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(24/02/2006 16:35:17)
Microsoft se donne la place d'accueillir 12 000 nouveaux salariés
Microsoft va investir 1 Md$ au cours des trois prochaines années pour agrandir de 14 nouveaux immeubles son campus de Redmond pour un total de 288 000 m2. L'éditeur augmentera ainsi d'un tiers son actuelle surface de bureaux à son siège et pourra accueillir jusqu'à 12 000 salariés supplémentaires. Microsoft emploie actuellement plus de 30 000 salariés sur son campus de Redmond. Cette année, l'éditeur prévoit déjà d'embaucher 5 000 personnes en plus, dont près de 40 % aux Etats-Unis. Cet accroissement des ressources humaines de Microsoft a été initialement approuvé l'été dernier mais devait alors s'étendre sur 10 à 20 ans. (...)
(10/02/2006 17:04:33)Sun complète son offre SOA avec les outils SeeBeyond
Sun porte enfin la dernière touche à l'intégration des technologies de SeeBeyond, société spécialisée dans l'intégration d'applications rachetée en août 2005. Les actifs SeeBeyond, tels que les outils de gestion de processus métier, de workflow et de contrôle d'activité métier - rassemblée au sein de Integrated Composite Application Network (ICAN) - seront ainsi associés à Java Enterprise System (JES), suite logicielle d'infrastructure de Sun. L'ensemble sera baptisé Sun Java Composite Application Platform Suite (CAPS). Avec pour objectif: fournir une solution clé en main de développement et de déploiement d'applications composites et SOA, multi-plateformes. CAPS repose ainsi sur une série de quatre briques applicatives, dont deux directement puisées dans le portefeuille SeeBeyond : Sun Java B2B Suite pour l'intégration métier, et Sun Java ESB Suite, un bus d'entreprise offrant une panoplie d'outil de gestion de processus métier (BPM) et de contrôle d'activité métier (BAM) -deux briques manquantes chez Sun dans son offre SOA-. Ces dernières sont alors couplées à Sun Java Application Platform Suite, middleware de gestion SOA, et enfin Sun Java Web Infrastructure Suite pour l'identification et la sécurité web. Toutes deux extraites de Java Enterprise System. Les quatre composantes de CAPS seront disponibles dès mars, soit sous forme packagée à 100$ par employé et par an, pour le support. Soit séparément, à 50$ par employé et par an. (...)
(24/02/2006 16:34:31)Oracle : l'acquisition de Siebel débouche sur 2 000 suppressions de postes
2 000, c'est le nombre de postes supprimés par Oracle en période de digestion de Siebel. Parmi les employés du spécialiste de la relation clients, le groupe de Larry Elisson conservera 90 % des ingénieurs support et développement et des technico-commerciaux. Les membres des services marketing - hors aspect technique - et les employés "back-office" seront en revanche licenciés. A l'issue du processus d'acquisition de Siebel, Oracle comptera environ 55 000 salariés. C'est ce qu'ont affirmé Larry Elisson et plusieurs cadres lors d'une vidéo-conférence axée autour de l'impact du rapprochement Oracle-Siebel. Sur le plan technologique, Siebel constituera la base de l'offre CRM d'Oracle. Les outils d'analyse de Siebel devrait également jouer un rôle clé dans le portefeuille de produits Oracle en étant commercialisés en compléments des applications liées aux acquisitions de Peoplesoft et de J.D. Edwards. Oracle a, par ailleurs, publié ses prévisions pour les troisième et quatrième trimestres fiscaux 2006. Clos à la fin du mois de février, le 3ème trimestre devrait notamment enregistrer une croissance de 13 % à 15 % du CA par rapport à la même période de l'année précédente. Les dernières prévisions communiquées tournaient plutôt dans une fourchette de 9 à 12 %. Au 4ème trimestre, Oracle table sur une progression équivalente voire meilleure (17% de croissance dans l'hypothèse haute). En dépit des 2 000 suppressions de postes, l'intégration de Siebel, se sra jusqu'à présent avéré moins destructrice d'emploi que celle de Peoplesoft - qui avait abouti au licenciement de la moitié des salariés. Notamment parce que les deux groupes disposent de gammes de produits plus complémentaires. Reste qu'il existe encore des chevauchements entre l'offre de Siebel et les produits Peoplesoft, explique Rob Bois, analyste pour AMR Research. Dispendieuse et accompagnée de nombreux