Flux RSS

Business

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

9034 documents trouvés, affichage des résultats 8271 à 8280.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(19/05/2006 17:28:50)

Fort recul du bénéfice net de Dell

Le numéro un mondial du PC subit la concurrence de Hewlett-Packard de plein fouet. Sa politique de bas prix ne semble pas aboutir à des résultats satisfaisants. En effet, le bénéfice net du constructeur au premier trimestre s'affiche en baisse de 18 % par rapport à la même période l'an passé, à 762 M$. Le profit opérationnel marque également un fort repli de 19 % à 949 M$ contre plus d'un milliard de dollars un an plus tôt. Paradoxalement, le chiffre d'affaires de Dell au premier trimestre a progressé de 6 % par rapport au premier trimestre 2005 à 14,2 Md$. Lors d'une conférence, les dirigeants de Dell ont imputé les difficultés de l'entreprise à la décision de vouloir augmenter à la fois la croissance et la rentabilité. Les concurrents auraient profité de cette stratégie hasardeuse. En outre, Kevin Rollins, PDG de Dell, relève que « la concurrence a été plus rude que nous ne l'avions prévu. Notre industrie change de manière significative en ce moment et s'oriente, à long terme, vers une consolidation. » Pour faire face à ces changements, Dell prévoit d'investir 100 M$ dans l'amélioration de son service client. Deux milles opérateurs devraient être recrutés et de nouveaux centres d'appels, ouverts. L'international tient de plus en plus de place chez Dell et a représenté 44 % du chiffre d'affaires de ce premier trimestre 2006, soit une augmentation de 12 % par rapport à l'année dernière. Cette présence active de l'entreprise lui fait d'ailleurs dire qu'elle envisage l'avenir sereinement sachant que le monde est vaste et que « 95 % de la population mondiale vit en dehors des Etats-Unis ». Dell positionne clairement l'entreprise sur l'international où des investissements massifs ont été réalisés, phénomène qui devrait encore durer et impacter le second trimestre de l'année fiscal 2007. Les pays qui intéressent le plus l'américain sont l'Allemagne, la Chine, l'Inde et le Brésil. (...)

(19/05/2006 17:29:26)

JavaOne 2006 : Schwartz : "les 13 Md$ de CA de Sun proviennent de Java"

