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(26/11/2007 16:29:18)
Rapport Olivennes : Décryptage par Me Olivier Hugot, juriste
Pour Maître Olivier Hugot, avocat chez HugotAvocats, cabinet spécialisé en créations, médias et communications, le rapport de la mission Olivennes reprend, d'une façon détournée, l'article 24 de la loi DADVSI (Droit d'auteurs et droit voisins dans la société de l'information), annulé par le Conseil constitutionnel. Cette disposition prévoyait que la reproduction non autorisée d'oeuvres au moyen d'un logiciel d'échange de peer-to peer était constitutive, non plus d'un délit, mais d'une contravention. Le Conseil constitutionnel y avait vu une violation du principe d'égalité devant la loi pénale au motif que l'atteinte portée aux titulaires de droits était la même selon que la reproduction non autorisée se fasse par un logiciel d'échange de peer-to peer ou par tout autre moyen de communication en ligne. « L'annulation de l'article 24 entraînait un retour au régime précédent selon lequel ces infractions sont punies par 3 ans de prison et 300 000 € d'amende, souligne Me Olivier Hugot. En mettant en place une politique ciblée de poursuites, et des sanctions pouvant aller jusqu'à la suspension et la résiliation du contrat d'abonnement à Internet, le rapport de la mission Olivennes instaure ainsi le retour des poursuites graduées. » Pour Olivier Hugot, l'autre point intéressant du rapport Olivennes réside dans l'utilisation d'outils de filtrage par les fournisseurs d'accès à Internet. Selon le rapport, leur mise en oeuvre pourrait permettre des progrès sensibles dans la lutte contre le piratage et participer à la construction d'un nouveau système de gestion des droits numériques associant tous les acteurs concernés : « Le texte prévoit une collaboration avec les ayant-droits sur les technologies de filtrage, qui ont pour objectif d'empêcher, ou, au moins, de limiter la mise en ligne de contenus protégés par des tiers non détenteurs de droits », souligne le juriste. (...)
(26/11/2007 14:33:01)Avec Urbanys et Amphaz, SQLI se renforce dans le conseil
A peine quelques jours après le rachat d'Amphaz, filiale du groupe Altitude, la SSII SQLI annonce l'acquisition du cabinet de conseil Urbanys. Le montant initial de l'opération s'élève à 2 M€, auxquels pourront se rajouter 600 000 €, en fonction des performances réalisées par la société. Basé à Suresnes (92), mais également présent au Luxembourg, Urbanys est spécialisé dans la gouvernance et l'organisation des systèmes d'information, et se base sur des processus et des référentiels qualité standards (ISO 9001, ITIL...). SQLI étend ainsi son pôle conseil, et gagne des clients comme BNP Paribas ou la RATP. SQLI confirme par ailleurs ses objectifs, à savoir atteindre les 150 M€ de chiffre d'affaires en 2008. Le groupe, qui emploie 1700 personnes dans le monde, compte également accélérer sa croissance externe. SQLI dit être déjà en négociation avancée avec une nouvelle cible. Créé en 2001, Urbanys espère réaliser un chiffre d'affaires proche des 3 M€ en 2007, pour une rentabilité opérationnelle de 10%. La cabinet de conseil compte actuellement une vingtaine de collaborateurs. Urbanys sera consolidé dans les comptes de SQLI en décembre prochain, en même temps qu'Amphaz. Acquise pour près de 2 M€, cette société est pour sa part spécialisée dans le conseil et l'intégration en décisionnel. (...)
(23/11/2007 18:11:10)Micropole-Univers rachète Apsalys, intégrateur de Qualiac
La SSII française Micropole-Univers vient de racheter Apsalys, une société spécialisée dans le conseil et l'intégration de progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP) dans le domaine des sciences de la vie. Apsalys, dont le chiffre d'affaires dépassera sur l'exercice 2007 le million d'euros, réalise 80% de son activité dans les secteurs de l'industrie pharmaceutique et de la santé. La société a notamment développé une expertise sur le PGI de Qualiac, un éditeur avec lequel Micropole-Univers a noué un partenariat en juin dernier. La SSII renforce ainsi le centre de compétences qu'elle a créé cette année autour des PGI et prend pied sur le marché des sciences de la vie (chimie, pharmacie, cosmétologie, bio-médical, santé). Présente dans les très grands comptes, Micropole-Univers est par ailleurs spécialisée sur les projets d'applications décisionnelles (Business Intelligence), de gestion de la relation client (GRC), ainsi que sur les projets s'appuyant sur Internet. Elle a réalisée en 2006 un chiffre d'affaires de près de 70 millions d'euros, compte 850 collaborateurs et un millier de clients. L'éditeur Qualiac, lui, dispose d'une base installée de 350 sites, correspondant à quelque 18 000 utilisateurs. (...)