licenciements, la stratégie d'Oracle visant à réunir les produits forts, anciens ou nouvellement acquis, en une entité baptisée Fusion pourrait cependant portée ses fruits à moyen terme selon nombre d'analystes. Mais en attendant la sortie de la suite applicative intégrée, prévue en 2008, le groupe de Larry Elisson pourrait, selon Rob Bois, connaître quelques difficultés. Le principal obstacle pourrait être culturel plus que technique affirme Paul Greenberg, président du cabinet The 56 Group LLC. En sus des supressions de poste, nombre de salariés de Siebel pourraient quitter volontairement Oracle. De fait, "la destruction culturelle chez Oracle est substantielle. Ils ne sont même encore parvenus à intégrer Peoplesoft". (...)
(10/02/2006 00:00:00)Gestion de carrières : SQLI rend plus lisible ses processus
La SSII SQLI a déployé en 2005 le système qualité People CMM (niveau 2), qui est le pendant pour la gestion des ressources humaines du modèle de maîtrise des processus de développement, CMM-I, produit par la même société SEI (software engineering institute). Cette initiative vise à se doter d'un cadre pour garantir un suivi rigoureux des hommes et l'homogénéité des processus RH au sein de sa structure décentralisée (Sqli compte dix représentations régionales). Elle donne aussi à ses collaborateurs davantage de leviers pour gérer leur parcours et leurs envies professionnelles. Pour répondre aux exigences de People CMM, la SSII a par exemple mis en place un référentiel de postes pour chacune de ses filières (ingénierie, conseil, studio, commercial, personnel support et encadrement). Cet outil décrit chaque poste avec plusieurs échelons (parfois de 1 à 6) qui correspondent à différents niveaux d'expertise sur la fonction. Il détaille aussi les compétences (pour la branche ingénierie, productivité, qualité, fiabilité, technicité, gestion de projet, relation client, gestion d'équipes, polyvalence) à acquérir pour chaque échelon, en leur associant des métriques destinés à évaluer avec le plus d'objectivité possible le niveau de compétence du collaborateur sur une échelle de 1 à 6. On ne peut pas, par exemple, prétendre à un niveau 6 en gestion de projets si l'on pas réussi des projets d'une certaine taille. La polyvalence se traduit de son côté par une capacité à maîtriser x nombre de technologies. Cet outil donne au collaborateur une vision assez claire des compétences à développer pour progresser au sein d'un même poste ou vers un autre poste. Ses attentes sont par ailleurs débattues lors des entretiens annuels pour lesquels le salarié est tenu de procéder à une autoévaluation. Il doit réfléchir sur la base des objectifs mesurables qui lui ont été fixés antérieurement, mais aussi faire des propositions pour ses futurs objectifs, ce qui l'engage à se pencher sur ses axes de progression. Il partage ensuite cette réflexion avec son manager qui a lui même procédé à l'évaluation du collaborateur. Cet échange est l'occasion de faire le point sur les performances, de clarifier la situation de ce dernier sur son poste (notamment grâce à des outils qui permettent de le visualiser) et de définir un plan de formation individuel pour atteindre les objectifs fixés. Suite à ces procédures, l'avantage du modèle qualité - par ailleurs très structurant- est qu'il doit permettre de s'assurer que les actions prévues sont respectées grâce à des indicateurs de contrôle et de suivi. La SSII s'attache, avec ces outils, à suivre le bon déroulement des entretiens dans chacune de ses agences et l'application du plan de formation. Elle définit aussi des objectifs et des étapes à respecter pour les plans individuels, ainsi que des responsables de suivi et d'évaluation de l'efficacité des cursus pédagogiques. Grâce à ces mesures, l'ensemble de ses collaborateurs devrait gagner en maturité sur la gestion de de carrière. Avec l'autoévaluation, ils devront par exemple avoir une réflexion globale sur leurs parcours et ne plus se limiter à des préoccupations salariales, estime la SSII. De leur côté, les managers sont aussi tenus de s'impliquer davantage dans le suivi de leurs équipes, en tout cas ceux qui ne le faisaient pas assez auparavant. Dans cette optique, ils ont déjà tous eu des objectifs à tenir pour participer au déploiement de People CMM. (...)
