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(19/10/2006 17:32:30)

AMD augmente son bénéfice mais voit fondre sa marge

Les résultats qu'AMD a présentés pour le compte de son troisième trimestre ne feront ni bondir de joie les analystes, ni se lamenter les actionnaires. Autrement dit, ils sont en demi-teinte, affichant des taux de croissance à deux chiffres pour les revenus et le bénéfices, tout en pâtissant, comme ceux d'Intel, de la guerre des prix que se livrent les deux concurrents. Sur les trois derniers mois, le chiffre d'affaires s'élève à 1,33 Md$. S'il apparaît en recul par rapport au 1,52 Md$ engrangé au cours de la même période de 2005, il convient de relativiser cette différence. Ainsi, les revenus publiés il y a un an incluaient le produit de la division mémoires flash Spansion, dont AMD s'est séparé en décembre 2005. A périmètre comparable, le chiffre d'affaires du fondeur est donc en croissance : il progresse de 32% sur un an. Même tendance en ce qui concerne le bénéfice net qui s'établit à 134 M$, soit une hausse de 76% par rapport au T2 2005. La progression de ces deux principaux indices, qui détonne fortement de ceux publiés hier par Intel (CA et bénéfice en recul de respectivement 12,6 et 35%), est "due à la forte demande pour toutes les gammes de processeurs", selon le directeur financier Robert Rivet. Le produit des ventes de CPU ont ainsi augmenté séquentiellement de 18% à la faveur de l'engouement pour les ordinateurs portables engendrant une forte demande en Turion 64. Parallèlement, AMD a enregistré des ventes record d'Opteron, portées par l'adoption massive de la technologie bicoeur par les consommateurs. Comme Intel, AMD pâtit de la guerre des prix Si les ventes progressent, la guerre des prix que se livrent Intel et AMD a des conséquences importantes sur les résultats. Ainsi, malgré la demande soutenue pour les processeurs AMD, la gamme destinée aux PC de bureau voit ses revenus stagner sur un an. Et ce, en dépit d'une hausse des ventes en volume. Surtout, les prix toujours plus bas conduisent le groupe à publier une marge brute en recul. Alors qu'elle atteignait 55,4% il y a un an, elle ne s'élève plus qu'à 51,4% et inquiète les analystes. Sans tarder, la valeur du titre a décroché de plus de 10% à Wall Street. Plusieurs signes sont toutefois encourageants pour l'avenir proche d'AMD. Le rachat du fabricant de processeurs graphiques ATI devrait être finalisé le 23 octobre et permettre au fondeur d'élargir son offre. Il serait ainsi question de la mise en place d'une plate-forme de référence pour portables, sur le modèle Centrino d'intel. Ce mouvement pourrait aider AMD dans sa conquête de nouvelles parts de marché. En un an, le poids du numéro deux des processeurs s'est considérablement renforcé au détriment de son rival, passant de 18% à 27% entre les deuxièmes trimestres 2005 et 2006. Un écart qui devrait continuer de se réduire en 2007 grâce à l'accord passé en mai avec Dell visant à équiper les machines du premier vendeur mondial de puces AMD. (...)

(19/10/2006 17:35:45)

SAP affiche une santé insolente

SAP continue de profiter d'une demande soutenue pour ses progiciels. En témoigne la progression de 17 % du chiffre d'affaires générée par les ventes de licences à 691 ME, au troisième trimestre 2006 par rapport à la même période un an plus tôt. Pour le trimestre écoulé, le chiffre d'affaires global de l'éditeur a atteint 2,2 MdE, soit 11 % de mieux que l'an passé. Le bénéfice net n'est pas en reste : il a progressé de 16 % par rapport au troisième trimestre 2005 à 388 ME. Pour l'éditeur allemand, les voyants sont au vert dans presque toutes les régions du monde. Aux Etats-Unis, le chiffre d'affaires des ventes de licences a progressé de 15 % à 228 ME au troisième trimestre, contre 14 % à 301 ME en Europe et 22 % à 68 ME en Asie. Il n'y a guère qu'au Japon que SAP semble à la peine : son chiffre d'affaires y a reculé de 51 % par rapport au troisième trimestre 2005 à 39 ME. Pour l'ensemble de l'année 2006, SAP prévoit une progression du chiffre d'affaires de ses ventes de licences de l'ordre de 15 à 17 %. (...)