lemondeinformatique.fr : Vous avez récemment pris la tête de Sun. Que faites vous différemment de Scott Mc Nealy ? Jonathan Schwartz : J'ai le privilège d'être assis sur les épaules de géants. J'ai aussi l'opportunité de pouvoir m'appuyer sur des gens comme James Gosling qui ont fait un vrai travail de pionnier avec Java. Ce que je fais à la tête de Sun n'est pas différent de ce que faisait mon prédécesseur, c'est à dire faire honneur aux innovateurs et aux innovation qui créent nos opportunités d'affaires. Ceci dit, j'ai une coupe de cheveux différente de Scott, je n'aime pas les mêmes sports, Pour Scott tout vin qui sort d'une bouteille est un vin fin, ce qui n'est pas mon cas, bref nous avons des personnalités différentes. Ce qui devrait nous différencier est que je vais me concentrer plus sur les communautés de développeurs que Scott, alors que Scott s'est plutôt concentré sur les CEO. Mon challenge est de faire en sorte que nous rapprochions les deux de façon à ce que les CIO et CEO comprennent les tendances qui parcourent l'industrie informatique, tout en aidant les développeurs à identifier de nouvelles opportunités de marché. Quel est l'intérêt économique de Java pour Sun et quels revenus en tirez-vous ? Je pense que c'est la question à laquelle je vais avoir à répondre au cours des dix prochaines années. [Schwartz se lève et montre une prise électrique] Vous voyez cette prise, comme elle pour l'électricité, je crois que Java est la standardisation de l'accès à l'Internet. Demander à Sun la valeur de Java pour notre business est comme demander à un fabricant de turbines électriques la valeur de cette prise électrique pour leur business. Cela permet la standardisation du marché de telle façon que vous pouvez croître au-delà de votre propre marché. Un autre exemple de cela : tout opérateur mobile dans le monde perd de l'argent en vous vendant un téléphone. La raison est qu'il veut vous attirer pour que vous vous abonniez, et une fois que vous avez un téléphone, il peut vous fournir des services qu'il monétise. Bien sur, certains analystes financiers pourraient raisonner qu'il n'est pas sain de vendre des téléphones à perte, car on perd de l'argent et qu'il faut cesser immédiatement. La conséquence pour Verizon, NTT DoCoMo ou Vodafone serait l'arrêt de la croissance du nombre d'abonnés et à terme la faillite (...) Vous m'avez demandé quelle est la valeur de Java pour Sun. Je pense que les 13 milliards de revenus de Sun cette année proviennent de Java. Nous demander la valeur de Java dans notre business est comme nous demander la valeur d'Internet. Nos systèmes comptables sont sophistiqués, mais je crains qu'ils ne soient pas assez intelligents pour répondre à cette question. Vous vous êtes beaucoup exprimé sur la fracture numérique. Qu'est ce que Sun peut faire pour contribuer à sa résorption ? Je crois que Sun est une force de démocratisation de la technologie. Nous aidons à abaisser le coût et la complexité pour ceux qui souhaitent se raccorder au réseau. Regardez le succès d'OpenOffice et Staroffice, de Java, de Netbeans et d'OpenSolaris. Ce sont des preuves que nous sommes réellement engagés au sein du mouvement open source. La fracture numérique existe, car le réseau est aujourd'hui trop complexe et donc trop coûteux. On travaille avec des gouvernements à travers le monde pour résoudre ce problème. Récemment, j'étais au Brésil où j'ai rencontré le président Lula et nous partagions cette volonté que les brésiliens soient en ligne que les colombiens se raccordent que l'ensemble du monde soit connecté. Ceci dit, nous sommes une compagnie rare au sens ou quand nous faisons du bien pour le monde et quand nous aidons à lutter contre la fracture numérique nous contribuons aussi à la bonne santé de notre business. Car plus il y aura de brésiliens en ligne, plus ils se connecteront aux systèmes de nos clients qui se tourneront vers nous pour mettre en place des infrastructures informatique adéquates. L'exemple que j'ai utilisé au Brésil est celui d'une banque pour laquelle nous travaillons. Elle a 22 millions de clients, dont 5 millions qui font de la banque en ligne. Aux Etats-Unis, la quasi-totalité des clients font de la banque en ligne. Ce n'est pas le cas au Brésil car la fracture numérique a un impact sur la faculté qu'ont les clients à se connecter au réseau. Mon point au président Lula, qui s'étonnait de notre intérêt à voir tant de gens se raccorder au réseau est d'imaginer l'opportunité que représente pour Sun, l'arrivée de 15 millions des clients de cette banque en ligne en terme d'infrastructure Le mouvement open source semble pendre partout à travers le monde. Pouvez-vous nous donner votre avis à ce propos ? Chaque nation comprend la valeur des standards ouverts. Tout client comprend le sens du mot gratuit. Chaque étudiant ou créateur d'entreprise comprend qu'en utilisant OpenOffice, il économise quelques centaines de dollars par poste, qu'il peut investir de façon plus utile dans son entreprise. Je vois les gouvernements considérer les technologies réseaux comme un outil de progrès social autant que comme un outil de progrès technique. Et je vois de plus en plus cette tendance dans les pays en cours de développement s plus qu'En Europe ou aux Etats-Unis. Où en êtes vous de vos opérations de réduction de coûts? Je crois qu'aucune société n'a jamais atteint la grandeur en se coupant les membres un à un. La meilleure façon de se bâtir un futur est de faire croître le marché comme vous pouvez le voir ici à JavaOne. Nous allons continuer à travailler sur trois axes. Premièrement, nous allons continuer à innover pour faire croître notre CA. Deuxièmement, nous allons continuer à améliorer notre efficacité et à améliorer nos marges. Troisièmement, nous allons continuer à couper dans tout ce qui n'est pas stratégique pour notre futur. C'est ce que nos clients attendent de nous : avoir une roadmap pour aujourd'hui et une roadmap d'innovation pour le futur. (...)