(10/02/2006 00:00:00)Recrutement : un marché aux emplois et aux formations sur les technologies Microsoft
Microsoft crée un site emploi pour centraliser les compétences sur ses technologies et favoriser leur développement. Ce service peut aider les informaticiens désireux de s'investir dans ce domaine à trouver du travail et à se former. Les informaticiens peuvent accéder aux offres de 400 recruteurs sur le site web emploi de Microsoft, MS Emploi. Cinquante à soixante annonces y tournent à l'heure actuelle en permanence, avec une durée de vie de 45 jours, indique Microsoft. Les candidats peuvent s'inscrire en vue de consulter des offres et déposer leur CV. Ce service est gratuit pour eux. Il leur faut juste savoir qu'ils seront recherchés en priorité pour leur compétences sur les technologies Microsoft et/ou pour leur capacité et leur volonté à acquérir des compétences autour des environnements et des solutions du fournisseur américain. . Lancé en novembre dernier par Microsoft, MS emploi a en effet pour vocation de faciliter le repérage des compétences Microsoft pour son réseau de 1000 partenaires. Les offreurs d'emploi sont donc des SSII, des éditeurs de logiciels, des revendeurs et des intégrateurs qui ont tous en commun de réaliser tout ou partie de leur activité avec la vente et l'installation des logiciels de Microsoft. Ils ont aussi un besoin croissant de compétences sur ces technologies au fur et à mesure que leur activité se développe, ce qui est globalement le cas avec la reprise du marché. La demande de compétences devrait en outre s'accentuer sur les logiciels de Microsoft, puisque le géant américain développe en ce moment son réseau de partenaires qui devrait atteindre à 1300 entreprises d'ici au mois de juin, selon ses prévisions, et bien davantage d'ici à un an. . Pour anticiper sur cette croissance, il met en place un service formation sur MS Emploi pour les recruteurs. Celui-ci est destiné à la mise à niveau de candidats qui ont besoin d'être formés pour être opérationnels sur les technologies de Microsoft. Il se concrétise par la mise en ligne de cursus de formation (il y en a 4 aujourd'hui, l'objectif est de les multiplier) avec pour chacun, des informations sur les subventions qu'il est possible d'obtenir pour les financer. Pour aider ses partenaires à les décrocher, Microsoft a aussi conclu un partenariat avec une société spécialisée dans le montage de dossiers pour aller chercher des fonds européens (FSE). Elle devrait bientôt être visible sur son site pour faciliter le contact avec ceux qui sont intéressés par ce service. Globalement, les informaticiens devraient donc s'y retrouver, puisque MS emploi favorise la rencontre de l'offre et de la demande d'emploi et le développement de compétences pour répondre aux critères des offres. Même si l'objectif pour l'américain est essentiellement d'accélérer, derrière, le déploiement de ses offres et sa conquête du marché. (...)