(19/10/2006 12:28:21)

Bull à la peine au troisième trimestre

Bull a bouclé son troisième trimestre sur un chiffre d'affaires en recul de 2,1% sur un an, à 250,9 M€. Si la chute de la croissance se ralentit séquentiellement - elle atteignait 4,2% au trimestre précédent - ce résultat met en lumière les difficultés auxquelles est confronté le groupe. Les revenus des produits perdent 12,3% par rapport à la même période de l'année précédente et s'alignent désormais à 104,3 M€. La branche maintenance connaît elle aussi une chute de son activité (-8,2%) à 61,2 M€. Bull note toutefois une amélioration depuis le début de l'exercice : au T1, le CA de la maintenance reculait ainsi de 13,7%, et de 9,7% au T2. Seul point de satisfaction pour Bull, la bonne santé confirmée de la branche services. Pour le sixième trimestre consécutif, elle adopte un rythme de croissance, progressant de 20,8% à 85,4 M€. Le plan de réorganisation initié cet été vise notamment à recentrer davantage les activités vers les services, en plus de réduire les coûts. Enfin, l'Italie continue de peser sur les résultats du groupe. Au T3, la filiale transalpine voit ses revenus perdrent 28%, à 14,7 M€. Un plan de restructuration a été mis en place à la fin du printemps pour corriger la situation et amener la filiale à l'équilibre en 2008. Pour la suite de l'exercice, Bull table sur un CA inférieur de 2% à celui réalisé en 2005. (...)

(19/10/2006 10:34:19)

Windows Live Messenger s'installe chez Orange

Steve Balmer et Didier Lombard viennent de sceller un partenariat majeur entre Microsoft et Orange. Les PDG des deux groupes lancent en effet une véritable offre de convergence PC/Mobile de messagerie instantanée. Les 240 millions d'utilisateurs de Windows Live Messenger (évolution de MSN) vont dorénavant pouvoir interagir en toute transparence avec les 135 millions de clients France Télécom en Europe. Bouygues Télécom précurseur ? Certes, certains acteurs proposaient déjà MSN dans leurs offres (Bouygues Télécom, le MVNO Ten...) avec des forfaits « chat » illimités. Certes, les utilisateurs pouvaient eux-mêmes télécharger le client MSN sur leurs terminaux mobiles et « chater » à loisir entre un PC et un mobile. Mais là, les abonnés peuvent faire bien plus que du chat, à commencer par la voix (VoIP sur téléphone fixe et PC) et la vidéo de mobile à mobile (en 3G c'est mieux), de Pc à mobile (disponible au printemps 2007). Des services enrichis A travers le client Orange Messenger by Windows Live, les utilisateurs bénéficient de plus d'un accès aux services Orange : emails, blogs, sonneries et logos, ainsi qu'aux services Windows Live. « Le lancement de cette nouvelle offre témoigne une fois encore de l'efficacité de la stratégie de convergence d'Orange. Notre ambition est d'offrir des services simples et convergents en faisant entrer nos clients dans le monde de la connectivité permanente » a déclaré Didier Lombard, PDG de France Télécom. Seule inconnue : les tarifs. Ils devront être adaptés à la population cible, les jeunes, avides de ces nouveaux usages mais aux porte-monnaies percés. (...)

(18/10/2006 17:49:04)

Ingres s'implante en Inde

Poursuivant sa stratégie de développement mondial, Ingres vient d'ouvrir des bureaux en Inde. L'éditeur vient de recruter Vivek Bhatnagar pour diriger sa nouvelle implantation de New Delhi. Vivek Bhatnagar est un ancien d'Informatica. Il sera chargé de développer l'activité d'Ingres sur le sous-continent indien. Sur place, l'éditeur a déjà conclu des partenariats avec des prestataires de services locaux dont, notamment, Cognizant et netCustomer. Hors des Etats-Unis et outre l'Inde, Ingres dispose de bureaux en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. Mais Ingres cherche désormais à toucher les marchés émergents, notamment l'Inde, le Brésil et l'Europe de l'est. En juillet, Ingres a procédé à sa première acquisition depuis son indépendance en novembre 2005 avec le rachat de Thinking Instruments. Cette opération a permis à l'éditeur de s'ouvrir l'Europe centrale. Ingres entend reproduire l'expérience sur d'autres marchés, notamment européens. (...)

