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(11/09/2006 18:11:18)

L'Insee brosse l'évolution de la consommation des ménages en TIC

De 1960 à 2005, la part des produits des technologies de l'information et de la communication (TIC) a plus que triplé dans le budget des ménages, en passant de 1,3% à 4,2%. Et le paysage a complètement changé : en 1960, seulement 13% des ménages étaient équipés d'un appareil de télévision, et cinq ans après, 12% d'entre eux possédaient un poste téléphonique. Le dossier de l'Insee réalisé par Régis Arthaut, qui vient d'être publié, souligne l'extraordinaire essor des TIC. Et rassemble de nombreuses statistiques récentes sur les principaux pays européens. On découvre ainsi que les Français restent moins équipés que la moyenne européenne en téléphones mobiles et en ordinateurs avec respectivement 74% et 54% de la population à être équipé, contre 81% et 58% pour l'ensemble de l'UE. Tout bouge toutefois très vite, puisque l'enquête indique par exemple un taux d'accès à Internet de 39% en 2005, alors que les tout derniers chiffres montrent qu'un Français sur deux est internaute. Le tableau consacré à la part des dépenses montre par ailleurs que les Français se trouvent au niveau de la moyenne européenne - 4% du budget des ménages sont consacrés aux TIC - mais qu'ils sont en tête pour l'achat d'équipements informatiques, preuve d'un rattrapage en cours. Plus précisément, le volume des achats en TIC a augmenté de 12,6% par an sur les 45 dernières années. Une tendance qui s'explique en grande partie par l'évolution des prix : alors qu'ils ont progressé de 1,5% pour l'ensemble des biens et services depuis 1990, ils affichent une baisse de 6,5% pour les TIC. Autre facteur d'explication : l'engouement dont font preuve les Français pour des familles de produits. Ainsi, même si l'Hexagone reste relativement sous-équipé en ordinateurs, la rapidité avec laquelle les ménages se sont équipés est stupéfiante. Entre le milieu des années 90 et la fin 2005, la part des Français dotés d'un ordinateur est ainsi passée de 15% à plus de 50%. Pour le téléphone portable, le rythme est encore plus rapide : le taux d'équipement a été multiplié par 10 entre 1997 et 2005. Concomitamment, le poids des services de télécommunications a régulièrement progressé dans le budget des ménages consacrés aux TIC. Depuis 1960, leur consommation a augmenté annuellement de 11% pour représenter aujourd'hui 60% de l'ensemble de leurs dépenses high-tech. (...)

(11/09/2006 11:32:39)

Sun s'adjoint les services des créateurs de JRuby

Ruby convole avec Java : Sun a embauché les créateurs de JRuby, une implémentation Open Source du langage objet interprété Ruby pour la plate-forme Java. Chacun sur son blog, Thomas Enebo et Charles Nutter expliquent qu'ils sont très heureux de pouvoir travailler à temps plein sur JRuby, au sein de Sun - sachant que le langage devrait rester Open Source. Un point important pour conserver la communauté de développeurs JRuby. Cette embauche stratégique a été orchestrée par Tim Bray (un des créateurs de XML), qui espère donner à la communauté des développeurs Java un langage dynamique interprété et des outils de développement associés d'un niveau plus orienté entreprise. (...)

(11/09/2006 11:45:37)

Econocom digère difficilement A2Z

La SSII belge Econocom a connu un difficile premier semestre 2006, conclu sur une fonte de son résultat net. Si le chiffre d'affaires affiche une honorable croissance de 2,7%, à 282 ME, le résultat opérationnel n'affiche pas la même tendance. Il passe ainsi de 8,2 ME au premier semestre 2005, à 3,4 ME un an plus tard. Les divisions Products and solutions et Managed services croissent légèrement mais ne parviennent pas à compenser les 800 KE de pertes liées à l'activité télécoms nouvellement créée. Le groupe met en avant les investissements qu'il a dus consentir pour développer cette branche et indique qu'elle sera bénéficiaire sur l'ensemble de l'exercice. Surtout, Econocom pâtit de l'acquisition de son compatriote A2Z, spécialisé dans les services de télécommunications mobiles aux entreprises. La filiale affiche un démarrage plus lent que prévu et contribue pour 1,5 ME au recul des bénéfices enregistré au cours du semestre. Au total, le résultat net d'Econocom atteint péniblement 100 KE alors qu'il s'alignait à 5,2 ME un an plus tôt. (...)

