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(24/04/2008 17:40:38)
En informatique, senior rime souvent avec chômeur, confirment la Dares et l'Apec
Dans un contexte de plein emploi, comme l'indique la dernière note de conjoncture publiée par l'Apec, la problématique des informaticiens seniors reste pourtant au coeur des débats lorsqu'on aborde la question du chômage. Dans une note sur les tensions du marché du travail observées au cours du second semestre 2007, la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares, ministère du Travail), montrait que le nombre de demandeurs d'emploi en informatique s'élevait à 35 545 en juin 2007, soit un taux de chômage de 7,1%. L'Apec a également décidé de se pencher sur la question, en publiant pour la première fois une étude sur les recrutements des cadres de 50 ans et plus, par secteur, dont l'informatique. Les résultats montrent bien que dans la IT, le chômage frappe davantage que dans d'autres filières : en effet, les embauches des seniors y sont trois fois moins fréquentes que pour l'ensemble de la population des cadres. En 2007, les activités informatiques n'ont recruré que 2% de seniors âgés de 50 ans et plus, tandis que 8% seulement de seniors ont été embauchés dans les études techniques , l'ingénierie et la R & D. Des chiffres peu élevés, malgré une augmentation sensible de l'effectif senior dans l'informatique, par rapport à 2001. 8% d'embauches pour les plus de 15 ans d'expérience [[page]] Ce pourcentage reste cependant très insuffisant, les entreprises de la high-tech ayant tendance à miser sur des jeunes diplômés (34% des embauches en 2007), formés aux dernières technologies du marché, et très peu sur les profils expérimentés (8% des informaticiens ayant plus de 15 ans d'expérience recrutés en 2005, contre 13% en moyenne). Face à ce constat, l'association pour l'emploi des cadres a demandé à un informaticien âgé de 58 ans de témoigner sur sa situation. Patrick Gaudillet, directeur de production, est resté sans emploi pendant plus de trois ans, après avoir été licencié par une SSII située dans le Sud de la France. « L'âge est l'un des facteurs les plus discriminants en France, surtout dans l'informatique, témoigne-t-il. Sur 800 CV envoyés, je n'ai reçu aucune réponse positive. La situation était telle qu'on m'a conseillé de me diriger vers un autre secteur d'activité. Du coup, j'ai eu l'idée de me lancer dans la création d'entreprise. » Son projet à peine bouclé, Trigône, une SSII parisienne, le contacte pour lui proposer un poste. Il laisse son projet de création d'entreprise pour un CDI qu'il signera illico. Quitte à baisser son salaire de 30%, et accepter un trajet de deux heures chaque jour, depuis la ville de Dijon où il réside, jusqu'à Paris, où siège l'entreprise qui a décidé de l'accueillir. (...)
(24/04/2008 16:21:42)Deux élèves ingénieurs assurent l'informatique du festival de Cannes
Cette année, le prestigieux Festival international du film de Cannes, qui aura lieu du 14 au 25 Mai 2008, n'accueillera pas que des stars : deux ingénieurs de l'Ecole privée des sciences informatiques d'Arras (EPSI), Denis Lelong, 23 ans, et François Schuers, 22 ans, seront, eux aussi, présents sur la Croisette. Pas question pour ces derniers de jouer les seconds rôles : il leur faudra, en effet, assurer la prise en charge complète de l'infrastructure informatique de la salle de presse du Festival, projet qu'ils mèneront dans le cadre de leur stage de dernière année. Au programme, pas moins de 1 000 connexions par jour à assurer pour les quelque 1 200 journalistes accrédités. Les deux étudiants devront notamment gérer onze serveurs physiques et six serveurs virtuels répliqués, pour assurer le fonctionnement des 50 machines de la salle presse et de 250 autres pour le marché du Film, dans un environnement sécurisé (antivirus, firewall, antispam). Les machines en libre accès sont disponibles de 9h à 23h pour les journalistes. Mais les deux étudiants ont un avantage à leur actif : ils ont déjà travaillé pour l'industrie cinéma, en intervenant pour le compte de l'Afif (l'Association française du festival international du film, opérateur de la quinzaine), dans le cadre d'une mission pilotée par NEC Computers, constructeur prestataire du festival, chargé de la mise en place de l'infrastructure informatique du Festival de Cannes. Haute disponibilité du parc en cas de panne Pour Denis