(09/02/2006 17:29:34)Lucent rachète les actifs de Riverstone
Lucent met fin au calvaire financier de Riverstone en se portant acquéreur d'une partie de ses actifs pour 170 M$ en numéraire. Cet achat viendra compléter ses solutions réseaux, d'optiques et de data. Les deux entreprises se connaissent bien puisque Lucent revendait déjà des systèmes Riverstone à travers le monde. En rachetant son compatriote, Lucent lui ôte une épine du pied. Riverstone venait en effet de se déclarer en état de banqueroute. Lucent évite ainsi le démantèlement et la vente aux enchères de Riverstone. L'acquisition doit recevoir l'aval des instances chargées des banqueroutes mais l'équipementier ne doute pas de leur accord et estime que l'affaire sera entièrement finalisée d'ici le milieu de l'année. Les 400 employés de Riverstone doivent pousser un soupir de soulagement car ils devraient tous rejoindre les équipes de Lucent. (...)
(09/02/2006 17:28:55)Le Forum des droits sur Internet dresse un bilan 2005 illustrant son utilité
Le Forum des Droits sur l'Internet (FDI) vient de présenter son quatrième bilan annuel d'activité. Entre un service de médiation efficace et des recommandations suivies par les pouvoirs publics, le FDI peut se targuer d'avoir rempli ses trois missions : concertation entre les acteurs, information du public et coopération internationale. Avec plus de 15 000 téléchargements en deux mois de son dossier consacré aux blogs et 3 000 en quelques semaines de la publication "relations du travail et Internet", le FDI est parvenu à toucher un public demandeur d'informations. En témoignent aussi les chiffres de fréquentation des sites maison : www.foruminternet.org et www.droitdunet.fr enregistrent respectivement 700 000 visiteurs (+ 57 %) et 400 000 visiteurs (+ 24 %) en 2005. L'activité de concertation s'est elle aussi montré efficace. Le FDI a rendu quatre recommandations au cours de l'année écoulée, dont plusieurs mesures ont été suivies par les pouvoirs publics ou les acteurs du domaine concerné. Il en est allé ainsi de la mise en place d'une identification des professionnels sur les plates-formes de vente en ligne, ou de l'accord interprofessionnel signé par les partenaires sociaux en septembre 2005 qui reprenait les principales recommandations du rapport du FDI sur le télétravail. Le Forum des droits sur l'Internet a dressé le bilan de son service de médiation. Il permet, après épuisement des voies de recours préalable, un traitement extrajudiciaire et gratuit des litiges liés à Internet et opposant des particuliers et/ou des entreprises. Depuis sa mise en activité, en septembre 2004, il a été saisi de plus de 5 400 demandes, dont 3 200 ont été traitées. Bilan positif donc, comme l'indiquent les 73 % d'internautes et d'entreprises satisfaits. Plus de neuf litiges sur dix ont opposés des consommateurs à des professionnels : dans cette catégorie, 61 % des cas présentés au FDI concernaient des achats par Internet - biens non reçus ou non conformes, vices cachés, etc. - et 39 % impliquaient un FAI - conditions de résiliation, prélèvements non autorisés, etc. La surprise est venue, a expliqué le FDI, du montant des différends. Alors que le panier moyen dans une e-boutique s'élève à 89 E, la moitié des litiges présentés au Forum des droits sur l'Internet portaient sur une somme supérieure à 120 E. En 2006, le FDI va lancer trois nouveaux groupes de travail. Ils réfléchiront à la vente de produits de santé sur Internet, à l'application du droit de la consommation au commerce électronique et à l'accès public au web. (...)
(09/02/2006 17:28:24)Symantec rachète Relicore, éditeur de solutions de gestion de data centers
Symantec vient d'annoncer le rachat - pour un montant inconnu - de Relicore, un éditeur de solutions pour la gestion des data centers. Son produit phare, le Relicore Clarity permet aux industriels de connaître en temps réel les changements effectués au sein de leurs serveurs. La solution de Relicore est ainsi capable de découvrir, traquer et mettre en avant n'importe quel changement dans les applications ou les composants des serveurs. Cette technologie devrait parfaitement compléter l'offre de Symantec. La transaction sera finalisée mi-février. Symantec prévoit de commercialiser Relicore Clarity en tant que solution indépendante dès le début du mois d'avril. (...)