(08/09/2006 17:49:21)

Cisco et IBM vont couvrir la Silicon Valley en Wi-Fi

Un consortium réunissant Cisco Systems et IBM, ainsi que Azulstar Networks et SeaKey, a été choisi pour fournir le réseau public Wi-Fi qui desservira les 2,4 millions d'habitants de la Silicon Valley. Baptisé Silicon Valley Metro Connect, le consortium couvrira près d'une cinquantaine de villes réparties sur une surface de 1500 miles carrés (environ 3900 km²), dont des localités emblématiques comme Santa Clara, San Jose, Sunnyvale... Le consortium fournira des services d'accès gratuits minimalistes aux habitants ainsi que des services payants incluant la VoIP ou le streaming vidéo mais aussi des services payants aux collectivités. Les premiers déploiements sont prévus pour le début 2007 pour un projet qui pourrait coûter au total environ 200 à 250 M$. (...)

(08/09/2006 17:46:02)

Feu vert des actionnaires à la fusion Alcatel / Lucent

Les actionnaires d'Alcatel et de Lucent Technologies ont finalement donné leur feu vert hier à la fusion entre les deux sociétés, déjà avalisée par les autorités de la concurrence. Le mariage entre les deux équipementiers télécoms devrait donc s'achever comme prévu d'ici au mois de décembre. Avec près de 20 MdE de chiffre d'affaires, le nouveau groupe sera en position de force sur plusieurs marchés comme celui de la fourniture de solution haut-débit pour les opérateurs télécoms. Il sera également le numéro trois mondial des infrastructures télécoms mobiles derrière Ericsson et le couple Nokia/Siemens. Sa position devrait encore être renforcée par le rachat de l'activité UMTS de Nortel annoncé la semaine passée. La fusion ne devrait toutefois pas se faire sans douleur pour les salariés. Les deux sociétés se sont donné pour objectif de générer près de 1,4 MdE de synergies sur trois ans, un objectif qui se traduira par 9000 suppressions d'emplois, soit près de 10% des effectifs. (...)

(08/09/2006 17:51:36)

Nec aurait cédé Packard Bell à l'ex-patron d'e-machines

Lap Shun (John) Hui, l'ex-propriétaire américain d'e-machines, un constructeur de PC économiques revendu l'an passé à Gateway, aurait racheté la holding néerlandaise propriétaire de Packard Bell (Packard Bell BV), l'un des principaux constructeurs européens de PC grand public. Jusqu'alors propriété de NEC, Packard Bell était officiellement à vendre depuis le mois de juin, son actionnaire souhaitant se concentrer sur le marché professionnel, mais aussi se débarrasser d'une filiale aux résultats financiers peu glorieux (Packard Bell aurait réalisé un CA de 1,5 MdE pour sa dernière année fiscale, clôturée en mars, ainsi qu'un léger bénéfice). En juin déjà, John Hui était évoqué par la presse japonaise comme le probable repreneur de Packard Bell, une reprise qui pourrait avoir coûté moins de 90 M$ (voir notre article de l'époque). Le millionnaire contrôle déjà près de 10% du capital de Gateway et a récemment proposé au constructeur américain de reprendre son réseau de magasins américains pour 450 M$, une offre que le constructeur a jusqu'alors déclinée. Packard Bell, qui a son principal site français à Angers, dans l'ancienne usine de Bull, emploie près de 500 salariés en France (sur un total de près de 750 dans le monde), un chiffre sensiblement en baisse par rapport au début des années 2000. Il est vrai qu'une partie de la production a récemment été délocalisée en République Tchèque au prix d'un plan social qui a frappé près de 180 personnes en 2005. La vente à John Hui devrait être présentée au CE de Packard Bell France ce vendredi et devrait être finalisée d'ici fin septembre. (...)