Lelong, responsable de la partie réseaux, il s'agit d'assurer la réalisation du « master » Windows (c'est-à-dire l'image du système d'exploitation déployée sur les machines du festival), d'installer des couches applicatives sur les postes clients (messagerie, Internet, bureautique), d'authentifier les serveurs FTP contenant toutes les images et photos du festival, et également de faire du help-desk De son côté, son camarade François Schuers, chargé du développement, devra déployer les machines et configurer les serveurs, réaliser le « master » sur une dizaine de machines virtuelles, et gérer les connexions (sur des environnements virtuels) des journalistes et photographes. Au rang des éventuelles difficultés, celui-ci cite la panne serveurs, en se montrant toutefois rassurant : «Un système de haute disponibilité du parc a été prévu pour pallier ce type de problème, indique t-il. En cas de crash, nous pouvons compter sur l'efficacité des procédures de reprise d'activité, et des sauvegarde des serveurs physiques et virtuels. » C'est sans compter l'intervention d'un tuteur, consultant services et solutions chez NEC, qui encadrera les deux stagiaires pendant toute la durée de l'opération. De quoi rassurer les 1 200 journalistes accrédités, pour qui la sécurité des informations et des photos traitées est primordiale. (...)
(23/04/2008 18:12:04)Bilan Apec T1 2008 : légère baisse des recrutements dans l'informatique et le conseil
Au cours du premier trimestre 2008, l'optimisme des recruteurs de la sphère IT ne s'est pas démenti. La dernière note de conjoncture trimestrielle publiée par l'Apec montre que le marché de l'emploi des informaticiens est toujours porteur, sur fond de niveaux élevés de recrutements externes. C'est en recherche et développement (+73% d'offres au premier trimestre 2008) que la hausse a été la plus significative, grâce au dynamisme des filières études techniques et projets affaires, qui ont respectivement bondi de 76% et 77%. Le marché de l'emploi informatique se maintient, en dépit d'un léger ralentissement de la croissance du volume des offres : +31% au premier trimestre 2008, après + 40% lors du précédent trimestre. Des évolutions différentes selon les segments du conseil Dans le secteur du conseil (ingénierie/informatique), les recrutements réalisés au cours des trois premiers mois de 2008 sont également en léger recul, en perte de 7 points par rapport à 2007. Même constat de baisse modérée concernant les prévisions d'embauche des entreprises du conseil IT : 62% d'entre elles ont l'intention de recruter au deuxième trimestre 2008, contre 67% l'an dernier. Cette moyenne recouvre des évolutions divergentes : dans le conseil informatique, 95% des entreprises ont réalisé des embauches au cours du premier trimestre 2008, et 90% ont l'intention d'y procéder au cours du trimestre prochain. Mais les autres segments du conseil, comme l'ingénierie et la gestion, se montrent au contraire prudents, avec une seule entreprise sur deux qui a recruté au cours des trois premiers mois de cette année, et pas davantage qui prévoient de le faire au cours du trimestre à venir. Pour l'Apec, ce repli serait en partie dû à des difficultés de recrutement. Seulement 19 candidatures par offre [[page]] L'association note en effet que les fonctions de la high-tech sont celles qui reçoivent le moins de candidatures : les filières informatique et R&D, nettement en dessous d'une moyenne de 40 candidatures par offre, reçoivent 19 demandes seulement pour une offre d'emploi. Pourtant, les activités informatiques et les études/conseils sont celles qui recrutent le plus. On ne s'étonnera donc pas du faible taux de postes pourvus dans ces filières (qui s'élève à 56% en R&D), ni de la part élevée des recrutements abandonnés, dont 34% sont toujours en cours dans le secteur R&D. Principale raison de ces abandons ? La définition du poste, qui rassemble 37% des sondés. D'ailleurs, c'est l'informatique qui semble faire les frais des plus fortes tensions du marché de l'emploi, avec la plus forte part de recrutements jugés difficiles. Dans cette filière, 80% des recruteurs indiquent ne pas trouver les bons candidats : 46% jugent les procédures de recrutement très difficiles, et 36% estiment même qu'elles sont très difficiles. Du coup, les entreprises informatiques ont tendance à cibler des jeunes diplômés : c'est notamment le cas de 68% d'entre elles. (...)
(23/04/2008 14:54:42)EDS ferme trois sites en région et licencie 80 salariés
La filiale française de la société de services EDS annonce un projet de réorganisation régionale qui se soldera par la fermeture de plusieurs sites en province et par le licenciement de salariés qui y sont rattachés. Les trois centres de la SSII situés à Villeneuve d'Ascq (Nord), Freyming-Merlebach (Moselle) et Lingolsheim (Bas Rhin) cesseront bientôt leur activité, d'où un Plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) lié à ces fermetures. Selon la direction de la communication, ce plan ne concernera pas la totalité des postes rattachés à ces trois sites mais un maximum de 80 emplois, soit moins de 3,5% des effectifs de la filiale française. « Les exigences actuelles du marché nous conduisent à mener des plans de productivité importants pour maintenir notre compétitivité, justifie EDS, dans un communiqué. L'un des axes de ces plans réside dans le regroupement de nos centres de production, décision qui fait partie intégrante de la stratégie mondiale du groupe.» Un marché local de l'infogérance devenu trop réduit Historiquement, la présence d'EDS dans ces régions s'explique par la signature de contrats d'infogérance datant du début des années 1990. Or aujourd'hui, EDS estime que la structure du marché local associée à la concurrence déjà établie et à la stratégie du groupe ne justifient plus sa présence dans ces régions sauf pour quelques grands comptes. Pour se donner bonne conscience, la SSII s'engage à mettre en oeuvre des mesures d'accompagnement afin d'aider les salariés concernés à retrouver un emploi : ouvertures de postes en interne, mesures d'aide à la mobilité, formations d'adaptation et primes de mutation. Un espace « Conseil Emploi » avec l'assistance d'un cabinet de consultants spécialisés dans l'accompagnement au reclassement devrait également être mis en place. (...)
(22/04/2008 17:43:09)Logica supprime 1 300 emplois en Europe
La SSII Logica (39 000 salariés) vient d'annoncer un plan de restructuration qui devrait, selon un communiqué, « relancer l'activité du groupe et améliorer le rendement des actions ». Reste que ce programme « de revitalisation » passera par la réduction de 1 300 emplois, soit 3% de l'effectif total du groupe : 500 licenciements toucheront la Grande-Bretagne, tandis que le continent européen devrait subir 2% de coupes, en Allemagne, en Suède et également en France. Cette restructuration coûtera à Logica, 70 millions de livres cette année et 40 millions en 2009. A partir de 2010, l'entreprise devrait parvenir à économiser 80 millions de livres par an. Dans l'Hexagone, on s'attend à des suppressions de postes dans les fonctions centrales de la SSII : Les syndicats français parlent de 250 réductions d'emplois sur des activités qui pourraient bien être délocalisées dans des pays dits à bas coûts. «Chez Logica France, les coupes devraient se monter à 2% de l'effectif actuel (9 000 collaborateurs), et heurter les fonctions centrales de plein fouet, prévient Hubert Macone, délégué syndical CGT chez Logica. Les services centraux, comme le contrôle de gestion, la paye, la facturation, ou le relevé des activités, seront délocalisés, ce qui conduira à d'inévitables licenciements. ». En France, le voile sera levé le 5 mai, à l'issue d'un Comité Central d'Entreprise (CCE), tandis que le lendemain, les Top Managers français se réuniront. Logica a également déclaré vouloir investir davantage dans la vente, le marketing, le conseil (où le nombre de collaborateurs devrait passer de 2 500 à 3 500) ainsi que dans la sécurité et la facturation automatisée (pour l'électricité, l'eau, etc.) qualifiés par la SSII de domaines en croissance. L'entreprise va également accroître son offre d'externalisation, et faire doubler le nombre de ses collaborateurs dans les pays offshore d'ici 2009 à 8 000. Pour 2008, la SSII table sur une hausse de 3% de son chiffre d'affaire, et également sur une extension de sa marge d'environ 0,5 % par an en 2009, assortie d'une augmentation de 0,5% à 1% en 2010. (...)
(22/04/2008 12:43:44)Index Freelance.com : Les développeurs PHP et C reviennent au top 10
L'index est marqué, cette semaine, par le grand retour des spécialistes de PHP dans le top 10 des compétences les plus demandées sur des missions ponctuelles. Malgré quelques semaines d'absence, la soudaine hausse de la demande leur fait gagner deux places, ce qui les pousse à la 6ème place du palmarès.
Autre spécialité à entamer son retour : les experts des langage de programmation C, absents de cet index depuis janvier dernier, qui viennent épauler les développeurs COBOL. Les spécialistes de C - des développeurs pour la plupart - deviennent même leaders du classement en raison d'une progression de la demande de trois points, en l'espace d'à peine trois semaines.
En revanche, Freelance ne relève pas de changement significatif dans le quatuor de tête des compétences les plus demandées sur des missions de courte durée : les spécialistes d'Unix, d'Oracle, de Java et de SAP restent toujours les plus courtisés par les recruteurs, et ce depuis déjà plusieurs semaines. Sur Unix, les profils d'administrateurs, d'ingénieurs et de développeurs gardent la préférence des entreprises.
Du côté des tarifs, l'index de l'évolution de la rémunération des experts free-lances, basé sur le prix moyen des offres proposées par Freelance.com, évolue légèrement cette semaine, et passe la barre des 482 euros.
Méthodologie
Les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 630 offres de projets informatiques disponibles au 21 04 2008 (pondération par rapport à l'importance de la demande).
(...)
Plus de 4 600 emplois supprimés chez AT&T
AT&T, premier fournisseur de services de télécommunications aux Etats-Unis, a annoncé vendredi son intention de supprimer 4 650 emplois, soit 1,5 % de son effectif. Il s'agit pour l'opérateur de se concentrer sur les activités qui affichent les meilleures croissances. L'entreprise de San Antonio a précisé que la majorité des coupes concerneront les activités de téléphonie fixe aux Etats-Unis et dans le monde, principalement des cadres aux métiers sans contact direct avec la clientèle.
Coupes en téléphonie fixe, embauches sur le support
Reste que ces licenciements n'entraîneront pas de diminution des effectifs du groupe - soit 310 000 employés - pour autant.
« Malgré les suppressions annoncées aujourd'hui, nous comptons maintenir le nombre des employés en recrutant sur des activités en croissance, comme le support, » a déclaré Walt Sharp, porte-parole du groupe En 2007, l'opérateur avait déjà procédé à 7 000 embauches supplémentaires.
Ces suppressions d'emplois se traduiront dans les comptes du premier trimestre de l'entreprise par une charge exceptionnelle de 374 M$. Rappelons qu'AT&T avait déjà licencié 10.000 collaborateurs après le rachat de l'opérateur Bellsouth en décembre 2006. (...)
France Télécom coupe 10% de ses effectifs en R&D
L'opérateur historique annonce la suppression de 325 emplois, pour 2008, sur ses activités de recherche et développement (R&D). Déclinaisons du plan de restructuration Next, qui prévoit 22 000 suppressions de postes entre 2006 et 2008, ces coupes concernent 10% des effectifs R&D du groupe. Selon les syndicats, les activités de recherche seraient les plus touchées (-120 postes), suivies par le développement (-100 emplois) et d'autres comme le soutien (-95). De quoi inquiéter les ingénieurs qui travaillent en Bretagne, puisque les deux sites de Rennes et Lannion emploient environ 50% de la R&D du groupe. La CFDT estime que le projet de réduction d'effectifs toucherait déjà environ 7% des 1 144 Lannionais « soit au moins 80 salariés dans un premier temps, avec également des conséquences sur les thésards et les sous-traitants ». D'où la mobilisation de quelque 1 000 salariés France Télécom à Lannion et à Rennes, ainsi que dans d'autres sites comme Issy-les-Moulineaux, Grenoble ou Sophia Antipolis, notamment. « Le 12 Avril, à Morlaix, 500 salariés de toute la région Bretagne ont manifesté pour dire stop aux fermetures de services et exiger le maintien des activités sur toute la région », signale Daniel Guillot, délégué syndical central CFDT. Des assemblées générales se sont également succédées en Haute Garonne, à Montpellier, à Perpignan, et sur les sites de FT en Aveyron et dans le Vaucluse. Motions adressées à Didier Lombard En attendant le prochain CE extraordinaire, qui se déroulera avant la fin du mois, les salariés de Sophia-La Turbie de France Telecom R&D et ceux du site de Rennes ont adopté une motion qu'ils ont adressée à Didier Lombard, PDG de France Telecom. Dans ce courrier, ils réclament l'arrêt des suppressions de postes, considérant que «la politique gouvernementale s'oriente vers un soutien plus fort de la recherche par les entreprises, que France Télécom a un rôle à jouer dans ce contexte, et ne doit pas se désengager de recherches à long terme dans le secteur des télécommunications ». Ils notent, par ailleurs, que « France Télécom n'a pas été épinglé pour un surinvestissement global en R&D, et que la montée en croissance vers les services devrait conduire à accorder des investissements R&D qui se rapprochent des industries IT (rapport de 1/10 par rapport à IBM). » (...)
