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(25/10/2011 10:06:57)

Semestriels Solucom : Des effectifs en tassement et une visibilité réduite pour 2012

Le cabinet de conseil en management et systèmes d'information affiche un 1er semestre (achevé au 30 septembre) négatif, à 50 millions d'euros en repli de 4%. La société explique ce chiffre par le tassement des effectifs au cours de l'exercice précédent. Solucom a embauché 179 collaborateurs sur le 1er semestre portant ses effectifs à 915 personnes. La société maintient ses objectifs sur l'ensemble de l'exercice et réalisera une opération de croissance externe au cours de son second semestre.

Par ailleurs, Solucom précise que le contexte est troublé par la crise financière, « générant un changement d'état d'esprit » chez les clients. La visibilité se réduit. La fin 2011 sera peu impactée selon le cabinet, en revanche le début 2012 risque de connaître un ralentissement.

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(25/10/2011 09:56:41)

Trimestriels Staff and Line : Une orientation de plus en plus SaaS

Spécialiste de la gestion des infrastructures,  Staff and Line a réalisé un CA de 6,7 millions d'euros sur les neuf premiers mois de l'exercice, en progression de 10%. Sur le troisième trimestre, l'activité s'est même accélérée, signe que la crise n'a pas de prise sur Staff and Line.

Autre élément crucial, dans ces comptes, le SaaS. « La part récurrente du chiffre d'affaire, explique la société, a atteint le niveau record de 63% au 3ème trimestre, portée par une légère progression de la Maintenance et le dynamisme des ventes en mode hébergé. Multiplié par 5 à 0,35 M€, le chiffre d'affaires en mode SaaS a plus que compensé la baisse de chiffre d'affaires licences de 0,5 à 0,4 M€ (- 0,1 M€). »        

La société accorde une place centrale aux solutions sur ce modèle de distribution.

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(25/10/2011 09:51:56)

Les investissements dans le cloud profitent au stockage selon IDC

IDC est formel, les dépenses globales des fournisseurs de services en cloud public, que ce soit sur le matériel de stockage, les logiciels, ou les services professionnels, vont croître massivement. Avec un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 23,6% de 2010 à 2015. Côté cloud privé, le marché connaîtra un TCAC de 28,9%. En 2015, les dépenses combinées pour le stockage tout cloud confondu seront de 22,6 milliards de dollars pour le monde entier. « Malgré les incertitudes économiques actuelles, IDC prévoit que les fournisseurs de services clouds - à la fois publics et privés - seront parmi les plus dépensiers parmi les fournisseurs de produits et services IT », explique Richard Villars, vice- président systèmes de stockage chez IDC.

Le facteur le plus significatif dans le stockage, au cours des trois dernières années, a été l'émergence de cloud publics basés sur les applications. Beaucoup de ces fournisseurs (par exemple, iTunes, Netflix, YouTube, Facebook) agissent comme des dépôts de contenus, situés principalement dans les activités de collecte, d'organisation, et donnant accès à de grandes quantités de contenus numériques.

L'émergence du "as a service»

Pendant ce temps, d'autres fournisseurs de services cloud ont émergé, avec un accent mis sur la fourniture de l'infrastructure informatique et d'applications de type « as a service » (par exemple, Salesforce.com, WebEx Connect, Amazon Web Services, etc.) Au cours des dernières années, ces entreprises ont entrepris l'aménagement des capacités de stockage de manière massive, élargi leur offre de service, pénétré de nouveaux marchés, et étendu leur portée géographique.

En parallèle à l'expansion du cloud public, plusieurs organisations ont commencé à déployer leurs propres cloud ​​privés pour des applications de calcul et de contenu (archives) de stockage. Certains de ces déploiements sur ce modèle (par exemple, le gouvernement et les sites de recherche) sont comparables en étendue et  en complexité à des environnements de cloud public, tandis que d'autres sont de portée plus limitée.