(19/05/2006 17:31:34)

Rembo étoffe la gamme Tivoli d'IBM

L'offre Tivoli d'IBM va être agrémentée des solutions de Rembo Technology. Ce dernier est spécialisé dans les outils de gestion d'applications et de virtualisation. D'une part les produits de Rembo permettent aux administrateurs d'automatiser l'installation et la mise à jour des logiciels sur les PC et serveurs, via une console d'administration centrale. A l'issue de cette acquisition, dont les termes n'ont pas été dévoilés, IBM intègrera la technologie de l'éditeur dans les solutions Tivoli Provisionning Manager et IBM Director. D'autre part, IBM projette de fusionner les composantes logicielle, matérielle et de services de la solution Virtualization Engine avec certains produits Rembo. Objectif : faciliter la gestion des environnements virtuels tentaculaires. Ce rachat suit de près celui de CIMS Labs accompli il y a un an. Les solutions deCIMS ont aussi été intégrées dans la suite Tivoli. (...)

(19/05/2006 09:53:02)

Verisign acquiert GeoTrust pour 125 M$

Coup double pour Verisign: en rachetant GeoTrust, fournisseur n°1 de certificat SSL (Secure Sockets Layer) pour 125 M$, la société gonfle son portefeuille technologique de certificat SSL, de vérification d'identité et de signature numérique. Mais s'ouvre également au marché des PME, en exploitant l'étendue du réseau de revendeurs de GeoTrust. GeoTrust commercialise des solutions de SSL de la PME au grands comptes. Son portefeuille : 100 000 clients répartis sur 150 pays. Verisign, de son côté, possède plus de 3000 clients de ses solutions SSL, principalement grands comptes. L'acquisition devrait être finalisée mi-2006. En janvier 2006, GeoTrust rachetait l'Allemand TrustCenter, spécialisé dans la carte à puce. (...)

(18/05/2006 17:45:49)

IBM lie recherche et décisionnel dans WebSphere

Les initiatives de Google en matière de recherche documentaire pour les entreprises n'en finissent pas d'aiguillonner les éditeurs spécialistes des solutions pour le système d'information. Cette fois-ci, c'est au tour d'IBM de présenter sa réponse à la problématique de l'intégration des données de l'entreprises à ses outils de recherche. Big Blue vient en effet de présenter WebSphere Content Discovery for Business Intelligence, un outil qui doit permettre d'intégrer aux résultats des recherches les rapports et les analyses produits par les outils de décisionnel. Mais la solution d'IBM va plus loin : elle permet également aux outils de décisionnel d'accéder aux ressources non structurées proposées par le moteur de recherche. Marc Andrews, chef de programme pour la stratégie d'administration de l'information chez IBM, explique que « typiquement, un utilisateur ne veut pas aller dans deux environnements différents pour trouver des documents non structurés, d'une part, et des informations de décisionnel, d'autre part. Nous avons créé un processus de boucle qui permet de faire des allers et retours et de créer des rapports à partir d'informations non structurées... et de faire des recherches sur ces rapports ainsi créés. » WebSphere Content Discovery for Business Intelligence a été conçu à partir du framework Unstructured Information Management Architecture (UIMA). En outre, IBM a travaillé avec Cognos pour intégrer son outil à Cognos 8 Business Intelligence et Cognos Go! WebSphere Content Discovery for BI est compatible avec IBM DB2 AlphaBlox. Il est distribué via le réseau de partenaires de Big Blue. Le modèle de tarification n'a pas été communiqué. (...)