(21/04/2008 14:39:27)Microsoft parraine des start-up à Lille
Martine Aubry, Maire de Lille et Présidente de la communauté urbaine de Lille, et Jean-Philippe Courtois, Président de Microsoft International (Microsoft EMEA), ont paraphé ce matin 21 avril 2008 un accord de partenariat pour soutenir le nouveau pôle d'excellence nordiste, situé entre Lille et Lomme, Euratechnologies. Ce dernier devrait être inauguré officiellement dans les mois à venir. Un autre accord est prévu avec Picom, le pôle de compétitivité des industries du commerce, présidé par Arnaud Mulliez, président du conseil de surveillance d'Auchan France. Si on retrouve dans l'accord avec Euratechnologies des composantes déjà vues dans les conventions passées avec Lyon ou Paris (soutien en nature aux entreprises innovantes dans le cadre du Programme Idees, participation au reclassement de chômeurs par la formation...), Microsoft s'engage pour la première à ouvrir un site sur place. Pour rappel, Idées (Initiative pour le développement économique des éditeurs de logiciels et des start-up) est une initiative lancée en février 2006 par la filiale hexagonale de Microsoft. Elle a pour objectif de soutenir des éditeurs novateurs, tous domaines confondus (sécurité, applications d'entreprise, mobilité, jeux vidéos...). Devant le succès rencontré par le programme en France, Microsoft a d'ailleurs décidé de l'exporter dans d'autres pays, en le rebaptisant « Microsoft Startup Accelerator Program » au niveau international. (...)
(21/04/2008 13:46:02)Les sites d'emploi des entreprises françaises mal notés
Potential Park, un cabinet d'études et de conseil suédois, vient de publier un classement des 100 meilleurs sites de recrutement d'entreprises, en France et dans l'ensemble de l'Europe. Pour ce qui est de l'Hexagone, une seule entreprise (Total) figure au sein du top cinq des portails d'emploi institutionnels. C'est en effet le jobboard d'un Américain, en l'occurrence Accenture, qui reste le mieux noté, à la fois par les Français et l'ensemble des Européens. Ce qui permet au géant du conseil IT d'obtenir un excellent score, et de s'octroyer la seconde place du classement de l'Hexagone, et la troisième marche du podium à l'échelle européenne. « Les grands groupes largement implantés à l'international ont très bien pensé leur message envers les jeunes talents français et disposent de sites très outillés », a commenté Torgil Lenning, fondateur du cabinet suédois Potential Park, auteur du classement. En 9e position du palmarès français, et 10e au niveau européen, IBM. Absent du classement européen, Capgemini et son jobboard est néanmoins élu 26e site en France. Pour dresser son analyse, Potential Park s'est appuyé sur les réponses de plus de 8 000 jeunes, dans 14 pays différents, diplômés et étudiants de dernière année de grandes écoles et d'universités. Plus de 400 sites d'emploi ont ainsi été passés en revue, en France et dans l'ensemble de l'Europe. (...)
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