est la raison pour laquelle il a annoncé à Gilles Klein, il y a environ un an, vouloir fermer le site. « Même si le contenu était de qualité, je ne voulais pas alimenter [pécuniairement, NDLR] quelque chose qui ne ressemblait à rien. » Le cofondateur de Rumeur Publique dit encore se battre actuellement, via des moyens judiciaires, pour recouvrer ses droits. (...)
(27/11/2007 16:41:06)La BSA récupère de l'argent sur les PME, dénonce AP
L'agence Associated Press (AP) a mené l'enquête sur les résultats de la Business Software Alliance (BSA) aux Etats-Unis. Cet organisme rassemblant de grands éditeurs voulant lutter contre le piratage des logiciels estime en effet - chiffres d'IDC à l'appui - que le non-paiement des licences y atteint 21%, occasionnant plus de 8 Md$ de pertes de revenu à l'industrie du logiciel. Sur cette somme, estime AP, la BSA a récupéré l'année dernière 13 M$. Et ce à 90% dans des PME. AP cite ainsi le cas d'un cabinet d'architecture américain de 10 personnes, à qui la BSA a réclamé 67 000 dollars, soit « quasiment les bénéfices d'une année ». De son côté, la BSA explique s'en prendre principalement aux PME parce que c'est là que le piratage serait endémique - et non, bien sûr, parce que les PME n'ont ni les moyens de se défendre juridiquement, ni la possibilité de négocier des achats en volume. D'après AP, le plus gros règlement emporté par la BSA serait de 3,5 M$, avec « une entreprise de médias internationale ». Une somme à comparer aux 3 M$ que la BSA consacre annuellement, toujours selon AP, à du lobbying auprès des autorités américaines. L'année dernière, nous avions évoqué le cas d'une PME strasbourgeoise, qui s'était vue épinglée dans un communiqué triomphant de la branche française de la BSA. Qui indiquait que 62% de son parc logiciel était en situation irrégulière... sur un parc de neuf ordinateurs. Le gérant de la société nous racontait alors : « Je n'ai pas compris pourquoi nous avons été contrôlés. Nous avons créé l'entreprise suite au dépôt de bilan de la société qui nous employait en 2002, et nous avons racheté les neuf ordinateurs sur lesquels nous travaillions au liquidateur - sans nous douter que les licences n'étaient pas cessibles. J'avais prévu un plan sur trois ans pour avoir un parc à jour, à la fois sur le plan matériel et le plan logiciel. Nous avons été contrôlés au bout de deux ans et demi. Ce n'est vraiment pas de chance. » Menacé d'un procès, le gérant a préféré la solution à l'amiable proposée par BSA France : payer toutes les licences au prix fort, autoriser la BSA à publier un communiqué, et lui fournir pendant une période probatoire de deux à trois ans un listing de son parc logiciel. Rappelons enfin que la BSA, dont sont membres, entre autres, Adobe, Apple, McAfee, Microsoft, SAP ou Symantec, propose des primes aux gens dénonçant leur entreprise. Primes pouvant aller jusqu'à un million de dollars. Comme le souligne un avocat américain, les dénonciations arrivent en fait souvent quelque temps après le départ d'un membre clé du service informatique, généralement quelqu'un chargé de surveiller... que l'entreprise soit bien en règle. (...)