Cinq exigences en matière de stockage

Les fournisseurs de services cloud publics et les spécialistes des environnements cloud privés ont cinq exigences en matière de stockage :

- Permettre une prestation plus efficace des applications de gestion de l'information, basées sur l'Internet des clients ;

- Réduire les niveaux initiaux d'investissement en infrastructures (par exemple, réduire le coût et le temps associés au déploiement de nouvelles infrastructures IT) ;

- Minimiser les investissements internes d'infrastructure informatique associée à des charges de travail imprévisibles ;

- Abaisser  ou redistribuer les coûts permanents associés à l'archivage de long terme des informations ;

- Activer de manière quasi-continue, en temps réel, l'analyse de grands volumes et de grandes variétés de clients, partenaires, et la machine des données générées.

Pour répondre à ces diverses exigences, les organisations continueront à exiger l'accès à une capacité de stockage à faible coût et à une gamme croissante de données complémentaires de pointe, de  sécurité et de solutions analytiques.

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(24/10/2011 17:07:40)

Oracle rachète RightNow, spécialiste du CRM pour 1,5 milliard de dollars

Oracle muscle son portefeuille de services dans le cloud public en rachetant l'éditeur de CRM en mode SaaS,  RightNow Technologies.  Ce dernier aide les entreprises à améliorer le support client via les centres d'appels, les réseaux sociaux et le web, et non plus de s'occuper uniquement du suivi des cycles de vente. Le montant du rachat est estimé à 1,5 milliard de dollars et l'acquisition devrait être finalisée à la fin de l'année ou au début de l'année 2012. Cette opération permet aussi à Oracle de reprendre la main face à son rival Salesforce.com, qui a ajouté ces fonctionnalités grâce à l'acquisition d'InStranet en 2008 et s'est lancé dans une stratégie axée sur les relations entre les entreprises et le « social web ».

Une intégration avec d'autres solutions Oracle

Dans une présentation publiée lundi, Oracle a indiqué que les produits RightNow s'intégreront au sein d'un package comprenant son CRM Siebel, sa plateforme d' e-commerce ATG Commerce, des applications de logistique et la solution de recherche de données non structurées Endeca Technologies, acquise la semaine dernière. La firme de Redmond estime que cette combinaison aidera les entreprises à gagner des clients et à les fidéliser tout en réduisant les coûts opérationnels.

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(24/10/2011 16:45:41)

Salesforce.com veut fournir du collaboratif aux clients de SAP

Se disant à l'écoute de ses clients qui veulent transformer la façon dont ils collaborent, communiquent et partagent l'information en interne et vers l'extérieur, l'éditeur américain Salesforce.com a élaboré un ensemble de services de conseil et d'intégration à l'attention des utilisateurs de SAP. Cette offre doit permettre à ces entreprises d'intégrer la plateforme Force.com afin d'exploiter au sein d'applications cloud les données qui sont gérées dans les systèmes SAP. C'est ce qu'explique sur un blog officiel Mike Rosenbaum, vice-président de Salesforce.com, responsable de la plateforme, du marketing et des opérations.

Salesforce.com propose une demi-journée gratuite d'évaluation pour établir un projet de mise en oeuvre de Force.com. Il met aussi en avant l'accès à des bonnes pratiques d'intégration de données via ses partenariats avec des spécialistes du domaine tels qu'IBM, Informatica ou Skyvva.

« Salesforce.com n'offre qu'une petite part de ce que SAP peut faire et les clients le reconnaissent », a minimisé Vishal Sikka, directeur technique de SAP et membre du comité exécutif de l'éditeur allemand. Il ajoute qu'une véritable stratégie d'entreprise visant à exploiter la dimension du réseau social consiste à donner aux collaborateurs les moyens de travailler, d'interagir et d'appréhender leurs défis quotidiens sur de nouveaux modes. Et de les connecter plus directement avec les informations qui sont importantes. « Ce n'est possible qu'avec une intégration étroite des applications exploitées par les utilisateurs avec les processus et les données gérées en arrière-plan. Seul SAP apporte cette expertise, sur l'ensemble des domaines de notre portefeuille de produits ». 

Un projet d'intégration reposant sur des partenaires

Salesforce.com, par la voix de son tonitruant PDG, Marc Benioff, a fortement poussé sa vision de « l'entreprise collaborative » ces dernières semaines, notamment sur la conférence utilisateurs DreamForce 2011, fin août. Une démarche que les entreprises peuvent, selon le dirigeant, conduire en trois étapes : connexion aux sites sociaux publics tels que LinkedIn, création d'un réseau social privé, injection de la dimension collaborative dans les applications d'entreprise. Le principal outil de Salesforce dans ce domaine est Chatter qui apporte des capacités de collaboration en temps réel. Mais l'éditeur a également acquis les solutions de Radian6. Celles-ci permettent à une entreprise de surveiller médias sociaux et forums pour récupérer les avis émis par ses clients sur le web.

SAP n'a pas d'outils de réseau social en propre, mais il a développé différentes solutions de collaboration, comme StreamWork, ou Duet qui permet des échanges entre ses applications et SharePoint de Microsoft. L'annonce de Salesforce a suscité un commentaire sceptique de la part de l'analyste Kelly Craft, qui intervient sur la mise en place de plateformes de collaboration. En y regardant de plus près, il ne s'agit guère plus que de susciter des projets d'intégration pour des partenaires, peut-on lire sur son billet de blog. Les explications suivent : « Excusez mon cynisme, mais j'ai du mal à imaginer ce que les clients pourraient avoir d'autre qu'une simple maquette de projet, réduite à l'essentiel, après une demi-journée de diagnostic. »

Un cheval de Troie chez les clients de SAP

Salesforce.com devra aussi compter avec les efforts que fait SAP pour faciliter l'accès à ses données, par exemple avec la plateforme River. Même si, en l'occurrence, ceux-ci sont davantage tournés vers le développement d'applications métiers indépendantes et légères, plutôt que vers une stratégie plus large de réseau social. Il reste à voir si Salesforce.com va adresser une offre similaire aux clients d'Oracle qui entrerait alors en confrontation directe avec le service de réseau social annoncé sur OpenWorld 2011 par la société de Larry Ellison.

Néanmoins, l'initiative a du sens, estime China Martens, analyste chez Forrester Research. Elle comble un manque tandis que SAP fourbit sa stratégie collaborative. « Jusqu'à présent, SAP s'est concentré sur StreamWork, où la collaboration est spécifiquement liée à la prise de décision et raccordée à la BI. Il s'agit donc d'un focus différent de celui adopté par Salesforce.com avec Chatter », souligne-t-elle dans un e-mail à nos confrères d'IDG News Service. L'annonce pourrait faire partie de la tentative de Salesforce.com d'utiliser Chatter et son message autour de l'entreprise collaborative comme un cheval de Troie pour pénétrer dans les comptes où il n'a jusqu'à présent pas été capable d'entrer avec ses applications de CRM ou sa plateforme Force.com, ajoute-t-elle. « Une fois sur place, l'éditeur peut espère étendre l'usage de ses logiciels ».

Crédit illustration : Salesforce.com

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(24/10/2011 14:28:59)

Google toujours intéressé par Yahoo

La liste des prétendants à l'acquisition de Yahoo s'est allongée ce week-end, avec les informations du site web du Wall Street Journal, parlant des discussions entamées entre Google et deux fonds d'investissements sur ce sujet. Les noms des fonds n'ont pas été révélés par le site et aucun commentaire n'a été donné par la firme de Mountain View. Yahoo qui est valorisée à 20 milliards de dollars intéresse beaucoup de société, pas moins de 9 sont sur les rangs, dont le chinois Alibaba avec son fondateur Jack Ma, mais aussi Silver Lake Partners avec Microsoft.

L'oeil de la concurrence pèse sur Google

Il n'en demeure pas moins que l'intérêt de Google, même de manière indirecte, sur Yahoo poserait quelques questions aux autorités en charge de la concurrence. Avec une part de marché dans l'activité de recherche de plus de 65% selon Comscore, Google passerait à 80% avec cette opération et amplifierait encore un peu plus sa position dominante. La firme de Moutain View est déjà soumise à une enquête approfondie de la part des équipes de la Commission européenne, sur un potentiel abus de position dominante. En ligne de mire, Bruxelles vise certaines pratiques commerciales pénalisant des sites dans leur référencement comme lien sponsorisé sur Google.

Crédit Photo: D.R

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(24/10/2011 12:29:29)

Facture électronique : le Français b-process est racheté par Ariba

L'éditeur français b-process, spécialisé dans la dématérialisation des factures, vient d'être racheté par la société américaine Ariba pour environ 35 millions d'euros en numéraire. Il avait réalisé en 2010 un chiffre d'affaires de 10 millions d'euros et compte actuellement 125 collaborateurs. De son côté, Ariba développe des solutions de gestion des approvisionnements, des fournisseurs et des dépenses. Il a réalisé 339 millions de dollars sur son exercice fiscal clos fin septembre 2010 et 321 millions de dollars sur les neuf premiers mois de son exercice 2011.

La semaine dernière, en livrant l'édition 2011 du classement Truffle 100 Europe des éditeurs de logiciels, Bernard-Louis Roques, directeur de Truffle Capital, avait souligné les capacités d'investissement des éditeurs américains susceptibles de jeter de nouveau leur dévolu sur des éditeurs européens.

Avec sa plateforme hébergée billManager, b-process propose aux entreprises un guichet unique pour les échanges collaboratifs liés au traitement des factures, de leur édition jusqu'à leur archivage (d'une durée de dix ans). Celui-ci supporte en entrée les différents formats structurés de fichiers factures (EDI, XML, PDF...). L'accès se fait en mode https avec, pour l'authentification des utilisateurs, une gestion des profils par annuaire LDAP. 

80 milliards d'euros traités par b-process

b-process revendique sur son site web 80 000 acheteurs et fournisseurs interconnectés sur billManager. Les factures traitées par son intermédiaire représenteraient une valeur de plus de 80 milliards d'euros échangés (68 milliards en 2010). Dans un communiqué, l'éditeur français indique que ses solutions sont certifiées pour la dématérialisation fiscale dans 24 pays par un cabinet agréé et qu'elles sont utilisées par 3 000 sociétés clientes, parmi lesquels des groupes comme Carrefour, EADS, Eurocopter, Gefco, Saint-Gobain ou encore Vinci Energie. 

Ces solutions vont être associées à la suite Ariba Invoice Management. Parmi les concurrents d'Ariba figurent des sociétés telles que BravoSolution et Ivalua.

Dans le domaine de la dématérialisation, un autre rapprochement a eu lieu récemment sur le marché français des échanges numériques sécurisés, avec l'acquisition, fin septembre, d'OpenTrust par Keynectis.

Illustration : solutions de facturation entrante (crédit : b-process)

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(24/10/2011 11:29:08)

La Compagnie Nationale du Rhône se dote d'une GED Ever Team

La Compagnie Nationale du Rhône est une entreprise majoritairement publique avec GDF Suez comme actionnaire industriel de référence. Sa mission est la valorisation du Rhône par la navigation, l'irrigation et la production d'hydroélectricité. Elle souhaitait mettre en place une GED permettant le partage des plans AutoCAD, des archives papier comme électroniques, des documents qualités et des dossiers d'affaires. 1500 utilisateurs sont concernés.

Après avoir étudié les solutions du marché, la compagnie a choisi la gestion de contenus proposée par Ever Team intégrée par Thalès. Parmi les critères ayant présidé à ce choix, la CNR a retenu la facilité et la rapidité du déploiement mais aussi les connecteurs en standard avec la suite Microsoft Office, Sharepoint, etc.

Le coût du projet n'a pas été dévoilé.

Crédit Photo : CNR

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(24/10/2011 11:07:56)

Trimestriels Microsoft : bons résultats malgré la petite forme de Windows

Microsoft a réalisé un chiffre d'affaires de 17,37 milliards de dollars durant le premier trimestre de son exercice fiscal 2012. Les revenus sont ainsi en augmentation de 7% en comparaison annuelle, tandis que la marge nette progresse de 6%.

Les ventes de Windows et Windows-Live ont augmenté de 2% mais la marge opérationnelle de cette activité a perdu 1% à 3,3 milliards de dollars. La demande de netbooks est particulièrement en déclin, en raison de l'essor des tablettes.

L'activité entreprise de Microsoft se porte en revanche très bien, avec une hausse de 8% des revenus et de 6% de la marge opérationnelle. Un résultat qui s'explique en grande partie par le bon développement des ventes des applications Office, selon Microsoft. Bon résultat également pout l'activité Serveurs & Outils, qui a enregistré une progression de 10%, soit le sixième trimestre consécutif avec une croissance à deux chiffres.

ICTJournal.ch (...)

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