(18/10/2006 17:44:45)

EMC se prépare à licencier sur fond de consolidation

EMC s'apprête à supprimer 1250 emplois. Ces licenciements interviennent alors que le spécialiste du stockage se diversifie et consolide ses activités. Depuis 2003, EMC a racheté pas moins de 21 entreprises pour un total de 7 Md$, s'ouvrant ainsi à la sécurité, à la virtualisation et à la gestion documentaire. En trois ans, ses effectifs sont passés de 17 500 à 31 000 salariés à travers le monde. EMC semble payer son appétit pour les acquisitions. En effet, l'équipementier a enregistré un bénéfice net de 283,7 M$ au troisième trimestre de son exercice fiscal en cours, clos le 30 septembre dernier, pour un chiffre d'affaires de 2,82 Md$. L'an passé, pour la même période, le chiffre d'affaires d'EMC était de 2,37 Md$ pour un bénéfice net de 421,7 M$. (...)

(18/10/2006 17:40:15)

IBM dope sa profitabilité au T3

Les géants de l'IT affichent les tendances de l'automne cette semaine en publiant leurs résultats trimestriels. Si Yahoo, Intel ou Motorola n'affichent pas une franche et bonne santé, il en va différemment pour IBM. Big Blue enregistre en effet une hausse, certes modérée, de son chiffre d'affaires et une forte croissance de son bénéfice. Le groupe a donc su, sans voir le produit de ses ventes véritablement exploser, tirer le meilleur de ses activités. Il faut sûrement y voir les fruits du plan de restructuration initié en 2005, censé concentrer les efforts sur les services et les segments les plus profitables. C'est du moins l'opinion de Mark Loughridge, le capitaine du navire, qui voit dans son bâtiment une entreprise équilibrée et ne dépendant d'aucun de ses c?urs d'activité. Au cours de la période, les revenus du groupe atteignent 22,6 Md$, en hausse de 5,1%, et le bénéfice bondit de 46,5%, à 2,2 Md$. Ces deux valeurs sont supérieures au consensus des analystes. Un bon point pour IBM : la croissance de l'activité se retrouve dans toutes les régions, l'Asie-Pacifique dépassant les autres avec une progression de 6%. En Europe, les principaux pays affichent également un chiffre d'affaires en hausse, à l'exception de l'Allemagne où il recule pour le deuxième trimestre consécutif. L'activité matérielle réalise une honnête performance, avec 5,6 Md$ de revenus, soit 9% de plus qu'il y a un an. Mais, comme au trimestre précédent, il faut noter des succès disparates dans le domaine du hardware. Ainsi, c'est la ruée vers les gammes de serveurs System z (+25%) et System p Unix (+10%), mais la série i est en nette difficulté (-22%) en raison, explique le groupe, de problèmes dans la chaîne d'approvisionnement. D'un trimestre à l'autre, les mêmes causes semblent donc provoquer les mêmes effets. Du côté des logiciels, c'est sans ambiguïté possible le middleware (+12%, à 3,4 Md$) qui a le vent en poupe, dopé lui-même par Webpshere (+30%) et Tivoli (+44%). Comme au T2, les bonnes performances du middleware compensent largement le recul des systèmes d'exploitation. Leurs revenus baissent de 6% sur un an, à 552 M$. Le chiffre d'affaires de l'ensemble de la branche logiciel atteint 4,4 Md$ et croît de 9%. Les services toujours à la peine Enfin, les services continuent à représenter plus de la moitié des ventes du groupe (12 Md$), mais constituent parallèlement l'activité qui progresse le plus lentement, à seulement +2,7%. Les services "ne sont toujours pas au niveau", a commenté le PDG, qui devra poursuivre plus avant la réorganisation entreprise pour assurer un rythme de croissance élevé à l'activité la plus rentable. Selon le groupe, les domaines dans lesquels les offres ont d'ores et déjà été redéfinies, comme l'intégration, montrent des signes d'amélioration. Reste ce chiffre inquiétant : au cours des trois derniers mois, le montant des signatures de contrats à long terme a reculé de 15%. Le groupe se veut rassurant en affirmant que la conclusion de ces engagements devrait intervenir dans le courant du quatrième trimestre. Rappelons-le, Big Blue ne veut pas mettre tous ses ?ufs dans le même panier. En d'autres termes, si la remis sur pied des services bénéficie d'une attention particulière, cela ne se fait pas au détriment des investissements dans les autres secteurs d'activités. En témoigne la frénésie d'achats à laquelle le groupe s'est adonné au cours des derniers mois sur le terrain des logiciels. IBM a ainsi mis la main sur FileNet (gestion de contenu), MRO (gestion d'actifs), ISS (gestion de sécurité) et Webify (SOA), signant un chèque global de plus de 3,5 Md$. (...)