(27/11/2007 16:26:47)Après quatre ans de gestation, Philippe Kahn dévoile Fullpower
Le célèbre entrepreneur français Philippe Kahn, fondateur de Borland et de Starfish, a présenté « sa dernière créakahntion », FullPower, lors de la seizième édition de la 6Sight Imaging Conference, qui s'est déroulée les 7 et 8 novembre derniers à Monterey (Californie). Développée en toute discrétion depuis 2003, cette société se focalise sur la convergence entre technologies sans fil, nanotechnologies et Mems, ces systèmes microélectromécaniques qui mesurent moins de cent millièmes de millimètres. Les Mems sont essentiellement utilisés par les télécommunications, la biologie et l'automobile. Plus concrètement, Fullpower a conçu un logiciel capable de comprendre et d'exploiter les renseignements détectés par les Mems, comme le mouvement, le toucher, le reflet, la proximité, la lumière ambiante, la pression, la géolocalisation... Les plus célèbres exemples de technologies utilisant de tels détecteurs sont la Wii ou l'iPhone, que Philippe Kahn n'hésite pas à qualifier de « simples balbutiements ». D'après lui, ces détecteurs auront bientôt toutes sortes d'applications. Il suffira par exemple d'agiter légèrement son téléphone pour répondre à un appel. Plus de bouton à presser, tout se fera par gestes simples. Mais, au-delà des applications téléphoniques, le logiciel de Fullpower permet également de faciliter l'intégration des Mems dans les stimulateurs cardiaques, les pompes à insuline, les jeux vidéos... « Toutes ces applications exigeront un système pour gérer les données brutes récoltées par les détecteurs. C'est la solution que nous leur proposons », a ajouté Philippe Kahn. Le logiciel qu'il développe est disponible sur divers environnements (Linux, Symbian, Windows...). 10 milliards de Mems dans les téléphones portables en 2010 Lors de sa conférence, celui qui est considéré par beaucoup comme « l'un des personnages les plus novateurs et dynamiques dans l'imagerie et le sans fil » a également évoqué l'avenir des Mems. D'après lui, 10 milliards de Mems seront intégrés dans les téléphones portables d'ici à 2010, et 2 milliards dans les nouveaux téléphones/appareils photo pour l'année 2010 à elle seule. De son côté, le cabinet d'étude français Yole Développement estime que le marché des Mems générera un chiffre d'affaires de 20 Md$ en 2016 (contre 7 Md$ en 2006). Cette année, Yole pense qu'il devrait se vendre 400 millions d'unités de Mems, ce qui correspond à 5% du marché de fonderie total. Pour rappel, Philippe Kahn (né en 1952), a débuté sa carrière comme professeur de mathématiques dans les universités de Grenoble et de Nice. En 1982, il quitte la France pour les Etats-Unis. Il est le fondateur de nombreuses sociétés novatrices, à commencer par Borland (éditeur d'environnements de programmation), qui connaîtra un succès foudroyant (500 M$ de chiffre d'affaires). Philippe Kahn lance en 1994 Starfish Software, une société spécialisée dans l'édition de logiciels dédiés à la mobilité, puis LightSurf Technologies. La première deviendra filiale de Motorola en 1998, et la seconde sera rachetée en 2005 par Verisign. Considéré comme visionnaire, Philippe Kahn est l'un des entrepreneurs français du secteur IT ayant le mieux réussi aux Etats-Unis. Etant donné son goût prononcé pour les lancements et les reventes de sociétés, il n'est pas impossible que Fullpower connaisse le même essor que ces prédécesseurs d'ici quelques années. (...)
(27/11/2007 11:00:01)Generix va racheter Infolog et ses solutions de logistique
Generix, éditeur d'un progiciel de gestion intégrée adapté aux métiers de la distribution, s'apprête à racheter Infolog Solutions, spécialiste des solutions d'exécution logistique (gestion d'entrepôts et du transport, de la traçabilité). Ce dernier compte 160 clients sur 750 sites (dont 110 à l'international). Il a réalisé un chiffre d'affaires de 17,3 M€ en 2006. Selon les informations communiquées, le rachat devrait s'effectuer par un paiement en numéraire de 10,4 M€ et par l'émission d'un million d'actions Generix correspondant à 7% du capital après opération. Rappelons que fin 2006, Generix s'était déjà rapproché d'un autre éditeur français, Influe, qui lui a apporté ses solutions d'optimisation des flux interenterprises. Generix va annoncer demain ses résultats semestriels. En 2006, l'éditeur a réalisé un chiffre d'affaires de 46 M€ avec 410 collaborateurs. Sa base installée rassemble quelque 6 000 clients (parmi lesquels Nestlé, Unilever, Carrefour, Metro, Leroy Merlin...) dans une trentaine de pays. (...)