(08/09/2006 17:45:04)

« Pas de surenchère salariale chez Sii »

Comme ses concurrentes, Sii ne ralentit pas ses campagnes de recrutement. La SSII (1714 collaborateurs) prévoit d'embaucher 300 personnes (un tiers de jeunes diplômés et deux tiers d'ingénieurs expérimentés) pour ses 9 agences françaises d'ici à la fin de l'année, après en avoir embauché une centaine au cours de l'été. Elle recrute essentiellement sur projet car les prestations d'assistance technique en régie représentent 70 à 80% de son activité. Elle confirme que le marché est tendu, notamment sur certains profils comme les « ingénieurs développement embarqué temps réel », très demandés dans l'industrie automobile et aéronautique. Mais ses difficultés à recruter viennent aussi de la tendance croissante à la surenchère qui sévit sur le marché, aux niveau des rémunérations offertes aux candidats par les SSII. « Nous connaissons des sociétés qui ont couramment ce type de pratiques. Mais nous nous inquiétons de voir que certaines autres qui ne le faisaient pas, commencent aussi à faire flamber les rémunérations », explique Virginie Lacoste, directrice du recrutement chez Sii. Comment se traduit cette flambée ? « En province, nous ne dépassons pas 31 KE de salaire brut annuel pour un jeune diplômé, alors que certains leur proposent 36 KE, un tarif où nous ne pourrions pas faire de marge. En région parisienne, nous montons jusqu'à 33 à 34 KE pour des premiers emplois, lorsque des concurrents proposent 38/40 KE ». Face à cette situation, la SSII est très claire. Elle perd des candidats, mais il n'est pas question de participer à cette surenchère, même si elle ne peut se positionner sur tous les projets. « Nous allons conserver nos marges et à terme cette attitude sera payante. Nous ferons ponctuellement peut-être moins de volume d'affaires par client, mais notre cohérence et notre stabilité se verront. Nous ne perdrons pas nos clients », poursuit Virginie Lacoste. La spirale à la hausse des salaires a par ailleurs des limites déjà perceptibles. « Certains candidats se voient remercier des SSII qui les ont recrutés à de gros salaires sur profils et non sur projets. Soit parce que les projets ne tombent pas, soit parce que les tarifs imposés par les clients restent bas et que les marges des SSII sont par conséquent trop faibles. Certains de nos collaborateurs sont d'ailleurs revenus chez nous après avoir démissionné et passé quelques temps ailleurs ». (...)

(08/09/2006 17:48:14)

Les grandes oreilles de HP écoutent aussi les journalistes

Après avoir fait espionner les membres de son conseil d'administration - avec suffisamment de discrétion pour que les journaux s'emparent de l'affaire - HP est impliqué dans une nouvelle intrigue de surveillance. Cette fois, les barbouzes recrutés par le constructeur se sont procuré les enregistrements de conversations téléphoniques tenues par neuf journalistes. En réponse à une requête du procureur général de Californie, HP a communiqué la liste des journalistes espionnés et se déclare "consterné que les enregistrements aient été obtenus sans leur consentement". Comme pour l'espionnage des membres du conseil d'administration, la vile man?uvre visait à faire la lumière sur de multiples fuites à la presse d'informations confidentielles. Les "enquêteurs" de HP auraient eu recours à des procédés d'ingénierie sociale pour mettre la main sur les enregistrements de journalistes, notamment du Wall Street Journal et de Cnet.com, qui avaient publié des informations confidentielles révélées par des membres du groupe. Les fuites parues dans le WSJ faisaient ainsi état de l'éviction de Carly Fiorina, la précédente PDG. (...)

