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(06/03/2007 17:39:06)

HP doit réduire ses coûts, explique Mark Hurd

En dépit des bons résultats enregistrés par HP au cours des derniers trimestres - et la première place mondiale des ventes de PC ravie à Dell, le PDG du groupe, Mark Hurd, reste sur sa faim. Au cours d'une conférence tenue ce 5 mars à San Francisco, le patron de HP a souligné qu'il convenait de réduire davantage les coûts de structure pour générer une croissance et des profits en hausse. Les faits ont beau parler pour lui - bénéfice net en progression de 158% en 2005, chiffre d'affaires record de 91,7 Md$ en 2006, numéro un des serveurs lames - Mark Hurd n'en démord pas : « dans l'absolu, ce qu'on fait n'est pas bon ». Les deux ans d'efforts - essentiellement supportés par les (ex) salariés - visant à réduire les coûts à grands renforts de licenciements et de réorganisation, restent donc insuffisants. Selon l'homme fort du groupe, il faudra encore deux ans avant que HP ne profite des investissements réalisés. Au cours d'un entretien, Mark Hurd a estimé la valeur du marché mondial des ordinateurs, serveurs, imprimantes et services IT sur lesquels HP est positionné à 1 200 Md$. Une manne dont le groupe ne profite pas suffisamment. En conséquence, le constructeur doit, toujours selon Mark Hurd, améliorer ses forces de vente et développer le partenariat avec d'autres acteurs du secteur afin de toucher davantage de clients. Le mois dernier, afin de poursuivre les réductions de coûts, HP a mis en place un plan de départs à la retraite anticipés ainsi qu'une réforme du financement des pensions. D'autres efforts sont nécessaires, qui doivent porter, selon le patron du groupe, sur la fourniture de services, l'immobilier et les fournitures. (...)

(06/03/2007 17:11:40)

Le Syntec Informatique propose un pacte au futur président de la République

La lettre ouverte a été portée ce matin « à tous les candidats déclarés à la présidence de la République ». Le Syntec Informatique, chambre syndicale des SSII et éditeurs de logiciels français, a ensuite convoqué la presse ce midi pour lui présenter ce catalogue de mesures à inscrire dans un programme gouvernemental afin de « gagner un demi-point de croissance annuelle en plus » et de « créer 200 000 emplois dans les 5 ans à venir ». Pour faire ses comptes, Jean Mounet, président du Syntec, est parti de diverses estimations réalisées par des économistes, et a comparé la croissance européenne avec la croissance américaine. « Sur 1,5 point d'écart, on considère qu'il y a entre 0,7 et 1 point de croissance dû aux technologies de l'information. Dont un tiers dû au dynamisme du secteur lui-même, et deux tiers à l'usage de ces technologies. » Pour Catherine Gabay, directrice de l'innovation et de la recherche au Medef, qui assistait au déjeuner de présentation, le chiffre de 0,5 point de croissance supplémentaire avancé dans la lettre ouverte est même conservateur. Bien sûr, tout dépendra de l'accueil réservé aux mesures proposées. S'il a applaudi le travail de plusieurs ministres, tels François Loos ou Thierry Breton, Jean Mounet demande « une politique extrêmement volontariste, tel que cela s'est fait en Inde [...] qui est aujourd'hui une puissance considérable. » Cela passe d'une part par une prise de conscience « au plus haut niveau de l'Etat, alors que dans la campagne présidentielle, personne ou presque n'en parle », pouvant prendre la forme d'un ministre chargé de la coordination. Classiquement, le Syntec plaide aussi pour une plus grande souplesse accordée aux entreprises : relever la limite du nombre de jours travaillés au maximum (218 jours actuellement), abroger la loi sur le prêt illicite de main d'oeuvre (Eric Hayat, vice-président de Steria, a dénoncé les situations ubuesques, selon lui, provoquées par cette loi censée lutter contre le délit de marchandage, tandis que Jean Mounet, désignant Jean-François Pépin, délégué général du Cigref, soulignait : « nos clients ont la même demande »), relever les « plafonds sociaux » de façon à ce qu'une PME qui cherche à se développer n'ait pas peur du seuil des 50 employés à partir duquel elle devra composer avec un Comité d'entreprise... Afin de contrebalancer l'aspect libéral de ce programme, Jean Mounet a parsemé son discours de quelques informations sur l'emploi dans les entreprises que le Syntec représente : « dans notre monde, 97% des gens sont en CDI », « nous sommes de très loin le premier recruteur de cadres en France, avec 80% de cadres sur 300 000 personnes » ou encore « le taux de chômage sur notre segment est de seulement 2% ». L'Etat devrait montrer l'exemple Le document, sous-titré « Croissance et plein emploi : les entreprises du conseil, du logiciel, des services informatiques et du conseil en technologies s'engagent », demande surtout beaucoup d'efforts à l'Etat. Pour favoriser les PME et les éditeurs de logiciels (qui sont souvent les mêmes, en France), Jean Mounet demande à l'Etat de cofinancer les start-up, d'exonérer d'impôt sur le revenu pendant deux ans les ingénieurs de haut niveau recrutés par les PME, de transformer le crédit impôt recherche en crédit impôt innovation (à la définition plus large, permettant d'y inclure le logiciel) et de pouvoir appliquer nombre de mesures de type « loi Dutreil sur les gazelles » ou « jeunes entreprises innovantes » à l'ensemble des éditeurs de logiciels, regroupés sous un label particulier. Le Syntec demande également à l'Etat de montrer l'exemple, en accélérant son informatisation, en incitant les entreprises à faire de même, et en lançant de grands programmes industriels - qui feront largement appel aux nouvelles technologies. Christophe Stener, vice-président exécutif d'Alliance Tics (Union des syndicats de l'industrie des technologies de l'information, de la communication et des services associés), est venu appuyer le discours. Son propre catalogue de mesures, « un rapport d'une cinquantaine de pages », sera présenté dans quelques jours. Il reprend plusieurs des points développés par le Syntec, et souligne comme Jean Mounet la nécessité de ne pas rater le virage du très haut débit. (...)