(18/10/2006 12:19:55)

Trimestriels Yahoo : recul de 37% du bénéfice

Résultats troisième trimestre : Chiffre d'affaires : 1,58 Md$ (+19%) Bénéfice net : 159 M$ (-37%) Yahoo n'a pas atteint les prévisions des analystes en publiant les résultats financiers de son troisième trimestre en raison d'un niveau plus faible que prévu de ventes publicitaires. Le chiffre d'affaires du moteur de recherche atteint 1,58 Md$ et progresse de 19% sur un an. Hors coût d'acquisition du trafic, les revenus s'alignent à 1,12 Md$, soit moins que les estimations de Wall Street. Le bénéfice net s'aligne à 159 M$ et s'écroule de 37% par rapport à la même période de l'année précédente. Fort logiquement, le PDG Terry Semel se déclare "insatisfait par [ces] performances financières". "Nous entendons les améliorer", a-t-il indiqué. Pour cela, Yahoo compte séduire un marché publicitaire qu'il considère en mutation, les annonceurs préférant actuellement miser sur des sites jeunes comme YouTube ou MySpace que sur les piliers du Web. Ces efforts de reconquête passeront par le lancement, ce 17 septembre, de Panama, sa nouvelle plateforme de publicité en ligne. Au mois de juillet, Terry Semel avait annoncé le report du lancement. Un retard qui aura duré un trimestre. Le moteur de recherche entend également doper ses recettes publicitaires en mettant la main sur des spécialistes de la réclame en ligne. C'est ainsi que le groupe vient de conclure le rachat d'AdInterax, un concepteur d'outils publicitaires vidéo. Yahoo a également acquis 20% de Right Media, une bourse de la publicité en ligne. Par ailleurs, le groupe annonce qu'il va intensifier ses efforts sur le front de la mobilité, répondant ainsi à une demande croissante en accès Internet et en services pour téléphones portables. Pour l'ensemble de l'exercice, Yahoo revoit sa précédente estimation à la baisse et table sur un chiffre d'affaires compris entre 4,47 et 4,59 Md$ hors coût d'acquisition du trafic (...)

(18/10/2006 12:19:26)

Trimestriels Intel : le bénéfice en berne

Résultats troisième trimestre : Chiffre d'affaires : 8,7 Md$ (-12,6%) Bénéfice net : 1,3 Md$ (-35%) Comme lors du trimestre précédent, Intel publie des résultats en berne au T3. Sur la période, le chiffre d'affaires, s'il reste supérieur aux maigres attentes des analystes, recule de 12,6% à 8,7 Md$. Le bénéfice net s'écroule quant à lui de 35%, à 1,3 Md$. Ces résultats, pour décevants qu'ils sont, cadrent avec les propos tenus en avril par Paul Otellini. Le PDG indiquait en effet que son groupe n'atteindrait pas ses objectifs annuels en raison d'une chute de ses parts de marché au profit de son concurrent, AMD. A cela s'ajoute une sévère guerre des prix que se livrent les deux fabricants, d'autant plus néfaste pour Intel qu'elle le contraint à brader ses anciennes gammes de processeurs. Intel s'était résolu, aux dernières heures de l'été, à se réorganiser pour faire face à cette mauvaise passe. Le groupe a ainsi annoncé la suppression de 10 500 postes, et le remaniement de ses équipes d'encadrement. (...)

(18/10/2006 09:31:32)

Résultats Infosys : un nouveau trimestre de croissance à deux chiffres

Chiffre d'affaires : 975 M$ (+42%) Bénéfice net : 216 M$ (+44%) Le plus grand spécialiste indien de l'externalisation, Tata Consultancy Services, poursuit son irrésistible progression en publiant, pour le compte de son deuxième trimestre, un chiffre d'affaires en hausse de 42% sur un an, à 975 M$. La croissance du bénéfice net ne faiblit pas davantage : elle atteint 44%, à 216 M$. Au cours de la période, Tata a ajouté 58 clients à son carnet de commandes et a recruté 8 919 nouveaux salariés, portant le total à plus de 78 000 personnes provenant de 60 nationalités, dont 8,3% ne sont pas d'origine indienne. Ces indices de progression sont en ligne avec ceux publiés, il y a quelques jours, par Infosys, le principal concurrent de Tata. Celui-ci affiche également un bénéfice et un CA en hausse respectivement de 44% et 42%. (...)

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