(18/05/2006 17:45:10)

IDC imagine le nouvel ordre IT mondial

Selon le cabinet d'études IDC, le marché IT mondial devrait de plus en plus ressembler au secteur des télécoms : les parts de marché de l'Amérique du Nord et de l'Europe diminuent au fur et à mesure que celles des économies émergentes croissent. Rien de très surprenant au fond. Premier indicateur de la montée en puissance des pays dits émergents : la différence de produits intérieurs bruts. En 2006, la croissance du PIB de la Chine devrait atteindre 9,2 %, celui de l'Inde 8,1 %. Parallèlement, la hausse devrait plafonner à 3,2 % aux Etats-Unis et 2,1 % dans l'Union européenne. Sur le terrain de la croissance IT, plusieurs facteurs affectent le dynamisme des économies occidentales. C'est notamment le cas de la disponibilité d'une main d'oeuvre qualifiée et du coût du travail. Selon Philippe de Marcillac, la Chine compte ainsi cinq fois plus d'ingénieurs diplômés que les Etats-Unis. Les marchés émergents profitent en outre d'avantages démographiques : 27 % de la population dans ces régions du monde a entre 15 et 29 ans, contre 18 % dans les économies matures. Les moins de 15 ans sont 30 % dans les pays les moins riches, soit deux fois plus que dans leurs homologues dits industrialisés. "La Chine est la quatrième puissance économique cette année, explique Philippe de Marcillac, et le premier exportateur IT. Elle a dépassé l'Allemagne au troisième rang du marché des services télécoms" et constitue le sixième marché IT mondial. Pour autant, elle doit encore affronter plusieurs défis, dont la concurrence de l'Inde et des autres pays émergents en Asie. En Inde, les revenus liés aux activités IT s'alignaient juste en dessous de 30 Md$ en 2005 ; ils devraient atteindre 40 Md$ cette année et dépasser 60 Md$ en 2009. Illustration du dynamisme des ex-PVD : les dépenses IT au Brésil, en Russie, Inde et Chine, devraient passer de 50 Md$ en 2004 à 115 Md$ en 2009. "Ces pays auront la même part de marché que le Japon à cet horizon", précise IDC. Se projetant à l'horizon 2050, le marché mondial devrait être dominé par la Chine, suivie par les Etats-Unis et l'Inde. Loin derrière se trouveront le Japon, le Brésil, la Russie et l'Union européenne. Mais la première place pourrait tout aussi bien être occupée par l'Inde. Pour parvenir à se hisser à ces positions, les économies émergentes devront éviter les principaux écueils susceptibles de se dresser sur leur chemin : inflation, insolvabilité, troubles sociaux, administration centrale défaillante, corruption et manque d'infrastructure. (...)

(18/05/2006 12:42:59)

Unilog et LogicaCMG profitent de la dynamique du marché au T1

À l'image des grandes SSII françaises, Unilog affiche une solide croissance de ses revenus au premier trimestre. Récemment acquise par le groupe de services britannico-hollandais LogicaGMC pour 930 M€, Unilog publie un chiffre d'affaires consolidé en hausse de 16,7 % sur un an, à 211,6 M€. Pour ne pas déroger à ses habitudes, Unilog réalise plus de 80 % de son activité dans l'Hexagone : la SSII publie un chiffre d'affaires France en hausse de 16,2 % à 169,2 M€. Une performance notamment due, selon le groupe, à un calendrier favorable au premier trimestre, comptant 65 jours ouvrés contre 63 un an plus tôt. Unilog s'inscrit ainsi en ligne avec les attentes et bénéficie d'un marché dynamique. Au-delà des frontières françaises, Unilog signe un CA de 41,4 M€, en hausse de 18,6 % sur un an. Par ailleurs, LogicaCMG a fait un point sur son activité trimestrielle. Le groupe indique avoir signé trois premiers mois "bien supérieurs" au début d'année 2005, là encore profitant d'un nombre plus grand nombre de jours ouvrés. Le chiffre d'affaires s'inscrit en hausse de 9,7 %. Il profite de la bonne tenue des activités dans les services financiers, la distribution et le transport au Royaume-Uni, et d'une croissance de tous les secteurs aux Pays-Bas. Il reste en revanche prudent sur les activités de télécommunications, dont le chiffre d'affaires n'est que "juste au-dessus de l'an dernier". Sans fournir de prévision pour la suite de l'exercice, LogicaCMG table sur une croissance de son revenu "supérieure aux 5,3 % de l'an dernier". (...)