(06/03/2007 10:46:14)

Palm, proche de la noyade

Palm n'en finit pas de boire la tasse ! Pour éviter la noyade, le fabricant de PDA serait à la recherche d'un partenaire financier, voire d'un acquéreur. Selon le site Web du Wall Street Journal, il travaillerait avec la banque d'investissement Morgan Stanley pour évaluer les options qui s'offrent à lui. Non seulement les rumeurs de rachat de Palm vont bon train depuis plusieurs semaines, mais le quotidien américain indique qu'il y a un an, Mark Nelson, important actionnaire du constructeur, avait demandé au conseil d'administration d'étudier la vente du groupe. La part de marché de Palm sur le secteur des smartphones se réduit comme une peau de chagrin. Fin 2006, il ne captait que 5,5% du marché, devancé par Nokia, Research In Motion (RIM) et Motorola. Même les Treo 650 et 750, sur lesquels le fabricant comptait pour se remettre à flots, n'ont pas séduit le marché. Au deuxième trimestre de son exercice fiscal, le chiffre d'affaires de Palm a perdu 12%. Son bénéfice net a quant à lui chuté de 95%. Les perspectives ne sont guère plus réjouissantes, elles ont été revues à la baisse. (...)

(05/03/2007 17:13:56)

Microsoft gagne une manche contre Alcatel-Lucent

Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas pour Microsoft. Condamné il y a quelques jours à verser 1,5 Md$ à Alcatel-Lucent pour violation de brevets concernant la technologie MP3, l'éditeur échappe cette fois-ci à toute sanction dans un autre procès qui l'oppose à l'équipementier télécoms franco-américain. Le tribunal de San Diego a en effet débouté ce dernier, qui accusait le géant de Redmond d'utiliser un de ses brevets en matière de reconnaissance vocale. « Cette décision renforce notre confiance qu'une fois examinés ces cas de brevets complexes, les requêtes d'Alcatel-Lucent ne tiendront pas », a estimé Tom Burt, directeur juridique de l'entreprise. Alcatel-Lucent a bien entendu décidé de faire appel, tout comme son adversaire après la décision de la semaine dernière. Une autre manche de la guerre qui oppose les deux protagonistes est prévue le 21 mai. Elle portera sur des brevets d'Alcatel-Lucent concernant l'interface utilisateurs. Les hostilités avaient débuté en 2002 quand Lucent, alors seul en lice, avait attaqué Dell et Gateway accusés de violer ses brevets. Microsoft, s'estimant mis en cause avait alors pris part à la bataille juridique. (...)