(09/02/2006 17:27:19)Pas d'adoption massive de la VoIP avant 2010 selon Dell'Oro
Si les revenus générés par la voix sur IP doubleront au cours de cinq prochaines années, l'adoption massive de la VoIP par les opérateurs téléphoniques ne devrait pas intervenir avant 2010. C'est la principale conclusion d'une étude Dell'Oro. Les équipementiers ont vendu pour environ 2,4 Md$ de matériel dédié à la VoIP en 2005, une somme qui devrait atteindre 4,7 Md$ en 2010. Les concurrents des opérateurs de téléphonie traditionnelle, tels que les opérateurs de réseaux câblés ou ceux spécialisés uniquement dans la VoIP, ont ouvert la voie à cette nouvelle technologie. Si les opérateurs classiques ont développé des services pour l'exploiter, ils ne les ont cependant pas accompagnés d'une intense communication, préférant voir leurs abonnés continuer à utiliser le réseau commuté dans lequel ils ont tant investi. "Ils veulent trouver une solution compétitive, mais ils refusent que la transition se fasse maintenant", résume Steve Raab, analyste pour Dell'Oro. "La transition est encore très jeune", reprend-il. Les réseaux dans leur intégralité devraient commencer à être remplacés autour de 2010, même si ne nombreuses variables peuvent venir changer la donne dans les cinq ans à venir. En particulier le nombre d'abonnés qui abandonneront les lignes fixes pour un téléphone portable et la vitesse à laquelle ils adopteront l'offre de convergence fixe-mobile. Par ailleurs, selon Dell'Oro la croissance des revenus observée ces dernières années dans la VoIP - 48 % entre 2004 et 2005 - devrait se tasser en raison d'une baisse des prix et de la maturité naissante du marché : on atteint d'autant plus facilement des taux de croissance élevés lorsque l'on part de presque rien. Dell'Oro table, pour 2006, sur une progression des revenus de 25 %. (...)
(09/02/2006 17:25:10)Google Desktop 3 se met à la collaboration et au partage d'information
Google s'apprête à livrer la version béta de Google Desktop 3, troisième mouture de son moteur de recherche pour PC. A peine disponible en téléchargement -à la rédaction de l'article, l'outil n'était pas encore livré- sur http://desktop.google.com, que Google Desktop provoque un première salve de critiques relatives au respect de la vie privée. Rappelons que depuis sa première version, le moteur de recherche subit l'ire des associations de préservation de la vie privée, et également celle des experts en sécurité. En ligne de mire, une fonctionnalité de recherche partagée entre plusieurs PC baptisée « Search Across Computers ». Une fois installé sur chaque PC et la fonctionnalité activée, Google Desktop indexe les documents (Word, Excel, PowerPoint, PDF et txt) selon la configuration de l'utilisateur. Ces mêmes documents sont alors copiés (en mode plein texte et donc sans formatage ni image) et cryptés sur les serveurs Google pendant 30 jours, de façon à permettre la synchronisation des fichiers entre les ordinateurs connectés et identifiés - depuis un compte Google- sur le « réseau ». Ce qui notamment implique de placer entre les mains de Google, un ensemble d'informations plus ou moins sensibles. Et de relancer dans la foulée l'idée d'un Google Drive, disque dur virtuel en ligne, à l'image du .Mac, sous la bannière du tentaculaire moteur de recherche. Autre amélioration notable, la transformation du panneau « SideBar » en un outil de collaboration et de communication. Celui-ci devrait ainsi autoriser le partage d'information à distance -de Sidebar à Sidebar-, l'envoi direct de fichiers via une intégration avec Google Talk et l'envoi d'email. En outre, Google a également mis à jour l'API de Google Desktop, pour selon lui, étendre le support vers d'autres formats et d'autres protocoles de communication. Et permettre le développement de Widget pour la Sidebar, à l'image de Konfabulator, propriété de Yahoo, son rival, depuis juillet 2005. (...)
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