(23/11/2007 17:44:40)Blogorama crée le billet payant avec Allopass
Alors que la rémunération des blogueurs par les marques est au coeur de vives polémiques dans la blogoshère, la plateforme Blogorama.fr vient de s'allier au spécialiste du micro-paiement en ligne Allopass pour inaugurer le billet payant. La formule repose sur la possibilité de configurer son blog en utilisant son compte Allopass et de rendre payant, ou non, un billet lors de sa publication. Une solution à la carte qui donne aux blogueurs la possibilité de commercialiser son article au prix de 2 €, qui seront au final répartis entre l'opérateur télécom, Blogorama et le blogueur - qui pourra récupérer ses gains à partir de 5 €. A la différence des plateformes ebuzzing et payperpost, qui vient d'être sanctionné par Google, le système de paiement de billet à la carte de blogorama ne fait pas intervenir de marques dans le processus de rédaction des billets. Selon Yannick Touchard, directeur d'Hi-Media Publishing qui édite Blogorama.fr, « cette nouvelle fonctionnalité est une occasion pour les blogueurs de Blogorama.fr de gagner de l'argent tout en partageant leur passion sans connaissance technique et sans frais d'hébergement ». (...)
(23/11/2007 17:02:42)Bercy annule le marché pour le déploiement de Chorus
Le marché pour le déploiement de Chorus, dont la clôture était prévue à la fin du mois, a été annulé à l'initiative de l'Agence pour l'informatique financière de l'Etat (AIFE). Une nouvelle procédure devrait voir le jour au premier trimestre 2008. Rappelons que ce projet vise à installer, sur une base de SAP, un nouveau système de gestion budgétaire dans toutes les administrations centrales et déconcentrées. Or adapter un progiciel d'origine industrielle allemande à des administrations françaises ne se fait pas sans un certain nombre de développements spécifiques. L'inflation de ceux-ci commencerait, selon la rumeur, à menacer la cohérence et l'intérêt du projet. Cette critique n'est pas neuve et avait même été le fondement des offres concurrentes de celle de SAP. Jacques Marzin, directeur de l'AIFE, explique la situation : « Nous sommes actuellement en cours de conception détaillée des développements spécifiques. Il s'agit notamment de ne pas remettre en cause la stabilité du noyau SAP. » En précisant que, si la réorganisation en cours des services de l'Etat rend Chorus encore plus indispensable, et si son cahier des charges prévoit qu'il soit assez flexible pour absorber cette réorganisation, « il n'était pas prévu que le déploiement ait lieu en même temps que la réorganisation et c'est une difficulté qu'il nous faut intégrer, a priori sans impact sur le calendrier global du projet ». (...)
(23/11/2007 11:49:59)XP a bien un problème de génération de nombres aléatoires
Près d'une semaine après la découverte du bogue par trois chercheurs de l'université de Haifa, Microsoft admet que Windows XP présente, comme Windows 2000, une faille dans son générateur de chiffres aléatoires. Celle-ci permettrait à un expert en cryptographie de prédire quelles clés seront générées par le système (avant d'être utilisées dans une transaction SSL par exemple). Microsoft annonce que cette faille sera comblée dans le prochain SP3 de Windows XP. L'éditeur précise que ses systèmes d'exploitations plus récents - Vista, Windows Server 2003 et Windows Server 2008 - ne sont pas concernés car ils utilisent déjà une version modifiée du générateur. En revanche, l'éditeur n'a pas l'intention de proposer un patch pour Windows 2000, le système d'exploitation arrive en fin de vie et seules les mises à jour de sécurité prioritaires sont diffusées gratuitement. (...)
(22/11/2007 15:25:25)Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle
Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)
(22/11/2007 14:31:25)HP prêt à dépenser des milliards pour monter dans le logiciel
Les éditeurs de gestion des données sont prévenus : HP est sur leur piste. Dans une interview accordée à Reuters, le patron de la branche logicielle de HP, Tom Hogan, explique que son groupe est prêt à dépenser des milliards de dollars pour étoffer et diversifier son portefeuille. « Nous déterminerons qui sont les leaders, raconte-t-il à Reuters. Dans certains segments, il pourrait s'agir d'entreprises valant 300 à 500 M$. Dans certains cas, cela pourrait aller dans les 5 à 10 milliards de dollars. Mais c'est ce qu'il faut pour avoir le leader du marché. » Tom Hogan a déjà piloté les rachats de Mercury et d'Opsware Tom Hogan, ancien CEO de Vignette, dirige HP Software depuis début 2006. Il était donc déjà en poste au moment de l'offre sur Mercury, pour 4,5 Md$, puis de celle sur Opsware, un éditeur de logiciels d'administration, valorisé à 1,6 Md$. Mais désormais, HP Software - qui se place au sixième rang mondial des éditeurs de logiciels - estime que son portefeuille en matière d'administration est déjà bien garni ; ce segment représenterait 80% de son CA logiciel. Après avoir complété son offre historique, OpenView, avec la gamme d'outils de pilotage et d'optimisation de Mercury et l'offre d'Opsware, HP veut donc désormais s'attaquer à d'autres secteurs. Les premières cibles seraient spécialisées dans la gestion du contenu (archivage des emails à des fins de conformité, par exemple), et dans le décisionnel. Dans la première catégorie, Reuters cite Symantec comme une cible potentielle, depuis son acquisition de Veritas. Dans la seconde, sachant que Hyperion est passé dans le giron d'Oracle, BO dans celui de SAP et que Cognos va aller chez IBM, les rumeurs pourraient se porter une fois de plus sur Teradata, dans la mesure où Mark Hurd, l'actuel patron de HP, connaît bien la société pour l'avoir dirigée. A noter que HP était aussi régulièrement cité par les analystes comme repreneur potentiel de BEA. (...)
(22/11/2007 12:54:23)Nissan ne veut pas payer Software AG pour pouvoir externaliser ses développements
Nissan poursuit en justice son fournisseur Software AG qui lui demande 3 M$ pour qu'il puisse confier ses développements à l'Indien Satyam. Déjà en 1999, le constructeur (filiale à 44% de Renault) avait dû payer près de 344 000 $ pour externaliser ses applications sur Adabas et Natural chez IBM. La demande de 3 M$ pour pouvoir confier les développements à Satyam a fait déborder la coupe. D'autant que Nissan accuse l'éditeur d'avoir en outre exagérément accru sa vigilance sur l'utilisation des licences, et par conséquent augmenté ses prétentions financières. Nissan se porte en justice pour, selon lui, en finir avec les demandes hors de proportion de Software AG. Une attitude due, toujours selon Nissan, aux difficultés rencontrées par cet éditeur, qu'il juge en panne de croissance. Software AG est effectivement confronté à une relative stagnation de son activité autour d'Adabas (+5% au dernier trimestre). En revanche, sa stratégie liée à la SOA (et au rachat de WebMethods) commence à porter ses fruits. Au dernier trimestre, cette activité a progressé de 135%. Elle représente désormais 44% du CA total de Software AG. (...)
(22/11/2007 12:05:58)Routeurs : Bon trimestre pour Juniper et Nortel derrière Cisco, impérial
Sur le marché des routeurs, les trimestres se suivent et se ressemblent. Cisco domine toujours largement le marché. Pour le troisième trimestre 2007, Synergy Research estime le CA total à 3,3 Md$, en augmentation de 21% par rapport à la période correspondante de l'an dernier. Avec un CA de 2,4 Md$ (+29%), ce sont les gros équipements pour les fournisseurs de services qui s'octroient la part du lion tant en importance qu'en croissance. Les 2 Md$ de CA de Cisco dans le domaine lui confère une part de marché de 66,1%. Toutefois, tant Juniper que Nortel réalisent aussi de bonnes performances : Juniper sur le créneau des carriers (où Alcatel Lucent régresse) et Nortel sur celui des fournisseurs d'accès. Le grand perdant, c'est Alcatel - Lucent qui ne parvient pas à se trouver une dynamique. (...)
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