(05/03/2007 15:35:48)

IBM et BO préparent un package décisionnel pour les PME

IBM aimerait contribuer à étendre l'utilisation des outils d'analyse de données (ou Business Intelligence, BI) dans les PME. Il prépare à cet effet une offre décisionnelle packagée en partenariat avec Business Objects (BO). Selon des sources proches de ce dossier, le produit conjoint s'articule autour de l'entrepôt de données DB2 Datawarehouse Edition (basé sur la base de données DB2 Enterprise Server Edition d'IBM), de la solution décisionnelle Business Objects Crystal Decisions spécialement taillée pour les PME et d'une distribution Linux (celle de Red Hat ou de Novell). L'intégration entre les produits a été réalisée et la solution, à installer sur un serveur, sera livrée sur un seul CD. IBM a fait en sorte de simplifier le processus d'installation et de limiter les risques d'erreur liés à la mise en place. Le produit est actuellement testé par quelques utilisateurs. Il devrait être annoncé dans les prochaines semaines et présenté au Cebit de Hanovre. La date de livraison n'est pas connue et tant IBM que Business Objects n'ont pas souhaité commenté ces informations. Ce partenariat intervient sur fond de concentration du marché décisionnel (Oracle vient de racheter Hyperion) et pourrait permettre à BO de renforcer ses atouts face à la concurrence accrue de Microsoft sur le marché du décisionnel et principalement des outils de reporting. Cette initiative arrive également comme une suite logique à l'offensive renforcée menée en ce moment par Business Objects en direction des PME, une catégorie d'utilisateurs déjà bien représentée dans sa base installée. Rappelons que sa solution Business Objects Crystal Decisions, annoncée début février, bénéficie pour sa commercialisation d'une équipe coordonnée au niveau mondial. Moins de 25 000 dollars pour 100 Go de données gérées Il est possible qu'IBM fasse suivre cette offre décisionnelle packagée d'autres solutions de même nature mais destinées cette fois à de plus grandes entreprises, en association avec d'autres partenaires. Pour Ian Charlesworth, analyste pour le cabinet Ovum, en retenant Business Objects, IBM a misé sur le bon partenaire compte tenu de la popularité de l'offre de reporting Crystal Decisions, facile à installer : « probablement le meilleur choix pour une solution à livrer sur un seul CD ». Chaque instance de serveur pourra gérer jusqu'à 1 To de données et le prix d'une installation gérant 100 Go de données pourrait démarrer au-dessous des 25 000 dollars, en incluant le coût du matériel et le logiciel. Un prix que Jonathan Eunice, analyste chez Illuminata, juge attrayant, en attendant de pouvoir juger sur pièces des performances offertes. (...)

(05/03/2007 12:22:08)

Publicité : cap sur les supports numériques pour Microsoft en 2010

D'ici à 2010, la presque totalité des dépenses publicitaires de Microsoft sera consacrée aux supports numériques. C'est ce qu'a indiqué Mich Mathews, vice-présidente du géant du logiciel en charge du marketing, à l'occasion d'une conférence tenue par l'AAAA (American Association of Advertising Agencies). Si Microsoft ne précise par quel sera le montant de ses investissements en termes de réclame à la fin de la décennie, on peut imaginer qu'ils dépasseront les 945 M$ dépensés en 2005. Selon Mich Mathews, le monde entre dans « l'ère de la consommation participative », un changement symbolisé par le succès des Wikis, blogs et autres éléments constitutifs de la notion, très en vogue, de Web 2.0. L'idée de Microsoft est donc de suivre cette tendance des consommateurs-prescriteurs de tendance en se focalisant sur le Web, mais aussi sur une panoplie d'autres supports comme les radios satellites, la télévision sur IP ou les flux RSS. La patronne du marketing de Microsoft cite l'exemple du clip publicitaire pour Gears of War, le blockbuster pour Xbox 360 : les internautes se sont appropriés le spot et multiplient les déclinaisons qu'ils mettent en ligne, sur YouTube notamment, contribuant ainsi à relayer les efforts de l'éditeur. Le groupe de Redmond n'envisage cependant pas d'abandonner totalement les médias dits traditionnels : la télévision et la presse papier continueront de revêtir une importance stratégique, explique en effet Mich Mathews. (...)

(02/03/2007 17:44:10)

Intel investit 65 M$ dans PowerTech

Intel Capital, la branche financière d'Intel, vient d'investir 65 M$ dans Powertech, un assembleur taïwanais spécialisé dans la mémoire Flash et la DRAM, fournisseur régulier d'Intel. Selon Intel Capital, ces fonds seront utilisés pour le développement de la société. Pour Arvindh Sodani, président d'Intel Capital : « Cet investissement stratégique est une opportunité de croissance pour notre activité sur le secteur des mémoires flash. » En effet, si ce type de mémoire est très populaire - notamment dans les téléphones portables et les baladeurs MP3 - et produit en masse, il reste un goulot d'étranglement à la dernière étape de la production : l'assemblage de la puce. Et c'est justement la spécialité de PowerTech. (...)