(11/09/2006 11:45:59)

Autodesk rachète le français Robobat

Autodesk va acheter l'éditeur français Robobat pour 33 M$ en numéraire. Robobat est spécialisé dans le développement de logiciels de calcul et de dessin pour le génie civil et le bâtiment. Autodesk entend utiliser les logiciels de Robobat pour compléter son offre pour les industries de la construction et du bâtiment, représentée aujourd'hui par AutoCAD et Revit Structure. Ce rachat constitue l'étape ultime d'un partenariat de longue date. Dans un communiqué, les deux éditeurs soulignent notamment que « le logiciel de calcul sur les structures développé par Robobat, Robot Millenium, a été intégré à Autodesk Revit Structure. » Une fois le rachat finalisé, Autodesk prévoit d'intégrer plus étroitement encore les deux offres. Et à ceux qui s'inquièteraient des conséquences de ce rapprochement, Jay Bhatt, vice-président d'Autodesk, assure qu'il continuera « à soutenir les standards ouverts d'échanges de données. » Le volet social de l'accord n'a pas été communiqué. Sur son site Web, Robobat, qui est implanté à Grenoble, indique employer 50 personnes en France et une centaine dans le monde. (...)

(08/09/2006 17:42:59)

Microsoft et Cisco connectent leurs outils de contrôle d'accès

Les outils de contrôle d'accès au réseau de Cisco (NAC - Network Admission Control) et Microsoft (NAP - Network Access Protection) -respectivement n°1 et 2 du marché - vont intéropérer. Les deux sociétés ont profité de la conférence Security Standard pour dévoiler le projet d'une architecture commune ainsi qu'un guide d'implémentation technique du programme. L'interopérabilité des technologies ne sera toutefois effective qu'à la sortie de Longhorn (prévue mi-2007). D'ici là, la feuille de route devrait comporter une version bêta dès la fin de l'année. Ce projet, basé notamment sur le développement d'API commune -fruit d'un partenariat de plus deux ans- devrait permettre aux utilisateurs Cisco ou Microsoft de combiner les deux technologies, indifféremment. Une bonne nouvelle pour les entreprises utilisant le NAC de Cisco, et qui avaient prévu de passer à Longhorn, côté serveur, et à Vista, côté desktop. Ce partenariat comprend notamment le développement d'un agent Cisco, installé sur le périphérique mobile sous Vista (ordinateur portable, par exemple) devant se connecter au réseau de l'entreprise. Techniquement, le client a d'abord la charge de s'identifier au réseau pour envoyer un diagnostic de sécurité (telle que la dernière mise à jour appliquée ou la conformité à un moment donné). Cet état est alors récupéré par le serveur Cisco (Secure Access Control Server - ACS), qui répercute les données au serveur de Microsoft (Network Policy Server). Ce dernier vérifie enfin la conformité des données avec ses règles et privilèges, acceptant ou non l'entrée sur le réseau. Un défi pour le marché Cet alliance des deux leaders du marché NAC risque de modifier le paysage concurrentiel, sur un marché qui débute seulement sa croissance. Le marché des solutions de contrôle d'accès devrait atteindre presque 4 Md$ d'ici à 2008, selon une récente étude Infonetics. Pour Gartner, les premiers déploiements massifs - c'est-à-dire des grands comptes- des spécifications communes NAP/ NAC ne seront opérationnels qu'à partir du premier trimestre 2008. Et à partir de cette période, "les concurrents de Cisco devront faire montre d'un niveau équivalent d'interopérabilité avec Microsoft, tout en ouvrant leur approche NAC au support d'environnements hétérogènes". Les éditeurs NAC indépendants, de leur côté, devront rivaliser d'ingénierie, Cisco et Microsoft ayant décidé de poursuivre la commercialisation de leurs solutions séparément. Pour Gartner, ils devront "pousser leurs développements en dehors de ceux alors proposés par l'environnement Cisco / Microsoft". Un défi en soi. (...)

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