(26/11/2007 17:11:04)BO ajoute le suivi de la performance financière à son offre Edge
Avec BusinessObjects Edge Planning, application de gestion de la performance financière destinée aux entreprises de taille moyenne, Business Objects complète sa gamme d'offres décisionnelles taillées pour les PME (de 100 à 1 000 collaborateurs), lancée à l'échelle mondiale début 2007 et déjà composée de trois produits. Cette fois-ci, l'éditeur apporte des outils de planification, de gestion de budget et d'analyse prévisionnelle (avec des fonctions de type « what if » - « que va-t-il se passer si ? »). La solution peut s'utiliser seule (à partir de 25 000 $ pour dix utilisateurs incluant la première année de maintenance, le support et la formation). Elle peut aussi venir compléter l'une des trois offres précédemment livrées, BusinessObjects Edge Standard, Professional et Premium, constituées d'outils de requête, de reporting et d'analyse de données. Rappelons que l'un des intérêts de ces « packages » pour PME est de se présenter sous la forme d'une suite de logiciels décisionnels déjà intégrés entre eux, ce qui facilite leur mise en place dans des structures qui ne disposent pas toujours d'une équipe informatique très étoffée. Les trois premières offres Edge se différencient principalement par leurs capacités de déploiement et leurs fonctions d'administration. La troisième, Premium, tout juste livrée, dispose aussi de fonctions de tableaux de bord avancées par rapport aux deux autres. (...)
(26/11/2007 16:59:40)Pour Torvalds, la flexibilité est la force de Linux
Pour Linus Torvalds, au-delà de tout argument idéologique, la force de Linux par rapport aux autres systèmes d'exploitation - et notamment Windows - tient en un mot : flexibilité. « C'est la plus grande force de Linux. Quand vous achetez un système d'exploitation chez Microsoft, non seulement vous ne pouvez le réparer seul, mais il a été développé pendant des années en suivant la vision du marché (Ndlr, et de ses besoins) d'une seule entité », affirme-t-il dans une interview accordée par courriel à InformationWeek. « Par contraste, regardez où Linux est utilisé. Des téléphones portables ou des appareils embarqués si petits que personne ne songerait à les appeler ordinateur, jusqu'aux plus gros supercalculateurs du Top 500 ! Et tout cela vient du fait que toute personne intéressée peut participer à son développement et qu'aucune entité ne contrôle la direction qu'il prendra. » Pas même Linus Torvalds. Il se décrit lui-même comme « absolument pas intéressé par la virtualisation », mais reconnaît que ce sera un axe de développement important pour Linux en 2008, tout en affirmant qu'il ne faudra pas s'attendre à un modèle de virtualisation en « taille unique » pour couvrir tous les besoins des entreprises. Un autre axe de développement important pour le noyau est la compatibilité avec les nouveaux matériels arrivant en 2008. « La situation dans les domaines graphiques et les réseaux sans fil évolue vite et je pense que cela sera une part importante de notre travail en 2008. » Personnellement, il s'intéresse plus aux disques SSD à base de mémoire flash : « Je crois fermement à la réduction du temps de latence, et certains des meilleurs SSD changent totalement la donne dans ce domaine, ce qui peut avoir de gros impacts pour le noyau. Bien qu'ils soient actuellement si chers qu'ils ne peuvent être que des acteurs mineurs, cela risque de changer en 2008 et dans les années à venir. » (...)
(26/11/2007 16:43:38)Un programme pour pirater les conversations en VoIP
Pour démontrer les vulnérabilités de la VoIP, Peter Cox, cofondateur et ancien directeur technique de Borderware, fournisseur de solutions de sécurité, vient de mettre au point un programme capable de pirater les conversations téléphoniques sur IP. Baptisé SIPtap, ce programme relève du « proof of concept » ou, traduit littéralement, « preuve par le concept ». Ne vous attendez donc pas à le trouver sur les étagères des magasins, l'idée n'est pas de pousser la population à pirater les conversations téléphoniques mais de prouver que c'est possible. SIPtap permet en effet de contrôler plusieurs flux transitant en VoIP, d'écouter discrètement les conversations et même de les enregistrer sous forme de fichier .wav. Tous les fichiers ainsi récupérés sont classés par utilisateur, date d'enregistrement, heure, etc., soit autant d'informations qui peuvent s'avérer très utiles pour des cybercriminels. Le danger est d'autant plus grand que l'utilisation de ce programme est très simple selon son concepteur : il suffit d'infecter une machine dans un réseau pour avoir accès aux communications en VoIP. Pire, d'après Peter Cox, SIPtap pourrait même être installé directement chez un fournisseur et donc servir à écouter des conversations qui transitent par le prestataire. On imagine aisément le risque que représente ce type de programme s'il venait à se développer. Toutefois, il convient de relativiser ce danger, l'attaque étant somme toute assez similaire à celles que les entreprises connaissent déjà. En d'autres termes, s'il faut retenir une leçon de cette expérience, c'est très probablement que les flux VoIP sont aussi vulnérables que les autres flux IP et que, à ce titre, ils doivent être protégés. (...)
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