(02/03/2007 17:34:06)

Microsoft de nouveau menacé par Bruxelles d'une astreinte

Microsoft de nouveau dans le collimateur de Bruxelles. La commissaire européenne à la concurrence Neelie Kroes menace une nouvelle fois l'éditeur de Redmond de sanctions financières si le groupe ne se soustrait pas aux exigences formulées par le régulateur en 2004. Jeudi, Bruxelles a envoyé à Microsoft une "communication de griefs" dans laquelle la Commission accuse l'éditeur de surfacturer à ses rivaux les protocoles de ses serveurs et les informations s'y rapportant. Dans les termes, Bruxelles explique que Microsoft n'a pas fourni les documentations sur l'interopérabilité "dans des conditions raisonnables et non-discriminatoires", comme formulé dans les mesures de 2004. La Commission rejette ainsi les documents fournis par l'éditeur - quelque 1 500 pages - qui ne révèlent suffisamment pas le degré d'innovation des technologies serveurs de Microsoft. Du moins pas suffisamment pour justifier la tarification que les éditeurs doivent payer pour les licencier. "Je suis donc obligée de prendre encore des mesures pour m'assurer que Microsoft se plie enfin aux exigences", a déclaré Neelie Kroes à l'Associated Press. Microsoft dispose d'un mois pour répondre. Passé ce délai, l'éditeur pourrait se voir infliger une astreinte de 3M€ par jour. (...)

(02/03/2007 15:30:27)

Annuels 2006 : l'Italie et le Royaume-Uni plombent Atos

Résultats exercice 2006 Chiffre d'affaires : 5,39 MdE (+1,5%) Perte nette : 264 ME (bénéfice de 235 ME en 2005) Comme nous l'annoncions dans notre édition du 5 février, à l'occasion de la publication de ses pré-résultats, Atos a connu un exercice 2006 difficile, essentiellement en raison des piètres performances de ses filiales britanniques et italiennes. Le chiffre d'affaires du groupe recule ainsi de 1,5%, à 5,39 MdE, affecté par le retard pris dans la signature de nouveaux contrats et par l'expiration de quatre grands accords au Royaume-Uni. Autre illustration des difficultés rencontrées outre-Manche : le taux d'occupation des salariés dans le secteur du conseil dépasse à peine 50%, là où il atteint 64% pour l'ensemble du groupe. Au total, les revenus d'Atos sur le sol britannique reculent de plus de 12% par rapport à 2005. A cela s'ajoute « un environnement du marché difficile en Italie » qui concourt à la baisse globale des revenus ou, à périmètre constant, à la faible croissance organique qui n'atteint que 1,5%. Contraint de reporter une dépréciation d'actifs et des écarts d'acquisition de 378 ME pour ses deux filiales malades, Atos conclut l'exercice sur une perte nette de 264 ME. Rappelons que l'exercice 2005 s'était clos sur un bénéfice de 235,4 ME. Dans la lignée de cet indicateur, le groupe reporte une marge opérationnelle en berne : elle recule de 35% sur un an, à 247 ME, soit 4,6% du chiffre d'affaires. En 2005, la rentabilité des opérations atteignait 7,3% des revenus. Un plan de restructuration sur trois ans Face à de tels résultats, la SSII a entrepris des grands travaux pour redresser la barre. Un plan de restructuration sur trois ans a donc vu le jour, et devrait coûter 270 ME au groupe, dont 160 ME pour l'exercice en cours. Les changements reposeront sur un nouveau comité exécutif chargé d'harmoniser le travail réalisé dans chaque filiale et composé des dirigeants des filiales nationales. Parmi ces patrons, beaucoup ont été récemment remplacés, notamment en France (Didier Zeitoun prend les rênes), en Belgique, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en Italie. Atos annonce un recours accru aux délocalisations, en particulier dans les activités d'intégration dont la part réalisée offshore devrait passer de 6% actuellement à 20% en 2009. Le groupe prévoit en outre de mettre en place un programme de centralisation des achats et d'industrialiser les services. Ces mesures devraient permettre à Atos Origin, selon ses dirigeants, d'accélérer la croissance organique et de doubler la marge opérationnelle d'ici à 2009. Pour 2007, la SSII table sur une croissance organique de ses revenus de 8,5% et sur une progression « significative » de la marge opérationnelle en Italie et au Royaume-Uni. (...)

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