(18/05/2006 12:01:12)

Reprise de l'investissement des opérateurs

Dans son observatoire des marchés des télécommunications pour l'année 2005, l'Autorité de Régulation des Communications Electroniques et des Postes (Arcep), relève la progression de 15 % en 2005 à 6,3 Md€ de l'investissement des opérateurs, « ce qui contraste avec les années précédentes. » De fait, le montant des investissements des opérateurs a brutalement chuté de près de 38 % en 2002 à 5,7 Md€ avant poursuivre son recul de manière plus modéré jusqu'en 2004. Dans son observatoire, l'Arcep souligne en outre que « l'embellie a touché aussi bien les opérateurs ayant une activité de réseau fixe que mobile. Ces derniers contribuent à peu plus de 40 % des investissements réalisés au cours de l'année 2005. » Les opérateurs mobiles se sont particulièrement engagés en 2005 dans la mise à niveau de leurs réseaux pour déployer l'UMTS. La tendance pourrait d'ailleurs se poursuivre encore en 2006 et 2007 avec le lancement programmé de HSDPA. Globalement, les services de télécommunications ont généré plus de 40 Md€ de chiffre d'affaires en 2005, soit une progression de 2,6 % par rapport à 2004. Cette progression tient surtout au dynamisme des marchés du mobile et de l'Internet, celui du fixe ayant poursuivi son recul l'an passé (-4,9 % à 12 Md€). (...)

(18/05/2006 12:01:46)

SkypeOut gratuit en Amérique du Nord

Skype vient de décider d'autoriser ses utilisateurs aux Etats-Unis et au Canada à passer gratuitement des appels vers les lignes fixes et mobiles de tout le continent nord-américain. L'option SkypeOut, nécessaire pour bénéficier de cette offre, est gratuite. Hors promotion exceptionnelle, il suffit de créditer son compte Skype pour appeler des lignes fixes ou mobiles, sans abonnement particulier. Plusieurs bémols cependant : cette offre, en plus d'être limitée géographiquement, l'est aussi dans la durée puisqu'elle s'achèvera fin 2006. Avec cette gratuité temporaire, Skype entend attirer rapidement de nouveaux abonnés outre-Atlantique et conserver son avance sur son concurrent local Vonage. Par ailleurs, le spécialiste de la sécurité des réseaux P2P iPoque vient d'indiqué être parvenu à mettre en échec les dispositifs «furtifs» de la version 2.5 Skype. Ces dispositifs doivent rendre le protocole propriétaire utilisé par Skype plus difficile à détecter et à bloquer. Néanmoins, iPque indique être parvenu à modifier son outil de gestion de trafic PRX Traffic Manager afin de détecter le trafic Skype 2.5 à l'aide d'un modèle heuristique. (...)

(18/05/2006 12:02:08)

Commerce électronique : Bruxelles veut prolonger la directive sur la TVA

La Commission européenne propose de prolonger l'application de la directive "TVA sur le commerce électronique" jusqu'à la fin de 2008 afin de prendre le temps de préparer des mesures à caractère permanent. Adoptée en 2003, la directive est censée être révisée en juin 2006. Elle établit que les prestations de services électroniques destinées à être proposées hors de l'Union européenne sont exemptées de TVA et, qu'inversement, les entreprises du Vieux continent acquittent la taxe lorsque leurs services s'adressent au marché européen. "J'invite instamment le Conseil des ministres de l'Union européenne à trouver un accord sur cette propsition, a indiqué le commissaire à la fiscalité Laszlo Kovacs, et je ne peux imaginer que nous retournions aux règles antérieures à la directive". Un retour en arrière signifierait que les fournisseurs européens de services seraient soumis à la TVA "même pour les services fournis aux clients hors de l'Union et qu'ils devraient subir la concurrence, dans l'Union, des fournisseurs de pays tiers qui ne seraient pas assujettis du tout à la TVA", explique la Commission dans un communiqué. (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >